Si l’odeur d’urine omniprésente dans la toilette pouvait facilement être justifiée, je ne tenais pas à ce que mon visage couvert de sperme soit découvert par un autre inconnu. Je devais prendre ma décision rapidement, pour éviter un nouvel « incident ».
Mes mouchoirs étaient dans mon sac, il n’y avait pas de papier dans ces toilettes, je risque de perdre trop de temps à nettoyer ça avec mes mains et je ne pourrai jamais tout faire disparaitre. Sans compter que si Luc n’avait pas de preuve que quelqu’un s’était invité, j’aurais du mal à justifier la fermeture de la porte, pourtant interdite.
Quitte à jouer tout pour le tout, je remis mon pantalon et fonça tête baissée vers le fond. Je vis des regards se tourner vers moi, mais ils ont moins de chance de le remarquer si je ne les regarde pas. Je réalise que la personne la plus proche de nous s’est endormie avec ses écouteurs. J’arrive au fond, enjambe Luc pour enfin retrouver ma place.
J’évite le regard de Luc en fixant l’extérieur. Comme c’est l’hiver, il commence à faire déjà sombre dehors.
Luc me regarde en rigolant.
– J’en connais un qui s’est fait plaisir, me dit-il.
– Oui, il avait visiblement envie de se défouler de sa frustration avec sa femme.
– Je l’ai vu rentrer, je ne savais pas comment tu allais réagir. Tu t’es visiblement bien débrouillé !
– Merci, est-ce que je pourrais récupérer mes mouchoirs dans mon sac ?
– Tu connais la règle non ? me demande-t-il. En échange, tu vas poser pour moi. Mets-toi complètement nu.
De pire en pire, je vais me retrouver à poil au fond d’un car où je viens de sucer deux inconnus. Je me dis que de toute façon, peu de gens me verront au fond. Au point où j’en suis, ça ne changera pas grand-chose. J’enlève mon t-shirt, en prenant soin à ne pas enlever tout le sperme de mon visage pour ne pas gâcher l’effet.
– Colle-toi dos à la vitre et écarte bien les jambes. Voilà, ne bouge pas. Maintenant, je veux que tu te branles.
Comme une machine, je me mets à me toucher face à ce type que je ne connaissais pas il y a deux heures. Je bande rapidement. Luc a son appareil braqué sur moi, mais je ne sais pas s’il filme ou s’il prend des photos. Je vois que Luc lance des petits regards vers l’avant, comme pour vérifier qu’on ne nous dérange pas.
– Mets-toi à quatre pattes sur les sièges, petite pute.
Je m’exécute et continue à me branler. Mon plug est bien visible. L’excitation me rend fou, j’oublie complètement que je suis au fond d’un bus et je me lâche complètement..
Luc me donne une énorme fessée, qui fait un grand bruit dans le bus. D’un coup, je me calme. Tout le monde a dû entendre ça. Le fait d’être caché par les sièges ne change pas grand-chose, le bruit est assez reconnaissable.
– Ce n’est pas à toi à prendre du plaisir, me dit Luc. Viens me sucer maintenant.
Il se tient debout, proche du milieu de l’allée. Il est tourné vers moi, mais tout le monde dans le bus peut le voir, grand comme il est. Je le regarde et enlève discrètement sa ceinture.
– Suce pour que je bande bien, petite salope ! dit-il fort.
Il est vraiment décidé à m’afficher. Tout le bus a dû entendre cette réflexion, et je pense que c’est voulu. Je veux me cacher, je suis tellement gêné. Je pense qu’il ne plaisante plus. Je n’ai pas vraiment le choix. Je vais faire ça bien pour éviter de nouvelles représailles.
Comme la première fois, sa bite est vraiment grosse. Je parviens à la mettre en bouche tant qu’elle est au repos, mais à force qu’elle gonfle, elle ne rentre plus facilement dans ma bouche. Il prend ma tête en main pour dicter le mouvement, et l’enfonce de plus en plus profond. J’ai du mal à respirer. Il maintient cette position plusieurs fois, chaque fois en me relâchant la tête d’un coup. Je dois chaque fois reprendre ma respiration bruyamment.
Soudain, il me retourne et colle ma tête contre la vitre. Je suis toujours à quatre pattes sur les sièges. Il ne faut pas être un génie pour comprendre son intention. Ce mec veut me baiser au fond d’un bus de voyage. Délicatement, il me retire le plug. Une fois complètement sorti, il le ré-enfonce brutalement dans mon cul. J’ai le souffle coupé, mais il ne veut pas me ménager. Il commence à faire des vas-et-viens avec le sex-toy, et j’ai du mal à contenir mes cris.
Alors qu’il sort complètement le plug de mon cul, j’entends le bruit du déclencheur de son appareil photo. Visiblement, mon anus dilaté se referme vite. Je l’entends abaisser son pantalon et je sens sa bite se frotter contre mon trou. C’est beaucoup plus gros que le plug ! Je me retourne pour le regarder, il me fait un grand sourire carnassier, et il s’enfonce en moi.
Je lâche un cri.
Je n’ai pas su me retenir, son morceau de chair est énorme. Il me transperce littéralement de douleur. Il me l’a enfoncé d’un coup, sans délicatesse. Le pire, c’est qu’il n’a visiblement enfoncé que le gland
– Déjà ? On est qu’au début petite pute. Je te conseille d’être calme. J’ai déjà repéré des gens qui ont compris ton petit manège.
Le salaud ! Il a bien joué avec moi, et maintenant il va m’afficher. Je n’ose rien dire, de peur que ça ne me fasse encore plus remarquer.
– Ne sois pas si stressé, et tout va rentrer, me dit-il.
Joignant l’acte à la parole, il s’enfonce doucement en moi. Chaque centimètre est un supplice, je dois me retenir de crier. Sa bite est vraiment trop longue. Un moment, il s’arrête. Je pense qu’il a tout enfoncé. Et d’un coup, il enfonce son chibre de toute sa longueur. Je ne peux pas me contenir :
– AAAAAAAH !
– Je te trouvais un peu trop fermé, si tu veux mon avis, me dit-il.
– Ça fait mal
– Tu vas aimer, en tout cas tout le bus sait qu’une petite pute se fait prendre à l’arrière.
– S’il te plait moins fort
– Si tu me le demandes encore une fois, je te jure que je te défonce jusqu’à ce que tu ne puisses plus dire ton nom. Maintenant, je te laisse une dernière chance. Je n’ai plus envie de bouger, je veux que tu te baises toi-même sur ma bite.
La douleur est insupportable mais je ne veux absolument pas me faire baiser violemment au fond de ce bus, je ne pourrais plus me contenir. Je décide de le faire moi-même. Je commence à avancer pour retirer doucement.
– Attention, si tu la retires complètement, tu as perdu aussi.
Merde, une difficulté de plus. Je n’ai pas le temps de réfléchir, je l’enfonce encore. La douleur ne passe pas, j’ai envie de me reposer mais j’ai trop peur de lui.
Je continue mes aller-retours sur sa queue beaucoup trop grosse. Petit à petit, je commence à apprécier la situation, et je sens que je vais pouvoir vite en finir.
« CLONG »
Le bus vient de rouler sur un obstacle, et je me prends la vitre en pleine face. Soudain, je réalise. A cause du choc, je ne suis plus empalé sur la bite de Luc. Je me retourne et voit un grand rictus sur son visage. Ça sentait mauvais pour moi.
D’un coup, il me prend par les hanches et s’enfonce de tout son long. Je crie dans tout le bus ! Il me défonce sans pitié, en faisant des bruits explicites sur la situation. Je ne supporte pas la douleur, et je hurle ! Plusieurs personnes se retournent, mais il continue de me défoncer. La douleur s’atténue et je commence à prendre du plaisir.
– Oh putain c’est trop bon !
– Je savais que tu ne résisterais pas à ma queue, me dit-il calmement.
– Oh oui ! Oh oui !
Je ne me cache plus, je n’ai plus aucune pudeur. Nos ébats font trop de bruit pour rester discrets. Je me fais prendre comme une chienne au fond du bus. Luc me saisit par les cheveux et me soulève la tête, je vois le type devant nous en train de me filmer. Je ne sais plus réagir, je ne fais que haleter au rythme des coups de butoir.
Je sens que Luc rentre plus profondément, et que sa respiration est plus forte. La fin est proche. Je n’en peux plus. D’un coup, il se retire et me jette dans la rangée au milieu des sièges. Je suis toujours nu. Il m’ordonne de me mettre à genoux, et il m’envoie une immense quantité de sperme sur tout le corps, alors que je suis en plein milieu de l’allée. Mon corps tremble, je ne tiens pas sur mes genoux.
Luc se rassied et remet son pantalon. Il en profite pour immortaliser ce moment. Moi, je reste à genoux, encore sous le choc. Il me tend mon plug, que je rentre sans trop de difficulté. Il prend mes vêtements, et mes mouchoirs dans une main, et les met dans un sac plastique. Ensuite, il me regarde et avec son sourire plein de cruauté, envoie le sac tout à l’avant du bus.
– Mais ça va pas ? lui dis-je.
– Si tu veux être présentable à Paris, tu peux aller récupérer ton sac. Sinon, tu es libre de rester dans cette tenue, je sens que le changement à Paris va être intéressant.
Je réalise que je n’ai pas le choix, le sac est arrivé tout à l’avant, juste à côté du chauffeur. Je dois absolument le récupérer. Je me demande s’il est au courant de ce qui se passe dans son bus