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L'éveil du chasseur – Chapitre 1




Bonjour, je me présente, je m’appelle Seb, j’ai 24 ans. Jusqu’à ce jour la sexualité n’a jamais été le centre de mon univers mais un accident a fait prendre à mon existence un tout autre tournant… Je vous raconte ?

Bon, alors que je flânais en ville, je me suis fait renverser par une voiture, mon dos a été légèrement touché, notamment le bas de la colonne vertébrale, en me réveillant à l’hôpital la tête dans le brouillard, je m’assure que chaque chose est à sa place, c’est douloureux mais tout a l’air de fonctionner, puis je me rends compte que ma queue est dressée comme elle ne l’a jamais été.

Petite pause pour me décrire, je mesure un mètre 74 pour 67 kilos, je suis plutôt du genre longiligne et sec, tout en nerfs. Ma queue n’est pas particulièrement grosse, de 17 cm, parfaitement courbée quand je bande, mes précédentes conquêtes ont souvent complimenté sa beauté. Bref revenons à notre récit.

En découvrant le chapiteau que forme mon sexe sous le drap je suis surpris et amusé, je lance un:

— Oh coucou toi !

Je suis éberlué quand j’entends une voix diablement sensuelle dire:

— Hmm coucou toi !

Les yeux papillonnants je lance un coup d’il en direction de la voix et découvre qu’une jeune infirmière m’observe un sourire mutin sur les lèvres.

Elle a les cheveux teints en rouge, des yeux verts et une ligne fine, je distingue à peine la forme de ses seins qui doivent être menus sous sa marinière de travail… Je sens ma queue se dresser un peu plus, le désir s’empare de moi, je la veux !

Elle continue de me sourire et me dit:

— C’est agréable de voir un patient se remettre aussi vite d’un accident. A voir la forme que vous avez, vous serez vite prêt à faire des folies.

Sa phrase s’accompagne d’une illade légèrement lubrique. Je rentre dans son jeu.

— Je me sens à faire des folies sur le champ. Après une douleur dans la jambe je me ravise tout contrit. Enfin peut être pas dans l’immédiat.

Elle s’approche doucement et fait courir ses doigts sur mon ventre:

— Tu n’es peut être pas prêt mais ceci ; dit-elle en montrant ma bite toujours au garde à vous. A l’air prêt à toutes les folies imaginables.

Si j’avais pu me lever, je lui aurais sauté dessus, j’opte plutôt pour un peu plus de finesse:

— En effet, j’ai rarement été dans un tel état et vos caresses ne semblent pas faites pour arranger les choses.

Ses doigts se rapprochent du mât que fait ma queue, un frisson me parcourt l’ensemble du corps.

— Excusez-moi Mademoiselle, mais si vous continuez vos attouchements ainsi je risque d’avoir un geste déplacé et je ne voudrais surtout pas vous mettre dans l’embarras.

En disant ceci j’essaie de sourire de manière confiante me doutant que je suis en passe de vivre un moment torride.

Avec un aplomb adorable et en saisissant ma queue à travers le drap elle me lance:

— Tu peux te permettre n’importe quel geste déplacé avec moi !

Je l’attrape alors par les épaules, l’attire vers moi et l’embrasse fougueusement. Elle me branle en répondant à mon baiser. Allongée à moitié sur moi, je suis au paroxysme de l’excitation mais ma position ne me permet pas de profiter de ses courbes, elle lâche ma queue et se remet debout pour quitter son pantalon vert… Oh Putain, quel cul !!

Elle me le présente alors qu’elle pose délicatement son pantalon dos à moi, habillé d’un string puis se retournant elle arrache le drap découvrant mon sexe dressé en attente, j’entends un gémissement d’envie sortir de ses lèvres délicates puis sans quitter ma queue des yeux elle retire son petit string noir me dévoilant une adorable petite chatte épilée intégralement.

Elle monte sur le lit et se positionne à califourchon sur ma tête:

— Mange-moi pendant que je te suce !

— Avec grand plaisir ma belle.

Et c’est parti, je commence à lui manger son abricot d’une douceur incomparable, aspirant ses lèvres et suçant son clitoris mes mains palpent ses fesses, je n’en ai jamais eu un d’aussi beau sous les yeux.

Sa façon de s’occuper de ma bite est moins sauvage que la mienne mais redoutable de précision. Tout en gémissant des caresses buccales que je procure à sa chatte, elle s’applique en m’embrassant mon sexe dans toute sa longueur y promène sa langue… Comme si elle voulait faire connaissance avec avant de la dévorer. Ses lèvres sur mes couilles me font un bien fou puis elle remonte jusqu’à mon gland violacé et l’enfourne dans sa bouche avec appétit elle suce ma bite rapidement maintenant n’hésitant pas à la prendre presque entièrement au fond de sa bouche.

Elle aime ça, ma bouche est envahie par sa mouille tiède et légèrement épicée, c’est un régal, je la fouille maintenant profondément m’aidant de mes doigts pour lui pistonner la chatte elle gémit de plus en plus fort jusqu’à ce qu’elle se retire prestement et ramasse son pantalon au sol, je la regarde ne comprenant pas ce qui se passe, elle me rend mon regard en souriant de ma confusion et sort un préservatif de la poche de son vêtement, d’un air de parfaite coquine elle déchire l’emballage et sort la capote avec ses dents, elle saisit mon membre raide qui je pense ne pourrait jamais débander après cette vision, puis l’enfile lentement toujours sans l’aide de ses mains, se relevant et m’enfourchant elle me dit:

— Maintenant je vais me baiser sur toi comme une petite salope, laisse-toi faire.

Obéissant (comme si j’avais le choix, je vous rappelle que je suis presque invalide.) Je la regarde émerveillé s’enfoncer d’un coup sur ma queue qui ne semble pas prête de se fatiguer ce qui m’étonne car avec le moment torride que je vis je ne me serais pas surpris à lui éjaculer dans la bouche pendant qu’elle me pompait… Bref.

Je me focalise sur les sensations qu’elle me donne en se baisant sur ma queue, je tente un coup de reins pour la surprendre quand une douleur se manifeste dans mon dos, alors je me résigne à la laisser faire seule.

Ça n’en reste pas moins très agréable de sentir ses chairs enserrer ma queue et faire de rapides va et viens, elle a l’air d’apprécier vu comme elle couine:

— Oh c’est boooon ! Tu me remplis bien, hmmm tu aimes ma petite chatte, elle est bien comblée par ta belle queue.

— Ouiii ta chatte a l’air d’aimer se faire écarter par ma bite, tu mouilles bien mes couilles, dommage que je ne puisse pas te faire sentir à quel point j’aime ça en te défonçant comme tu le mérites petite salope.

— Oooooh Huuuum, ça va venir, je te donnerai à nouveau ma chatte quand tu pourras me baiser comme il se doit, ouiii je vais encore avoir envie de profiter de ta bonne queue !

Sa voix chevrotait sous l’action du plaisir, je commençais à prendre véritablement mon pied et sentais que la jouissance n’allait pas tarder à me submerger. Elle vint avant moi, explosant en un orgasme magnifique, sa voix devenue rauque à cause de son plaisir me fit venir à mon tour et j’explosais à mon tour mes mains sur ses hanches la retenant contre mon membre qui remplissait le préservatif de son foutre épais.

Nous sommes restés un moment comme ça, elle s’était allongée sur moi, son parfum enivrant me remplissant les narines, ses cheveux collés par la sueur, puis elle me dit d’une voix apaisée: il faut que je retourne travailler, je reviendrais bientôt te rendre visite, c’était génial, a bientôt !

Elle se rhabilla et quitta prestement la chambre, je m’endormis presque instantanément rêvant a une prochaine visite de la belle infirmière dont je ne connaissais pas le prénom.

Voici le premier chapitre de ma toute première histoire, il y a longtemps que je souhaitais écrire un récit mais par flemme (cruelle chose) je n’avais pas encore trouvé la force, n’hésitez pas si vous avez des conseils, critiques ou juste si cela vous a plu, je serais ravi de lire vos retours et qui sait peut être une suite verra le jour si vos avis sont positifs.

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