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LA CHIENNE DE MON MAÎTRE – Chapitre 3




3 – Expiation et ascension

Bonjour Monsieur Ange, mentends-je prononcer dune petite voix les yeux dirigés vers le sol pour ne pas croiser le regard de Mon Maître.

Bonjour petite soumise, me répond il.

Et un silence sinstalle, je ne sais pas quoi faire avec mon collier dans les mains, je nose bouger Maître Ange semble simpatienter il me tend les mains mais je ne sais pas ce quil attend Japproche alors doucement les miennes : mouvement dagacement et une remarque fuse.

Est-ce comme çà que je tai appris à me dire bonjour ?!

Là je ne sais plus où me mettre. Je mapproche alors timidement, lui mempoigne violemment les hanches et les fesses pour me serrer contre lui dans un violent baiser : je sens mon ventre fondre Je maccroche à ses épaules car les jambes chancellent un peu

Après ce fougueux baiser qui me laissa pantoise, Maître Ange mordonna de porter mes sacs dans le salon jusquà son fauteuil pour vérifier si javais tout apporté.

Je déposais mes sacs aux pieds de Mon Maître. Je sortis de mon sac à dos les commandes demandées, la ceinture blanche, une boite de cinquante bougies Puis de mon second sac je sors les bougeoirs, ne sachant pas combien Mon Maître en souhaitait jai ramené tous ceux que javais

Je lui tendis ensuite Dressage, un des livres que javais acheté pendant le weekend

Mon Maître me demanda alors si cétait tout, je lui répondit que oui.

Et ton agenda ?

Oui Maître Ange ! en lui répondant,en me précipitant sur mon sac à dos pour en extraire mon petit agenda noir.

Bien, et tes mensurations ?

Elles sont inscrites dedans Maître Ange répondis-je timidement.

Ouf ! Javais tout ! Un soulagement menvahit alors : je ne serais pas punie. Non pas que je redoute vraiment la punition, mais je naime pas décevoir Mon Maître cela me fait plus mal que les coups en eux-mêmes, jaimerais tant être la parfaite esclave soumise pour Mon Maître

Ensuite il me fit me lever et me traîna jusquà la table ronde où il avait disposé tous les objets de torture et de plaisir : menottes, Monsieur. Diable, martinet, fouet, boules de geisha, quatre pinces à linge dont la vue me fit frissonner dappréhension, lubrifiant et matériel de lavement.

Il me demanda si je trouvais jolie la table je hochais la tête en signe dassentiment.

Bien il faut alors ranger ce que tu as ramené.

Japportais alors sur la table les objets quil plaça avec goût.

Au milieu du salon, debout les yeux perdus dans le vague jattends que Maître Ange sintéresse à moi, il a fini dinstaller la table mais ne revient pas

Dun coup il apparaît devant moi : sans ménagement il tire sur mon gilet noir et men débarrasse le jetant derrière lui sur le canapé Mon pull noir suivit aussi vite le même chemin, Maître Ange sarrêta alors dans mon effeuillage brutal pour examiner le top que je portais Un petit haut blanc acheté dans un magasin pour gamines, une fée sépanouissait ainsi sur ma poitrine cachée par un voile de tulle blanc Maître Ange avait annoncé une semaine blanche et brillante pour mes habits, et surtout pour mes sous-vêtements qui devaient être en rapport avec ce thème

Il eut une remarque flatteuse sur mon choix quil jugeait judicieux Mais il reprit bien vite son "travail" et fit valser mon pantalon qui échoua également sur le canapé Je nétais alors plus vêtue que dun string blanc brillant et de mon top qui neut grâce aux yeux de Mon Maître et me quitta

Cet effeuillage forcé me procure un grand plaisir, jai toujours aimé quil soccupe ainsi de moi, mhabille et me déshabille Avoir le sentiment de nêtre quune poupée, Sa poupée Cela me grise et je me sens fondre de plaisir

Dans mon petit ensemble blanc au milieu du salon je fus parcouru par plusieurs frissons : froid, désir, plaisir, envie, poids du regard de Mon Maître sur mon corps

Devant lui en string et soutien-gorge, jattend quil minspecte quil vérifie que plus un poil ne se dresse sur mon corps Rien sous les bras, il écarte violemment la ceinture de mon string : rien sur le sexe, et sans douceur passe une main sur mes jambes : rien non plus. Je suis parfaitement nue ou presque

Je sens mes jambes qui tremblent à ce contact brutal des mains Monsieur Ange, mon sexe déjà bien humide fond une nouvelle fois Je nimagine pas létat de mon string Jai limpression de nêtre quun objet entre Ses mains, cela me permet de mieux entrer dans mon rôle de soumise.

Maître Ange me laissa ainsi sans dire un mot avant de sasseoir dans son fauteuil.

Approche !

Rapidement je le rejoins. Il mexplique alors que maintenant je devrais me présenter à lui dune certaine façon et systématiquement au début de chaque rendez-vous Il me faut tourner lentement sur moi, puis face à lui me pencher en avant rapprocher mes seins en offrande, puis à quatre pattes les fesses tournées vers Mon Maître, poser la joue sur le sol et de mes deux mains écarter mes fesses

Dans cette position de chienne jai définitivement enterré ma personnalité pour nêtre plus que la petite soumise de Maître Ange et il le sait, il sait que je ne rechignerai devant rien et que mon corps et mon âme sont désormais à lui Et cela mexcite drôlement

Il écarte la ficelle de mon string et promène son doigt sur mon sexe et ma rosette mais sans insister à mon grand dam car ce contact, au combien avilissant, a ajouté à mon excitation

Relève toi ! Cest maintenant le moment de ta punition petite soumise !

Cette phrase prononcée dun ton brutal me glaça deffroi et mexcita également

Bien Maître Ange, articulai-je avec quelques difficultés

Rappelle moi tes fautes et la correction qui les accompagnes

Oui Maître Ange

Je commençais à réfléchir je me souvenais que javais posé deux questions la semaine passée.

Vingt fessées pour une question Maître Ange Et vingt coups de martinet pour une autre Maître Ange

Javais le sentiment diffus que joubliais quelque chose mais je narrivais pas à mettre le doigt dessus et cela me fit peur : Mon Maître nallait pas aimer si je ne me souvenais pas, mais langoisse grandissante naidait pas à réfléchir

Et ? fit-il perfidement.

Je ne sais plus Maître Ange

A peine la fin de la phrase fut prononcée que je sentais la colère grandir en lui ! Que joublie une faute était inacceptable ! Il me fit part de son mécontentement et tenta de me mettre sur la voie mais ma peur mempêchait tout raisonnement Jétais dans le même état quun lapin pris dans les phares dune voiture

Je suis désolée Maître Ange

Il entra alors dans une rage sourde et mengueula : je ne me souvenais pas que je lavait fait attendre ? Non Maître Ange, je vous ai fait attendre pourquoi ? Non Maître Ange je ne me souvenais pas de ce sms qui a tardé

Jen suis désolée Maître Ange et je mérite doublement cette punition.

La mémoire métant revenue, je dois maintenant subir mes corrections et en premier la fessée

Je minstalle alors sur les genoux de Mon Maître, mes fesses relevées et juste sous son nez pour quil frappe facilement et quil ne perde pas une miette du spectacle : il aime tant les voir rougir sous ses coups et devenir plus chaudes

Je veux que tu comptes ! lordre claqua dans le silence de lappartement.

Oui Maître Ange

Et la première claque fusa sur ma fesse droite

Un dis-je en retenant un cris de stupeur et de douleur

Les suivantes senchaînèrent avec plus ou moins de force et de rapidité Parfois il arrêtait pour me caresser furtivement le postérieur et cette douce caresse était un véritable baume et excitant Je sentais mon sexe fondre à chaque nouveau coup et je comptais de plus belle retenant de moins en moins mes cris de douleur et mes gémissements de plaisir

Tu me poseras encore des questions ?

Non Maître Ange.

Tu es sûre ?

Oui Maître Ange

Et la dernière fut la plus forte, elle sabattit sonore sur ma croupe déjà meurtrie et rouge

Debout et en position pour la suite

Je plaçais alors mes mains sur le vaste bahut qui faisait face au fauteuil de Mon Maître puis reculais les pieds et écartais les jambes Dans cette position, perchée sur mes sandales à talons, je ne cachais rien de ma croupe rouge et chaude mon string était gorgée de mon humidité Jétais extrêmement excitée par cette punition et mapprêtais à recevoir mes vingt coups de martinet.

Compte encore ! Et ne me cache rien de ta douleur et de ton plaisir ! Je veux tentendre petite soumise !

Bien Maître Ange

Clac !

Ah ! Un !

Le premier surprend plus quil ne fait mal mais ce nest pas le cas des suivants qui me cuisent le bas des reins Je prend peur en imaginant mes fesses Mais le plaisir sinsinue en moi, mon ventre se réchauffe en même temps que mes fesses, la chaleur menvahit lentement, mon sexe se noie

Les coups augmentent en puissance et en rapidité, Maître Ange ne me laisse aucun répit, jai du mal à compter, mon esprit se perd dans les affres de la douleur et la volupté du plaisir Je ne retiens plus rien de mes cris et de mes gémissements, je sens que Mon Maître prend un plaisir certain à me punir, quil aime me voir ainsi

Avant le dernier coup dune voix dure :

Alors petite soumise me poseras tu encore des questions ?!

Non Maître Ange ! Je ne vous poserai plus de question !

Et les lanières du martinet ponctuent ma phrase dun clac retentissant. Cette punition me laisse aux portes du plaisir, je sens que je pourrais facilement en supporter plus et cela me frustre un peu, jaimerais à ce moment là que Mon Maître Ange me prenne sauvagement et me fasse jouir, javais envie de jouir bestialement, ne rien retenir de mon plaisir Mais Mon Maître ne maccorde pas ce plaisir et déjà Il se détourne de moi

Maître Ange me laisse à peine le temps de respirer que déjà il revient armé du fouet

Ne sais tu pas petite soumise quil ne faut pas me faire attendre

Si Maître Ange

Là je trouve cette punition injuste, ce nest pas de ma faute si le sms de Mon Maître prenait plus de place que prévue et quétant en cours je ne lai pas vu Ce nest pas de ma faute si la fin du sms où il me demandait de lui décrire un fantasme nest arrivée sur mon téléphone que tard dans la soirée alors que lui lavait envoyé dans laprès-midi Non définitivement je trouve ces dix coups de fouet injustes et cest pour cela que les larmes roulent sur mes joues dès le premiers coup. Là aucune excitation, que la douleur et un profond sentiment dinjustice Mais je ne dis rien, car un Maître à toujours raison donc je mérite cette punition mais ne peux empêcher mes larmes de couler

Je compte toujours les coups avec quune hâte : quils cessent de pleuvoir enfin ! Le dernier laisse une cuisante trace sur mes fesses dont je nose imaginer la couleur ny même porter la main

Tu ne feras plus attendre Ton Maître ?

Non Maître Ange, soufflais-je entre deux larmes

Maître Ange calmement sans un commentaire, même pas la permission de me redresser, sinstalla dans son fauteuil il a alors une vue imprenable sur ma croupe fustigée Je pense quIl sest régalé du spectacle Nous restâmes un moment enveloppés du silence Puis un ordre claqua :

A ta place petite soumise !

La tête baissée jai regagné ma place : une couverture posée par terre à côté du fauteuil de Mon Maître Par réflexe je posais mes mains sur Son torse et le caressais, comme Il mavait appris à le faire Je ne pensais plus à rien et attendais la suite Il eut alors ces mots :

Comme tout bon Maître je noublie rien, ni de tes fautes ni de tes bonnes actions.

Oui Maître Ange

Et je me souviens dune bonne action, aussi est venu le moment de la récompense

Bien Maître Ange

Lexcitation qui mavait quitté avec le fouet reparut avec plus de force à lécoute de ces quelques mots. Une récompense ! Comme jétais heureuse ! Jétais heureuse car jallais jouir mais surtout parce que Maître Ange était content de moi Mon cur était emplie de bonheur et je souriais

Vas dans la chambre

Oui Maître Ange

Alors que je me redressais lordre claqua :

A quatre pattes !

Bien Maître Ange.

Ainsi je cheminai jusquà la chambre de Mon Maître.

Monte sur le lit ! Allonge toi sur le dos !

Oui Maître Ange

Toujours excitée la curiosité me taraude. Comment Mon Maître va-t-Il me récompenser ?

Lentement, comme pour faire durer mon doux supplice Il mattache les jambes au lit avec laide de deux ceintures de tissus, Il mécarte bien les jambes et sassure que je ne puisse les bouger pendant la récompense. Il me passe ensuite les menottes aux poignets, et les attaches à la tête de lit. Je suis ainsi entravée et ne peux plus bouger

Ensuite Il me passe un bandeau sur les yeux me coupant ainsi le plaisir de Le voir me récompenser

Tu vas recevoir ta récompense, dis bonjour à Monsieur Diable !

Il avait approcher le vibromasseur de mon visage je le sentais tout proche. Je tendis la langue et me mit à le lécher lentement étalant toute ma langue sur la surface noir et si douce. Puis je lavalais, alors que je commençais à le sucer :

Cela suffit ! Et Maître Ange marracha Monsieur Diable

Puis dans un silence quasi religieux Il lalluma, un faible ronronnement vint troubler ce silence.

A ce bruit qui présageait tant de plaisir mon sexe fondit de nouveau, je sentais le haut de mes cuisses shumidifier

Mon Maître Ange approcha lentement Monsieur Diable de mon sexe quIl avait préalablement découvert avant de mattacher

Ce quil se passa ensuite je ne peux le raconter avec précision car cette invention du Diable quest le vibromasseur me fait très rapidement perdre la tête Je me souviens que les orgasmes se sont enchaînés de plus en plus forts Au point que cela en devenait presque douloureux et que je suppliais Mon Maître darrêter chose qui bien entendu Il ne fit pas Il voulait me voir jouir et me débattre encore et encore jusquà lépuisement

Après un dernier violent orgasme qui a du être entendu par tous les voisins, Maître Ange ne me laissa que quelques secondes pour lapprécier et retrouver mon souffle !

Déjà Il me pénétrait sauvagement et profondément avec sa queue,mon sexe inondé facilita la pénétration, je poussais un nouveau cris lorsque je Le sentis entièrement en moi !

Quelle délicieuse sensation que de se sentir ainsi pleine de Son Maître ! Très vite les coups brutaux de reins apparurent. Je sentais de nouveau le plaisir revenir, il allait encore une fois me terrasser

Je ne saurais dire combien de temps cela dura Dans un râle rauque Maître Ange jouit en moi, je le rejoignit quelques secondes après alors quIl avait déjà éjaculer Il continuait ses mouvements de reins

Comme récompense mon Maître Ange me donna sa queue à sucer et à nettoyer jusqu’à ce qu’elle soit lisse et bien propre.

Merci Maître Ange, murmurai-je

*****

..

Clac !

La porte se referme.

Moi je reste fermé durant tout ce processus. Je ferme lentement la porte à clé en la laissant pantelante et perdue, je reste hautain et lointain. Si bien que leffet escompté ne se fait pas attendre. Ma petite soumise est complètement perdue, déboussolée. En plus elle à son collier dans la main au lieu de le porter ce qui peut être une faute très grave.

Du coup je la scrute. Plus jattends plus elle se perd dans les abysses insondables dune angoisse quelle est seule à connaître.

Moi jexulte. Je ne dit rien, comme dirai Freud : "Ne comptez pas sur moi pour rompre le silence !". Enfin elle se décide, elle se jette à leau, me dit bonjour.

Malheureusement pas comme je lui ai appris et je men trouve déçus sans le laisser paraître.

Elle a bien les yeux baissés, mais elle a appris à venir se jeter dans mes bras pour le baiser sauvage dusage.

Soit, je lui laisse une seconde chance et lui renvoie un bonjour. Mais toujours rien ne se passe.

Les premières secondes de silence lon vraiment déboussolé beaucoup plus que ce que je navais espéré !

Cela ne mempêche cependant pas de me fâcher ! Cest une soumise qui ne rend pas hommage à son Maître et ce dans ses toutes premières fonctions ! Cest inadmissible ! Ne manquerait plus quelle ne sache plus comment venir me remercier de ma présence !

Je lui demande alors sur le champ si cest ainsi que je lui ai appris à dire bonjour à son Maître. Alors elle sexécute, fort heureusement pour sa croupe, derechef.

Elle ne le sais pas mais elle vient de frôler la catastrophe… Du coup elle est timide la petite soumise… Quà cela ne tienne je la remet vite dans le droit chemin de son esclavage et lempoignant violemment, prenant possession de mon du.

Je plonge ma langue dans sa bouche, empoigne fortement ses fesses et les écartèles… Elle fond sous lassaut et cela mexcite énormément.

Ensuite je la laisse comme ça… Sans caresse, juste pour lobserver quelques secondes… Avilie, les bras pendants… Elle ne le sait pas encore mais elle a déjà perdu toute volonté, elle fera ce que je lui dit sans même réfléchir. Nous sommes en contact depuis une minute et déjà elle mappartient… Mais elle ne sait pas encore pourquoi ni ce que je vais faire delle, et cest cela qui va lanimer pour que je puisse jouer avec et men délecter… Son corps et son esprit déambulant, plein de spasmes, senfuyant et mappartenant en même temps toujours plus… Voilà lidée que jai en la voyant ainsi.

Bien à présent trêve de plaisanterie. Je ne vais pas jouer dans lauto-contemplation ni dans la projection dun imaginaire… Je lui demande sèchement de ramener tout ses sacs dans le salon afin de pouvoir faire linventaire, un peu militaire, de tout ce quelle devait me rapporter.

Tout semblait être là. Comme elle navait pas sorti son agenda je lui demandai sèchement car toute la semaine dépendait en partie de cela. Mais finalement elle lavait bien ramené. Par contre jeus du mal à garder mon sérieux et à ne pas me maudire à haute voix lorsque je la vis sortir autant de bougies et de bougeoirs ! Elle en sortait toujours plus, je crois quelle avait apporté tout ce quelle possédait en ce genre ! Diable jaurais du lui donner un chiffre !

Du coup moi jai lair bête avec mes trois bougies qui se battent en duel dans le Havre… Bon jarrive à me contenir et cest tant mieux, je maméliore là-dessus, il ny a pas si longtemps je pense que je me serai mis à rire.

Je profite de tout ce déballage pour le ramener sur ma petite table des tortures et la faire découvrir à ma soumise. Magnifique petit jeu de scène sans prétention ni artifice la table ainsi disposée laisse entrevoir tout les supplices quelle pourra ou devra subir et même dautres quelle nose imaginer.

Cela fait monter la tension dun cran et jadore ça.

Bien tout étant en ordre la séance à proprement dite pouvait commencer. Pour le moment il sagissait de "remettre les compteurs à 0" pour mon esclave : lui infliger les punitions quelle méritait pour avoir mal remplis son devoir de soumise mais aussi ses récompenses pour ses bons comportements.

Elle était là, encore habillée et angoissée par la vision qui venait de soffrir à elle, debout devant son Maître, la tête baissée comme une esclave nosant pas lever les yeux sur son Maître tout puissant… Celui qui a, par son simple regard, tout les droits sur lesclave, qui par là même cesse dêtre une personne pour nêtre plus quune chose… Ma chose… Jen dispose comme je veux… Et je prend mon droit !

Sans mot dire, comme si tout ce que jallais faire allait être naturel pour que je nai point à me justifier daucune sorte ; je me lève mapproche delle jusquà ce quelle puisse sentir mon souffle sur elle. Je plonge mes yeux dans les siens qui me fuient comme lagneau qui prend peur devant le grand méchant loup.

Brutalement, sans la moindre douceur je me mets alors à la déshabiller pour lhumilier.

Aucune manière, je me comporte comme si javais en face de moi une poupée ou un simple pantin, à la différence que les pantins ne peuvent pas ressentir quoi que ce soit alors que moi, lorsque jai ôté et balancé son pantalon sur un canapé je vois bien quautant elle tremble déjà de peur, autant elle mouille déjà dun désir encore refoulé. Mais avant daller plus avant javais déjà eut une petite surprise réjouissante.

Je maperçus que ma petite soumise portait un petit top tout ce quil y a de plus innocent et de plus puéril. Cela mexcite encore plus et je len félicite. En effet avoir une telle vision dinnocence avant la déchéance inévitable qui se produira me donne la vision de toute la splendeur de mon acte : elle entre dans le Havre en petite fille innocente, ayant ses caprices, ses coquetteries… Elle en ressortira à genoux, nue, me demandant, que dis-je, me suppliant de la "baiser" !

Du coup je doit me retenir pour ne pas arracher ce top avec avidité…

Bien une fois en sous vêtements je la contemple. Le thème était blanc et brillance et elle respecte parfaitement ces critères en portant un string lacé blanc satiné et un soutien gorge assortit. Je la contemple alors, grand juge céleste devant limpie qui se présente à moi avec larrogance de croire mériter lenseignement des anges.

Ensuite je continue plus en profondeur mon inspection pour vérifier que chaque consigne à été scrupuleusement respecté mais toujours sans aucun égard pour lesclave qui se trouve devant moi. Je passe mes mains sur ses jambes pour en tester la douceur puis sur son sexe pour vérifier quil est bien lisse. Jen profite pour noter que cela lexcite car rien que de faire cela jen ressort avec un peu de cyprine sur les mains…Je devrais penser à lui faire lécher cela un jour….

Enfin linspection terminé, faite comme un véritable professionnel dans un marché aux esclaves où les femmes ne sont que de vulgaire marchandise je la fais reculer.

Voilà la première leçon de la séance : elle va devoir apprendre à bien se montrer conformément aux objectifs fixés : "apprendre à se dévoiler à son Maître". Je voulais que cela soit cru, sensuel, à la limite de lobscène mais sans jamais franchir cette ligne. Ainsi elle doit se montrer, me montrer ses seins puis son cul grand ouvert par ses mains. Là jécarte la ficelle du string pour découvrir une rosette bien excitante mais encore fermée… Qua cela ne tienne cette forteresse ne me résistera pas longtemps… Les anges voient tout, les anges doivent alors être… Partout…

"Tu ne refuseras aucun accès à ton âme autant quà ton corps devant lêtre céleste"

Elle sapplique et après quelques modifications,elle sy prend bien.

La chose finie je la fais mettre à sa place : à mes pieds sur une simple couverture ( je sais que je suis trop bon, mais ne suis je pas un ange ?). Là elle se comporte bien, retenant les leçons précédentes elle me caresse automatiquement le torse, les jambes, le sexe, comme une fanatique devant son idole divine.

Alors je lui annonce quil est temps de parler de ses fautes : quels péchés avait-elle commis? Elle devait elle même énumérer ses fautes. Elle en releva bien deux inhérentes aux questions quelle na pas le droit de me poser.

Mais elle en oublie une troisième hautement plus grave à mes yeux.

Cela me fâche bien évidemment car non contente de fauter elle se permet en plus doublier, la voie la plus royale pour recommencer… Chaque faute était assortie dun châtiment quelle connaissait à lavance pour bien lappréhender : vingt fessées pour une question, vingt coups de martinet pour lautre, et dix coups de fouet pour lattente seulement dix car cest la première fois quelle fait cette faute et quelle navait pas encore appris à être disposée à cela. Ainsi les dix coups de fouets nétaient là que pour la leçon plus que pour la punition en soi.

Commençons par la fessée. Jaime bien faire ainsi car je trouve quainsi sur mes genoux elle parait totalement avilie. De plus la fessée me permet le contact avec la matière, jadore ses fesses, je crois que si jétais cannibale je les dévorerais. Ainsi je peux à loisir les caresser, les malaxer, les mordre, les claquer, bref les sculpter comme lartiste devant son marbre, chérissant à chaque coup la femme quil fait naître sous son outil. Le mien cest la domination, mais le principe ici est le même.

Je commence une bonne entrée en matière, alternant caresses et prises vives avec les claques quelle se doit de compter. Ainsi je peux ressentir tout de suite lévolution de sa croupe qui rosit tout dabord et chauffe en même temps que ma main avide. Plus je la claque et je malaxe plus mon sexe gonfle pour finir dans une érection insoutenable que je sais quelle ressent sur son ventre, sans pouvoir en profiter à son grand dam vue létat de son sexe déjà ruisselant que je ne minterdis pas de toucher de temps en temps pour surexploiter cette excitation.

Elle supporte très bien les vingt fessées, je nai pas voulu être trop dur sachant ce qui lattendait par la suite. Je lui demande immédiatement de se mettre en position pour le martinet pour quelle ne puisse ni reprendre son souffle ni ses esprits. Elle sexécute, pas encore parfaitement je dois corriger sa position, lui faire plus écarter les jambes et remonter ses fesses. Je veux que cette croupe tente de me prendre de haut, quelle me résiste vainement, je veux la voir droite et fière de servir son maître par la douleur ça mexcite et me donne envie de la pénétrer ainsi sans autre forme de procès.

Mais je me maîtrise et commence à les labourer de mon martinet presque neuf ( elle ne la goûté quune seule fois). A chaque coup elle doit compter et souvent je lui demande, alors quelle commence à crier, si elle aura encore laudace de me poser des questions elle qui devrait y réfléchir à quinze fois avant davoir lhonneur de madresser la parole.

La leçon est retenue et les fesses sont bien rouges avec quelques stries. Leur chaleur devient alors palpable sans même les toucher. Moi je sens une sur-excitation.

Cest une sensation très forte, agréable et frustrante en même temps que seul ce genre de séance peu provoquer : je suis excité au plus haut point, comme jamais, mais je ne vide pas ma pulsion, je la tourne et la retourne la faisant sécouler dans chaque coup qui eux même la renouvellent dans un cercle " vicieux" (dans tout les sens du terme).

Je mempare alors du fouet, mon bon vieux fouet de deux mètres en cuir, le fait claquer une fois dans lair pour faire monter la tension, le plie en deux, mapproche de la croupe turgescente et assène le premier coup ! Cinglant il laisse une strie rouge vif sur sa peau et un cri séchappe. Je lui demande si elle me fera encore attendre elle me répond non. Je lui redemande à chaque fois et cest toujours la même réponse jusquà ce quelle fonde en larmes,et me supplie d’arrêter en me disant ( le mot magique ou softword convenue d’avance "pouce" ou en le levant quand elle es bâillonnée)… Là javoue que mon excitation retombe un peu car je naime pas en arriver là… Pour moi cest un jeu entre adulte consentant avant tout. Mais quand je la prends dans mes bras cela semble déjà aller mieux.

Surtout lorsque je lui annonce la suite du programme. Comme elle avait accepté de se faire sodomiser un soir alors quelle nétait pas en forme – mais le programme de la semaine indiquait que cet exercice devait être fait chaque soir de cette semaine – et quelle y mit malgré tout une superbe volonté javais décidé de len récompenser… Mais pour un Maître comme moi,nulle récompense nest innocente, dépourvue de sens, ou dune pointe de sadisme pure…

Je la fis aller à quatre pattes dans la petite chambre où je la fit mettre sur le lit après avoir enlevé son string comme sil avait sagit dune simple chaussette. Là, jai tout prévu, je lattache aux montants du lit les jambes bien écartées et avec des menottes et une petite sangle je lui attache les mains. Avant de bander ses yeux je lui présente comme il se doit mon associé de la séance, Monsieur Diable, un vibro "diabolique" qui porte bien son nom. Comme elle a appris à le faire des sa première rencontre avec mon associé elle le salut par de larges lèches avec sa langue et je lui fait enfourner bien profond dans sa bouche pour lhonorer…

Elle y prend un grand plaisir et moi je nai aucun mal à imaginer mon sexe à la place de mon compagnon darme.

Chose faite je lui bande les yeux. Attends quelques instants, comme pour me faire oublier, donner une petite touche dangoisse, et surtout prendre le temps de bien contempler ma proie avant de fondre avec subtilité sur elle. Je la vois profondément excitée et cela me touche profondément. Japproche alors lentement, imprévisiblement, parcours sa peau de mon souffle, effleure un téton honteusement dressé et fier, dur comme un diamant, le caresse, ma main va et vient sur son corps qui réagit à lunisson, comme pris de frissons et de légers spasmes de plaisir et de désir.

Ensuite je passe la main à mon associé qui gamberge sur le corps de ma prisonnière, le met en marche pour quelle entende le doux son de sa voix…Ma petite soumise mouille énormément ! Le draps est déjà trempé !

Sen rend-elle compte ? En tout cas si cest le cas elle na pas lair de sen soucier, elle sabandonne totalement à moi son Maître ce qui mexcite de plus belle.

Monsieur Diable commence à la pénétrer et déjà je la sens au bord de la jouissance. Je lui fait faire un petit mouvement de va et vient, la jouissance est au bord des lèvres, je sors Monsieur Diable de son antre, elle retombe comme frustrée mais tout de suite après la prend par surprise en apposant lengin sur son clitoris dressé. Leffet est instantané elle jouit avec force. Elle pense pouvoir se reposer mais Monsieur Diable ne quitte pas son bouton et ses vibrations se font plus fortes, alors elle recommence à monter au ciel, entrevoie les portes du paradis, Monsieur Diable sagite sur son petit bouton damour alors c’est l’explosion de plaisir elle jouit une nouvelle fois.Maître Ange enfonce Monsieur Diable qui se love profondément en elle, fait sa place, vibre plus fort, ma main lassiste en caressant le clitoris, et là ( javoue que je ne pensais pas que celle-ci viendrai si vite) nouvelle jouissance ! Ma petite soumise est une femme fontaine. Je recommence une nouvelle fois, les vibrations de mon acolyte au maximum, ses cornes embrochant le bouton, et cette fois-ci elle explose, tout limmeuble est avertit quelle a entrevu le paradis grâce a son ange et a son démon !

Moi je nen peux plus, jai jouit à chaque fois avec elle mentalement, mais il est de mon devoir de lui faire mon grand honneur : la remplir de ma semence divine. Mon membre déjà en totale érection, jenvoie valser mon pantalon et me plante tout de suite en elle en lui annonçant lhonneur que je lui fait. Je la prend sans ménagement, elle épuisée, moi complètement en transe, je vais et je viens, sans arrêt, je caresse son bouton, suce ses seins sans vergogne et là… Je nen reviens pas… Elle jouit encore avec plus de puissance !

Là je nen peu plus je me déverse en elle dans un plaisir qui memmène au septième ciel… Si mes ailes danges ne sont pas visibles je nen ai pas moins quitté le sol…

Je plane littéralement alors que je la sens déborder… Je suis bien, nous sommes bien. Elle a joui jusquà me supplier darrêter alors que son corps demandait linverse, elle a découvert encore un nouveau palier à son plaisir ainsi quau mien… Les "compteurs" sont remis à zéro, et je dois dire que nous pouvons alors commencer cette semaine sur de bonnes bases…

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