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Marie – Ange & Démon – Chapitre 6




Mais tu n’es pas prête! Tu n’as pas reçu mon SMS avec mes instructions ?

Si, si. Entre. Je vais t’expliquer. Allons au salon.

Au salon ?

Oui, je t’en prie!

La surprise de Georges est manifeste. Mais d’un autre côté déjà la semaine dernière Marie avait fait preuve d’imagination et cela pour son plus grand plaisir, alors !

Lorsqu’il entre, il met un moment pour comprendre qu’un homme est déjà présent. Mais il se ressaisit :

Vous êtes ?

Il m’interroge. Mais il doit s’interroger aussi : qui peut bien être cet homme ? Un parent ? Un ami en visite impromptue ?

Bonjour. Je m’appelle Fred.

On se tend la main, je continue :

Je suis un ami de Marc. Vous connaissez Marc ?

Bien sûr !

Je suis un ami de Marc et j’ai pris sa place. Je suis le nouvel amant de Marie.

Je peux voir sur son visage la perplexité. Là encore il doit s’interroger : son amant, depuis quand ? Sait-il pour moi ? Mais je continue.

Mais je ne suis pas aussi incrédule que Marc. Je connais vos relations avec Marie.

Il se tourne vers elle, cherchant peut-être un réconfort.

Mais je vous en prie asseyez-vous.

Il s’exécute.

Oui vos relations si particulières.

Mais comment ? Il commence à réaliser.

La curiosité de savoir ce que pouvait bien faire tous les lundis en fin d’après-midi la charmant jeune fille qui est devant vous.

Ah!

Mais regardez. Cela vaudra mieux qu’un long discourt.

Et avec la télécommande je lance la vidéo qui apparaît sur l’écran de la télé. Nous regardons quelques secondes. En réalité j’ai fait un montage résumé de ce qui s’est passé le lundi d’avant.

L’écran redevient noir. Nous nous regardons.

Si vous avez l’intention de me faire chanter, je n’ai pas l’intention de me laisser faire. La réputation de Marie va en prendre un coup dans le quartier. Elle est majeure. Majeure et consentante, alors

Mais non, il n’est pas question de chantage.

Alors pourquoi ?

C’est juste pour redonner sa liberté à notre amie commune. Plus de lundis imposés.

Ah !

Mais elle devient libre aussi de vous inviter si l’envie lui prend. Mais c’est elle qui décide.

Alors !

Vous voyez, pas de chantage, juste un gentleman-agreement!

Dans ces conditions, j’accepte.

Marie tu veux bien sortir le champagne que nous trinquions.

Pendant un moment, Marie fait le service sous notre regard. Sa robe est assez courte pour qu’elle attire le regard. Georges croise mon regard. Il sourit. Moi aussi. Je lève mon verre:

Un toast pour vous Georges. Vous avez fait d’une bigote, même si vous l’avez un peu forcée au début, une des plus belles salopes que j’ai rencontrées. Quand je pense que ce pauvre Marc est passé à côté et n’a rien vu.

Vous avez raison. J’avais un plaisir particulier à baiser sa copine, dans son propre lit et je me suis arrangé plusieurs fois à ce qu’il passe après moi et la baise encore pleine de mon foutre, sentant le sperme, encore gluante. N’est-ce pas petite pute !

Georges n’a pas perdu ses habitudes et Marie aussi. Elle lui répond aussitôt:

C’est vrai. Il ne s’est aperçu de rien. Ou plutôt il me disait qu’il me trouvait bien chaude et déjà humide pour qu’il me pénètre. Il pensait que sa petite bitte pouvait me satisfaire. Le pauvre il ne s’est jamais douté qu’avant lui Georges m’avait fait jouir plusieurs fois aussi bien par la chatte que parle cul et que ma bouche avait encore le gout de sa liqueur.

La garce. La salope. Elle sait que Marc l’entend et la voit à travers la caméra de ma tablette, négligemment posée sur le buffet et reliée en Skype à celle de Marc. Il ne se doute pas un instant que sa copine est informée.

C’est terrible une vengeance de femme. Pourtant le pauvre Marc n’a pas fait de dixième de ce que sa pute de copine a fait derrière son dos. Le monde à l’envers. Mais pour moi, "c’est tout bon" comme disent nos amis savoyards. Quand je pense que je me croyais pervers !

Laissons ce minus de côté. Donc cher Georges nous sommes d’accord. Marie est maintenant ma chose, plus la vôtre.

Tout à fait.

Mais comme je le disais elle pourra faire appel à vous. Moi aussi d’ailleurs.

J’ai compris.

Tenez, pour sceller notre accord je vous offre ceci.

Je lui tends un paquet.

Qu’est-ce que c’est ?

Il est un peu méfiant.

Vous allez voir.

Il ouvre la petite boite. C’est un petit boitier, télécommande miniature. Il me regarde perplexe.

On peut aussi télécharger une application sur un smartphone pour piloter à distance.

Ah et on pilote quoi ?

Essayez !

Le sursaut de Marie est un premier signe.

Doucement. Ne mettez pas a fond. Il faut commencer doucement.

Il comprend. Il faut dire que Marie s’est figée en face de lui. Une oreille attentive pourrait déceler un léger bourdonnement.

Montre-lui. Dis-je à celle qui va changer de main.

La robe est vite enlevée. Elle est nue dessous. Enfin pas vraiment nue mais habillée d’un rien. Par exemple le bijou qui pend de chaque téton et dont la pince qui le retient fait pointer et durcir les deux excroissances. La mince ficelle qui sort de la chatte et qui matérialise ce qui est caché à l’intérieur. Justement ce que la télécommande fait vivre, un uf vibrant, version moderne des boules de geisha, pilotable de l’autre bout de la terre. Mais ce qui habille le plus, c’est sans conteste la queue de cheval, courte mais dense qui pend du cul, retenue par le plug qui la possède.

Tourne-toi.Penche-toi.Alors ça vous plait ? Le vibro est pour vous. Si Marie le souhaite vous pourrez la piloter de loin

Merci.

J’ai pensé aussi que nous ne pouvons pas nous quitter ainsi.

Oui ?

Marie, occupe-toi de Georges.

L’homme sourit. Il regarde la jeune pute s’avancer vers lui. Il se laisse faire. Il la regarde évoluer. Il l’aide juste ce qu’il faut pour qu’elle puisse le déshabiller. Le voici nu à côté de moi. Il est encore plus massif ainsi, toujours aussi gros, toujours aussi velu, sa verge pend entre ses cuisses.

La pute sait ce qu’elle doit faire. Elle a dû le faire tant de fois ! Et pourtant sa gourmandise semble sincère. En quelques caresses la queue se dresse. Elle le suce. Lui, la force comme je l’ai déjà vu faire. Moi je regarde et je sais qu’à l’autre bout de la ville un autre regarde aussi. Il l’a déjà vue en vidéo, mais en direct c’est d’autant plus fort. Mais je n’ai pas l’intention de rester inactif. Moi aussi je veux ma part. Je sais par Marie que jamais elle ne s’est partagée entre deux hommes. Georges, à part la forcer à se montrer par la fenêtre n’a jamais invité un homme avec lui.

C’est Georges qui pousse Marie vers ma bitte, déjà dure de leur spectacle. Il regarde et je comprends que pour lui c’est une découverte. Le plaisir n’est pas que de se faire sucer, il est aussi de regarder. Il rejoint en l’espace de quelques secondes la communauté des maris cocus contents, des voyeurs de leur propre femme donner du plaisir à un autre. Marie n’est pas sa femme mais c’était une maitresse exclusive. Je me demande s’il a eu la curiosité de regarder Marie avec Marc.

Peu importe. Elle me suce et c’est bon. Je la renvoie vers Georges. On pourrait suivre sa trace aux traces de salive qu’elle laisse au sol. Elle l’embouche à fond. Moi je me lève et vais me placer derrière elle. Je finis de la déshabiller en lui enlevant plug et vibro. Sa chatte est ouverte. Je l’enfile facilement. Commence alors ma baise. Forte, puissante, profonde faisant avancer Marie sur la queue de Georges. Je lui claque les fesses.

Putain Georges qu’elle pute !

Tu as raison. Je ne sais pas ce qu’elle t’a raconté mais il n’a pas fallu la pousser beaucoup pour la transformer en bouffeuse de bittes.

Elle aime ça.

Oh que oui ! Claque la plus fort elle adore finir avec les fesses rouges. Le cul en feu !

Je la claque. Elle gronde. Je lui tire les cheveux la faisant redresser, se cambrer encore plus, l’obligeant à quitter la bitte de Georges.

T’aimes ça salope.

Oui.

Une claque.

Explique-nous ce que tu aimes. Tout ce que tu ne faisais pas à ton copain, Marc a petite bitte. Ah s’il te voyait !

Nouvelle claque.

J’aime tout. Sucer, me faire baiser, me faire enculer. Je suis une vraie pute, allez défoncez moi, battez moi, je suis votre chienne, je ferai tout ce que vous voulez..

Nous sommes des amants obéissants. Je la laboure. Georges l’étouffe de sa bitte. Nous voici deux complices.

Je crache le premier inondant à regret cette chatte. Georges ne tarde pas. Elle s’étouffe, tousse, crache, pleure mais garde bien le foutre en bouche.

Georges ne débande pas. Sa bitte est un pieu et j’y pousse la garce pour qu’elle s’empale dessus. Sa chatte est grasse de ma liqueur.

Et puis j’ai une idée. J’invite Georges à se lever. Il le fait et Marie s’accroche à lui, empalée, l’enveloppant de ses bras et de ses cuisses. Je lui fais signe de me suivre. Marie ne me voit pas mais lorsque nous passons le couloir, puis l’entrée dont j’ouvre la porte elle s’inquiète.

Qu’est-ce que vous faites ?

Nous sommes sur le palier. Georges a déjà calé Marie contre le mur et la baise en équilibre instable. Et puis on entend des voix, des pas résonner sur les marches de bois. Marie tend l’oreille soudain attentive.

Merde ce sont mes voisins.

Elle précise en montrant les deux autres portes du palier.

Je vais ouvrir pensant que nous allons rentrer mais je vois Georges et son fardeau monter les marches qui conduisent à l’étage. Je les suis tout de même inquiet mais un virage nous conduit sur le petit palier du grenier. Il fait plus sombre. Pendant la montée, le visage de Marie était tourné vers moi et j’ai bien vu ce que lui procuraient les secousses. La salope, inquiète mais tout de même encore guidée par ses sens.

Le palier est étroit. Georges s’appuie sur le mur. Marie est entre lui et moi.

Les voix se rapprochent. Un instant je crains qu’eux aussi montent au grenier. Mais non, ils bavardent devant leur porte.

Je sens la chaleur du corps de Marie. Son dos, ses fesses. Je la caresse. Ma main trouve la bitte et les couilles de Georges. Un peu plus vers moi la raie. J’humidifie un doigt et lui glisse dans le cul. La trainée sursaute et retient un cri.

Attend ma belle tu vas voir. Je place ma queue contre son cul. Elle bute sur celle de Georges qui semble me guider. Je pousse. L’anus bâille mais pas assez. Je dois forcer. C’est Georges qui occupe toute la place. C’est à la fois l’inconvénient mais aussi le plaisir d’un sandwich. Deux bites dans un volume restreint ! Deux bites qui doivent cohabiter, batailler, mais aussi deux bittes qui se frottent, complices dans cette possession si particulière.

Je ne retiens pas mon coup. Je l’enfile. Sa surprise est totale. Le cri qu’elle pousse résonne dans la cage d’escalier.

Vous avez entendu ? Dit une voix un étage plus bas.

Oui. C’est quoi? Cela venait du grenier.

Moi j’aurais dit d’en bas. Un enfant ?

Non, un chat peut-être.

Ils cessent de parler, guettant le moindre bruit. Ils n’en entendront pas. J’ai placé ma main sur la bouche de Marie. Pourant je glisse en elle, gagnant millimètre après millimètre le droit de l’enculer profond.

Elle est chevillée sur nos pieux. Pleine de notre vigueur. Possédée par deux hommes qui font d’elle leur jouet. Le silence hurle notre présence. Chuintements, glissades, respirations qui heureusement pour Marie ne sortent pas de notre palier.

Les voisins se saluent. Chacun pousse la porte de leur appartement. Ont-ils la moindre idée de ce qui se passe chez leur voisine ? Savent-ils que les bondieuseries de cette bigote cachent un monde satanique. Après tout Dieu a créé Satan, c’est bien pour que certaines de ses ouailles goutent au fruit défendu.

J’invite Georges à rentrer. Je ne voudrais pas être la cause de la honte et de la moquerie si les autres savaient.

Il entraine sa proie toujours fichée sur son bâton. Le salon nous accueille. Marc a bien dû se demander ce que nous avons fait. Je vais lui montrer pour ne pas le priver de ce plaisir.

Georges s’assoit avec toujours Marie sur lui. Les bras et les jambes se dénouent. Elle le chevauche, mais je suis là. Je la pousse sur son ancien Maitre. Son nouveau Maitre va lui reprendre le cul. Je l’enfile sans autre forme de procès. Tout cela nous a bien excités et la trainée n’est pas la dernière à se tortiller pour tirer de nos mandrins des sensations nouvelles.

Courir un marathon n’est pas plus épuisant. Nous gisons en sueur et haletons de tant de plaisir.

Ah quel dommage que Marc ne soit pas ici.

Dis-je juste pour provoquer celui qui doit bander comme un malade.

Et que ferait-il avec sa petite bitte. Relance Marie décidément rancunière pour chercher à humilier celui qui nous Skipe.

Il t’aurait pris la gorge et au moins tu n’aurais pas crié.

Tu crois ? Mais non, il se serait branlé, c’est tout.

L’espace d’une seconde j’ai la vision de Marc qui nous regarde et qui peut-être se caresse pour évacuer toute cette tension. J’avais presque pitié de lui jusqu’à maintenant. Mais qui resterait ainsi hors du jeu ? Moi depuis longtemps j’aurais forcé la porte de cet appartement et d’une fureur juste j’aurais assouvi sur ma copine, salope des salopes, garce des garces, traînée des traînées, toutes mes envies. Et le pire c’est que dans son for intérieur, caché sous une vengeance bien surprenante, la copine aurait apprécié, pouvant enfin faire coïncider "bel amour" et "bonnes baises".

Enfin tout ceci n’est pas évident à comprendre, en attendant nous sommes Georges et moi bien confortablement installés chez Marie dans son appartement et sur son canapé. Bien calée entre nous deux elle nous tripote maintenant négligemment la queue. Mon regard se pose sur la tablette toujours posée sur le buffet qui nous fait face. Je suis sûr que Marc est toujours en ligne et qu’il n’a rien perdu du spectacle qui a suivi l’arrivée de son ex portée par Georges et atterrissant bien emmanchée sur le canapé.

Maintenant il doit attendre la suite.

Je me lève et ramène la tablette sur la table basse en verre juste devant nous.

Marie et Georges se regardent brièvement pendant que je manipule l’écran. Marc est toujours en ligne et il doit maintenant parfaitement voir et entendre. Mais nous alors ? Comment ne pas y a voir pensé plus tôt ? J’ai tout déjà ce qu’il faut. Webcan-insu est un programme qui est sensé activer la webcam d’un correspondant sans qu’il le sache. Voilà l’occasion rêvée de faire un test. En l’occurrence, la liaison étant déjà établie, l’image s’affiche directement. Je m’écarte aussitôt du champ et leur fais signe de se taire. Ils comprennent que Marc ne sait pas qu’il est vu.

Marc est on ne peut plus visible. Debout devant son bureau. Il porte une petite culotte rose transparente toute tachée. Marie ne dit mot en reconnaissant un de ses sous-vêtements qui avait disparu après qu’ils se soient séparés. Georges est excité et il recommence à bander rien que d’imaginer ce qu’il va pouvoir lui faire faire devant son ex. Il se tourne vers elle et l’embrasse goulûment en lui mordillant ostensiblement la langue.

C’est qu’elle en veut encore cette chiennasse ! Tiens va chercher ta boîte de salope pour montrer tes joujoux à Fred et puis reviens-nous avec tes dessous de pute. Tu sais ceux que je te fais mettre pour aller à la messe le dimanche.

Marie est de retour, elle a chaussé des escarpins rouges, juste vêtue d’une guêpière noire et de bas coutures. Elle pose la boîte remplie de sex-toys sur la table et se campe devant Georges qui a sorti son smartphone pour prendre des photos.

Docile, elle prend les poses qu’il lui demande.

C’est comme ça que je t’aime une bourgeoise bien sage avec des dessous de salope. Allez vas-y sort tes nichons pour que l’on voit bien tout.

Puis se tournant vers moi.

A la messe elle s’arrange toujours pour se mettre à côté de nous. J’ai ma femme à gauche et elle à droite. Les rangées sont étroites alors en passant pour aller communier elle se débrouille toujours pour me frotter avec son derrière. Allez, petite Marie, étale-nous tout sur la table. Et d’abord tous ceux-là, c’est quoi ? Explique à notre ami Fred. Dit-il en désignant la rangée de plugs.

Ceux-là ? C’est toi Georges qui me les a offerts en me disant que c’était pour me faire plaisir.

Faire plaisir à quoi ?

A mon..Heeuu…derrière…

Tu aimes avoir du plaisir avec ton derrière ?

Oui

Non, mais quelle salope nous avons là ! Répète-nous ça un peu.

Oui, Humm…J’aime avoir du plaisir avec mon derrière.

Et pour ça, tu t’enfonces tous ces trucs dans le cul ? Tu es une vraie petite pute.

Oui.

Oui quoi ?

Oui, Mais non je ne suis pas une pute !

Si tu veux..on verra. Allez montre nous, tiens, celui-là avec la crinière.

Marie fait ce qu’il demande, le plug est très vite en place.

C’est bien ma chérie, et maintenant tu vas montrer à Fred comme tu sais bien faire le petit cheval.

Et Marie de faire le tour du salon a quatre pattes. Elle frémit et tortille du cul pour bien remuer la crinière. Je tourne négligemment la tablette pour que Marc puisse bien suivre tout le trajet. Elle est magnifique avec cette guêpière à se tortiller. Elle fait plusieurs tours. Georges se remet à bander et il s’expose sciemment devant la tablette. Il est maintenant au courant pour Marc qui est toujours bien visible sur l’écran.

D’ailleurs ce pervers de Marc s’est remis, lui aussi, à bander et sa petite bite commence à déformer la culotte transparente de femme qu’il a déjà souillée à plusieurs reprises.

Salope si ton petit Marc voyait l’effet que tu produis ! Mais tout ça ne vaut pas une vraie bite pas vrai ? Allez arrête la jument. Enlève-moi ça, viens trouver papy et mets-toi en positionécarte-le plus, pétasse !

Marie est maintenant agenouillée sur le tapis cul en l’air. Le temps d’orienter discrètement la tablette et Georges est sur elle et la lui a déjà mise dans le cul.

Vas-y, bouge-le ton gros cul blanc de pute. Puis : Oui, comme ça, une vraie petite videuse de couilles

Marie s’est redressée et a posé ses deux mains sur la table basse son visage bien en face de la tablette. L’image en vignette sur Skype est parfaite on voit Georges derrière elle lui bourrer le cul frénétiquement. Il lime comme un fou le beau cul de Marie et la fait visiblement reluire en gueulant.

Tiens, tiens de la bite, tiens.

II lui arrache un gémissement chaque fois qu’il doit toucher le fond de son cul. Et le voilà qui reprend de plus belle :

T’aimes ça la queue, hein ?

Humm

Tu vas t’en prendre plein le cul hein ?

Humm

Hein ?

Oui

Je vais remplir ton gros cul de salope avec mon sperme, hein ?

Humm.

Répond !

Oui.

Salope, dis-le.

Oui, tu vas me remplir le cul.

Il le sait, Marc que t’es une grosse pute ?

J’suis pas une pute.

Si, t’es une grosse pute, un vrai garage à bitesAlors il le sait ?

En l’entendant la harceler de questions à son sujet, sans cesser de lui bourrer le cul frénétiquement, Marc a sorti sa petite bite de la culotte. On le voit trifouiller dans son tiroir et sortir un petit gode. Il monte sur le bureau. La caméra, du coup, le filme en gros plan. On voit, sa bitte, ses couilles qui pendent et sous ses fesses, le gode posé sur le bureau.

Hein ? Alors, il le sait que t’aimes servir de vide-couilles ?

Non.

C’est pas la première fois hein ?

Humm.

A cette question, Marc s’assied doucement sur son gode et se l’enfonce totalement. On ne voit plus que ses petites couilles.

Hein ?

Non

Comment ça ?

Oui, au travail…Humm. De temps en temps…Oui, je me suis déjà faite enculer au bureauJe regrette mais

Le pauvre Marc ne se retient plus, il éjacule. D’abord sur son clavier puis le foutre vient tâcher sa caméra et brouille l’image.

Seuls ses cris résonnent :

Marie salope, salope, salope

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