L’Hôpital psychiatrique
Je vais vous raconter mon histoire, comment tout à déraper pour moi. Mais d’abord je me présente. Je m’appelle Clémence, j’ai 22 ans, je vis en région Parisienne.
L’été passé, j’étais sur les quais de Paris avec des amis en train de me détendre. On parlait de tout et de rien en buvant du vin. Au fur et à mesure que la nuit tombait, mes amis partaient. Si bien qu’un un moment on n’était plus que quatre, moi et trois autres gars, Medhi, Frank et Max. Le vin à peut-être aidé mais on est passé de conservation banale à une convention de plus en plus tournée vers le sexe.
Tout en rigolant, les garçons me demandent si j’avale quand je suce. Au début je suis gênée et je ne réponds pas. Un des garçons dit qu’il est certain que je ne suce même pas. Puis un autre gars répond que je suis certainement lesbienne, cette remarque me fait sortir de mon silence :
— non, je ne suis pas lesbienne imbéciles que vous êtes !
— Alors pourquoi tu ne répond pas ? dit Max
— Parce que ça ne vous regarde pas !
— Allé fait pas ta sainte ni touche ! On est entre nous tu peux nous le dire, on ne va pas te juger ! Lâche Frank
— Oui, j’ai déjà sucé, et oui j’ai déjà avalé ! Voilà, votre curiosité est satisfaite ?
— Je ne te crois pas, dit Medhi.
— Ouais moi non plus, dit Max. Prouve nous le !
— Quoi ? Vous prouvez quoi ?
— Ben que tu as déjà sucé ! Répond Frank.
— Ouais, poursuit Max, tu n’as qu’a sucé un de nous trois et on serra fixé.
— Sucé un de vous trois ?
— Ben ouais. C’est toi qui choisi. Medhi, Franck ou moi.
Le vin me fait tourner la tête. Je regarde autour de moi et il n’y a plus un chat sur les berges.
— Pourquoi pas. Et après vous me fichez la paix avec vos questions ?
— Promis, lâchent les gars en cur.
— Bon montrez moi vos bites.
Les garçons ne se font pas priés et baissent tous les trois leur short. Medhi a la plus grosse bite des trois. Elle est bien trop épaisse pour ma bouche. Max et Frank ont une taille plus convenable. Après quelque temps d’hésitation je choisis Max, parce qu’il est entièrement épilé.
— Ok, Max !
Max tout content, s’approche de moi. Je me mets à genoux et commence d’abord à la prendre dans ma main.
— Non, non, fit Frank derrière moi. Pas avec les mais, juste avec la bouche. Pas de triche !
— Mais
— Attendez j’ai une idée, fait Medhi. Il fouille dans son sac et sort un serflex en plastique. Mets tes mains dans ton dos, ordonna t-il.
Je m’exécute. Il passe alors le serflex autour de mes poignets et tire dessus. Si bien que mes mains sont collées l’un contre l’autre dans mon dos.
— Et voilà, sourit Medhi, comme ça tu ne peux plus utiliser tes main, juste ta bouche.
Je me remets à l’ouvrage. Je prends la bite de Max entre les lèvres, d’abord timidement, puis je lui mange le gland. J’avale ensuite sa bite. Max pousse des petits gémissements, il à l’air d’être content. Faire une fellation sans mains est quand même difficile. Mais bientôt Max prend ma tête avec ses mains et imprime des petits coups de bassin dans ma bouche. Au bout de 30 secondes, sa bite se mets à gonfler et j’ai un peu plus de mal à respirer. Mais je continue. Je bave un maximum, je sais que les garçons aiment ça. La bite de Max est tendue comme un arc et elle remplie toute ma bouche. Max gémit de plus en plus, il accélère la cadence, il me baise littéralement la bouche.
Derrière mon dos je sens quelque chose m’effleurer les mains.
— Branle moi, me souffle Medhi à l’oreille.
J’ignore pourquoi, mais j’obéis. Je prends son membre en érection entre mes mains menottées. Et franchement je ne me suis pas trompée, sa bite est énorme. Peut-être 18cm. Je fais des vas et vient, et prends bien soin de le décalotter à chaque fois. Je tourne mes doigts autour de son gland. Sa bite est douce, comme une peau de bébé et très chaude. Je l’imagine en moi et je commence à mouiller. J’en oublis presque Max qui me défonce la bouche à grand coup de reins. Je le sens tressaillir, et la seconde d’après il éjacule. Comme il me tient la tête et que Medhi est derrière mon dos, je ne peux pas reculer et je suis contrainte d’en avaler une bonne partie.
— Wouha, lâche Max. J’ai adoré. Tu es une bonne suceuse !
— Merci.
J’ai à peine le temps de finir d’avaler le sperme qu’il me restait dans la bouche que Franck me présente sa bite. Instinctivement je la mets dans ma bouche. Et je lui fais le même traitement qu’à Max.
Toute cette situation m’excite et je sens ma mouille sortir de ma chatte. J’essaie de contracter mes cuisses. Max à du comprendre car il s’agenouille à coté de moi, et passe ses mains sur mes cuisses. Comme je suis en jupe, il n’a aucunes barrières, et bientôt il arrive à mon string.
— Wouha les gars, elle est méga mouillée !
J’ai un peu honte et tente de fermer mes cuisses sur sa main, mais il m’en empêche.
— T’inquiète pas, dit-il, on va s’amuser. Tu vas aimer, crois moi.
Avec ses doigts, il triture le peu de tissu qui me couvre la chatte. Il passe ses doits entre ma fente toute mouillée, j’ai beaucoup de plaisir. Pis il passe deux doigts et les enfoncent dans mon intimité. Il sort lentement ses doigts. Au même moment Franck sort sa bite de ma bouche.
Je pense alors que tout est terminé. Mais pas du tout. Franck et Max échange un sourire coquin et de concert, me fourre. Max suit la cadence de Franck. Quand Franck sort sa bite de ma bouche, Max sort ses doigts de ma chatte. Puis quand Franck m’enfonce sa queue au fond de la gorge, Max m’enfonce ses doits dans le vagin. J’éprouve alors beaucoup de plaisir. Très vite, Max jouit et je sens un flot de sperme chaud se déverser dans ma bouche. J’avale du mieux que je peux tout en continuant à branler Medhi derrière mon dos.
— T’aimerai ça l’avoir dans ta chatte ? Me souffle Medhi à l’oreille
Je réponds en chuchotant, le souffle court.
— Oui
Ni une, ni deux, les garçons me mettent sur le dos, ils retirent mon string. Max et Franck m’attrapent tout deux une jambe et me les écartent bien pour laisser la place à Medhi. Ce dernier se place devant moi, la bite tendue comme un arc. Il fait nuit mais je distingue très bien son membre, bien veineux et son gland rosacé. Il place son gland à l’entrée de ma chatte et pousse doucement. Je me sens tiraillée.
— Aie, attention.
— Ne t’inquiète pas, répond Medhi.
Il continue de pousser mais j’ai mal.
— Non ta bite est trop grosse.
J’essaie de refermer les jambes mais Max et Franck me les tiennent fermement.
— Détends-toi dit Medhi
Ce que j’essaie de faire. J’ai vraiment envie qu’il me pénètre mais en même temps sa bite est trop grosse pour ma chatte.
Il continue de pousser lentement, ça tire un peu, je sens comme un déchirement et pousse un petit cri.
— ça y est le gland est rentré, dit-il.
Il pousse un peu plus, et sa queue lentement perce mon intimité. La douleur s’en va très rapidement. Bientôt je sens son membre remplir toute mon intimité. Il n’a pas rentré toute sa queue, en même temps il n’y a pas de place je crois. Je sens ma chatte épouser parfaitement son membre. Il commence à donner des vas et viens lent mais puissant. Je gémis. Il sait y faire le salaud. Personne ne m’a jamais pénétré comme ça. Les garçons avec qui j’ai couché me pénétrait rapidement et éjaculait rapidement aussi. On dirait que Medhi prend son temps. Il joue avec moi et j’aime ça. Pendant cinq minutes il me pénètre ainsi puis il accélère la cadence et se couche sur moi. Je suis ivre de plaisir. Il continue d’accélérer. Je sens la jouissance monter.
Tout à coups, on entend quelqu’un crier pas loin. Je suis à moitié dans les vapes alors je ne comprends pas vraiment la situation. Les garçons oui. Medhi sort d’un coup de ma chatte, Max et Franck me lâchent les jambes et tous les trois s’enfuient en courant, en me laissant seule coucher à terre.
La voix se rapproche suivit d’un faisceau de lumière qui m’éblouit. Je ne bouge pas.
— ça va mademoiselle ?
La voix se rapproche.
— Qu’est ce que ? dit la voie. Est ce que vous avez été victime d’agression ?
— Hein ? Non non je
Et là je le vois, c’est un policier, avec une torche dans une main et une matraque dans l’autre. Je prends alors conscience de ma position, la chatte béante face à lui qui ne rate pas une miette du tableau.
— Finis moi, dis-je.
Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça. Peut-être parce que je suis frustrée que Medhi m’est laissé en plan comme ça à deux doigts de l’orgasme.
— Quoi ? Qu’est ce que vous avez dit mademoiselle ?
— Enfonce moi ta matraque.
Le policier ne semble pas comprendre. Je me fais plus insistante
— Ta matraque là, met la moi dans la chatte, dépêche toi !
Le policier jette un il autour de nous. Personne. Il se mets à genoux et m’enfonce sa matraque d’un ou deux centimètres dans la chatte.
— Plus loin !
Il s’exécute. Il me gode la chatte avec sa matraque. Le plaisir reprend le dessus. Je tortille du bassin. J’ai envi de sa queue.
— Baise moi !
— Hein ? Non !
— Tes une tapette ou quoi ?
— Et dis donc, respectez moi, je suis un policier.
— Ah oui, alors vas y baise moi. Mets moi ta queue au fond de ma chatte.
Il ne se fait pas prier et sort sa queue. Il bande ce salaud. Il me fourre sa queue dans ma minette et me démonte. Mais je n’arrive pas à partir.
— Attends, attends, dis-je. Je vais me retourner.
Il se retire. Je me mets en levrette, toujours les mains dans le dos. Il me laboure à nouveau.
— Ta matraque !
— Quoi ? Dit-il en s’arrêtant.
— Ne t’arrête pas !
— Excuse moi, dis t-il en reprenant.
— Ta matraque mets la moi dans le cul.
— Euh tu es sure ?
— Oui vas y !
Il crache sur ma rondelle. Je plis mon bassin de sorte de lui offrir toute ma croupe. Je sens quelque chose de dur et froid forcer mon anus. Il résiste à peine. Je sens sa queue et sa matraque me remplir entièrement. La sensation est incomparable. Je m’étais déjà godé l’anus mais toujours seule. Si il y a bien un plaisir que je recommande à toutes les femmes c’est bien celui ci. Se sentir tiraillé, entièrement rempli.
Il accélère la cadence. Je sens ses couilles taper de toutes ses forces contre ma chatte. Je jouis comme jamais je n’ai jouis. Lui continue de me labourer pendant une minute à peine et éjacule en moi. Il se retire et récupère sa matraque. Je sens son sperme sortir de mon trou.
Je suis sur un petit nuage.
— allé debout, me dit-il en tirant par le serflex pour m’aider à me relever.
Il me passe les menottes, des vrais cette fois, autour des poignées. Je ne comprends pas.
— Mais qu’est ce que tu fais ?
— Hé ho, je ne t’ai pas autorisé à me tutoyer. Allé avance.
— Mais ou on va ?
— Tu la fermes, dit-il, en m’attrapant le visage. On va au poste.
— Mais pourquoi ?
Il me traine et j’avance, contrainte. Je sens son sperme dégouliner entre mes cuisses. Je n’ai même pas mon string. Je tente de le chercher des yeux, mais il se fait plus pressant.
— Allé monte la dedans.
Il ouvre la porte d’une voiture de police, la sienne je suppose. Je m’assois à l’arrière. Il roule à peine trois minutes et se gare devant le commissariat.
Mince, ce n’est pas une blague il m’emmène vraiment au commissariat. Je ne comprends pas ce qu’il se passe. Et surtout je commence à prendre peur.
A l’intérieur, d’autres policiers sont présents. Au début je suis un peu rassuré, jusqu’à ce que je me rende compte de ma tenue et des traces de spermes bien visibles sur mes cuisses nues.
Il me récite mes droits et me dit que tout ce que je dis pourra être retenu contre moi. J’ai l’impression d’être dans un film. Puis il prend des photos de moi. J’ai honte. Et enfin me mets dans une cellule seule, qui pue la pisse. Je n’ai aucune notion du temps. J’ai envi de faire pipi mais personne ne vient malgré mes appels insistant. A un moment donné ne pouvant plus me retenir je pisse à terre dans un coin. Au moins sans string c’est plus facile. J’ai honte de moi.
La nuit passe et je finis par m’endormir dans un coin de la cellule. Je me réveille en sursaut quand quelqu’un ouvre le verrou de la cellule.
— Debout mademoiselle, dis un policier, grand et moustachu. Venez avec moi.
Je m’exécute et le suis. Nous entrons dans un bureau. Il ferme la porte derrière nous, et me désigne un siège.
— Bien alors mademoiselle Clémence XXX, donc vous avez été arrêté hier soir pour délit de racolage, rapports sexuels sur la voie publique, manquement envers un policier et refus d’obtempérer. C’estpas très bon pour vous tout ça mademoiselle.
Je suis sur le cul. Il doit y avoir une erreur. Je suis bouche bée.
— Quel âge vous avez ? 22 ans ? Vous êtes encore jeune, vous pouvez vous en sortir.
Le téléphone sonne. Il décroche.
— hum hum, oui bien sur. Merci monsieur le juge.
Puis il raccroche.
— Bon vous avez de la chance, le juge est clément aujourd’hui. Il vous propose une évaluation psychiatrique et abandonne les charges contre toi.
— Une évaluation psychiatrique ? ça n’a pas de sens !
— Ecoute ma grande, compte tenu des charges, c’est un beau cadeau qu’il te fait là. C’est une chance pour toi, saisie là.
— Qu’est ce qu’il se passe si je refuse ?
— Tu risques deux ans de prison ferme et 15 000 d’amande. Et attends toi à ce que ta tête apparaisse dans les journaux. Qu’est ce que vont penser tes parents ?
Je déglutis péniblement.
— Non s’il vous plait ne leur dites rien.
— Alors prends la bonne décision.
— Combien de temps dure l’évaluation psychiatrique ?
— 3 jours.
— Et après je suis libre et on oublie tout ça ?
— Libre comme l’air.
— Ok
— Très bien, signez là s’il vous plait.
— C’est en Bretagne ?
— Ne vous inquiétez pas, ils vont venir vous cherchez dans la journée.
Et voilà je signe.
*
Plus tard, une voiture avec chauffeur vient effectivement me chercher avec deux infirmiers. Le policier retire les menottes dans mon dos ainsi que le serflex et franchement ça fait du bien. Les infirmiers me demandent de tendre les bras, ce que je fais, et m’enfilent une camisole de force.
— Mais
— C’est le protocole mademoiselle, pour le voyage, dis l’un des infirmiers.
Un infirmier soulève ma jupe pendant que l’autre passe la sangle entre mes jambes. Evidemment je n’ai toujours pas de culotte. Et je crois que l’infirmier en joue car il serre si fort la corde qu’elle me rentre entre la raie du cul et vient titiller mon clitoris. La sensation n’est pas désagréable.
Dans la voiture je suis assise à l’arrière au milieu, un infirmier de chaque coté de moi. Le voyage dure cinq heures. Heureusement que j’ai pu faire pipi avant de partir.
Après trente minutes à rouler sur des petits chemins de terre, nous arrivons devant un château protégé par un grand portail en fer forgé. Quelqu’un nous ouvre et la voiture pénètre dans la cour. Les infirmiers me sortent de la voiture et me conduise à l’intérieur. A cause de la sangle de la camisole, ma robe est relevé, si bien que tout le monde peut voir mon intimité. A l’intérieur je suis conduis dans une pièce en brique peinture coquille d’uf, avec une large vitre sans teint. Au milieu il y a une table, deux chaises autour et dans un coin au fond, une chaise d’auscultation gynécologique. Sur un mur, il y a un rideau qui probablement donne accès à une autre pièce.
— Reste ici déclare un infirmier.
Puis il ferme la porte et me laisse seule. Tout cela est bien étrange. J’entends des bruits derrière la porte. Je pense que quelqu’un va venir, mais non. Les minutes défilent je suis toujours seule. Je décide de m’asseoir. La sangle entre mes jambes a endolori mon clitoris. J’ai l’impression qu’il est tout meurtri. J’écarte les jambes sur la chaise et comment à bouger mon bassin pour frotter d’avantage la sangle contre mon clito. Je commence à éprouver du plaisir. Je suis rassurée.
La porte s’ouvre. J’arrête tout mouvement et me relève d’un bond. Les deux infirmiers rentrent accompagner d’un homme en blouse blanche.
— Bonjour mademoiselle, je suis le docteur Greber, en charge de votre évaluation psychiatrique. Le voyage n’a pas été trop dur ?
— J’ai envi d’aller aux toilettes.
— Oui, chaque chose en son temps, vous allez bientôt pouvoir y aller. Mais avant je voudrai que vous signez ces papiers s’il vous plait, qui explique que vous êtes là de votre plein gré et acceptez tous les traitements thérapeutiques jugés nécessaire par l’équipe médicale pour votre évaluation psychiatrique.
Il pose la feuille sur le bureau devant moi. Un des infirmiers s’approche pour me retirer ma camisole. Il est obligé de tirer plusieurs fois sur la sangle entre mes cuisses, elle est si serrée qu’on dirait que ma chatte l’a mangé. D’ailleurs, je peux voir mes petites lèves légèrement violacées dépassées de chaque coté de la sangle.
Une fois libre, je commence à lire le document.
— Test réactionnel des troubles psychiques sexuelles par une thérapie comportementaliste fonctionnelle et innovante. Cas 15. Qu’est ce que ça veut dire ?
— C’est une nouvelle méthode de traitement qui à été mise au point. Nous la testons.
— Mais je ne comprends pas je suis là juste pour une évaluation psychiatrique.
— Oui en effet. Et c’est exactement ce que nous allons faire. Ne vous inquiétez pas. Ce document est simplement pour vous signifier que vous faite partie d’un panel d’étude. Ça ne change en rien votre évaluation.
Je continue à lire.
— Le patient, en signant, autorise l’équipe médicale à procéder sans s’y opposer à tous les traitements sans exceptions. Et ce de manière consentante.
— Mais c’est abusif, je ne vais pas signer ça ! Alors quoi, vous faites ce que vous voulez et je n’ai pas mon mot à dire, c’est ça.
Le médecin se rapprocha.
— Mademoiselle, ce n’est pas un jeu. Vous devez comprendre que vous n’avez pas trente six milles choix. L’évaluation psychiatrique requière des traitements et vous devez être consciente de cela et les accepter. Sinon vous n’avez plus rien à faire ici et je vous remets aux mains de la justice.
— Est ce que je peux appeler quelqu’un ? En prison on à le droit à un appel.
Le médecin sourit.
— Voyons, vous n’êtes pas en prison mademoiselle, vous allez voir, c’est bien plus agréable que la prison ici. Et en plus la nourriture est bien meilleure. Après les 72 heures avec nous, la commission se réunira et vous pourrez passer autant d’appel que vous le voulez. Signez.
Je m’exécute.
— Bien, derrière ce rideau, il y a des toilettes ainsi qu’une douche. Vous avez l’air d’en avoir bien besoin. Nous allons vous laissez seule pendant quinze minutes. Après quoi nous commencerons par des formulaires à remplir, rien de bien méchant, puis vous serez conduite à votre chambre ou un repas vous sera servi. Vous devez mourir de faim.
J’acquiesce de la tête. Et tout les trois sortent de la pièce, me laissant à nouveau seule.
L’eau chaude sur ma peau est un régal. Mon clitoris me fait un peu souffrir, je l’examine, il est très gonflé et violacé. Plus que mes grandes lèvres. Je l’effleure. C’est douloureux. Je recommence, la douleur est toujours là mais je sens comme des petites vibrations. J’apprécie. Je me branle le clito de plus en plus fort. En alternant tape et roulement entre mes doigts. Le plaisir monte et j’explose, là sous la douche. Encore toute retournée, je sors. Problème il n’y a pas de serviette et je ne peux vraiment pas remettre mes habits. Ils sentent l’urine et le foutre à cent mètre. J’attends donc. Heureusement que la pièce est surchauffée.
Au bout d’une dizaine de minutes, la porte s’ouvre à nouveau. Le docteur Greber entre suivit d’une infirmière. Nue comme un vers, je me cache derrière le rideau.
L’infirmière me tend une serviette mais je suis quasiment sèche. Je me couvre avec.
— Bien, Clémence, voici l’infirmière en chef, Elisabeth. Venez vous asseoir sur la chaise ici que nous commencions.
Il désigna la chaise gynécologique. Je m’exécute.
— Parfait, allongez vous et mettez vos pieds dans les étriers.
— Pourquoi ?
– Pour pratiquez l’examen voyons.
Et l’infirmière me saisit les jambes, je m’allonge alors. Les pieds dans les étriers, l’infirmière passe une sangle autour si bien que je ne peux plus les bouger. Ma pauvre serviette ne cache plus rien. J’ai les orifices totalement exposés.
— Bien je vais vous posez une courte série de question auxquelles il vous faudra répondre avec le plus de sincérité possible. Ok
— Oui.
Il saisit un formulaire.
— Alors, quand avez vous eu vos règles pour la première fois ?
— 14 ans
— l’âge de votre premier rapport sexuel ?
— 15 ans
— Prenez vous la pilule ?
— Oui
— Quelle marque ?
— Jasmine
— Parfais, vous allez continuer à la prendre ici.
— Avez vous déjà contracté une MST ? Sida ?
— Non
— L’infirmière va vous faire une prise de sang pour vérifier tout ça.
— Regardez vous de la pornographie ?
— Oui
— A quelle fréquence ?
— Deux fois par semaine environ.
— Combien de rapport sexuels avez vous par semaine ?
— Trois
— Avec votre copain ou d’autre partenaire ?
— Je n’ai pas de copain.
— Avec le même partenaire ou différents dans ce cas.
— Différents.
— Avez vous déjà eu des pratiques sexuelles avec plusieurs partenaires en même temps ?
— Oui
— Combien ?
— Trois.- Des hommes ?
— Oui.
— Quel type ? Européen, Africain ?
— Européen et oriental.
— Avez vous déjà pratiqué la fellation ?
— Oui.
— Avez vous déjà avalé du sperme.
— Oui.
— Avez vous aimé ?
J’hésite à répondre. Je ne veux pas passer pour une pute.
— Ce n’est pas un jugement mademoiselle.
— Oui.
— Avez vous déjà pratiqué la sodomie ?
— Non
— Etes vous réfractaire à une pratique sexuelle anale ?
— Non
— Avez vous déjà pratiqué une double pénétration vaginale ?
— Non
— Etes vous réfractaire à la double pénétration vaginale ?
— Non
— Avez vous déjà eu une éjaculation interne ?
— Oui
— Par un ou plusieurs partenaires ?
— Un
— Avez vous ou as t-on utilisé sur vous avec votre consentement des objets sexuels ?
— Oui
— Développez s’il vous plait.
— J’ai déjà utilisé des godes, et on m’a déjà godé.
— Quel orifice s’il vous plait ?
— Vagin et anus. Ah et une matraque aussi. On m’a déjà godé l’anus avec une matraque.
— Avez vous eu du plaisir ?
— Oui
— Seriez vous prête à recommencer ?
— Euh je ne sais pas.
— Répondez à la question s’il vous plait.
— Oui
— Avez vous déjà fait l’amour dans un lieu public.
— Oui
— Avez vous eu du plaisir
— Oui
— Avez vous déjà porté des boules de geisha ?
— Non
— Avez vous déjà eu recours à des pratiques de types bondages ?
— Non
— Avez vous déjà utilisé une machine à baiser, communément appelé fucking machine ?
— Non
— Avez vous eu toutes vos relations sexuelles de manière consentante ?
— Oui
— Bien nous avons finit. Merci Clémence. Elisabeth mettez les sangles, nous allons commencez.
L’infirmière ouvre ma serviette si bien que je suis nue, puis elle passe une sangle au niveau de mes hanches, l’autre au niveau de mes épaules. Je ne peux plus bouger. Je suis fixée au fauteuil gynécologique, les jambes écartées, l’intimité offerte.
— Pourquoi m’attachez ?
— Nous allons effectuez un examen. J’ai besoin que vous soyez parfaitement immobile.
L’infirmière sort. Et reviens quelques secondes après avec un chariot. J’ai du mal à voir ce qu’il y a dessus. Puis elle ressort et rentre cette fois ci avec un chariot sur lequel repose une télé. Une vieille télé.
— Bon, dis le médecin en ce frottant les mains, voilà ce que nous allons faire. Nous allons prendre quelques mesures de vos orifices, rien de bien méchant. Je vais utiliser différent sextoys et observer votre réaction. L’infirmière va vous mettre une vidéo pornographique pour vous aider à vous mettre en situation. Allé, détendez-vous.
— Ok
— Hum je vois que votre clitoris à déjà bien servi dis donc. Il doit être un peu douloureux.
— Oui.
Je tourne la tête pour voir la vidéo. C’est un gangbang, une fille avec 7 hommes. Tous très bien montés.
— Est ce que vous aimeriez être à la place de la fille ? demande le médecin.
— Oui, peut-être.
La fille reçoit sa première pénétration. Je me détends de plus en plus et m’imagine être à sa place. Je commence à mouiller.
— 45 secondes, notez Elisabeth.
Le médecin saisit quelque chose sur la table et je sens quelque chose s’immiscé dans mon intimité. Ça rentre comme dans du beure. Le médecin me gode la chatte. Je commence à apprécier et tente de bouger mon bassin mais je suis solidement attachée.
— Non ne bougez pas, s’il vous plait.
Au bout de quelques minutes à me goder, j’ai envie de plus, beaucoup plus. Le médecin à du le sentir parce qu’il me retire le gode d’un coup pour une remettre un autre, plus gros cette fois-ci. Je continue de regarder la vidéo. La fille se fait baiser par une grosse bite black. Je sens la chaleur monter en moi. Je m’apprête à jouir. A nouveau le médecin retire le gode et prend une pause. J’ai envie de hurler. J’étais à deux doigts de partir.
— 6 min, notez Elisabeth. Voyons à présent votre anus.
Le médecin attrape ce qui semble être un tube de lubrifiant et m’en met sur ma rondelle. Puis je sens une pression, le gode doit être petit car ça passe aisément. Il change alors de taille, je grimace.
— Aie
— Chut chut Clémence. Détendez-vous.
Il continue de me goder, et au bout d’un certains temps je suis habitué à la taille et commence à nouveau à me laisser envahir par le plaisir. Mon souffle se fait de plus en plus court. Le médecin le sent, ce salaud, et met fin au plaisir.
— 13 min, notez Elisabeth. Bien, Clémence, tout ça n’est pas trop mal. Nous avons finit pour l’instant.
Ils me libèrent de mes sangles et je peux me mettre debout. J’ai un peu les jambes dans le coton.
— Tenez, vous allez enfillez ceci.
— Qu’est ce que c’est ?
— C’est une culotte avec un gode vaginal et anal intégré. Vous allez devoir la porter quelques heures. Le gode anal est gonflable. Pour l’instant nous le mettons au plus petit mais ce n’est pas exclu qu’il soit gonflé plus tard dans la journée.
— Mais pour quoi faire ? Je ne veux pas mettre ça !
— Clémence, ça fait parti du protocole d’évaluation, vous avez signé.
— Rien à foutre, j’en ai marre de vos bizarreries. Je ne mettrai pas ça. Un point final.
— Ecoutez, je vais vous laisser le choix. Soit vous le mettez de votre plein gré comme une grande, soit je demande aux infirmiers de venir nous aider et croyez moi ce sera nettement moins agréable.
Je me sens coincée. Pas le choix d’accepter. Après tout ce n’est peut être pas si terrible.
— Ok
— Bien, Elisabeth va vous aider à vous habiller. Je vous retrouve dans 10 minutes dans votre chambre.
— Passez les jambes dans la culotte. Je vais vous placez les godes.
Ce que je fais.
— Voilà, écartez un peu les jambes.
L’infirmière place d’abord le gode dans ma chatte, je dirai qu’il fait 10cm de long sur 3cm de large. Je suis tellement mouillée que ça glisse tout seul. Puis l’infirmière place le gode anal sur ma rondelle, puis elle appuie. Heureusement qu’il est lubrifié. J’ai déjà mal, il est un peu plus grand que celui dans ma chatte, peut être 13 cm par contre il est beaucoup moins large, et heureusement, sinon il ne rentrerai pas. Je sens chaque centimètres s’enfoncer dans mon anus. Une fois les deux godes bien enfoncé, l’infirmière remonte la culotte aussi haut qu’elle peu. C’est une culotte en latex, ce n’est pas très confortable. Je prie pour ne pas la garder trop longtemps.
— Tendez-les bras à présent
Je me retourne et vois l’infirmière avec la même camisole de force qu’on m’a mise pour venir ici.
— Mais pourquoi faire ?
— Pour ne pas que vous touchiez à votre culotte.
— Je n’y toucherai pas promis, mais par pitié ne me remettez pas ça.
— Tendez les bras.
J’abandonne et tends les bras. Elle me met cette fichue camisole de force et passe la sangle à nouveau entre mes jambes et la serre de tout son possible. Je sursaute. Les deux godes sont fermement tenus en moi. Mon clito va encore être plus meurtrit.
— Et comment je fais si je veux aller au toilette ?
— Il y a un petit trou dans la culotte. Pour pourrez uriner normalement.
— Et si je veux faire caca ?
— Le médecin va vous l’expliquez. Venez avec moi.
— Comme ça ? Je ne peux pas avoir un pantalon par dessus ?
— Je crains que non. Voilà des chaussons pour vous.
Je la suis. Nous traversons les couloirs de l’hôpital.
— Voici votre chambre
La chambre en question n’est rien d’autre qu’une pièce carrée avec un lit simple et un toilette dans un coin, bonjour l’intimité.
— Ah vous voilà Clémence. Je vois que vous avez la culotte. Est ce confortable ?
— Non pas trop.
— Vous allez vite vous y habituez. Venez je vais gonfler le gode anal.
Il appuie sur la petite poire et je sens mes entrailles s’élargir.
— Aie .
— Mais non voyons. Respirez. Bon, vous devez mourir de faim.
— Oui !
— Comme vous l’a expliqué l’infirmière, vous pouvez directement uriner avec votre culotte sans l’enlever. Ça risque de tacher la sangle de la camisole mais nous vous la changerons, ne vous inquiétez pas. Pour le reste, nous avons besoin que vous n’ayez pas de matières fécales dans les intestins, aussi durant les 3 prochains jours vous ne pouvez pas manger solide.
— Juste du liquide ?
— Non, plutôt de la consistance du yaourt. Donc lorsque vous aurez faim, il suffit de vous mettre ici, face à ce mur, voyez ici, il y a un trou, qui peu être ouvert que depuis l’intérieur grâce au détecteur de mouvement ici. Approchez-vous.
Je m’approche. Le trou s’ouvre.
— Voilà, mettez-vous à genoux en face du trou.
Ce que je fais. Et là dans le trou apparaît une bite flasque.
— Mais ?
— Allez-y ne soyez pas timide, mettez la dans votre bouche.
J’hésite un peu.
— Ce serra votre seul repas Clémence, ne le laissez pas filler.
J’ouvre en grand la bouche et gobe la bite.
— Bien allez y, pompez là.
Ce que je fais, je m’active comme une chienne enragée sur cette bite. Très vite c’est la pleine érection. C’est assez gratifiant de sucer une bite flasque et qu’elle grossisse au fond de ma gorge. Je pompe si vigoureusement, que très vite le gars éjacule.
— Avalez tout.
Ce que je fais.
— Et voilà votre premier repas. Avez vous encore faim ?
Je fais oui de la tête, quelques goutes de sperme au coin de la bouche.
— Et ben à vous de jouer.
Une nouvelle bite se présente. Sans réfléchir je la mets immédiatement dans ma bouche.
— Si vous avez soif, il faudra frapper à la porte, qu’un infirmier vienne. Je vous laisse.
Il me faudra une dizaine de bites avant d’être repu. En faite, étonnamment le sperme remplit le ventre. Bien sur, je suis chanceuse car certaines bites donnent beaucoup plus de sperme que d’autre. Par contre, j’ai remarqué qu’elles étaient plutôt petites.
Le reste de la journée passe très lentement. En fait, je n’ai aucune idée du temps qui s’écoule. J’essaie de me divertir comme je peux, je compte le nombre d’imperfections sur les murs. Le nombre de néons au plafond. C’est l’ennuie total.
A un moment la soif vient, je cogne donc à la porte. L’infirmier ouvre la porte.
— Excusez-moi mais j’ai soif.
Sans dire un mot il m’amène un verre d’eau et la porte à mes lèvres. Ça me fait un bien fou. Je crois que le sperme dessèche. La porte se referme et je suis à nouveau seule. Quelques temps plus tard j’ai envie d’uriner. Je me mets sur les toilettes. J’ai complétement oublié la culotte avec le gode dans ma chatte et celui dans mon cul. En poussant pour faire pipi, ma chatte semble vouloir expulser les godes mais la culotte les maintient fermement dans mes orifices. La sensation n’est pas désagréable. Au contraire, je commence à jouer avec. J’alterne contraction et poussée. Les sensations sont là mais très minimes. Je m’assois sur le lit, je sens encore plus les godes contre mes chairs. J’ai envie de plus. Je fais le tour de la pièce et réfléchis.
Bingo ! La barre du lit métallique. Je monte dessus à califourchon. J’écrase de tout mon poids ma chatte sur la barre, la sensation est incroyable. Plus j’appuie fort, plus les godes s’enfoncent, lorsque je relâche, les godes sont sur le point de sortir mais la culotte les tiens en place. J’adore. Je m’active comme une folle sur la barre. Le lit grince de plus en plus et laisse écharper de bruyants bruits de métal. J’explose de jouissance, et me laisse tomber sur le lit. Et ben !
Plus tard, à nouveau je suce des bites. De toute façon il n’y a rien d’autre à faire. Autant passer le temps agréablement. A un moment c’est une bite noire qui se présente. Je suis très étonnée, je laisse même échapper un petit cri. C’est une belle bête. Déjà flasque la bite doit faire 12/13 cm, et une bonne circonférence. Elle est chaude et douce, je la frotte contre mon visage. J’ai envie de la toucher mais avec la camisole je ne peux pas. Je finis par la mettre dans ma bouche. Incroyable, elle la remplit déjà. Contrairement aux autres bites, cette fois ci je prends mon temps, je la suce très lentement. Je fais durer le plaisir. Il s’écoule peut être 15 ou 20 minutes avant que le flot de sperme me remplisse la bouche. J’essaie de ne pas en perdre une goute. Une nouvelle bite se présente, même dimension que la précédente. Je lui réserve le même traitement. Lentement, très lentement et avec beaucoup d’application je m’amuse à frustrer ces bites. Trop appliqué dans ma noble tache je perds le compte.
Je me demande d’ou viennent toutes ces bites. Un truc m’intrigue aussi, à mesure que les bites défilent, elles sont de plus en plus longues et épaisses. Il n’y a quasiment plus que des bites noires.
Finalement je finis par tomber de sommeil et me laisse tomber sur le lit, complètement repus.
Je fais plein de rêves bizarres. Mais à mon réveil je suis toujours dans la même pièce, toujours dans cette camisole. Impossible de dire l’heure qu’il est. Encore ensommeillée je me présente devant le petit trou qui est devenu mon meilleur passe temps. A ma grande surprise, une bite se présente. Elle est gigantesque. Et encore même ce mot n’est pas assez pour la décrire. Même en écartant ma bouche à son maximum, seul le gland rentre, je le suce comme une sucette, et très vite il vient. Ce qui me convient parce que franchement la taille est tellement démesuré que j’en ai mal à la bouche. Je décide de m’arrêter la.
Je m’assois sur mon lit. On dirait que les godes ne font plus qu’un avec mon intimité. Je ne les sens plus vraiment. Finalement le médecin avait raison, je m’y suis habitué.
En parlant du médecin, justement la porte s’ouvre, et il apparaît.
— Bonjour Clémence, comment s’est passée votre nuit ?
— Qu’elle heure est-il ?
— Humenviron 3h.
— Du matin ?
— Non de l’après midi.
— Mais ca fait combien de temps que je suis ici ?
— 24h
Je suis abasourdie. Je n’aurai jamais pensé. 12h ok mais pas 24h.
— Et oui, dit le médecin, le temps passe vite quand on s’amuse, n’est ce pas. Venez avec moi, à présent, vous avez bien mérité une douche.
— Et voici.
Il me désigne une pièce carrée avec un jet de douche, semblable aux douches des vestiaires de sports.
— Un infirmier va venir vous retirer la camisole, par contre, vous devez garder la culotte encore un peu. C’est l’infirmier qui va vous laver et vous l’enlèvera. Vous avez interdiction de le faire. Compris ?
J’hoche la tête.
L’infirmier, le même qui est venu me chercher au poste de police la veille, sans dire un mot me libère de ma camisole. Ça me fait du bien. J’ai envie de toucher ma peau quelque peu indolore, mais l’infirmier fait non de la tête. Je me retiens. Il me lave contentieusement. Les seins, les aisselles, tout y passe. Pour me laver l’entre jambe, il me fit signe avec ses mains d’écarter les jambes. Puis il me passe du savon et de l’eau sur le latex. Pas sur que ça lave grand chose. Le salaud appuie sur les godes, je les sens à nouveau en moi. Il gonfle même le gode anal puis donne des petites tapes dessus. Je pousse de petits gémissements. Je tourne la tête pour le regarder, il a un petit sourire au coin des lèvres.
Puis il commence à tirer sur le haut de la culotte autour de ma taille. ça y est, il va enfin me l’enlever. Doucement il l’a retire. Les deux godes sortent quasiment en même temps en m’arrachant une petite grimace. La sensation n’est pas du tout agréable. Je ne suis plus vraiment mouillée. Une fois la culotte complétement retiré, il passe du savon sur mon intimité. Il est très doux. Pourtant mon clitoris est quand même douloureux. Il est rouge vif et pas mal gonflé. Il me tend alors une serviette que je noue autour de ma poitrine.
— Venez
C’est la première fois que j’entends sa voix. Seul son collègue m’avait parlé au commissariat pour mettre la camisole. Et durant le voyage ils avaient été bien silencieux.
Nous traversons une bonne partie du château. Puis nous prenons les escaliers en pierres, pour descendre à ce que je suppose être le sous sol. Le médecin nous y attend, souriant.
— Bien Clémence, nous voici dans la deuxième partie du protocole de l’évaluation. Dans la pièce à coté, il y a une croix de saint André en bois, ou nous allons vous y attacher. Des hommes, les hommes que à qui vous avez effectué une fellation hier, seront également présents. Ils vont vous pénétrer tour à tour. Vous souvenez vous du nombre de fellation que vous avez effectuez ?
— Non plus vraiment20 peut être ?
— 28 en fait. Donc ce sera 28 pénétrations pour vous. Comme votre évaluation psychiatrique est regroupée avec une autre étude qui porte sur la durée de l’éjaculation de l’homme, nous avons besoin que la pénétration de chaque sujet dure approximativement le même temps qu’a durée la fellation hier. Vous me suivez ?
Je fais non de la tête.
— Bien par exemple, dit-il en examinant des documents, la première fellation que vous avez faites à durée 3 minutes, donc la pénétration doit durée aux alentours de 3 minutes. Si on suit cette logique, l’avant dernière fellation que vous avez faites à durée, 24 minutes, donc la pénétration doit durée
— 24 minutes
— Voilà vous avez compris. L’étude porte sur la pénétration du vagin seulement. Nous allons donc vous mettre un petit gode dans l’anus ainsi qu’un bâillon dans la bouche. Ceci afin que personne ne soit tenter de vous la mettre ailleurs que dans le vagin. Nous allons également vous mettre un bandeau sur les yeux. Bien que la pièce soit peu illuminée, la confidentialité de cette étude est primordiale. Donc vous serez attachée pour ne pas bouger. Les hommes vont vous pénétrer dans l’ordre ou vous les avez sucé. Ils ont le droit de vous touchez lors de la pénétration. La pénétration se fait sans préservatif, et ils ont le droit d’éjaculer en vous ou sur vous, à leur convenance. Par contre ils ne peuvent pas vous parler. L’infirmier serra présent pour y veiller.
— Des questions ?
— C’est 28 pénétrations ?
— Oui.
— Combien de temps en tout ?
— Humenviron 3h20.
Il me regarde en souriant.
— Vous êtes prêtes ?
J’hoche la tête.
— Laissez votre serviette ici, et venez.
On entre dans une petite pièce sombre et chaude. J’ai un peu de mal à voir, mais très vite mes yeux se font à l’obscurité. Effectivement au milieu il y a une crois de Saint André surélevé du sol d’un mètre peut être.
— Levez une jambe
L’infirmier fait glisser sur les cuisses une sangle avec un gode. Je suppose que c’est pour mon anus. A mi cuisse il me demande de le tenir, tandis qu’il enduit le gode de vaseline. Puis il continue son ascension. Je me penche un peu pour faciliter le passage. Ensuite il ressert les sangles. En fait ça ressemble un peu à la culotte double gode qui j’ai du porter les 24 dernières heures sauf que la ma chatte est atteignable. D’ailleurs, les sangles passant autour de mes lèvres, celle ci commencent un peu à gonfler. Je sens à peine le gode dans mon cul. Pour être honnête je suis un peu déçue.
Je continue de balayer la pièce du regard mais je n’ai pas le temps d’en voir plus