Milieu des années soixante, je fus convoqué pour mon service national. Comme j’en avais la possibilité je demandais une affectation dans la coopération pour enseigner dans un des pays anciennement colonisés. Je choisis dans l’ordre : le Gabon, le Cameroun et Madagascar. Je fus envoyé à Madagascar et affecté dans une petite ville de la côte Nord-Est.

Pour ceux qui ne le savent pas, Madagascar est dans l’hémisphère sud, entre l’équateur et le tropique du Cancer. Il y fait donc chaud toute l’année, et il y a deux saisons, la saison pluvieuse et la saison des pluies, du moins dans la zone géographique où je résidais.

Le nouvel an arriva. Bien sûr en tant que ’pauvre’ militaire du contingent, je fus invité sans frais au réveillon du cercle Franco-Malgache.

J’étais placé à une table de jeunes pour la plupart plus ou moins dans mon cas à savoir provisoirement sans famille.

Il y avait surtout une majorité de garçons, les coopérantes n’existant pas et pour cause. De jeunes filles du pays furent donc placées à notre table pour respecter les bons usages qui veulent qu’à une table il y ait alternance de sexe à chaque place.

Je trouvais ma place entre la femme d’un coopérant, et une jeune fille de la ville qui se présenta à moi comme étant Anne-Marie.

Au cours du repas elle m’expliqua qu’elle était au lycée à Tananarive, ce pourquoi je ne l’avais encore jamais vue en ville.

Nous parlions de tout et de rien, entre les plats je reculais ma chaise pour m’asseoir de biais pour la regarder plus facilement alors que nous discutions.

Elle était assez mignonne, mais quand même pas d’une beauté à se retourner à son passage. Sa peau avait un grain très fin, chose courante dans les familles originaires de la Réunion. Son cou était gracile, et posé sur de larges épaules. Sa robe en tissu léger laissait entrevoir qu’elle avait de beaux seins mais pas de soutien-gorge. Sa taille était étonnamment fine et choquait presque comparée à sa carrure. Bien qu’elle les croisa souvent, la longueur de sa robe ne me laissait pas juger de ses jambes.

Juste avant de servir le dessert, l’orchestre se mit à jouer, invitant les gens à danser. Notre table se vida de ses occupants, nous restions seuls à continuer notre discussion. Je lui demandai si elle voulait danser, elle me répondit qu’elle n’y tenait pas particulièrement. La première danse finie, ce fut le tour d’un slow. Cette fois je l’invitai à danser. Elle refusa. Comme je lui demandais pourquoi elle répondit : ’J’ai horreur des hommes qui se collent à moi en dansant pour me faire sentir comme ils bandent.’ Cette assertion crue venant d’elle me surpris. Je ne m’attendais pas à un tel vocabulaire…

Soudain elle prit nos verres, les remplit et se leva en disant, viens sur la varangue, on étouffe ici. Il faut savoir que le 31 décembre là bas il fait aussi chaud qu’en France fin juillet et que le temps n’est pas trop pourri. La véranda donnait sur la plage, et un délicieux vent frais soufflait du large. Le ciel était étoilé et seuls quelques nuages passaient de temps en temps pour masquer le clair de lune.

Nous discutions des études en général, et de l’intérêt de telle et telles matières scolaires. ’Tu bandes toi quand tu danse?’ Demanda-t-elle abruptement. ’En général non, quand je danse, je danse. Je n’ai pas non plus tendance à étouffer ma cavalière en la serrant.’

’Alors fais moi danser.’ Un rock venait de commencer, mais je décidais de le danser en slow. L’on aurait pu faire passer beaucoup plus qu’une feuille de papier entre nous. ’Cela te convient comme ça ?’ Lui demandai-je. Elle ne répondit pas et continua à onduler au rythme de la musique. Le morceau terminé elle me susurra un merci qui se perdit dans le bisou qu’elle me fit sur la joue.

Comme minuit approchait, elle décida de rentrer dans le club car elle devait faire les souhaits d’usage à ses parents et nombreux amis.

A minuit pile, je serrais des mains en échangeant des banalités avec différents convives lorsqu’elle vint vers moi en me disant ’Mes parents veulent faire ta connaissance.’

Elle me présenta son père puis sa mère. Ils me souhaitèrent tous deux un bon séjour et la mère me dit ’Je vous laisse aux bons soins de ma fille.’

Propos passablement équivoques mais que je ne relevais pas sur le moment.

Nous dansâmes encore une fois où deux puis, je décidais d’aller me coucher.

En quittant le club je remarquais que le ciel s’était couvert de gros nuages, et pressais le pas pour arriver chez moi avant les premières gouttes.

J’habitais une maison en dur construite sous un manguier et un tulipier du Gabon. Deux arbres au feuillage particulièrement important. Bien que fatigué, je décidai de prendre une douche. Je finissais de me sécher quand la pluie se déclencha. Les gouttes comme d’habitude étaient tellement grosses que le bruit de leur impact sur les feuilles était tellement fort qu’il couvrait pas mal de bruits environnants. Je devinais plus que je n’entendais le bruit de pas de quelqu’un en train de courir, puis celui du portillon de ma véranda.

Le bruit d’un doigt sur les persiennes de ma porte me fit sursauter.

’Je peux entrer ?’ Je reconnus la voix d’Anne-Marie.

’Attend, que je m’habille un peu…’ En effet, il faisait tellement chaud que je dormais habituellement dans le plus simple appareil. J’enfilai un short, et lui ouvrit.

’Que t’arrive-t-il ?’ Elle me répondit qu’elle avait oublié de me dire quelque chose d’important.

Elle était toute essoufflée par sa course sous la pluie, et sa robe toute mouillée. Le tissu léger ne cachait plus grand chose, et laissait voir des seins quasiment parfaits. Je voyais aussi qu’elle avait un minuscule slip noir…

En se jetant littéralement sur moi, elle m’embrassa à pleine bouche.

Elle avait bu et son haleine sentait l’alcool. Je lui rendis son baiser avec plaisir.

Puis elle me demanda une serviette pour se sécher. J’allai décrocher ma serviette et quand la lui tendis, ce fut pour la découvrir vêtue seulement de son slip…

Je me ravisai et décida de la sécher moi-même. De la tête aux pieds en passant par ses seins que je pus juger au travers de la serviette comme étant très fermes.

Je lui proposai un de mes shorts et une chemise pour cacher sa nudité et elle accepta.

Elle mit d’abord la chemise et s’en servant comme d’une protection, elle enleva son slip qu’elle remplaça par mon short.

’Ca va mieux ?’, ’Oh ! Oui, même si c’est trop grand pour moi, au moins je suis au sec…’, ’Au fait, que voulais-tu me dire ?’, ’Je voulais simplement t’embrasser pour te souhaiter une bonne année.’

Je restai estomaqué.

Curieux comportement ! une jeune fille assez belle, que je ne connaissais pas vingt quatre heures auparavant, qui éprouvait le besoin de me faire un baiser en guise d’étrennes, baiser qui était beaucoup plus que fraternel…

’Assieds-toi’ lui dis-je en désignant le lit. Petitement meublé, je n’avais comme siège qu’un seul fauteuil, le lit pouvant servir de canapé…

Elle s’assit sur le lit l’air un peu gêné. Visiblement elle ne savait plus trop quoi faire. Elle frottait nerveusement ses mains sur ses cuisses, comme si elle avait froid. Malgré la pluie qui continuait de plus belle il faisait encore très chaud, pas loin de 28 degrés, et il était environ deux heures du matin.

’Tu as beaucoup de moustiques ici’ dit-elle pour meubler le silence… La rizière proche de la maison était un formidable vivier à moustiques.

’Le seul moyen est de descendre la moustiquaire et de se coucher…’ Ce qu’elle fit tout de suite.

Alors qu’elle plaçait convenablement le tulle afin de border complètement le lit, la lumière s’éteignit. Il arrivait souvent pendant les grosses averses que le courant soit coupé. J’en avais l’habitude et j’avais disposé en plusieurs endroit bougies et allumettes pour parer cet inconvénient.

Dès que la lumière tremblante fut établie, je la vis penchée sur le lit, le short baissé sur ses genoux… Trop grand il avait glissé pendant ses efforts pour placer la moustiquaire. Elle le réajusta d’un geste rapide en riant…

La chemise étant trop longue avait caché sa croupe, et je n’avais rien vu.

Mais l’effet suggestif avait été intense, je commençais à bander.

Je pense qu’elle ne pouvait rien voir, mon short étant très ample…

Puis elle s’allongea sur le lit en soupirant d’aise.

’Viens à côte de moi’ dit-elle en tendant une main.

J’attendais une invite de ce genre tout en la redoutant…

Je me glissai sous la moustiquaire, enjambai son corps et m’allongeai en profitant du peu de place qui restait sur le lit. Elle avait les bras repliés et les mains sous sa tête. La faible lueur de la bougie nous éclairait et je contemplai un instant son visage. Elle semblait détendue, presque heureuse du moment présent. D’une petite voix elle me demanda de la caresser.

J’avançai ma main droite vers sa poitrine et la déposai sur son sein droit.

Je sentis le téton très dur et jouai avec. Passant à l’autre je fis la même opération. Elle défit deux boutons de la chemise et, prenant ma main, elle la mit dans l’échancrure pour que j’aie un contact direct sans l’intermédiaire du tissu. Puis elle défit les autres boutons et repoussa les pans de la chemise pour dénuder complètement sa poitrine. Elle était belle ! Je restai un moment sans rien dire, sans rien faire, subjugué par la beauté de ce que je voyais.

Approchant ma tête de son buste je pris un téton entre mes lèvres et commençai à le sucer. Elle poussa un petit gémissement d’aise. De ma main libre je commençai à caresse son ventre, tournant autour du nombril. Tout en continuant à téter son sein, je m’enhardis à faire descendre ma main vers son entrejambe.

Elle me laissait faire, m’aidant même en écartant ses jambes.

Elle retira le short d’un savant mouvement de hanche sans que j’arrête mes caresses. Mes doigts couraient sur son mont de Vénus, jouaient avec les poils. Mon index explorait sa fente. Je sentis une légère humidité qui n’avait rien à voir avec la transpiration ou un reste de pluie. Cette humidité entre les lèvres de son vagin était glissante…

Repliant mon index, je le poussais tout doucement vers l’intérieur de son vagin.

Elle me laissait pénétrer son intimité sans protester, bien au contraire.

C’est comme si elle n’attendait que cela. Je pus introduire mon doigt complètement sans rencontrer la moindre résistance.

’Je ne suis plus vierge ! Tu es déçu ?’ Je lâchai un instant son téton pour répondre ’Mais non, il n’y a aucune raison…’

Je repris ma caresse buccale sur son sein et tentai d’introduire deux doigts dans sa fente. Il n’y eut pas d’avantage de résistance qu’avec un seul, mais elle gémit de plaisir : ’Oh ! C’est bon.’

Elle parut apprécier encore plus quand je commençai un mouvement de masturbation avec mes doigts. Elle accompagnait mes mouvements avec son bassin, venant à la rencontre de ma main à chaque insertion.

J’eus l’impression que son mouvement devenait de plus en plus régulier. Je la masturbais, et elle venait à ma rencontre comme par réflexe.

Elle se mit à caresser son sein libre d’une main, et de l’autre elle libéra le second sein pour aussitôt le caresser.

Elle avait les yeux fermés et se passait la langue sur les lèvres d’un mouvement de rotation. Visiblement ma caresse lui plaisait…

Je continuai ma caresse jusqu’à ce qu’elle se mette à gémir. Son bassin remua de plus en plus vite, avec des mouvements de plus en plus rapides et courts.

Soudain elle poussa un petit cri et son corps trembla. Je compris qu’elle avait un orgasme et je cessai de mouvoir mes doigts dans son vagin, mais les y laissai.

Elle resta un long moment sans bouger, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Elle m’attira contre elle pour m’embrasser longuement.

’C’était bon pour moi… ’ et elle ajouta : ’C’est celui que je dois épouser qui m’a déflorée. Il m’a fait très mal.’ Et elle se serra d’avantage contre moi.

A ce moment elle réalisa que je bandais, que ma verge était dure et que peut-être j’avais moi aussi besoin de quelque chose…

Elle me jeta un regard étrange, comme si elle me faisait le reproche de la désirer, comme si elle redoutait ce qui risquait de lui arriver.

’Rassures-toi, je ne vais pas te violer, ni te faire quoi que ce soit que tu ne désires pas…’ J’avais touché en plein dans le mille. Elle sourit faiblement et se détendit instantanément.

Elle passa le revers de sa main sur mon short, comme pour tester l’effet qu’elle me faisait. Elle dut être satisfaite, car elle inséra sa main dans le short pour prendre ma verge à pleine main. Elle n’était pas très expérimentée, car sa caresse me fit un peu mal. Mais elle modifia très vite sa caresse.

Dans un souffle elle me demanda de la prendre. ’Tu sais, tu es la première pour moi…’ Cet aveu fut plus facile que je le craignais. Elle me sourit presque tendrement.

’Viens, viens sur moi, prends moi.’

J’enlevai mon short pendant qu’elle retirait la chemise.

Puis je m’allongeai sur elle.

La pénétration fut facile. Elle était lubrifiée par la masturbation précédente.

’Oh ! C’est bon, ça ne fait pas mal comme avec lui, oh ! Que c’est bon ’

Elle découvrait que l’intromission après des prémices convenables était aisée et agréable… moi aussi d’ailleurs…

Je me mis à pomper en elle. J’étais tellement excité que je ne sentais pas mon plaisir augmenter. Je la besognai avec des mouvements amples et réguliers. Sans que je le sente arriver, elle eut un nouvel orgasme. Un peu plus violent que le précédent… Je restais immobile entre ses cuisses le temps qu’elle se calme. J’étais au bord de mon plaisir et je me remis à pistonner.

Elle me regarda d’un air étonné puis elle compris très vite que je n’avais pas encore joui. Elle se détendit et me laissa faire, immobile.

Elle se contentait de caresser mon dos d’une manière presque distraite.

J’avais l’impression de faire l’amour à une poupée gonflable…

Subitement j’éjaculai en elle. Je contractai instinctivement mes fesses, envoyant ma bite le plus loin possible dans son vagin. J’avais l’impression de complètement me vider.

’Oh ! C’est marrant je te sens, je suis toute mouillée, c’est agréable, c’est bon.’

Lorsque je repris mes esprits je lui demandai où elle en était avec ses règles… ’Ne t’en fais pas, il n’y a aucun risque, et même s’il y en avait c’est lui qui les assumerait… Merci, tu m’as fait du bien, ce n’est pas comme lui, il m’a prise sans me caresser avant, j’ai eu très mal. Avec toi c’était bon, c’était doux…’ puis elle rajouta ’Il fallait bien que je me venge !’

Ainsi donc cette expérience n’était pas le résultat de mon charme, j’étais simplement l’instrument d’une vengeance… Comme je le lui faisais remarquer, elle m’embrassa comme pour essayer de me convaincre du contraire…

Un long moment plus tard, après d’autres baisers, elle se leva, alla sous la douche pour sa toilette intime. Je la contemplai sans qu’elle se sentit gênée.

Elle me souriait tout en extrayant mon sperme de son vagin.

Je lui fis des compliments sur son corps, ses seins et ses jambes.

Après qu’elle se fut habillée, je lui proposai mon parapluie pour rentrer chez elle. Elle accepta avec joie et parti dans la nuit.

Ce n’est que longtemps après, alors que je cherchais le sommeil que je réalisai que c’était une excellente occasion pour elle de revenir me voir…

Mais je puis vous assurer, sur l’honneur, que ce n’était pas mon but…

Enfin, si vous ne me croyez pas vous n’aurez peut-être pas entièrement tort.

Je fini par m’endormir pour me réveiller juste avant midi.

A mon retour de la popote, je m’allongeai pour faire une sieste. Sous ce climat une sieste est pratiquement indispensable, alors que sous nos climats elle est simplement agréable.

Je laissai ouverte la porte de ma chambre, afin de profiter de la fraîcheur des courants d’air.

Je fus réveillé par le contact de lèvres sur les miennes. En ouvrant les yeux je notais la quasi-pénombre de ma chambre.

Anne-Marie était penchée sur moi, par l’échancrure de son corsage je pouvais voir ses seins, libres de tout soutien-gorge, pointer leurs tétons vers le bas.

’Je te rapporte ton parapluie’ dit-elle sans modifier en rien sa posture.

Elle savait ce que je voyais, et visiblement elle savait que j’aimais ce que je voyais.

’Excuses moi de t’avoir réveillé, je peux faire ma sieste avec toi ?’

Quelle question ! Je lui fit un peu de place et elle s’allongea.

Elle ferma les yeux comme pour chercher le sommeil. J’en fis autant. Je ne tardais pas à réaliser que ce n’est pas le sommeil qu’elle cherchait ! Elle avait glissé sa main dans mon short et empoignait ma bite à pleine main. A travers la peau du prépuce elle malaxait le gland avec ses doigts.

Sans ouvrir les yeux je lui demandais si c’était bien raisonnable alors qu’elle était fiancée, et déjà vengée…

’Maintenant ce n’est pas par vengeance, c’est par plaisir. Tu m’as fait découvrir quelque chose que je veux encore.’

Tout en restant couchée, elle se déshabilla. Puis elle ouvrit le bouton de la ceinture de mon short, ceux de la braguette et fit glisser mon short le long de mes jambes.

Elle s’allongea sur moi en prenant mon sexe bandé entre ses cuisses. Elle se mit à effectuer un mouvement de bas en haut avec ses fesses. Mon sexe coulissait mal, ce n’était pas très agréable… ’Ce n’est pas comme cela qu’il faut faire, il faut que tu la prennes en toi, ce sera beaucoup mieux.’, ’Mais je ne sais pas comment faire !’, ’Attend, tu vas voir.’

Je pris ma verge et la dirigeai dans son trou. Elle commençait tout juste à mouiller. La pénétration fut nettement moins aisée que le veille… J’y allais doucement pour ne pas la blesser comme son rustre de fiancé. Après un court instant de va et vient ma verge entrait et sortait avec aisance de son vagin.

Elle recommença le mouvement qui lui faisait plaisir. ’Tu vois, comme cela tu contrôle ce qui t’arrive. C’est toi qui mène le jeu. Tu peux librement accélérer ou ralentir tes mouvements, tu ne subis pas, tu diriges.’

’Oh ! Que c’est bon !’ Elle soufflait dans mon cou en activant son bassin sur le mien.

Elle se sentait libre de tous ses mouvements. Elle prit l’initiative de s’asseoir sur moi tout en me demandant si elle me faisait mal. ’Ne t’en fait pas, si tu me fais mal je te le ferai savoir. Fais-toi du bien, profite de mon corps pour te faire du bien’. Elle sautait maintenant sur ma bite enfoncée en elle comme une petite fille saute à la corde. Ses seins sautaient en opposition, ils descendaient quand elle montait, ils remontaient quand elle descendait.

Je mis mes mains de façon à ce que les tétons frottent mes paumes.

’Oh c’est super ! Oh ! que c’est bon…’

Elle accentua ses mouvements jusqu’à ce qu’un orgasme la submerge. Je sentis son corps se contracter, se faire très lourd sur le mien. Elle cherchait à se faire pénétrer au maximum, à accueillir ma verge au plus profond pendant qu’elle était agitée de petites saccades. Elle faillit perdre l’équilibre, j’eus juste le temps d’agripper ses bras pour qu’elle ne tombe pas. Je l’attirai vers moi pour qu’elle se couche sur mon corps. Ma verge toujours plantée en elle subissait une vague de petites contractions de son vagin. Que c’était bon…

’J’ai joui, j’ai joui ! C’est bon, c’était bon pour toi ?’, ’Pas encore, je n’ai pas encore joui.’

’Oh ! Comme c’est dommage, je suis si fatiguée maintenant, j’ai envie de dormir.’ Et se laissant rouler sur le côté, elle fit sortir ma verge de son vagin avec un bruit de bouteille que l’on débouche. Elle rit presque, trouvant le bruit marrant dans son obscénité… Elle me tourna le dos et s’endormit.

Je restais là, tout seul, admirant sa nuque, son dos, sa chute de reins et ses fesses, assez frustré de ne pas avoir eu le temps de jouir.

J’hésitais entre me lever pour aller me masturber sous la douche, et profiter de son sommeil pour la prendre et jouir à mon tour.

J’optais finalement pour la seconde solution. Dans sa posture de sommeil, elle me présentait la raie de ses fesses, son petit anus et plus bas je pouvais deviner l’entrée de son vagin. Ma bite était rendue bien glissante par sa mouille.

Je la frottais un instant contre son anus en essayant de l’y faire pénétrer. Mais rien à faire, elle était trop serrée. Avançant ma verge plus avant, je sentis ma verge glisser facilement. Appuyant avec la même vigueur que celle pour tenter de la sodomiser, je m’enfonçais d’un seul coup. Je stoppais tout mouvement de peur de la réveiller. Enchâssé en elle je ne bougeais pas. La sensation de la pression de ses parois vaginales sur mon sexe, jointe à la presque honte de profiter ou abuser d’elle pendant son sommeil causait un plaisir étrange.

Elle respirait profondément et régulièrement. Je me mis tout doucement à pomper, au rythme de sa respiration. De plus en plus vigoureusement je plantais mon organe dans le sien. Ne pouvant plus me retenir j’explosai en elle en essayant de ne pas trop la faire bouger. J’eus l’impression de libérer une quantité très importante de sperme en elle. Comme il n’y a pas de risque qu’elle soit enceinte, autant en profiter.

Je m’assoupis à mon tour.

Nous nous réveillâmes ensemble. J’étais encore en elle et elle ne put que s’en apercevoir très vite. Nos poils étaient un peu collés par nos jus séchés.

’Que m’as-tu fait pendant que je dormais grand coquin ?’, ’Moi ? rien du tout…’

Elle me donna une petite bourrade de son coude libre et rigola.

Puis elle me dit que demain elle prenait l’avion pour Tana. Je savais que nous ne devions plus nous revoir.

J’en éprouvais un peu de tristesse, mais nous avions fait un échange honnête. Elle s’était vengée en se donnant à moi, je lui avais donné mon pucelage.

vazaha

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