Alice et Sophie,
Prof à la retraite, jhabite une cité universitaire depuis trente ans. Depuis que jai pris ma pension à 55 ans, jai pris lhabitude, lorsque le temps est beau, daller boire une ou deux bières sur la terrasse dun établissement sur la « grand place » de la cité.
Je rencontre encore pas mal de mes anciens et anciennes élèves qui continuent leurs études. Ils ou elles viennent sasseoir à ma table pour demander des conseils ou simplement vider un verre avec moi.
Dans ma longue carrière, jai eu assez doccasion avec des élèves, pour me passer de femme et cest donc, en célibataire convaincu que je profitais de ma retraite.
Voici trois jours quil fait un temps splendide et, quoique encore frisquet le matin, les rayons du soleil réchauffe lair.
Plusieurs de mes anciens élèves, sont déjà venus me voir et discuter avec moi, je leur offre souvent le verre de lamitié et leur distille mes conseils à leur demande.
Julie, 20 ans, est une ancienne conquête avec qui jai couché pendant plusieurs mois. Loin dêtre amoureux lun de lautre, nous avons, dun commun accord, arrêté notre liaison qui commençait à se voir un peu trop à notre goût ; elle est assise en face de moi et discute de son nouveau petit ami.
— Tu sais, Bernard, mon mec baise très bien, mais il ne connaît pas les préliminaires. En fait, je devrais vous prendre tous les deux. Toi, pour me faire les extraordinaires caresses et préliminaires, et mon Xavier pour la baise bestiale dont il a la secret ! dit-elle en éclatant de rire.
— En voilà une bonne idée ! Répondis-je en rigolant aussi.
Puis, se penchant vers moi :
— Je ne crois pas quil aimerait mais je te regrette un peu quand même !
— Cest gentil de me dire cela, Julie !
Je me sentis fier quune aussi jolie jeune fille gardât de moi un aussi bon souvenir. Tout en continuant de discuter en chuchotant et éclatant régulièrement, mon regard fut attiré par un couple de jeunes filles qui semblaient vachement intéressées par notre discussion.
Tout en discutant avec Julie, jobservais discrètement ce couple. La plus petite devait avoir 16, 17 ans au plus et semblait terriblement bien foutue. Ses grands yeux clairs lançaient, par moment, des éclairs dorés. Brunes toutes les deux, ayant des gestes tendres envers elles. Je vis la plus jeune me regarder franchement, se pencher vers lautre et lui donner un baiser langoureux qui me fit, non seulement perdre la discussion avec Julie mais, également, faire dresser mon sexe dans mon short.
— Ok ! Fit brutalement Julie. Je vois que tu chasses encore !
— Oh ! Excuse-moi Julie mais ces deux gamines me font flipper !
— Ben, je comprends mais lesbiennes comme elles sont, ce nest pas dans tes goûts !… Non ?
— Heu ! Oui, oui !… Tu as raison mais Avoue quelles sont mignonnes quand elles sembrassent.
— Bof !
— Excuse-moi encore ! Reprenons Où en était-on ?
— Laisse tomber, je dois y aller, jai cours dans dix minutes !
— Ha ! Ok !
— Cela ma fait très plaisir de te revoir ! dit-elle en se penchant vers moi et me faisant une bise appuyée sur le bord droit de ma bouche.
Je vis que les deux gamines navaient rien perdu de ce petit bécot et en rigolaient. Julie disparut assez rapidement de ma vue et, me tournant vers les deux jeunes filles, je levai mon verre en signe de salutation.
À ce moment, je crus éjaculer comme un gamin car la fille de droite se pencha vers lautre, descendit son bras entre les cuisses ouvertes de sa compagne et glissa sa main entre les jambes de sa copine, lui caressant la vulve libre de toute culotte.
En plein après-midi, sur une terrasse, et devant des tas de jeunes et moins jeunes qui traversaient la place, la fille de droite caressait la vulve de sa copine et continuait ce geste par un baiser sulfureux.
Jétais scotché sur le spectacle gratuit quelles moffraient. Bien sûr, javais déjà vu deux filles faire lamour ensemble, mais cétait discret, et encore, jai dû espionner pour voir cela. Ici en toute impunité, elles montraient à qui le voulait un spectacle des plus excitants.
La fille caressée se laissait faire en écartant encore plus les cuisses, et passant un bras autour du cou de la caressante appuyant longuement le baiser, le patin, la pelle, la bétonneuse quelles séchangeaient.
La fille qui caressait se tourna vers moi et je vis dans son regard une invitation à venir près delles. Jhésitai quelques secondes mais, voyant son regard insistant, je me levai et massis à leur table.
— Cela vous plait ? dit la fille de droite.
— Heu Oui ! Evidemment ! Mais heu !… Vous.
— Alice ! Me dit-elle en me tendant la main qui sortit de lentrecuisse de sa voisine.
Je ne pouvais ne pas remarquer les deux doigts dégoulinant de cyprine de cette main tendue. Au lieu de prendre la main, jattrapai son poignet et attirrai sa main vers ma bouche, suçai ses doigts trempés et la regardai droit dans les yeux.
— Bernard ! dis-je en ressortant ses doigts de ma bouche.
— Sophie ! fit-elle en regardant sa copine encore sous les sensations de sa jouissance montante.
— Enchanté ! Et vraiment ravi de vous connaître !
— Nous vous observons, depuis trois jours et vous semblez connaître toutes les filles du campus !
— Toutes !… Cest une peu trop ! Mais comme ancien prof, jen connais pas mal, oui !
— Ah ! Vous êtes prof ?
— Oui ! Cest presque ça ! Enfin maintenant je nexerce plus, jai pris ma retraite !
— Votre Votre retraite ? Mais Vous êtes encore jeune ?
— Waouh ! ça cest très gentil !
— Sans blague ! Vous avez quel âge ?
— Presque 56. Dis-je tout fier de moi !
— Putain ! Mais vous en paressez à peine 40 !
— Ben dit donc, tes pas avare en compliment, même sils sont exagérés !
— Sur ma tête ! Je vous en donne 40, 45 au maximum !
— Dis-moi, plutôt ! Tu comptes laisser ton amie dans cet état ?
— Ben Heu !… Cela dépend de vous !
— De moi ?
— Vous ne devez pas habiter très loin pour venir ici tous les jours ! Je me trompe ?
— Hum !… Une vraie inspectrice, tu fais !
— Alors ? fit-elle impatiente de ma réponse.
— Tu as raison mais, quest-ce que cela pourrait apporter de plus à létat de ton amie.
— Ben ! Cest simple !… Vous nous emmenez chez vous et on termine le spectacle !…. à moins que votre femme soit à la maison ?
— Heu !… Je suis célibataire !
— Waouh ! Encore mieux !… Alors on y va ?… Avant quelle ne refroidisse, ajouta-t-elle le regard coquin.
Mon hésitation devant tant daudace et de perversité ne fut que de quelques instants et je me levai en laissant un billet de vingt euros sur la table.
En une seconde, le billet disparut dans les mains dAlice et elle me regarda en disant :
— Cest déjà payé !
Mais elle ne me redonna pas le billet, quelle empocha sans aucune gêne.
— On te suit ! dit-elle en me tutoyant brusquement.
— Heu !… Ok ! Venez !
Je me dirigeai vers ma maison qui était à dix minutes à pied et jentendis des chuchotements derrière moi. Visiblement, elles discutaient de ce qui allait suivre dans les prochaines minutes. Je sentis au son de sa voix que Sophie semblait hésiter devant lassurance dAlice.
Dès que nous fûmes dans le salon, Alice sans autre forme de procès, repassa sa main sous la jupe de Sophie et lui roula une nouvelle pelle bien baveuse.
En quelques secondes, le string de Sophie fut retiré, la blouse ouverte sur deux magnifiques petits seins tout fermes, dont les tétons pointaient vers le plafond.
La bouche dAlice, sempara dun des deux tétons et lui fit subir un sort qui, visiblement, excitait au plus haut point Sophie qui narrêtait pas de soupirer et de gémir.
Les deux caresses simultanées firent monter ladrénaline tant dans les veines de Sophie que dans les miennes. Je ne pus résister à ce spectacle que moffraient ces deux gamines et sortis mon sexe pour me masturber comme un pervers que je suis dailleurs.
— Waouh ! Tes encore bien monté ! dit Alice en lâchant le téton de Sophie.
— Je Heu Merci ! Dis-je sous le charme des deux gamines.
Alice reprit le téton de Sophie en bouche et, de sa main libre, ôta lentement les vêtements de Sophie. En quelques secondes et sans gestes brusques, Sophie se retrouva complètement nue devant moi.
Jétais au bord de léjaculation. De ma vie, je navais assisté à un spectacle aussi excitant et pour mon plus grand bonheur, Alice sapprocha de moi en tenant Sophie par le vagin et lobligea à se mettre à genoux devant moi. Entre-temps, javais ôté pantalon et slip.
— Ouvre ta bouche ! dit Alice à Sophie devant mon sexe à hauteur de sa bouche.
— Je vais Oooooh !
— Avale ! le maximum ! entendis-je juste avant déjaculer sur le visage de Sophie.
Ce fut une de mes jouissances les plus abondantes de ces dix dernières années et, lorsque je sentis la fin des jets, je regardai le visage de Sophie, complètement engluée de mon sperme. Il y en avait partout, dans ses cheveux, sur son front, sur les joues et le nez, et enfin dans sa bouche toujours grande ouverte et la langue bien sortie.
Je me pris à essuyer le bout de mon sexe sur cette langue chargée de sperme et, lorsque je reculai, jentendis Alice dire :
— Ferme ta bouche et avale !
Sophie ferma sa bouche et, avec une grimace de dégoût, déglutit mon sperme. Aussitôt après lavalement, Sophie rouvrit la bouche et se mit à gémir avec force, et de petits cris danimal blessé sortirent de sa bouche. Elle jouissait avec force, basculant son tronc vers larrière, se coucha sur le dos et écarta fortement ses genoux.
En me reculant, je vis quAlice sétait aussi mise à genoux et avait continué de caresser son amie. Sophie, sous la puissance de son orgasme, serra ses genoux et coinça la main dAlice dans ses cuisses refermées et serrées.
A chacune des caresses dAlice sur le clito de Sophie, cette dernière soulevait son ventre plat et sa tête tournait dans tous les sens.
Alice fit encore durer lorgasme de son amie avant de retirer sa main avec quelques difficultés dentre les cuisses serrées de son amie.
— Putain ! Elle na jamais joui comme ça ! sécria Alice.
— Je Vous Heu !
Je ne trouvais plus mes mots pour dire combien ce spectacle mavait ravi. Je regardai Alice accroupie à côté de son amie encore parcourue de spasmes de plaisir. Alice se releva et se plaça au-dessus de la tête de son amie.
Saccroupissant au-dessus du visage de Sophie, elle releva sa petite jupe écossaise qui lui donnait cet air dado et plaqua sa vulve sur le visage de sa copine encore engluée de mon sperme.
Gardant sa jupe relevée assez haut, je vis la langue de Sophie sortir de la bouche et lécher la vulve dAlice dépourvue de protection. Alice ne portait ni culotte, ni string ! Elle frottait son entrejambe sur le visage de Sophie, étalant sur sa vulve et sur la surface du visage de Sophie, mon sperme frais.
Malgré ma jouissance quelques minutes plus tôt, mon sexe se redressa et je vis Alice sourire. Elle me regarda droit dans les yeux et ; avec ce regard pervers ; me dit :
— Je veux bien te sucer, mais tu éjacules dans la bouche de Sophie ! Ok ?
— Heu !… Oui ! Tout ce que tu veux ! dis-je excité comme jamais de ma vie.
Japprochai mon sexe à nouveau tendu à lextrême, et vis Alice le regarder de tous les côtés. Elle relâcha sa jupe qui couvrit le spectacle de la langue de Sophie léchant la vulve et le clitoris dAlice, prit en main mon sexe et me tira vers sa bouche.
— Hum ! Tes bien gros ! dit-elle en me tutoyant définitivement.
Je nen croyais pas mes yeux ! Ces deux gamines me suçaient sans problème, alors que je les connaissais depuis moins dune heure, alors quavant, du temps où jétais prof en fonction, il me fallait des semaines, voire des mois pour attirer une de mes élèves dans mon lit et me faire sucer.
Ici, en quelques dizaines de minutes, javais déjà éjaculé sur une, et voilà que lautre me prenait dans sa jeune bouche humide de salive.
Alice, ne savait visiblement pas sucer et encore moins masturber un sexe dhomme, car elle sy prenait très mal et faillit même me faire débander, si je navais pas entendu les gémissements que faisait Sophie sous la jupe dAlice, qui refit grimper mon taux dadrénaline.
Mon sexe durci encore et je sentis les prémices dune nouvelle éjaculation. Je me retirai brusquement de la bouche dAlice et tombai à genoux au-dessus de la tête de Sophie, toujours recouverte de la jupe écossaise dAlice.
Alice dut comprendre mon geste et releva rapidement sa jupe et se redressa de quelques centimètres. Suffisamment pour que je place le bout de mon sexe sur les lèvres de Sophie et la vulve dAlice.
— Ouvre, bien grand ! cria Alice.
Jintroduis de quelques millimètres mon gland dans lespace laissé par Alice, juste à temps, et plusieurs jets de sperme fusèrent dans la bouche des plus accueillantes, et sur les grandes lèvres dAlice. Alice eu alors un geste qui me prit par surprise ; elle se pencha en arrière et se rassis sur la bouche contenant mon sexe en poussant ce dernier plus profondément dans la bouche de Sophie.
Sa position était fragile car elle risquait de basculer complètement en arrière. Je pris linitiative de passer un bras derrière elle, dans le creux de ses reins et de la presser contre moi.
Nos pubis lun contre lautre, assise sur mon sexe toujours enfoncé bien profond dans la jeune bouche de Sophie, Alice se laissa prendre et pencha sa tête en arrière. Elle frotta son clitoris sur le haut de mon sexe et, brusquement, fut atteinte de contractions et spasmes violents.
Mon pubis et mon sexe semblèrent subitement subir une humidification aussi forte que si on versait un liquide chaud dessus et je constatai quAlice avait un orgasme foudroyant. Je pèse mes mots car, le corps dAlice sembla plus lourd dans mes bras et les secousses de ce corps furent probablement douloureuses pour Sophie qui, malgré mon sexe dans sa bouche et le poids du corps de son amie, parvint à émettre des cris de douleur.
Tenant toujours Alice par la taille malgré ma jouissance, je me relevai, libérant la bouche de Sophie. Seulement, mon sexe encore raide frappa lentre fesses dAlice et, soulevant cette dernière de quelques centimètres, fut propice à lintroduction de mon sexe dans son vagin gluant de sperme et encore ouvert du frottement de celui-ci contre mon sexe quelques secondes auparavant.
Le cri quelle émit lors de lintroduction de mon pénis dans sa vulve me figea. Elle ouvrit de grands yeux et me regarda avec une expression de terreur et de méchanceté assez prononcée. Cétait trop tard, dans mon délire de jouissance, je pénétrai ce jeune vagin, brisai visiblement la virginité de ce dernier et menfonçai dans un cloaque de cyprine.
— Aaaaaaah ! Noooooon ! cria Alice.
Mais lorsque mon sexe toucha le fond de son vagin, je fus pris de délire et, malgré la deuxième jouissance qui se termina dans ce jeune vagin, je commençai à la pistonner comme un malade.
— Noooon !…. Noooooon ! Pas moi !…. Nooooon !
Mais ses « Noooon ! » devenaient de plus en plus langoureux et faibles ; Alice finit par entourer ses jambes autour de moi comme pour prendre encore plus de sexe en elle.
— Salauuuuud !… Han !… Vieux pervers !…. Han !….
Alice acceptait difficilement cet accouplement, en tout cas son cerveau ne lacceptait pas mais, son corps lui, semblait en redemander.
Jétais dans mon trip de baiser, encore sous leffet de ma jouissance, et même pas étonné de bander encore après cette deuxième jouissance.
Je pistonnais encore de longues minutes ce jeune vagin sous le regard effrayé de Sophie qui sétait relevée et nous regardait comme des monstres extra-terrestres.
Alice jouit brusquement, inondant mon pubis et mes couilles de sa jouissance monstrueuse. Elle se révéla, ce jour-là, être une femme fontaine.
De sentir Alice jouir avec une telle intensité, me fit jouir également au fond de son vagin. Je restai ainsi, debout, serrant de toutes mes forces Alice qui se mit à pleurer comme une petite fille. Je ne pus savoir à ce moment si cétait des larmes de joie ou de tristesse.
La tension descendit peu à peu et je déposai Alice dans le fauteuil le plus proche de nous. Sophie se précipita sur Alice et la prit dans ses bras !
— Salaud !… Vieux pervers !…. Saloperie de prof ! cria Sophie, essayant de réconforter son amie en pleurs.
— Cest Heu !… Cest un peu de . Heu ! Votre faute ! dis-je pour me disculper un peu.
— Vous naviez pas le droit ! Elle est ma maîtresse ! Elle naime pas les hommes ! Encore moins un vieux pervers comme vous ! me cria Sophie visiblement entrant dans une forte colère.
Elle se leva brusquement et me frappa de ses deux poings sur la poitrine en minsultant de tous les noms et, dans des sanglots réels, me fit comprendre que cétait elle que jaurais dû prendre, si sa maîtresse voulait, mais certainement pas elle.
Je ne comprenais plus rien et, attrapant les poignets de Sophie, je lempêchai de me frapper. Je regardai Alice qui reniflait ses larmes et ses sanglots.
— Laisse ! Sophie ! Cest trop tard ! Laisse-le !
Sophie se retourna vers sa maîtresse et, mobligeant à la lâcher, courut dans les bras dAlice. Je regardais cette scène, debout au milieu du salon, mon pénis mou et en semi érection.
— Heu !… Vous Vous voulez boire quelque chose ? Demandai-je pour retrouver contenance devant ces deux gamines en pleurs.
— Je Ok ! fit Alice
Jen profitai pour quitter le salon, remettre mon slip en place et chercher, avec beaucoup de mauvaise volonté, deux « Ice-Tea » Je mis deux fois plus de temps pour leur apporter la boisson et encore plus pour pénétrer à nouveau dans le salon.
Je les vis chuchoter entre-elles et sarrêter en me voyant. Je mapprochai delles et leur donnai les canettes.
Alice me regarda avec un regard triste et descendit son regard sur mon slip.
— Tu sais Bernard, ce nétait pas prévu que tu me baises comme tu as fait ! Je je me croyais complètement lesbienne jusquà ce jour.
— Ecoute ! Alice, je te demande pardon pour ce qui sest passé et moi non plus, je ne voulais pas en arriver là !
— Je te crois !
— Cest dans le feu de laction que
— Je sais et cest un peu de ma faute aussi !
— Mais !… Mais ques-ce que tu racontes ! sécria Sophie.
— Laisse laisse-moi parler !
— Mais, enfin cest ce salaud qui ta baisée sans rien te demander ! cria Sophie hors delle.
— TA GUEULE ! fit Alice.
Sophie fut étonnée du ton de son amie et se tut brusquement. Elle me lança un regard meurtrier et commença à bouder.
— Heu !… Je Je peux aller me laver ?
— Bien Bien sûr ! dis-je en lui montrant lescalier menant aux chambres et à la sale de bains.
— Cest la première porte à droite ! continuai-je.
— Merci !
Alice se leva, tira Sophie de sa bouderie et lentraîna derrière elle. Le silence réapparut lorsque les filles disparurent au premier. Je remis mon pantalon et massis sur le divan.
Je réfléchis longuement des conséquences possible dune éventuelle plainte, et mon sang se glaça en voyant un avenir sombre et derrière les barreaux. Jétais persuadé quelles étaient toutes les deux mineures et donc à ne pas toucher sans leur consentement.
Jen étais là dans mes réflexions lorsque je trouvai le temps long. En jetant un regard sur lhorloge de la cheminée, je me rendis compte quelles avaient disparu à létage depuis plus dune demi-heure.
Je montai en vitesse et constatai la salle de bains vide et la porte grande ouverte. Je fus saisi dune grosse angoisse et allai visiter les chambres. Je vis celle avec la terrasse donnant dans le jardin par un escalier et dont la porte-fenêtre était grande ouverte.
Je compris instantanément que les filles étaient parties par là. Mon angoisse redoubla, et après avoir refermé la porte donnant vers lextérieur, je descendis massoir dans le divan et attendis la police.
Je pris ma bouteille de « Johny Walker » et bus au goulot. Je passai une soirée et une nuit effroyables de tension et dangoisse et fus étonné lorsque le jour se leva sans que rien ne se fut produit.
Les deux jours suivant ne furent pas les meilleurs de ma vie et je nosais même plus sortir. Je me nourrissais de petits Gervais et dalcool.
Javais presque vidé mon bar de toutes les bouteilles quil contenait, lorsque le troisième jour après-midi, un coup de sonnette assez long me tira de ma somnolence éthylique.
— Enfin ! pensais-je en me demandant quel genre de flic pouvait être ceux derrière la porte.
En traînant les jambes, je me tirai vers la porte et louvrit. Je mattendais à des flics en civil et je fus étonné de me trouver en face de deux agréables visages souriants.
Alice et Sophie étaient devant moi ! Jen fus tellement saisi que je dus maccrocher au chambranle pour rester debout.
Dun air complètement abruti, je les regardai passer devant moi et sinstaller au salon ; enfin, Alice sasseoir dans un fauteuil, et Sophie se mettre à quatre pattes aux pieds dAlice.
— Tu peux refermer ta porte, on nest que deux ! dit Alice en regardant mon air ahuri.
— Je Heu ! Oui ! Bien sûr !
Je refermai ma porte et mavançai dun pas incertain vers Alice. Elle déposa, à ses pieds, de lautre côté doù se trouvait Sophie, son petit sac à dos, et louvrit.
Jétais toujours debout à deux mètres des filles, avec le même air ahuri et regardait sans bien comprendre ce qui se passait.
— Tiens ! dit-elle en me tendant un papier plié. Lis-le et signe-le !
— Mais.
— Ecoute Grosse queue ! Cest ça ou la prison !
Je dépliai rapidement, ne mayant même pas offusqué ou réagi sous linsulte vulgaire quelle venait démettre.
Mon visage blêmit encore plus en lisant le papier. Il sagissait simplement dune reconnaissance de son viol et den subir toutes les conséquences ou bien se soumettre à son pouvoir et faire tout ce quel voudrait sans aucune limite !
Le texte était bourré de fautes mais lensemble semblait tenir. Il y avait déjà deux signatures et était daté du mardi 22 mai, fameux jour au cours duquel tout avait dérapé.
— Qui ?…. Qui a déjà signé ce papier ?
— Mon médecin, et Sophie comme témoin des faits.
— Tu Tu veux. Heu !… Tu veux me faire chanter ?
— Non
— Mais Ton Ton médecin ?
— Lui est tenu au secret médical et je lui ai simplement dit que je ne voulais pas porter plainte.
— Et Et il a accepté de signer ce document ? fis-je, étonné de ce fait.
— Non seulement il a signé, mais compte bien profiter de ta soumission à moi !
— Tu Tu es Tu es folle !
— Non ! Mais, je te veux à mes pieds, soumis et obéissant.
— Je Jamais. Jamais, je ne pourrai
— Mais si ! Tu verras on shabitue vite à obéir.
Lalcool qui embuait mon cerveau ne me fit pas vraiment réfléchir aux conséquences de ce document, sauf peut-être à un chantage mais il est vrai que cette gamine me tenait par les couilles et, en plus, je navais, de ma vie, joui comme ça.
Cest vrai aussi que je rêvais de son corps, de son vagin, de ses petits seins depuis deux jours. Rien que dy repenser, mon sexe grandit et cela ne métait plus vraiment arrivé depuis deux jours.
— Alors ? Tu signes ?
— Heu Ou Oui
— Oui qui ?
— Heu !… Oui Heu !… maî. maîtresse ?
— Tu vois, ce nest pas difficile, quand on y met du sien !
— Oui maîtresse !
— Alors !… Déshabille-toi et mets-toi à genoux devant moi.
Lassurance de cette gamine me sidérait. Elle commandait comme si elle avait fait cela toute sa jeune vie. Elle me regarda triomphante avec cette sûreté dans le regard quont les jeunes daujourdhui.
Je ne vis pas dautres solutions que dobéir surtout si je voulais revoir son corps et la baiser. Je cherchai un stylo dans le secrétaire et signai le papier. Je le lui tendis et restai planté devant elle.
— Tes sourd ou débile ?
— Mais
— À poil devant ta Maîtresse et toi aussi ! dit-elle brutalement à Sophie.
Haussant les épaules, je commençai à ôter le peu de vêtements que javais sur moi. Un sweet-shirt, un jeans, un boxer et mes pantoufles. Mon sexe, à demi bandé, pendait tristement vers le sol.
Lorsque, je vis le corps de Sophie se dénuder complètement, mon sexe se redressa, intéressé ! Je pouvais voir briller les yeux dAlice, jouissant de sa puissance sur nous.
— Chienne ! Va lécher ton mâle ! dit-elle en regardant Sophie complètement nue et à genoux près delle.
— Toi !… Grosse queue, ne tavise pas de jouir sans ma permission.
Cela faisait deux fois quelle utilisait cette vulgarité pour me nommer, mais cétait à mon avantage. Sophie sapprocha de moi, à genoux et hésita plusieurs secondes avant de lécher le bout de mon sexe qui eut un soubresaut involontaire. Cela fit rire Alice.
— Hé bien ! Grosse queue ! Tes sensible de la bite ?
Sophie venait douvrir la bouche et mon gland pénétra à lintérieur de sa bouche humide de salive. Alice se leva et poussa sur la tête de Sophie qui sétrangla en avalant presque la totalité de mon sexe.
— Chienne ! Tu dois faire ce quil est convenu et prendre toute la bite de ton mâle.
La pauvre Sophie fit de son mieux pour ne pas vomir et commença un long et profond va-et-vient sur mon sexe tendu au maximum. Alice accompagnait ses va-et-vient, une main derrière la tête et poussait à chaque pénétration. Des larmes sortirent des yeux de Sophie avalant à chaque fois mon sexe plus profondément quelle ne pouvait le faire.
Mon adrénaline commença à dépasser le taux acceptable dans le sang, et mon cerveau commença à divaguer. Jétais encore sous linfluence de lalcool ingurgité pendant la journée et mon orgasme se déclencha bien trop vite.
Dans un cri de bête, jéjaculai de toutes mes forces, remplissant directement lsophage de Sophie. Les trois premiers jets atteignirent leur but, mais les autres éclaboussèrent le visage de Sophie. Alice lavait brutalement tirée en arrière, minsultant déjaculateur précoce, de petit gamin ne sachant pas se retenir, de « pédé juteur », et de bien dautres qualificatifs que, seuls, les ados pouvaient inventer.
— Tu vas me le payer ! sécria-t-elle, furieuse que je naie pas respecté ses ordres.
— Je je mexcuse
Elle se retourna, chercha deux secondes dans son sac et en sortit un petit engin en plastique. Cela ressemblait à une petite cage courbée, munie de deux cadenas. Mon sexe débanda assez rapidement et, dans mon cerveau embué dalcool, jessayai de me rappeler où javais déjà pu voir cet objet.
— Viens ici ! ordonna-t-elle.
Au moment où elle prit mon sexe entre deux doigts, je compris ce quétait lobjet. « Une cage de chasteté » pour homme.
Je réagis beaucoup trop tard et, lorsque lanneau entoura mon sexe et mes testicules, le reste de la cage fut enfilé sur mon sexe. Alice chipota encore plusieurs secondes avant que je ne réagisse réellement et, voulant reculer pour quelle ne puisse arriver à ses fins, une douleur fulgurante me parvint de mes couilles prisonnières de lanneau.
Alice avait pris mes testicules dans sa main et pressait dessus comme si cétait un citron. Ce nétait cependant pas cette pression qui me donnait cette douleur. Je me redressai et poussai mon ventre en avant pour faire diminuer cette douleur et, baissant les yeux, je rencontrai le regard sadique dAlice.
Sa main pressant mes testicules était munie dun gant et je vis et sentis, bien sûr, les petites pointes métalliques qui parsemaient la paume de ce gant.
Je ne lavais même pas vu enfiler un tel gant et, pour soulager la brûlure de toutes ces petites pointes dans mes bourses, je laissai Alice terminer et refermer la cage sur mon sexe.
Ayant entendu le « clic » du cadenas, jespérais quAlice me relâche les couilles. Non seulement elle ne relâcha rien du tout, mais se releva en pressant encore plus sa main.
— Aaaaaaah ! Aieeeeeee !… Pitié !…. Maît. Maîtresse !
— Hum ! Tu la sens bien celle-là !
Et elle pressa encore un peu, me faisant tomber à genoux de douleur. Cette fois, elle relâcha mes testicules et me regarda comme un ver de terre.
— Tu mobéiras dune façon ou dune autre !
— Je Heu !… Vous en prie, Maîtresse Cela fait trop mal !
— Pas assez à mon goût ! Violeur de petite fille !
La douleur que je venais de subir me dessaoula immédiatement et je me rendis compte, cette fois, que je métais fait vraiment piégé. Mais comment une gamine pouvait-elle se procurer ces accessoires à son âge ? Dailleurs quel était son âge justement, et Sophie ? Elle paraissait encore plus jeune.
Jétais donc devenu pédophile ? Alors que, pendant toutes ces années denseignement, javais toujours évité les mineures. Comment ces deux gamines étaient-elles parvenues à me mettre à poil et à genoux devant elles et surtout comment avaient-elles réussi à me mettre cette foutue cage de chasteté.
— Maintenant que tu es prêt, je vais te dicter mes volontés et surtout tapprendre que tu mappartiens totalement.
— Tu Es vraiment folle, petite ! Tu devrais te faire soigner ! dis-je dans un excès de fierté et dautorité de prof envers une de ses élèves.
Alice sapprocha de moi avec un drôle de sourire, se baissa vers mon sexe, prit entre ses doigts un petit anneau dépassant de la cage et tira violemment dessus.
Une douleur fulgurante venant de mon gland me terrassa et je tombai en arrière dans des convulsions dignes dun épileptique. Un voile noir descendit devant mes yeux et sous une douleur atroce, dune sensation telle que je croyais quelle venait de me castrer à vif.
Jhurlai, me convulsai, fis des bons avec mon corps et ensuite le voile noir et la perte de conscience.
Je me réveillai, couché sur le sol de mon salon, une douleur bien présente mais, limite du supportable dans mon sexe. Les mains liées dans mon dos et mes jambes écartées au maximum, chacune de mes chevilles attachées de part et dautre aux pieds de mon divan.
Les deux filles me regardaient, Sophie nue et à genoux au-dessus de ma tête et Alice assise sur le divan entre mes jambes écartées.
— Mais Ques-ce qui sest passé ! Que mas-tu fait ? Petite salope !
Au lieu de me répondre, Alice leva une main, tenant une ficelle visiblement reliée à mon sexe et avec son sourire sadique leva la main lentement. La douleur réapparut immédiatement au bout de mon sexe et un hurlement sortit de ma gorge.
— AAAAA. AAArê. Arrête ! par pitié !
— Arrête qui ?
— Par pitié, Maîtresse, arrêtez ! Je vous obéirai ! Aaaaaaaah !
Son bras redescendit un peu, cela ne me soulagea pas le moins du monde mais, au moins, namplifia pas cette douleur monstrueuse.
— Tu vois ! Chienne ! Le toubib avait raison ! dit-elle en regardant Sophie. Avec ce système, on obtient ce quon veut !
— Oui Maîtresse !
— Alors tes prêt à faire ce que je veux ?
— Je Oui, oui Maîtresse.
— Tu vois, mon toubib, tu sais, celui qui a signé tes aveux ma donné cet objet et ma assurée, en mexpliquant son utilisation, quune fois quun homme la sur lui, il obéit sans discuter à son maître ou sa maîtresse.
— Par pitié !… Maîtresse arrêtez, je vais mourir de douleur !
— Mais ! Non ! Petite queue ! Ben oui ! et je te conseille vraiment de ne plus bander car une autre douleur te parviendra.
— Mais ! Maîtresse, que mavez-vous mis, dans cette cage ?
Alice ne prit pas la peine de me répondre et lorsquelle mordonna, après avoir détaché mes chevilles, de me lever et de me mettre à genoux, je le fis avec une rapidité qui métonna. Javais quand même plus de cinquante ans et mes réflexes nétaient plus ceux dun jeune et mes mains liées dans mon dos ne facilitaient pas la tâche.
— Cest bien ! Tes encore souple pour un vieux.
— Sil vous plaitMaîtresse ! Otez-moi la cage ! Je vous obéirai !
— Hum ! Ce nest pas encore prévu ! Maintenant baisse ton corps et pose ta poitrine sur le divan !… Cest ça juste à côté de moi.
— Bien Maîtresse !
— Sophie ! Enfile le gode et vient près de moi que je lattache.
Sophie, toujours à genoux, alla vers le petit sac à dos et ressortit un gode-ceinture de bonne dimension. En fait, cétait un double gode, un sexe plus petit entrait dans le vagin de la fille et, une fois fixé sur elle, la fille pouvait profiter de sa sodomisation pour éprouver elle-même une sensation de bite dans son vagin.
« Sodomisation » « Oh ! Nooon ! » Pensais-je car, vu ma position sur le divan, je fus certain que cest moi qui allait passer à la casserole. Et si cest vrai, quétant plus jeune, javais aussi eu des relations avec des garçons, en général, cest moi qui sodomisais.
— Te voilà prête ! Maintenant tu vas lenculer jusquà ce que tu jouisses ! Ok !
— Oui Maîtresse !
Sophie sapprocha derrière moi et posa le gland du godemiché sur mon anus, poussa, repoussa plus fort, mais rien ne rentrait. Evidemment, je serrais mon anus du mieux que je pouvais. Alice se leva et je sentis un petit doigt pousser sur mon anus.
— Cest comme tu veux ! dit-elle.
Une nouvelle douleur au bout de mon sexe me fit hurler. Profitant de mon hurlement le godemiché força mon anus et y pénétra de plusieurs centimètres. Le souffle coupé, je me décrispai après la douleur et Sophie profita pour me pénétrer encore de quelques centimètres.
Transpirant, pleurant et cherchant le moyen de soulager la douleur de mon sexe, je me relâchai complètement et senti le faux sexe senfoncer en moi.
La sodomisation commença et mon anus se lubrifia assez vite. La douleur de mon sexe disparut un peu et je commençai à bander sous le va-et-vient du gode en moi. Une nouvelle douleur me fit débander aussitôt !
Cette fois, je parvins à situer cette douleur précisément. Le bout de mon gland à hauteur du méat comme une pointe qui senfonce dans mon gland. Insupportable ! Je criai une fois de plus !
— Ça fait mal de bander ! Hein ! Petite queue ! samusa Alice, de mon supplice !
— Pitié ! Maitresse !
— Plus vite ! plus fort ! dit Alice à Sophie, ignorant mes suppliques.
Je ne pouvais pas apprécier la sodomisation car cela me faisait bander et pourtant dans mon cerveau une bataille entre la douleur et le plaisir se fit de plus en plus fort.
Cest dans un souffle de soulagement quau bout de vingt minutes de va-et-vient dans mon derrière que jentendis les cris et gémissements de Sophie.
— Cest bien, petite chienne ! Tu as enculé ton mâle ! Va te coucher pendant que jexplique à petite bite sa vie prochaine.
Complètement en sueur et le visage marqué par les différentes douleurs subies depuis le retour des filles, je fis le vide dans mon cerveau et jobéis au doigt et à lil aux ordres dAlice.
Elle me fit redresser le tronc et vint sasseoir à côté de moi. Elle me regarda dun air joyeux en voyant mon visage ravagé par les grimaces de douleur et les traînées de larmes couvrant presque tout mon visage.
— Alors ! Esclave ! Ça fait quoi de subir ce quon ne veut pas.
— Je je Vous.
— Tais-toi et écoute bien !
Elle me raconta son passage chez son toubib quelle connaissait depuis longtemps et lui expliqua son viol et son souhait de ne pas porter plainte. Son toubib lui demanda ce quelle voulait et elle lui dit : « Je veux en faire mon esclave »
— Hum ! avec un homme de cet âge tu vas avoir beaucoup de difficultés.
— Oui ! Daccord mais, cest possible ?
— Rien nest impossible quand on veut vraiment.
— Je donnerai nimporte quoi pour arriver à mon but !
— Nimporte quoi ?
— Oui !
Je ne découvris que plusieurs mois plus tard quelle était simplement devenue la maîtresse de ce toubib.
— Reviens me voir dans deux jours ! Jaurai de quoi te satisfaire !
Alice continua son récit. Elle reçu les différents accessoires que javais eu le malheur dessayer et vu lefficacité de ceux-ci, trouva plein de nouvelles idées pour me soumettre à ses perversions.
Il fut dabord question de venir vivre ici pendant toute la session. Comme ma maison avait trois chambres et deux salles de bains, cela ne devait pas poser de problème. Ensuite, elle me raconta quelle avait 18 ans et demi, Sophie allait sur ses 17 ans et que toutes les deux venaient du bout des Ardennes et que leurs parents leur avait donné une totale liberté du moment quelle produisait les résultats confortables à leur études.
Souvent partis en voyage, les parents envoyaient un chèque plutôt appréciable pour des jeunes filles de leur âge. Alice décida de garder largent pour elle puisquelles venaient sincruster chez moi à partir de ce jour.
Tout cela prenait une tournure qui me plaisait de moins en moins et lorsque je voulu protester sur certaines règles quelle mimposait, Alice donnait une petite traction sur la ficelle qui me pliait en deux de douleur. Alors, jacceptai la totalité de ses exigences.
Alice me fit me lever et me fit asseoir, à cheval devant le dos dune chaise. Elle relia la ficelle au dossier de la chaise ne laissant que dix centimètres de liberté. Quel que soit le mouvement que je faisais, aussitôt la ficelle se tendait et la douleur reprenait de plus belle. Chaque début dérection stoppait immédiatement, des pointes me piquaient le bout du gland dès que celui-ci grandissait ou se gonflait.
Sophie fut attachée avec un collier de chien aux pieds de ma chaise. Nous étions toujours nus tous les deux.
— À bientôt, mes esclaves chéris, je reviens avec nos affaires.
Une heure et demi, je restai sans bouger, de peur de me faire mal et Sophie profita de se coucher et de sendormir.
Mes jambes me faisaient mal, mes poignets liés dans mon dos semblaient sendormir et un besoin duriner commença à me démanger.
— Sophie ! SOPHIE ! Réveille-toi ! Je dois faire pipi !
— Vous Vous devez attendre Maîtresse !
— Ecoute Sophie ! Essaye de me comprendre ! Je dois réellement faire pipi et si je ny vais pas tout de suite, je ne pourrai pas me retenir.
Ensuite, je compris mon erreur, Sophie était aussi attachée à ma chaise et donc ne pouvait pas se déplacer de plus dun mètre.
Je commençai à danser sur place, tirant par moment la ficelle reliée à mon sexe. À chaque mouvement trop fort, la brûlure reprenait sur mon sexe. Je regardai attentivement cette cage de chasteté et compris au bout de nombreuses douleurs que chaque fois que la ficelle se tendait un anneau probablement rempli de pointes acérées se serrait autour de mon gland ou plutôt juste en dessous de la corolle.
Dailleurs du sang perlait et coulait sur le sol. Pas énormément mais suffisamment pour savoir mon sexe blessé. Je paniquai un peu et mon envie duriner disparut. Malheureusement, les minutes passèrent et mon envie me reprit.
Je jouai le tout pour le tout et me lâchai. Lurine mit un temps anormal pour sortir de mon méat et lorsquelle sortit enfin, ce fut pour sortir de tout côté du bout de la cage. Cest là que je compris quune petite tige était enfoncée dans mon méat rendant difficile la sortie de sperme ou durine.
La douleur dû au frein dans mon méat me fit reculer et jhurlai comme un possédé. Je fis tomber la chaise lorsque mon corps saffaissa sur le côté et je perdis connaissance.
À mon réveil, je sentis quon tenait mon sexe entre des doigts. Jouvris les yeux et vis un homme dune cinquantaine dannées regarder mon sexe débarrassé de la cage. Mon sexe était rouge de sang et lhomme tapotait, avec un gros coton imbibé de désinfectant le pourtour de mon sexe.
— Ce nest pas trop grave ! dit-il en regardant Alice penchée, elle aussi, au-dessus de mon bas-ventre.
— Quand, jai vu tout ce sang, jai vraiment paniqué ! répondit-elle à lhomme.
— Tu as bien fait de mappeler ! Tu naurais pas du le laisser seul ! dit-il avec un accent de reproche.
— Mais, en fait docteur heu ! Javais trop envie de lui et jai préféré sortir pour me calmer.
— Hummmm !! La petite lesbienne devient hétéro ?
— Heu !…. Ben !…. Oui !… Enfin, je Ja Japprécie de plus en plus une bonne queue dhomme dans mon petit vagin.