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L'envol des tourterelles – Chapitre 18




« J’ai un petit cadeau pour toi, dit Alicia, mais avant j’aurais une dernière requête avant qu’on aille s’ébattre au lit.

 – Moi aussi j’ai quelque chose pour toi, mon minou. Alors dis-moi comment je peux te rendre plus heureuse ?

 – Tu me ferais énormément plaisir si tu acceptais (elle regardait la chatte de Sophie)

 – Que je me fasse raser par toi ? C’est ça que tu veux, minet d’amour?

 – Tu serais encore plus nue que nue. Tu serais mon bébé à moi. S’il-te-plaît, ma biche ? »

 Le ton était presque suppliant. L’idée excitait toutefois Sophie qui anticipait déjà les caresses de la lame habilement maniée par son étudiante en médecine préférée.

 « Je suis à vous, Docteur, répondit-elle en souriant, et mon groupe sanguin est O positif.

 – Je crois que les transfusions ne seront pas nécessaires. »

 Sophie s’installa sur le siège de toilette, jambes écartées, et sa compagne amorça la procédure. Application de mousse à raser et coups de rasoir commencèrent à donner un nouveau look à ses parties intimes. Les deux filles en profitèrent pour se commémorer des souvenirs cocasses :

 « Tu te rappelles, commença Sophie, quand nous révisions nos examens d’université, à la maison après nos cours?

 – Oh oui, répondit Alicia en continuant ses gestes, on s’assoyait en position de lotus, face à face, sur le plancher du salon. Nous portions toujours des jupes.

 – De sorte que chacune savait quelle petite culotte l’autre portait chaque jour.

 – La dernière fois, reprit Alicia, le jour de tes dix-huit ans, tu me regardais d’un air bizarre.

 – Et comment ! Ce jour-là tu ne portais pas de sous-vêtement, je voyais toute ta chatte !

 – Tu avais de la difficulté à garder le nez dans ton livre. Tu regardais toujours par-dessus !

 – Mais je m’amusais à te regarder, dit une Sophie au visage illuminé.

 – Et moi, je m’amusais à te regarder me regarder ! On ne parlait pas mais tes yeux semblaient dire : Tu sais que ce n’est pas correct, tu n’as pas le droit de faire ça, on en était convenu !

 – Et tes yeux et ton sourire semblaient me répondre : ben quoi ! Si je triche, c’est bien la preuve qu’on applique une convention !

 – Quel était le thème de l’examen, ce jour-là ?

 – Tu ne te souviens pas ? L’anatomie du sexe féminin !»

 Ayant pouffé de rire, les amoureuses changèrent de position :

 « À quatre pattes maintenant, mon chou, je suis rendue à ton anus. »

 Sophie s’exécuta. Tout fut complété en moins de dix minutes. Espiègle, Alicia appliqua une lotion d’alcool sur la région rasée.

 « Aïe, ça brûle, ce truc ! Qu’est-ce que tu fais là !?

 – C’est de l’alcool. Ne crains rien, tu n’auras pas le feu au cul longtemps ! »

 Devant le miroir, Sophie admira sa nouvelle apparence. Elle se trouvait plus sexy, plus désirable. Elle était heureuse de plaire davantage à Alicia et :

 « Oh ! Comme c’est doux au toucher ! J’ai retrouvé mon minou de petite fille !

 – Tu es à croquer, mon amour. Alors, ces petits cadeaux ? »

 Toujours nues, poudrées et Sophie maintenant à poil mais sans poil, les deux filles se retrouvèrent assises sur le lit, pour un échange érotique de présents.

 « Voilà pour toi, chérie, dit Alicia à Sophie, en lui tendant une boîte emballée de trente centimètres sur dix, ornée d’un ruban bleu.

 Sophie lut d’abord la carte qui y était jointe : Chère Sosoph, permets-moi de t’offrir ce petit rien, à l’occasion de notre union. Puisse-t-il te procurer des heures de bonheur. Je t’aime, ma biche et te promets affection et protection pour l’éternité. Ton gros minet, Alicia, qui t’aime.

 Défaisant fébrilement le papier de soie, Sophie découvrit un gode-vibrateur tout à fait alléchant, accompagné d’une fiole contenant un liquide blanchâtre :

 « Eh ! Un gode éjaculateur ! Il a l’air d’un vrai pénis. Il a son méat urinaire !

 – Tout à fait, répondit Alicia. On remplit les testicules en y versant le liquide de notre choix. Par exemple, du lubrifiant personnel, ou du faux sperme. Une pression sur la poche libère un jet de liquide et on continue.

 – C’est too much !

 – Et on a le choix d’actionner ou non le vibrateur, selon les besoins.

 – J’aimerai l’étrenner ce soir. Encule-moi avec, Alicia, cette nuit ?

 – C’est ce que pensais. Je vais le rentrer dans ton beau petit derrière avec grand plaisir. Mais n’avais-tu pas quelque chose pour moi ?

 – C’est vrai, répondit Sophie qui se voyait déjà avec le gode bien enfoncé dans le fond du trou de cul. Voici pour toi. »

 À son tour, Alicia déballa la boîte et lut la carte : Mon gros minet d’amour, accepte ceci de ma part, en espérant que ça nous fera passer des soirées très très agréables. Je m’engage à te donner tout mon amour et toute ma soumission et ce pour la vie. Je t’aime. Ta biche, ta Sophie.

 Sous le papier de soie que contenait la boîte, Alicia découvrit un ensemble tout à fait particulier : deux paires de menottes en métal roses, différentes sangles de cuir, un bâillon et un collier de cuir assorti d’une longue chaîne. Elle dirigea un regard faussement réprobateur tout en souriant vers Sophie qui avoua candidement :

 « Ce sera pour nos petites soirées sado-maso. Gode non inclus. »

 Alicia referma la boîte et se leva. Mettant en marche son lecteur CD, on y entendit les premières mesures du Bolero de Ravel.

 « Approche ici, mademoiselle la p’tite maso ! »

 Sophie se leva et s’approcha de sa compagne. Aucun mot ne fut prononcé. Toujours nus et parfumés de talc, les deux corps s’enlacèrent dans un baiser aussi langoureux que la mélodie qui invitait maintenant les amoureuses à entamer la consommation complète de leur union.

 Alicia s’accroupit et, saisissant Sophie qui poussa un cri de surprise sous les épaules et les genoux, la souleva du sol, et, après avoir pivoté deux fois sur elle-même, la déposa délicatement sur le lit défait.

 À cette heure qui avançait dans la nuit, aucune règle ne s’appliqua plus. Les deux tourterelles s’ébattirent dans le lit, s’embrassant, s’enlaçant et se touchant maintenant sans aucune contrainte, sans aucun tabou, complètement libres de leurs mouvements et de leurs pulsions. La bouche et les lèvres d’Alicia parcoururent la gorge et les épaules de Sophie. Ses mains caressèrent ses seins et les portèrent à sa bouche. Sa langue en chatouilla les mamelons qui n’attendaient que le moment de sentir sur eux ses lèvres pulpeuses. Les mains de Sophie parcouraient le dos de sa compagne en direction de ses fesses affermies pour finalement les écarter et atteindre son petit trou qu’elle frotta doucement dans l’espoir de le sentir ramollir et accepter un début de pénétration.

 Sophie se retrouva sur le dos, les jambes ouvertes, son sexe complètement dénudé qui sentait la brise fraîche du ventilateur du plafond, et vit Alicia s’allonger devant elle, la tête entre les cuisses. Elle ferma les yeux et attendit en respirant lentement et profondément. La musique gagnait maintenant en intensité. Des mains se posèrent sur ses hanches alors que son bouton d’amour commença à goûter aux frétillements de la langue de sa collègue d’université, de sa co-équipière de labo, de sa capitaine de volley. Sophie vivait le plus beau moment de sa vie, en compagnie de celle à laquelle elle s’était complètement abandonnée.

 Les gémissements de plaisir stimulaient Alicia et l’encourageaient à garder le rythme sur le clitoris de Sophie qui se cambrait sur les fesses, avide de plus de sensations. Mordillant le bouton d’amour de ses lèvres, elle sentit durcir ce dernier et amena Sophie à un orgasme au cours duquel elle perdit de nouveau une partie de ses urines.

 Laissant reposer son amoureuse, Alicia se leva et prépara le gode-vibrateur donné en cadeau à cette dernière en faisant le plein de lubrifiant et en insérant les piles. Sophie s’était retournée sur le ventre, un sourire de béatitude et de satisfaction au visage. Alicia la retrouva et s’allongea près d’elle, en position ventrale également.

 « Ali, c’était merveilleux. Tu m’as comblée, gros minet.

 – Et ce n’est pas fini, j’ai un devoir à terminer avec toi.

 – Dis-moi pourquoi tu tenais à me sodomiser dès le premier soir ?

 – C’est qu’à défaut de pouvoir dire que je fus la première à t’enculer, je pourrai sans prétention toujours affirmer que j’aurai été la dernière.

 – Tu évoques de tristes souvenirs, Ali.

 – Je suis désolée, ma puce. Je viens seulement chercher ma consolation.

 – Alors, console-toi. Maintenant. Je suis propre.  Mon petit trou d’amour t’attend avec impatience.

 – Laisse-moi d’abord te conter un rêve que j’ai fait à plusieurs reprises à notre sujet. »

 Alicia actionna le vibrateur qui commença à parcourir, de haut en bas, le dos de Sophie.

 « Dans ce rêve, nous sommes à la plage, par une chaude journée d’été. Nous avons toutes les deux dix-huit ans. Étendues sur le sable, comme maintenant côte à côte, dos au soleil, nous nous regardons tendrement. Tu me fais des petits sourires coquins, nous ne parlons pas. Ma main se lève, se pose sur ton dos et commence à frotter doucement ton épiderme chauffé par le soleil. (Ce faisant, le gode fait des allers-retours sur le dos de Sophie).

 « Je détache ensuite ton soutif et tu me fais de faux yeux de reproche en gardant le sourire. Ma main parcourt tout ton dos et s’aventure au fond de tes reins, pour remonter sur tes fesses cachées par ta culotte de bikini. (Elle passe maintenant le vibrateur sur les deux fesses de Sophie).

 « Je redescend de nouveau ma main sur tes reins et la remonte de nouveau mais cette fois sous ta culotte. Mes doigts sont dans ta raie, ils la parcourent jusqu’en bas. (Ali fait passer le vibrateur directement dans la raie en direction de l’anus sur lequel elle fait relâcher un premier jet de lubrifiant).

 « De chaque côté de ta rondelle, mes doigts jouent avec tes petits poils de derrière. J’en tiraille quelques-uns. Le côté de mon index chatouille ton anus dans un délicat va-et-vient.

 « Toi, tu me regardes toujours, souriante et apparemment ravie. Tu te cambres même un peu pour permettre à ma main d’atteindre ton minou. Mes doigts s’y retrouvent donc et je ramasse toute la mouille que je peux y trouver, puis tu reviens à plat sur le sable chaud. Ta culotte bien descendue par les mouvements de ma main, j’introduis doucement un doigt dans ton petit trou de cul, encore bien serré, puis j’attends. (Alicia commence à introduire le vibrateur dans son anus, puis commande une nouvelle injection de lubrifiant dans le canal anal, pendant que Sophie garde les yeux fermés, la bouche ouverte, dans l’attente).

 « Doucement, ton petit trou se relâche et accepte son visiteur. (Le vibrateur chemine lentement dans le rectum dans de légers mouvements de va-et-vient. Elle l’enfonce presque jusqu’aux testicules. Sophie se mord la lèvre inférieure, puis se remet à sourire).

 « Tu sembles prendre plaisir à la présence de mon doigt dans ton derrière. Je sens ton anus se serrer et se desserrer autour de lui. Je remplace l’index par le majeur. Il se rend plus loin. J’aime quand il entre en contact avec tes petites crottes. J’ai l’impression que tu n’as plus de secret pour moi, plus rien à me cacher. Je connais maintenant toute ton intimité. Tu m’appartiens complètement. »

 Sophie était ravie du récit qui accompagnait parfaitement les sensations vécues au temps présent. Elle désirait cependant plus d’intensité dans cette nouvelle expérience anale.

 « Passe en arrière de moi, Ali, et enfonce-le profondément. Prend possession de ce fion comme personne ne l’a encore fait. Vas-y mon minou, je suis prête. »

 Alicia se retira quelques minutes afin de remplir le gode d’un liquide crémeux et parfumé imitant le sperme. Elle le fixa à son harnais dont elle se ceignit. Elle se plaça derrière Sophie qui adopta la position de soumission, fesses en l’air, tête sur l’oreiller.

 Le vibrateur en fonction fut soigneusement réintroduit par Ali qui, par des coups de bassin, lui imprima de longs et lents mouvements. Alicia adorait entendre le son du moteur s’assourdir comme elle le gardait enfoncé dans le rectum jusqu’aux testicules, avant de reprendre les mouvements.

 De nouveaux gémissements se firent entendre alors que Sophie ordonnait un deuxième orgasme à son bouton d’amour. Au même moment, ayant agité frénétiquement pendant quelques secondes l’instrument dans le derrière de son amoureuse, Alicia ralentit sa cadence en libérant tout le sperme dans le rectum de Sophie qui en sentit la fraîcheur envahir son ventre. La reprise des mouvements rythmés guidés par Alicia et les stimulations clitoridiennes de Sophie eurent raison de cette dernière qui, poussant un long gémissement de plaisir, retomba sur le ventre, violemment prise de secousses orgasmiques, se libérant du gode, le derrière dégoulinant de sperme, rendant le fond de sa raie plus glissante que jamais.

 Se replaçant entre les cuisses de sa conjointe, Alicia s’allongea derrière elle et lui écarta les fesses qu’elle essuya de sa langue tout en tentant de récupérer et d’avaler le liquide qui s’échappait lentement du petit trou. Alors que Sophie sortait lentement de sa transe, elle remonta dans le dos de cette dernière et fit de nouveau entrer le gode dans son anus tout en s’appuyant sur les bras et reprit d’agréables stimulations dans le petit trou d’amour qui replongèrent la cochonne enculée dans un nouveau paradis de jouissances anales.

 Le temps semblait s’être arrêté pour les deux tourterelles.

 Les filles se retrouvèrent par la suite côte à côte sur le lit.

 Laissant sa copine reprendre ses forces, Alicia dut elle-même s’accorder une période de repos, haletant comme un homme qui viendrait juste de servir son ou sa partenaire.

 Ayant exprimé quelques gaz mouillés de sperme, Sophie porta la main à son derrière froid et gluant de ce foutre synthétique et goûta à son tour le liquide dont elle venait de se faire fourrer. Elle embrassa ensuite sa conjointe qui l’avait rejointe sur l’oreiller.

 « Tu fais jouir mon conin comme une déesse et tu m’as cochonnée comme une championne. Je suis plus que comblée.

 – Tu es adorable. Je n’ai jamais trouvé ton petit derrière si délicieux. Tu t’es laissé posséder sans retenue. J’ai tout pris de toi, ma biche. Je t’aime.

 – Pas tout à fait, bébé, corrigea Sophie dont la rondelle molasse laissait encore échapper quelques effluves blanchâtres. Ta conjointe est toujours vierge. »

 Elle se plaça dans le dos d’Alicia et amorça un massage érotique. Des épaules aux fesses, elle pétrit les muscles développés de sa capitaine de volley et lui fit une ultime requête :

 « Prends-moi totalement Ali, dépucèle-moi au complet, je t’en prie. Je veux que ma nuit de noces se termine par une défloraison. »

 Elle retourna sur le matelas qu’elle continuait de mouiller, face au plafond, jambes ouvertes :

 « Finis ta job, je t’en supplie, mon amour ! dit-elle au bord des larmes. C’est aussi important pour moi que cet acte de sodomie l’était pour toi. J’ai tout fait ce que j’ai pu pour garder l’intégrité de mon vagin. Pour toi. Viens, je t’aime!»

 Alicia avait compris le message. Sophie avait droit à cette noble requête. Aussi avait-elle déjà commencé, à l’abri de ses regards, à troquer le gode éjaculateur qui venait de posséder la rondelle de sa copine pour un autre instrument plus propre. Sophie attendait, les yeux mouillés et fermés, espérant voir son vu réalisé.

 « Ali, viens, je t’en prie ! commença à sangloter Sophie, désespérée.

 – J’arrive, mon bébé, ne pleure pas, me voici. »

 Alicia s’approcha d’elle, lui apposa un baiser sur le front, puis sur la bouche, puis la saisit par les cuisses et les fesses pour mieux la positionner. Sophie sentit un objet familier frôler ses cuisses et rouvrit les yeux. À sa grande joie, elle aperçut Alicia, son Alicia, portant sur elle le gode qui l’avait analement déflorée deux jours plus tôt, sur le point de combler ses attentes. La vierge enlaça sa compagne pour bien la retenir sur elle et attendit fébrilement. L’étreinte fut si forte que son anus se remit à chanter. Le pénis artificiel balaya les petites lèvres de haut en bas, glissant jusqu’au clitoris. Les yeux refermés, Sophie revécut les moments passés la veille avec son père. Le gode prit appui contre l’hymen, à l’entrée du trou d’amour, et s’immobilisa. Sophie ne put retenir quelques mouvements de cambrure pour encore mieux sentir l’objet à l’entrée de son vagin.

 « Voilà, ma puce, voilà, dit Alicia d’une voix douce qui n’était pas sans rappeler celle de Jasmine. »

 Une légère poussée, et le faux pénis s’enfonça en douceur dans le vagin de Sophie qui exprima un cri aigu et court, traversant un hymen qui éclata de joie. L’abondance de mouille permit un trajet complet de l’instrument qui vint buter contre le col de l’utérus, laissant Sophie en ressentir le contact jusque dans son ventre qui frémit de plaisir. Alicia donna coup de bassin sur coup de bassin, augmentant l’intensité du plaisir chez la nouvelle dépucelée qui commença à éprouver son premier orgasme vaginal. Le clitoris hurlant de joie, Sophie eut tôt fait de connaître un nouveau paradis érotique, jouissant à la fois par son clito et par un vagin en pleine contractions.

 Unies dans un coït parfait, les deux femmes se mirent à rouler dans le lit. Les langues se liaient et se déliaient dans un échange ininterrompu de baisers et de mordillements affectueux.

 Sophie se retrouva finalement sur Alicia qui, sur le dos quant à elle, tenait le gode toujours bien planté dans le trou d’amour de sa compagne. Cette dernière se dégagea de l’objet, et se mit à jouer dans les cheveux de sa compagne, sourire aux lèvres. Sans dire un mot, Sophie se redressa, agrippa le faux pénis, le dirigea vers l’entrée de son anus et se laissa descendre. Elle refit connaissance avec le gode qui l’avait analement déflorée deux soirs auparavant, sous les commandes de sa mère.

 Par des mouvements déchaînés, assistée de son amoureuse qui la tenait par la taille, toujours au son langoureux du Bolero, Sophie rechercha de nouveau le premier plaisir sexuel qu’elle connut dans sa vie, assise et se mouvant sur sa nouvelle conjointe, alors que quelques gouttes de sang mêlées de cyprine venaient maculer la toison couleur d’ébène de celle avec qui elle s’était engagée pour la vie.

 (Y aura-t-il une suite ? Merci de me faire part de vos commentaires)

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