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Lucile amoureuse salope – Chapitre 5




Lucile amoureuse salope.

5 Première étape dune transformation

Lucile regardait son mari transformé avec lair le plus sévère dont elle était capable et pouvait constater quil semblait vraiment apprécier le jeu. Les initiatives quil avait prises étaient la preuve de son accord tacite pour sa féminisation et sa soumission. Elle cherchait ce quelle pouvait lui reprocher lorsquelle vit la boite que Marc tenait dans son dos.

Bon ! Peux-tu me dire ce que c’est que cette boite que tu caches derrière ton dos ?

C’est un cadeau pour vous de la part d’Angélique.

Et c’est maintenant que tu me le donnes ?! Je crois que tu vas finir par prendre une belle correction si tu ne fais pas plus attention ! Voyons voir ça…

« Très chère Lucile, j’ai été ravie d’avoir la visite de ton petit cocu de mari cet après-midi. Il a, non seulement, assuré mon chiffre d’affaire, mais en plus, il m’a permis de m’amuser un peu. Sans sa visite, la journée a été particulièrement calme…

De toute évidence, tu ne devrais pas avoir trop de mal à la dresser car elle est déjà très obéissante. Je lui ai proposé d’acheter un certain nombre de choses pour accompagner ses chaussures car il ne faudrait pas que tu lui confies tes dessous. Ce genre de petite pute ne mérite pas une telle gratitude de la part de sa maîtresse. J’ai donc pris les devants et j’espère que tu ne m’en voudras pas trop.

Comprenant que tu souhaitais féminiser un peu (beaucoup?) ton mari, je te suggère de lui trouver un nom un peu plus sexy et plus adapté que Marc. C’est très pratique pour entamer les séances de soumission. Tu l’appelles par son prénom de petite soumise et elle sait alors ce qu’elle doit faire… Tu verras à lusage que c’est très utile.

Pour compléter sa panoplie, je me suis permise de lui offrir un petit tour de cou ; elle l’avait bien mérité. Mais comme, tu es sa maîtresse, il m’est paru normale que toi aussi tu reçoives l’expression de ma gratitude. Tu trouveras donc dans cette boite, un sachet contenant le caleçon souillé de sperme de ton mari, attestant du plaisir évident qu’elle a eu à s’exhiber nue dans ma boutique et devant moi, ainsi que deux objets qui te seront très utiles pour parfaire son apprentissage. J’espère que tu me la ramèneras de temps en temps quand tu en auras fait une petite esclave soumise.

Bonne soirée, amuse-toi bien, bises, Angélique. »

Et bien petite salope ! Tu as fais des tiennes devant ma copine ? Tu n’as pas honte ?!

Si Maîtresse, je…

Tais toi ! Je ne veux rien entendre mais tu ne perds rien pour attendre, traînée ! Ah ! Voilà donc ce fameux caleçon… Et bien ma cochonne ! Tu ne vas pas me faire croire que tu ne t’es masturbée qu’une fois ?

Si Maîtresse, je vous jure…

Ne jures pas pouffiasse ! Tu n’as jamais éjaculé autant ! Je ne te crois pas. Ah ! tiens, un plug anal ? Il a une belle dimension, ma foi… Elle a mis un post-it : « Pour bien écarter sa rondelle, à faire porter sans modération. » Voilà un cadeau qui est plus pour toi que pour moi… Voyons maintenant ce que contient cet étui. Le post-it dit : « Qui aime bien châtie bien… fais attention quand même. » Oh oui ! Quelle belle attention ! Une magnifique cravache. Voilà qui va m’être très utile effectivement… Penche-toi en avant et pose tes mains sur le bord du lit que je vois bien ton cul. Il est tant que je te corrige de ton insolence, de ton impolitesse et de ta prétention. Combien de choses as-tu acheté en plus des chaussures ?

J’ai acheté deux porte-jarretelles, trois paires de bas pour aller avec et deux paires de bas résilles.

Bien, ça fait sept, plus le tour de cou, huit, plus le manquement à mes instructions, neuf et ton impolitesse à l’égard de Marcel, on est a dix. Tu sais donc ce qui t’attend ?

Oui, Maîtresse, vous allez me donner dix coups de cravache pour me punir de toutes ces bêtises.

Madame Lucile, vous constaterez comme moi que ça n’a pas l’air de lui déplaire ; voyez comme elle bande !

Oh la cochonne ! Voilà qui est assez ! (Clack ! Un premier coup s’abatit, cinglant sur les fesses blanches de Marc, laissant une première zébrure rouge dans tout leur travers.) Un ! (Clack!) Deux ! (Marc serrait les dents, s’efforçant de retenir tout son dans sa gorge… Clack !) Trois ! (Clack!) Quatre !

Lucile faisait attention à ne pas placer deux coups au même endroit. Le fessier de sont mari commençait à chauffer sérieusement. Les coups se suivaient avec la régularité d’un métronome, cinq, six, sept, huit. Marc n’avait encore rien exprimé mais sur ses joues coulaient de grosses larmes. Chaque coup porté accentuait la sensation de brulure mais il ressentait au fond de lui quelque chose de paradoxal. La douleur qu’il éprouvait n’avait rien enlevé à son excitation. Au contraire, son sexe se gonflait d’avantage et il en bavait d’aise… A côté de lui, Marcel, semblait apprécier le spectacle et se masturbait doucement. Il ne put cependant tenir son silence pour les deux derniers coups.

Marc pleurait, bavait de la bouche et du sexe et implorait le pardon de sa maîtresse en promettant de ne plus jamais lui désobéir. À l’issu du dixième coup, Lucile lui intima l’ordre de rester dans cette position. Elle admira son travail et constata que même si elle n’avait pas vraiment pris de plaisir à le cravacher, le spectacle de son cul offert et malmené l’avait excitée. Elle le caressa un peu, l’embrassa ; il était brûlant. Elle prit dans son armoire le gode ceinture qu’elle avait acheté il y a si longtemps et s’en équipa. Marc n’avait pas bougé dun pouce et conservait sa position indécente. Lucile se repositionna derrière lui et après avoir enduit de gel son pénis artificiel et la rondelle de son mari, elle entrepris de lui ôter sa « virginité ».

Marc sentit la pointe de latex appuyer sur son illet. Il eut un moment de surprise mais son corps s’abandonna au désir de sa maîtresse. Il poussa un peu, sa rondelle céda et le dard de plastique s’enfonça de moitié dans son fondement en lui arrachant un cri de douleur. Par réflexe, il lança une main vers cet intrus pour bloquer sa progression. Marcel profita de cette ouverture pour se glisser devant lui et lui plonger sa bite souillée au fond de la gorge, coupant net toute possibilité d’expression du pauvre mari enculé. Lucile, consciente de la douleur que devait ressentir Marc resta immobile tout en l’encourageant.

C’est bien ma jolie… Je vais faire de toi une vraie femme maintenant. Détends-toi et ouvres bien ton joli petit cul. Tu vas voir, ça va aller tout seul.

Marc fit comme elle lui demandait. De sa main libre il écartait une fesse puis il changeait de main pour garder son appui sur le lit et s’écartait l’autre fesse. Alors, Marcel vint à son secours et de ses deux mains écarta largement ses globes pour faciliter le passage au sexe factice. Marc l’avait toujours en bouche mais ne lui suçait que le bout. Il avait besoin de reprendre sa respiration. La douleur de l’intrusion l’avait fait débander mais la situation réveillait son excitation. Il se faisait enculer par sa femme et suçait son amant.

Marc nettoyait cette bite qui peu de temps encore se trouvait plongée dans les entrailles de Lucile, dans le cul de sa maîtresse. Il fini par céder complètement et s’enfonça de lui même sur le pieux de latex… Lucile, encouragée par cette initiative se mit à bouger. Elle pilonnait son mari et l’envoyait, à chaque coup, s’enfoncer le sexe tendu de Marcel dans la gorge. Le ramonage qu’il subissait lui procurait des sensations nouvelles et même si sa bite n’avait pas retrouvé une totale rigidité et restait, pendante, à moitié bandée entre ses jambes, elle recommençait à baver. Sa jouissance croissait ainsi que celle de Marcel qui le faisait entendre. Lucile éprouvait un plaisir non moins grand à se voir enculer son cocu de mari nallait pas tarder à sen prendre plein la gorge, directement à la source. Du coup, dans sa frénésie elle se mit à crier une succession de « Oh Oui ! » Qui eurent raison de l’endurance de son amant. Marcel, dans un long râle, se déversa dans la gorge de Marc qu’il maintenait fermement, le nez dans les poils de son pubis. Ce dernier ne pouvait plus respirer et cru vomir quand sa gorge fut inondée de semence mais il ravala le tout en se dégageant. De sa bite mole s’écoulait un flot continu de sperme. Il jouissait de cette soumission et de sa première sodomie.

Une fois que Lucile fut sorti de son cul et que Marcel l’eut lâché, Marc s’effondra sur le tapis, au milieu de sa mare de sperme. Lucile le laissa reprendre ses esprits et lui intima l’ordre de l’accompagner dans la salle de bain. Elle invita également Marcel à venir participer à la toilette. Marc eu droit à une douche d’un nouveau genre puis il dut laver Lucile et son amant avant de se laver lui même. Ensuite, Lucile lui demanda de remettre son porte-jarretelle, ses bas et d’enfiler une culotte. Elle même passa un string et une nuisette et proposa à Marcel un peignoir. L’heure était venue de passer à table.

En entrant dans le salon, elle fut heureuse de le retrouver si ordonné et quand elle arriva au coin repas, elle fut très satisfaite du zèle de son mari. Elle décida de baptiser sa petite esclave à l’apéritif. Elle la nomma « Jeanne » en souvenir de la femme de chambre très dévouée de son grand-père… Ils inventèrent une cérémonie en versant quelques gouttes de champagne sur sa tête. Jeanne était agenouillée devant son « Parrain Marcel » qui ne pu résister à l’envie de se faire sucer un peu, même si son sexe désirait maintenant un peu de repos. Lucile décréta que la marraine serait Angélique qu’elle appela pour lui annoncer et la remercier de ses cadeaux.

Le temps du repas, Jeanne redevint Marc, le « Cocu Chéri » de Lucile. Ils en profitèrent pour se poser toutes les questions qu’ils avaient en suspend. Lucile expliqua sa stupeur du matin quand elle apprit qu’elle faisait partie d’une clause secrète d’un accord commercial. Elle raconta aussi la façon avec laquelle Marcel et Robert se l’étaient partagée, les sentiments qu’elle avait éprouvés pour Agnès, la discussion qu’elles avaient eu toutes les deux et d’où était née son envie de donner naissance à Jeanne et le jeu dans lequel elle avait voulu rentrer en transformant leur appartement en lupanar.

Marc raconta son après-midi en commençant, bien sûr, par ce qu’il avait ressenti après le coup de téléphone fatidique de Lucile. Ils rirent de l’anecdote du haut-parleur. Marc dit que ce fut sans doute pour lui la journée la plus humiliante de sa vie. Il raconta la discussion avec Jean-Paul qui l’avait amené à avouer à son collègue qu’il était cocu et content de l’être, lui dévoilant en même temps son désir d’être soumis et humilié par Lucile, au moins de temps en temps… Il raconta comment il s’était organisé pour avoir le plus de temps possible pour trouver des chaussures, la honte qu’il avait ressenti en expliquant à Angélique qu’il voulait des chaussures pour lui. Ils rirent encore quand il raconta la moquerie de la vendeuse du Miniprox et puis il aborda la description de ses essayages. Alors, comme ils en étaient au fromage, Lucile lui demanda de leur jouer la scène mais comme il affichait une petite réticence à se montrer en spectacle, elle reformula sa demande avec un « S’il te plaît Jeanne » qui ne laissait aucune alternative. Jeanne s’exécuta. Sa reproduction était fidèle dans les moindres détails.

Lucile, sous ses indications joua le rôle d’Angélique pour l’aider à prendre la bonne position ou à enfiler ses bas. Il remplaça son caleçon par sa serviette de table et enfila pour le plus grand plaisir de ses spectateurs son mini-slip. Sa prestation terminée, Jeanne redevint Marc. Il passa assez vite sur le reste de sa soirée qui était connu de tous, seulement pour dire qu’il n’aurait jamais cru pouvoir ressentir une telle excitation à prendre des coups de cravache. Alors Lucile avoua qu’elle n’y avait pas vraiment pris de plaisir même si la vision du cul meurtri l’avait finalement excitée. C’est à ce moment là, et parce que Marcel leur conseilla de le faire, qu’ils se mirent d’accord, tous les deux, sur un code pour dire « stop, ça va trop loin ».

Marcel curieux, les interrogea sur le pourquoi du comment ils en étaient venu à cette relation de cocuage d’abord et de soumission et humiliation ensuite. Ils expliquèrent à deux voix l’évolution de leurs plaisirs et l’attention qu’ils portaient, tous les deux, aux désirs, même les plus secrets, de l’autre. Marcel se déclara vraiment admiratif et les félicita tous les deux pour tant d’amour et tant de respect. Lucile embrassa Marc et conclut en regardant Marcel : « Il préfère être Mon Cocu et notre sexualité, et la sienne en particulier, vient de prendre encore un nouveau tournant aujourd’hui avec la naissance de Jeanne, mais quoi qu’on fasse et quoi qu’on dise, il reste toujours mon Chéri. »

Après le dîner, Jeanne reprit du service ; Lucile voulait qu’elle apprenne à satisfaire un homme comme il faut. Elle eut d’abord droit à des cours de fellation avec plusieurs séances de travaux pratiques, dans le salon puis dans le lit où elle se donna enfin à Marcel, sous le regard attentif de sa maîtresse. Jeanne se sentait vraiment bien. Elle jouit abondamment quand elle sentit son partenaire remplir ses entrailles. Lucile qui s’était masturbée devant le spectacle jouit en voyant le flot de sperme qui s’écoulait de l’appendice pourtant ramolli de sa « petite Jeanne ». Quand Marcel ressortit de ses entrailles, Jeanne dut le nettoyer. Sa bouche de Jeanne semblait vraiment faite pour ça, aussi Lucile décida d’en profiter et lui intima l’ordre de la suivre aux toilettes où avec beaucoup de zèle et d’application, la bouche Jeanne remplaça le papier.

Deux jours s’étaient écoulés depuis cette mémorable journée passée en compagnie de Marcel. Le compte en banque de Lucile avait connu un dépôt exceptionnel mais son cul se remettait difficilement des assauts répétés du vieux légionnaire. Seule Jeanne avait le droit d’y toucher et uniquement avec la langue, et dieu sait si cette langue faisait du bien à Lucile. C’était un doux massage pour sa rondelle meurtrie. Elle ne pouvait plus se passer des sensations de bien être et d’apaisement de ces délicates feuilles de rose.

Le soir, quand Marc rentrait, il changeait instantanément de peau pour devenir Jeanne. Oh, il n’avait pas grand-chose à faire puisque Lucile avait mis au point de lui imposer de porter ses culottes de dentelle et des bas, avec ou sans porte-jarretelles, sous son pantalon. Il n’avait qu’à retirer son costume, sa cravate et sa chemise pour devenir Jeanne et servir sa maîtresse selon ses désirs et, en bonne soumise, se plier en quatre pour la satisfaire sans jamais se plaindre.

Pendant plusieurs jours, elle ne supporta plus aucun contact avec un « corps étranger » sur son anus irrité. Même le plus doux des papiers toilettes lui faisait l’effet d’un gant de crin ou d’une toile émeri. Heureusement que Jeanne était là pour soccuper de son intimité ; elle avait instinctivement trouvé le moyen de ne pas lui faire mal. Au contraire, elle la soulageait tout en la nettoyant efficacement. Lucile décida donc qu’elle n’utiliserait, dorénavant, rien d’autre que la langue de Jeanne pour torcher son cul.

La langue de Jeanne fut, pendant cette semaine terrible qu’une bien maigre consolation pour Lucile. Cette irritation particulièrement désagréable lui avait imposé d’abandonner momentanément le port du string car le contact de la lanière sur son illet, qu’elle appréciait tant normalement, lui était une véritable torture. Elle avait également été contrainte de réduire ses rapports ; beaucoup de ses amants ne pouvaient pas s’empêcher de lui toucher le trou du cul ou d’y enfoncer un doigt. Du coup, elle avait été obligée de les frustrer et de les éviter… Elle l’avait vraiment mauvaise. Cette abstinence forcée lui pesait énormément. Elle avait les nerfs à cran, mais sefforçait de ne pas le montrer. Évidemment, Marc/Jeanne ne mit pas longtemps pour s’en apercevoir.

Madame Lucile, est-ce que vous me permettez de vous poser des questions ? Je vous connais bien et je vois que vous n’allez pas bien… Je voudrais pouvoir vous aider.

Jeanne ! Tu sais que tu n’es pas autorisée à m’adresser la parole sans autorisation ! Comment oses-tu ? Une bonne esclave ne se comporte pas comme ça. Si j’ai besoin de me confier à quelqu’un, j’ai mon mari pour le faire. Tu as compris ?

Oui Madame, mais si Marc n’est pas là, je peux peut-être vous aider…

Petite insolente ! Si je veux me confier à toi, je le fais de moi-même. Je vais t’apprendre à conserver ta place de petite pute soumise. Mets toi à quatre pattes sur le divan, enlève ta culotte et relève bien haut les fesses en écartant les jambes… Bien et maintenant tu ne bouges pas et tu attends !

Bien Madame. (Lucile s’absenta une minute à peine puis se positionna debout à côté de Jeanne. Elle posa à proximité du visage de Jeanne toute sa collection de godes ainsi que l’énorme plug offert par Angélique.)

Tu veux savoir ce que je ressens et bien je vais commencer par te chauffer le cul et la rondelle ! Ensuite, tu prendras tous ces objets dans ton cul de salope, du plus petit au plus gros car, sans gel, je vais bien être obligée de t’élargir progressivement ! (Clack! Un premier coup de cravache tomba sur le cul de Jeanne.) Compte ! Puisque tu veux parler.

Un (Clack!), deux (Clack!), trois…

Lucile changea alors de position et grimpa au dessus de Jeanne pour pouvoir appliquer des coups sur chaque globe et sur toute la longueur de la raie de son cul. Elle commença par la fesse gauche puis la raie du cul. La force de ses coups étaient à la hauteur de sa frustration, le bout de la cravache s’était écrasé sur l’anus de Jeanne qui eut beaucoup de mal à dire cinq. Elle poursuivit sur la fesse droite et revint à la raie du cul pour quatre derniers coups dont deux vinrent frapper les couilles pendantes de sa petite esclave. Jeanne s’effondra, la croupe meurtrie. Ses yeux étaient gonflés de larmes bien qu’elle sefforçait de retenir ses sanglots.

Pourquoi est ce que ton cul m’excite tant quand il est dans cet état ? Salope ! Demanda Lucile incontrôlable.

Lucile glissa deux doigts dans sa chatte et les enfonça ensuite, d’un coup dans le cul de Jeanne.

Aaah !

Ne joue pas les saintes nitouches ! Tiens suces mes doigts, ton cul est dégueulasse !

Jeanne suça les deux doigts quelques instants puis ils retournèrent dans son fondement. De sa main libre, Lucile se masturbait avec le plus petit de ses godemichets. Quand elle jugea la rondelle de Jeanne suffisamment assouplie, elle remplaça ses doigts par l’objet et s’introduit un gode un peu plus gros dans sa chatte ruisselante. Elle inaugurait ces deux premiers objets qu’elle avait acheté plusieurs mois au par avant dans l’intention dinitier Marc à la sodomie, sans trouver le bon moment. Comme pour ses doigts, elle activait le gode dans le cul de son esclave, le ressortait pour lui faire lécher puis le réintroduisait sans ménagement dans ses profondeurs obscures.

Comme elle voulait, pour elle même, passer à plus gros, elle changea encore une fois. Elle se masturbait maintenant avec « Joe », l’un de ses godes favoris, un phallus en latex de couleur noir qui faisait 16 cm de long et 4 cm de diamètre. Elle et Jeanne commençaient à franchement apprécier ce petit jeu. L’abondante cyprine de Lucile lubrifiait les godemichés avant leur première visite dans les entrailles de sa soumise. La rondelle de Jeanne se dilatait de mieux en mieux et restait ouverte de plus en plus longtemps après chaque sortie du sexe factice de 14 cm par 3 cm avec lequel elle le pénétrait. Elle jouissait de cette vue et des sensations qu’elle se procurait. Elle changea de nouveau de gode. « Ben », son deuxième gode fétiche que Marc lui avait offert, un petit monstre de 25 cm de long et presque 6 de large, moulé sur la bite d’une star du X, remplaça « Joe » dans sa chatte. Avec « Joe », Jeanne avait l’impression d’être complètement remplie et commença à s’inquiéter pour la suite… « Ben » lui paraissait déjà énorme mais le plug, bien que ne faisant pas plus de 12 cm de long, en faisait bien 7 au plus large et au moins 4 en dessous… Mais Lucile connaissait son affaire et navait nullement l’intention de faire la souffrir. Elle arriverait à faire rentrer « Ben » d’abord et le plug ensuite. Elle appliquait à « Joe » de savants mouvements pour assouplir encore la muqueuse. Elle prenait plaisir à admirer le trou ouvert largement. Elle sorti « Ben » de sa chatte alors qu’elle manuvrait encore « Joe » dans le cul de Jeanne. Elle le retira d’un coup, l’anus resta ouvert et elle y plongea « Ben » qui rentra ainsi sans trop de difficulté. Jeanne émit un long gémissement de surprise et de plaisir et Lucile lui mit « Joe » entre les mains.

Nettoie le bien. Je vais en avoir besoin après.

Jeanne s’exécuta pendant que « Ben » lui défonçait le fion. Elle n’avait éprouvé aucune douleur lors de la pénétration mais elle n’en appréciait pas la longueur. Lucile s’en rendit compte et évita d’aller trop loin pour que sa petite pute soumise reste bien ouverte. Elle pris le plug anal et lenfonça dans son puits d’amour pour le lubrifier. Il était vraiment large et remplissait bien son vagin. Comme sa forme suffisait à le maintenir enfoncé, elle avait ses deux mains disponibles. Elle glissa une main sous le ventre de Jeanne en direction de son petit pénis à demi bandé pour s’apercevoir que celui-ci coulait comme un robinet mal fermé. Elle récupéra du sperme et en barbouilla le visage de sa soumise puis retourna à la source pour s’en humecter les doigts à nouveau. Cette fois, elle dirigea sa main vers le cul de Jeanne pour y étaler la semence et en oindre le pénis artificiel. Elle retourna encore une fois à cette source qui paraissait intarissable et s’en imprégna deux doigts qu’elle tenta d’associer à la pénétration en cours, sans succès. Elle n’y tenait plus, il fallait que cette petite garce se fasse dilater la rondelle une bonne foi pour toutes.

Alors, petite pédale, est-ce que Joe est propre comme il faut ?

Oooooh…ui, Maaah adame. Aaaah !

T’es en train de jouir, petite cochonne. Attends un peu !

Elle retira le plug de sa cramouille, il était brillant de sa liqueur intime et comme elle avait fait précédemment, elle profita de l’instant où l’anus restait ouvert pour le glisser dans le trou béant. Elle lenfonça d’un coup jusqu’à la partie la plus large.

Ooooooooooooooh !… Oooh…

Et bien ma chérie, pour une débutante, tu prends déjà du lourd à ce que je vois…

Elle progressa encore et l’anneau se referma sur la partie rétrécie, ne laissant apparent qu’une petite poignée.

Ooooh Madame, aaaaaaaaaaaah !

Bon, assez joué ! Dit-elle en mettant une claque à la partie émergeante du plug.

Aaaaaaah !

Tu vas garder cet objet en toi tant que je ne déciderai pas de te le retirer. Maintenant, tu peux me poser les questions que tu voulais.

Je… Ooooh, Ma…madame, je vois… bien que vous avez… des… des soucis. Au delà de… de la douleur… liée à votre ir… irritation, il… il y a d’autres choses. Vous… vous n’avez pas reçu d’amant, ni hier, ni aujourd’hui…

Arrêtons le jeu, Jeanne. Garde ton plug mais redeviens Marc pour parler de ça, s’il te plaît.

Comme… tu veux ma… ma chérie. Je vais faire… un effort pour… le supporter.

Marc respira deux ou trois fois profondément. Lucile regardait le cul zébré de rouge et écartelé par un objet hors norme et elle en ressentit une certaine honte. Elle avait besoin de lécoute de son mari, de sa sagesse et elle savait que malgré le mal quelle venait de lui faire il allait laider avec tout son amour et elle se mit à pleurer.

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