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Mes pipes nocturnes – Chapitre 1




Comme vous l’avez compris, j’aime pomper de belles queues. Alors j’ai trouvé une réserve de queues : ma réserve de chasse.

Je vais souvent sur un site de tchat gratuit, où je cherche et chasse des queues ; de belles queues uniquement. Je vais vous raconter ma dernière aventure nocturne.

Je suis sur le site depuis 30 minutes environ quand j’aborde un mec dont le pseudo est "trouvepaslesommeil". On papote ; il est hétéro (humm, j’aime les hétéros). Comme il n’écrit pas bien français, je lui demande alors s’il est du coin. Réponse : NON, Marocain.

Jadore les rebeus ; en général, belle queue circoncise, beau gland, bon jus. On papote. Il n’a jamais pratiqué le sexe avec un mec ; rien. Intéressant

Depuis quand nas-tu pas baisé ?

Cinq semaines.

Et tu ne tes pas branlé depuis combien de temps ?

Deux semaines.

Ma première réflexion, cest quil doit avoir les couilles bien pleines

On commence à parler sexe plus sérieusement ; je lui demande si ça le tenterait de se faire juste pomper par un mec, etc. Il répond positivement ; je suis surpris, mais agréablement surpris.

Monsieur y réfléchit depuis longtemps : il a envie d’essayer, et là il est en manque absolu. J’adore !

On se fixe un rendez-vous, et il arrive dix minutes plus tard. Cest un beau gosse, jeune (26 ans), bien fait. Je monte dans sa voiture, et on papote encore un peu. Il roule en direction de la sortie de la ville.

Alors quil me demande depuis quand je pompe et si je suce beaucoup, il défait sa ceinture tout en roulant. Je fais comme si je n’avais rien vu. Il ne sort pas sa queue : il a juste laissé la possibilité dune pipe roulante, mais je le laisse fantasmer. On roule encore jusquà ce que je lui indique un lieu tranquille. On arrive sur un chemin près d’une clôture ; il se gare, éteint ses feux et verrouille les portes.

Je caresse lendroit tant désiré par ma bouche : cest encore mou, mais déjà impressionnant Je passe la main sous le jeans déjà ouvert. Il recule son siège ; ma main est sur son caleçon : ça durcit ; ça m’a l’air de plus en plus joli ! Il abaisse le dossier de son siège ; je mets la main dans son caleçon (oufffff) : c’est dur, c’est doux, c’est bien veiné, et je sens sous ma main un gland très très bien dessiné.

Je baisse alors le caleçon et plonge sur ses couilles pour l’exciter encore plus. Sa queue est toujours dans ma main, frémissante : jai bien cru quelle allait déjà cracher Mais non ! Je remonte doucement ma langue sur son pieu : c’est large, c’est doux, c’est chaud, c’est bon. J’arrive sur son gland que j’engouffre en gémissant ; il gémit aussi. Je pousse le plus loin possible : il est en entier dans ma bouche et ma gorge ! Je tiens un moment ; je le sens souffler Alors je commence des mouvements de va-et-vient. Il se laisse faire ; mais j’aime qu’on soit viril avec ma bouche, alors je pompe par moi-même : je lui montre que je suis une salope et que j’en veux. Je le pompe comme cela pendant cinq minutes facile.

Il commence à me traiter discrètement de salope et de petite pute : enfin, il se lâche un peu ! Je retire sa queue de ma bouche pour lui préciser que je suis SA salope, SA pute. Il répond, un peu surpris mais très excité : « Ah oui, t’es ma salope ! » OK ! Il m’attrape enfin la tête et m’empale la bouche sur sa queue. Il me baise doucement mais assez sûrement, faisant bien en sorte de venir se coller au fond de ma gorge ; il prend sa queue et se branle doucement dans ma bouche. D’une main, il me tient par la nuque pour contrôler le rythme, une fois rapide et puissant, une fois plus lent, et il passe lautre sous mon jogging pour venir caresser mon petit trou. Sans ménagement, il y enfourne deux doigts. Je gémis puissamment, ayant un trou très très serré dont les mecs aiment forcer le passage. Il se lâche encore plus, devenant beaucoup plus entreprenant et bien plus viril : il lime ma bouche sans aucun ménagement et baise mon cul avec sa main. Soudain, il arête tout, ouvre sa porte et me dit « Sors, salope ! »

Il me traîne par sa portière, m’amène jusqu’à l’arrière de sa voiture, m’agenouille et me renfile sa queue dans la bouche. Je suis à sa merci : ma bouche est prise par un chien en rut, sa queue est vraiment bonne et mes mains s’affairent sur ses couilles. Il gémit ; il aime ça ! Apparemment, mon objectif de lui donner un max de plaisir a l’air déjà bien rempli Lui qui me disait tout à lheure qu’il ne voulait que se faire sucer me relève soudain, me tourne face à son coffre et me plaque contre ; il fourre sa main dans mon jogging et doigte puissamment mon cul ! Mes mains n’ont pas lâché sa queue et ses couilles.

Il baisse soudain mon jogging ; ma main dirige sa queue, et sans me préparer plus que cela, il met un grand coup de reins ! Il est dans mes entrailles ; j’ai mal, car je suis du genre à devoir être préparé longuement (gel, etc.) pour que ça passe bien. Mais là, j’aime ça : je suis chaud, je suis sa salope Il attend quelques secondes puis reprend ses mouvements de reins puissants. La douleur se précise ; mes jambes lâchent. Il ressort vite de mon cul. Je suis à genoux face à son coffre, mais je me retourne vite pour reprendre sa queue en bouche ; il n’attend pas : il me baise la bouche ! Ça dure pendant une petite heure ; il alterne entre mon cul et ma bouche…

Il gémit de plus en plus ; il accélère en râlant fort.

Il est dans ma bouche, ma tête est contre le grillage ; je ne suis plus qu’un objet Je me suis abandonné à lui depuis un petit moment. Mon cul est douloureux ; ma bouche est douloureuse aussi, mais ma bouche est surtout grande ouverte : d’une main il me bloque la tête tandis que de l’autre il branle son chibre énorme. Je le sens gonfler ; il souffle fort, m’insulte et mencourage en même temps. J’augmente ma succion au max. Je sens que ça gonfle encore ; c’est très gros ! C’est trop bon d’être son objet Je sens enfin ce nectar tant désiré arriver sous grande pression sous forme de jets puissants sur mon palais et sur ma langue ; il y en a beaucoup : j’avale, mais une partie coule de ma bouche ; j’avale ce que je peux. Les jets, qui se sont arrêtés pendant quelques instants, reprennent : je n’y crois pas Il a deux orgasmes rapprochés ! Je le regarde dans les yeux pendant qu’il se répand dans ma bouche.

Il me demande de surtout bien le nettoyer, de ne rien laisser ; je m’exécute. Il devient doux ; il ramollit dans ma bouche : sa bite est vraiment bonne !

On remonte dans sa voiture, on fume une clope et il me ramène. On papote pendant la route :

Tu sais, jai vraiment aimé ta bouche, et je la veux encore.

Cest daccord.

La prochaine fois, on fera ça sous la douche.

Pourquoi ?

Parce que jai envie de faire de toi mon objet de désir et de fantasme ; ma bite va être ton jouet, et ta bouche et ton visage seront mon déversoir !

Tu sais, la douche nest pas obligatoire

Si, cest mieux : parce que la prochaine fois, quand nous aurons fini, je te pisserai dessus !

Si tu veux ; cest OK pour moi.

Eh bien, à la prochaine, alors.

Nous échangeons nos numéros de téléphone ; je dois le revoir bientôt

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