Marié et père de famille, nous menons avec ma femme, Nini, une vie amoureuse pleine d’imprévu depuis notre expérience dans un port du Sud ; nous avions découvert le plaisir de faire l’amour avec un autre homme et j’appréciais beaucoup de la voir gémir dans ses bras. Un déplacement allait bouleverser un peu plus mes habitudes.
En déplacement professionnel à Marrakech, je profitais d’une excursion organisée par l’hôtel (à laquelle ma femme s’était inscrite, et devant rentrer assez tard) pour me balader à la fin de ma journée de travail. Je déambulais dans le quartier animé du souk quand mon regard fut attiré par un panneau hammam. J’utilise souvent ce moyen pour me détendre ou pour éliminer les efforts et je profitais de ma liberté pour effectuer un petit décrassage de peau.
L’entrée était joliment décorée de faïence bleue et l’accueil était des plus sympas. Ceint de ma serviette, je descendais dans le hammam ; celuici, de petite taille, était très simple : lumière tamisée, banquette en mosaïque chaude, un bain d’eau froide, le tout enveloppé de vapeur. Dans un coin de la pièce voutée deux hommes semblent converser, je m’installe sur une dalle chaude et je me laisse aller. Je suis tiré de ma rêverie par des gémissements et je découvre que les deux hommes sont en train d’avoir une relation. C’est la première fois que je vois un tel spectacle ; je me tourne vers eux et je me surprends à les observer et sous ma serviette je sens mon sexe réagir.
Dans la pénombre il me semble que se sont deux magrébins et c’est le plus grand qui dirige. J’ai écarté ma serviette et je me caresse le sexe, c’est nouveau pour moi : jamais un homme ne m’avait provoqué une érection ! La scène ne dure pas longtemps et le plus petit quitte la salle alors que le deuxième se dirige vers le bain situé à coté de ma banquette. J’ai loisir de l’examiner : c’est en effet un magrébin, grand, musclé, assez bel homme. Son sexe, encore à demi tendu, est de belle proportion, son regard en passant me perce et il peut sans problème apercevoir mon érection que je n’ai pas eu le temps de cacher. Il se plonge dans l’eau froide et de retour, il se pose à coté de moi
Sa présence éveille en moi de nombreuses vibrations, je me sens tout »chose » et ma queue trahit mon excitation. Il a vu mon érection et quand sa main se pose sur ma cuisse, une décharge me parcours le corps ; je ne bouge pus et je n’ose le regarder. Je vais quitter le banc quand il remonte sa main vers mon sexe et avec douceur, il me caresse la hampe. Ses doigts se promènent, ils me paralysent ; brusquement j’ai envie de ses caresses et je tends mon bassin vers lui. Il se rapproche de moi et ses mains, enroulées sur ma tige, avec douceur me branlent.
Mon corps est en feu, ma tige me fait mal tellement elle est tendue, sa bouche vient sur un sein; il me mordille le téton déclenchant une onde de douleur, puis très vie une chaleur m’envahie. je ne me reconnais plus, moi, un peu porté sur les femmes, je suis en train de me livrer aux doigts et à la bouche d’un homme ! Sa main accélère la masturbation et l’autre passant sous mes fesses, vient titiller mon sillon et quand son doigt me pénètre dans l’anus, je pars en longs jets qui s’écrasent sur mon ventre. Je ne sais plus ce que je fais et je force sur ce doigt pour qu’il me pénètre, je m’aperçois que son sexe a repris sa vigueur et soudain, j’ai peur : il me parait énorme(il l’est), mais le désir est plus fort ; je voudrais le prendre, le caresser, le mettre dans ma bouche , mais il ne me laisse pas faire il ne dit pas un mot, seuls ses yeux me fixent, profondément, il me fait me retourner et sa main s’infiltre dans mon sillon, il m’écarte les fesses et il tourne autour de mon anneau, le force et enfin son doigt est à l’intérieur.
Il me fouille du doigt, déclenchant onde sur onde, il me fouille et je sens l’anneau qui s’ouvre doucement sous la caresse. Doucement il me tire par les jambes et je me retrouve les pieds au sol, les fesses en avant, ouvertes. C’est son gland maintenant qui se frotte sur l’entrée, il l’humidifie avec sa salive. Je me débats car il me semble trop gros. Toujours sans un mot et toujours avec douceur il pousse et brutalement l’anneau cède. Une violente douleur me parcours le ventre et je crie Il s’arrête, me caresse le dos puis commence à me limer.
Progressivement la douleur s’estompe, il s’enfonce de plus en plus et bientôt je sens ses boules qui me frôlent puis buttent contre les fesses. Mon ventre est chaud, c’est maintenant le plaisir qui monte et ma queue est à nouveau raide ; son rythme s’accélère et bientôt un liquide chaud se répand dans mes entrailles. Il vient de me remplir de sperme mais il ne s’arrête pas et son va et viens favorisé par ses sécrétions devient un bonheur. Je n’arrête pas de gémir et je m’entends dire « continue, plus fort, prend moi encore Je ne sais s’il m’a compris mais cette fois il me pistonne avec force, son bassin me percute et ses coups de butoirs réveillent mon désir et soudain j’éjacule à mon tour.
Sa possession dure et dure et je ne sens plus mon cul : il est en feu et je me déchaine sur cette verge qui vient de me dépuceler. À nouveau il jute dans mon ventre et après quelques instants il se retire et sans un mot, il s’en va. Je ressens un grand vide dans mon ventre, mais je viens de découvrir que j’aime être pris par un homme et que cela me fait jouir.
A l’hôtel, ma femme m’attend, inquiète de mon absence, je l’entraine dans la chambre et tout en la prenant, je lui raconte mon aventure et mon plaisir. D’abord un peu choquée, puis surprise de mon plaisir, elle se laisse aller à la jouissance, et son plaisir est à n’en pas douter augmenté par mon dépucelage. Plus tard, dans mes bras elle a cette phrase plein de promesse « j’ai envie de te voir pris par un homme, de te l’offrir comme tu l’as fait pour moi, de jouir ensemble »