Histoires érotiques au travail Histoires tabous

Aventures de Patoun – Chapitre 4




C’est Fleur qui me réveilla le lendemain matin samedi sur mon portable.

— Bonjour Mademoiselle, c’est Fleur, vous avez bien dormi ?

— Oui ma chérie, bien qu’un peu encore émoustillée par notre aventure à trois dans cet immeuble, le sommeil a eu le dessus. Je crois que tu as tapé dans l’oil de Nadège, la belle blonde du magasin. Il faudra que l’on se fasse une petite soirée toutes les quatre, à moins qu’elle nous invite à une de ses soirées avec ses copines.

— Vous connaissez déjà ses copines ?!

— Non Nadège m’en a un peu parlé, ce sont des femmes entre 20 et 40 ans mariées pour la plupart et quelques jeunes filles de mon âge.

— Mais Mademoiselle, à 40 ans l’une de ces femmes pourrait être ma mère ! Depuis deux ans nos partenaires à Céline et moi sont soit des filles du lycée soit des étudiantes qui sont en fac, sauf l’été dernier avec Marion, une amie de mes parents qui avait 27 ans, dix ans de plus que nous.

— Que s’est il passée avec cette jeune femme ?

— Mariée et seule quelques jours, pas très jolie, petite, grassouillette mais du charme, beaucoup de charme et des seins que son 90C contenait difficilement. Sur la plage, comme elle détaillait souvent à la dérobée notre anatomie à Céline et à moi depuis deux trois jours, nous avons détaché le haut pour exposer aux rayons du soleil mais surtout aux regards de Marion une partie de nos seins, à la limite des tétons. A suivi la baisse du slip laissant voir quelques poils de notre fine toison pour le côté face et une bonne moitié de nos fesses côté pile. Marion ne quittait des yeux les parcelles de chair tendre qu’on lui offrait, ses joues en feu. Puis on a décidé de se mettre seins nus, debout, en la regardant, promenant notre regard sur chaque centimètre de son corps. Ma mère était seins nus aussi comme d’autres estivants et se baignait avec mon père. On était dans un coin tranquille, loin des regards indiscrets, malgré quelques jeunes galopins qui nous mataient parfois cachés derrière les rochers comme aujourd’hui. Céline et moi nous sommes allongées sur le dos, face à la mer comme Marion mais plus près d’elle cette fois, et avons passé la crème solaire sur nos corps à tour de rôle, insistant sur nos seins aux bouts tendres qui pointaient, le ventre en ouvrant largement le slip, offrant à notre voisine qui s’était assise une vue indécente de nos toisons clairsemées. Elle avait forcément vu que je suis une vraie rousse. Puis nos mains sont descendues sur les cuisses ouvertes jusqu’aux pieds et sont remontées vers l’entrejambe qu’on a caressé longuement, et finir par introduire deux doigts de chaque main sous le slip pour nous amener à la jouissance. Marion nous a prévenu du retour de mes parents, au bout de la plage. Vu l’état de nos slips et même du sien on a dû se changer à tour de rôle derrière un rocher. Sans lui demander son avis, j’ai retiré le soutien gorge de Marion, faisant sortir de leur cage deux beaux et gros seins naturels. On est allées se baigner au retour des parents. Marion nous a avoué n’avoir jamais eu de relations intimes avec des femmes mais que la vue de nos corps la troublaient. La discrétion de la mer nous a permis de prendre possession de ses seins et à Céline et moi de lui ôter son slip malgré ses réticences. Comme toi son sexe était glabre, très doux. On a réussi à la faire jouir rapidement, nos doigts coulissant dans son vagin huilé et son petit trou accueillant. Marion à son tour a retiré nos maillots et nous a rendu la pareille. Comme son mari revenait trois jours plus tard je lui ai fait l’amour avec Céline chaque nuit, dans sa chambre, les 69 se succédant aux 69. Elle n’a jamais eu autant d’orgasmes en si peu de temps. On ne l’a pas revu mais je crois qu’elle ne pourra plus se passer des filles.

— Tu verras que si sexuellement les femmes de 40 ans te plaisent tu auras autant de plaisir qu’avec elle ou moi.

— Bon d’accord pour tenter cette aventure mais d’abord une soirée à nous quatre.

— Ok on va organiser çà.

— Je vous appelai pour vous dire que nous avons bien reçu les photos corrigées. On en a déjà envoyé quelques unes à des copains et des copines du lycée. Vous avez un succès énorme. Céline a eu plusieurs appels, toutes et tous veulent savoir qui sont ces filles sur les photos et surtout celle qui est nue en train de s’envoyer en l’air. Elle leur a dit que nous les avons reçues par mms.

— Ouh là là Fleur çà me fait frissonner de plaisir de me savoir matée par des inconnus. Tu me diras à qui vous les avez communiquées d’accord ?

— Oui Mademoiselle je vous dirai cela dès lundi. Que faites vous aujourd’hui ?

— Je vais faire quelques courses ce matin et en fin d’après-midi je vais à Vincennes avec Nadège faire un footing.

— Un footing ? vraiment ?

— Enfin d’abord un footing, après je ne sais pas.

— Moi je sais (rires) . vous nous raconterez ?

— Promis ma chérie. Je te laisse tu as ton bac à préparer. Bises à toutes les deux.

Mes courses en tenue légère, sans dessous comme la veille, mais vêtue du débardeur plus que coquin j’ai attiré les regards masculins et féminins. J’ai rencontré Mei, Mme Dervain qui a sollicité mon aide pour sa fille, en peine avec son exposé sur la Chine. Sa fille Chloé serait seule jusque dans la nuit de dimanche à lundi puisque les Dervain, dont j’étais la partenaire sexuelle depuis une quinzaine de jours, devaient aller à Rennes. Je convenais de passer voir leur fille en début d’après midi. Je connaissais bien Chloé, une de mes élèves de seconde.

A 14h je sonnais chez les Dervain. Chloé m’ouvrit.

— Bonjour Patricia c’est gentil d’être venue dit elle en me faisant la bise. Observant ma tenue elle ajouta : Wouahou dommage que tu ne viennes pas ainsi habillée au lycée, tu aurais un succès fou, comme quand tu fais tes cours d’EPS en petite tenue moulante ou en maillot à la piscine. Déjà que des mecs et des filles en pincent pour toi alors imagine .

Je la suivais dans l’escalier, son chemisier trahissait une absence de soutien gorge et je regardais ses belles jambes fines, ses petites fesses fermes que son panty mettait en valeur.. Elle s’est retournée et a surpris mon regard.

— Elle sont comment mes fesses Patricia ?

Sur cette question Chloé ouvrit la porte de l’appartement et me fit entrer,

— Très bien proportionnées et attirantes. Heureusement que les tenues du lycée sont exigées correctes sinon tu aurais du soucis à te faire avec les garçons.

— Tu sais il n’y a pas que des garçons qui s’intéressent à mes fesses et au reste aussi d’ailleurs. Même Aminata la copine du béninois Joseph m’a fait des avances non déguisées. Hier on a eu un premier chaud baiser. Elle embrasse drôlement bien. Elle a eu une aventure avec deux de mes copines de terminale et comme moi elle a un grand besoin sexuel. Elle m’a déclaré avoir envie de faire l’amour à trois avec Joseph. J’ai accepté. Au vestiaire elle se promène toujours toute nue avant et après la douche. Elle est vraiment très jolie, grande, très fine, des seins bien droits un peu provocants, une petite toison bouclée bien soignée, des fesses charnues. Mais tu le sais déjà d’après ce qu’elle m’a dit.

— Ben oui, la semaine dernière j’avais reconduit tout le monde dans les vestiaires respectifs quand Aminata et Joseph sont repartis à la piscine chercher leur serviette. Ne les voyant pas revenir j’y suis allée et là chose incroyable je les ai vu nus comme des vers en train de faire l’amour dans l’eau. Ils ont attendu bien une minute avant de sortir sans même cacher leur intimité, surtout Joseph avec son sexe à moitié en érection.

— Et quel effet cela t’a fait ? Ils sont beaux non ?

— Oui c’est vrai, un beau couple. J’étais très gênée et troublée mais les ai regardé se rhabiller, face à moi comme pour me provoquer, en souriant. Puis ils sont partis en s’excusant. Mes collègues m’ont conseillé de ne pas donner de suite. Mais je ne suis pas venue pour parler de tout cela, si tu me montrais ton exposé Chloé.

— Je vais te préparer un café. L’ordi est dans la chambre d’amis, tu connais le chemin je te rejoins.

Installée devant l’ordinateur je fis défiler lentement les pages de son exposé. Chloé est arrivée peu après et a regardé par dessus mon épaule corriger quelques fautes. Je lui fis remarquer qu’elle avait omis d’aborder l’aspect démographique. Comme elle ne répondait pas je l’ai regardé. Elle avait ses yeux plongés dans mon débardeur qui baillait largement dans ma position et elle pouvait ainsi voir mes seins jusqu’aux tétons.

— Chloé un peu de sérieux s’il te plait, lui dis je en tentant de me réajuster, en vain. Allez prends ma place, dépêche toi car à 17h il faut que je parte. Je vais faire un footing avec une amie à Vincennes.

— Excuse moi Patricia mais je n’ai pas pu m’empêcher d’admirer tes petites pommes en liberté. Trop mignons. A propos Aminata et Joseph habitent chez des amis à eux à côté de Vincennes. Tu risques de les rencontrer car ils font souvent aussi du footing là-bas.

J’ai cru la voir déboutonner son chemisier pendant qu’elle prenait place et je ne pus que me remémorer ces moments intenses passés avec Nadège hier soir au café quand nous avons défait les boutons de nos chemisiers pour exhiber nos poitrines.

J’ai pris une chaise et m’installais près de mon élève, prenant soin d’empêcher ma mini jupe de remonter trop haut sur mes cuisses. Il ne manquerait plus que Chloé s’aperçoive que je n’avais pas de culotte.

Pendant que nous rédigions le complément de texte, j’admirais la finesse de ses doigts tapotant sur le clavier. Ses longs cheveux noirs d’eurasienne tombaient dans l’échancrure de son chemisier, cachant ainsi ses trésors. Je remarquais qu’il était effectivement déboutonné jusque sous ses jeunes seins dont visiblement les tétons pointaient . Une douce chaleur m’envahit et je n’ai pas pu retenir l’érection de mes bourgeons. A mon tour je les voyais déformer mon débardeur. Je fis mine de me lever mais Chloé me retins en posant sa main sur ma cuisse aux deux tiers nue, ses yeux parcourant mes tétines durcies.

— Attends on a presque fini dit elle doucement en exerçant une pression de ses doigts glissés à l’intérieur de ma cuisse un peu à l’intérieur de ma mini jupe.

Instinctivement je resserrais mes cuisses pour l’empêcher de remonter vers mon puit d’amour tout proche mais involontairement je retenais cette main qui accentuait ses caresses de plus en plus loin. J’avais de plus en plus chaud et sentais mon vagin s’humidifier.

— Arrête Chloe ce n’est pas raisonnable, lui dis je en prenant sa main parvenue en haut de mes cuisses et qui avait réussi à faire connaissance avec mes grandes lèvres.

Mal m’en a pris car pour me saisir de sa main j’ai dû soulever ma mini jupe et dévoiler aux yeux de cette petite délurée mon minou aussi dépourvu de poils qu’à ma naissance.

— Huuum c’est beau un sexe bien rasé et . vachement doux. J’étais sûre que tu étais cul nu. Moi aussi regarde ajouta-t-elle en se levant le panty roulé à mi cuisses.

Pendant qu’elle nouait le bas de son chemisier elle se tourna pour me montrer ses deux jolis globes et se rapprocha de moi en pivotant de nouveau. Je ne pouvais détacher mon regard de sa vulve qu’une fine toison cachait à peine.

— Alors Patricia tu préfères le côté face ou le côté pile ?

— Les deux sont ravissants.

— Pour te faire plaisir et te remercier je vais rester cul nu. J’ai toujours su que tu préférais les filles. Avec mes copines on en a déjà parlé. Tu sais il y a des regards sur nos anatomies qui ne trompent pas pendant tes cours aux élèves de seconde et troisième. Je me trompe ?

— Non c’est vrai, il y a de fort jolies filles et c’est difficile de résister à l’envie d’admirer leurs formes mais ce n’est pas pour çà que ..

Faisant pivoter sa chaise elle enleva son panty face à moi en relevant et écartant ses jambes. Je vis ses grandes lèvres s’ouvrir sous mes yeux émerveillés. Chloé prit ma main et s’en servit pour se caresser. Subjuguée je fermais les yeux et la laissais faire, me faisant saisir son petit bouton puis forçant un de mes doigts à s’introduire dans son vagin étroit maintenant trempé. Quand elle lâcha ma main mon doigt a continué à coulisser dans son doux conduit, mon pouce s’activant sur son clitoris sorti du capuchon. Je l’ai regardé, elle était nue et se caressait les seins. Ils étaient plus gros que les miens, avec de petites aréoles brunes et des tétons que le plaisir avait fait pointer et durcir. Ce petit démon prit ma main libre et la posa sur un sein que je me suis empressée de pétrir. J’ai introduit un deuxième doigt plus profondément dans son puit d’amour inondé de sa cyprine et sentais que sa jouissance était proche.

— Patricia je viens je viens n’arrête pas je t’en supplie

Je fis sortir mes deux doigts de son vagin et les réintroduisit de plus en plus vite provoquant chez cette jeune fille un orgasme long et bruyant qui me permit de recueillir dans ma main le fruit de son plaisir que je portais à mes lèvres. Chloé revenue sur terre me regardait étonnée nettoyer ma main de ma langue gourmande. C’était très odorant, fortement acidulé, finalement divin.

— Hé ben dis moi, je ne m’attendais pas à prendre un tel pied avec ma prof d’EPS, je vais faire des jalouses au lycée.

— Chloé je t’en prie cela doit rester entre nous

— Bon d’accord je n’en parlerai qu’à celles que tu m’autoriseras. Par exemple à Aminata, je sais que tu lui plais beaucoup qu’en penses-tu ?

— Heu si tu veux mais dis lui çà comme un secret ok ?

— Chouette alors, tu verras il paraît qu’elle fait l’amour comme une reine.

Elle me tendit son panty et me dit de l’essayer.

— Debout Patricia, il faut enlever ta jupe ce sera plus facile me dit-elle en passant dans mon dos.

Elle fut plus rapide que moi et je me suis retrouvée les fesses à l’air qu’elle parcourut de ses petites mains graciles, poursuivant accroupie ses caresses vers mon mont de vénus et descendit vers mes grandes lèvres qu’elle ouvrit.

J’étais devenue son objet sexuel, prête à satisfaire tous ses caprices. Elle m’écarta les jambes et colla sa bouche sur mon sexe en feu. J’ai senti sa langue fouiller tous les recoins de mon intimité. Quand elle l’introduisit dans mon vagin j’ai mis mes deux mains sur sa tête pour l’avertir de la montée irrésistible de mon plaisir.

— Chloé, ma petite Chloé tu vas me rendre folle.

Ses deux mains pénétraient dans ma raie cuillère, écartant mes fesses. Elle lubrifia un de ses doigts avec ma mouille et le présenta à l’entrée de mon petit trou. J’appuyai sur sa tête. Encouragée, elle prépara son introduction, retournant plusieurs fois se lubrifier à la source. Je me mis à faire rouler mon clitoris entre mes doigts, ne faisant qu’accélérer l’arrivée de mon orgasme. Quand elle introduisit phalange après phalange, lentement, un de ses doigts dans mon oillet, j’ai explosé et poussé un cri. Chloé est restée la bouche collée à mes grandes lèvres pour recueillir mon jus abondant. Je l’ai entendu récupérer avec sa langue les dernières gouttes de mon plaisir.

— Merci ma chérie c’était merveilleux lui dis je en la relevant.

Elle s’est approchée et m’a embrassée avec passion. Nous avons lié longuement nos langues, échangeant nos nectars encore présents. Elle promena ses mains sur mes fesses, sur mes seins, comme si elle était avide de sens.

— Tu as la peau douce dis moi, une vraie peau de bébé, tes petites fesses devraient rentrer sans problème dans mon panty.

J’enfilai ce vêtement que Chloé portait souvent en cours d’EPS et fut étonnée qu’il m’aille si bien.

— La différence avec toi lui dis je c’est que devant c’est indécent et en plus nous l’avons bien mouillé. J’ai des formes disons plus développées. En plus je ne crois pas avoir un slip adapté

— Exact, il faut le porter sans slip, mais tu n’auras qu’à mettre une protection comme tu le fais habituellement à tes cours.

— Tu ne veux tout de même pas que je vienne en cours avec ton panty nue dessous?

— Si si mademoiselle et dès lundi. De toute façon ce style de panty est assez classique et tu pourrais très bien aussi l’avoir dans tes tiroirs. De l’avis presque unanime tu as un corps sublime et beaucoup de mecs et de filles aimeraient en voir un peu plus. Avec ce bas très moulant c’est un bon début, surtout qu’il est style taille basse donc on voit bien le haut de tes fesses et la naissance de ton bas ventre laiteux.

— Le panty m’est autorisé alors pas de problème, et c’est quoi le « un peu plus » ?

— He bien tu devrais par exemple mettre un brassière plus souple, pour que l’on puisse voir tes petits seins bouger et tes tétons pointer quand tu te rapproches de tes élèves préférées pour les mater. A la piscine tu pourrais mettre un maillot plus sexy libérant la moitié de ton petit cul et ne cachant que le minimum de ton intimité. Pour le haut tu pourrais trouver ce genre de petits triangles qui permet de voir une grande partie des seins.

— J’ai ce genre de tenues en réserve mais je ne voudrais pas que les élèves pensent que je les drague ou que je veuille les allumer.

— Mais non, t’inquiète. Dès que les filles que tu fais rêver te verront leur dévoiler un peu de ton corps elles feront la même chose. Six d’entre elles ont décidé de ne plus mettre de soutien gorge ni de culottes à tes cours la semaine prochaine pour attirer ton attention. Alors si tu mets des tenues plus sexy et qu tu ne leur fais aucune remarque elles comprendront que tu es sur la même longueur d’onde. Après laisse moi faire.

— D’accord je vais essayer, mais pour la piscine il faut que je fasse des essais avec mon deux pièces minimaliste. J’ai des petits seins mais quand même, et le bas ne peut être porté que par celles qui sont rasées ou avec un petit ticket de métro, parce que la bande de tissu qui part de l’entre jambe n’est pas très large.

— Cool, je sens que tu vas avoir de plus en plus de succès. Pour mes parents ne leur dis rien s’il te plait. Je sais que tu as eu des relations très intimes avec eux, surtout avec maman, alors continue si tu en as envie mais à condition de me donner un peu de plaisir de temps en temps. Avant toi, maman a eu plusieurs aventures avec des femmes et une fois avec une fille de mon âge, sans expérience. Cà m’a fait bizarre de les voir ensemble. Moi aussi j’avais envie de cette fille, alors je me suis cachée dans la penderie de la chambre de maman et les ai regardé faire l’amour dans toutes les positions pendant au moins une heure. Maman est vraiment une experte. Je l’ai trouvé belle avec cette fille qui gémissait sous ses caresses et sa langue qui parcourait chaque centimètre de son corps, mais encore plus belle quand je l’ai vu avoir un orgasme lorsque la fille a réussi à introduire sa petite main dans son vagin. Je ne croyais pas cela possible malgré ce que les filles me racontaient. Connaissant ma préférence pour les filles, maman m’a demandé de rester discrète. Papa ne s’est aperçu de rien.

— Mais, . comment as-tu su que tes parents et moi avions des relations ?

— Cà a beau être une vieille construction, les cloisons ne sont pas très épaisses et un matin j’ai voulu aller te réveiller dans la chambre d’amis. Personne dans la salle de bains, ni à la cuisine et je vous ai vu arriver tous les trois un quart d’heure après. Vous aviez l’air épuisés. Depuis ce jour, dimanche dernier, j’ai décidé que tu serais à moi aussi et je ne le regrettes pas tu es une fille comme je les aime, très sensuelle, belle, active en amour, et tu aimes çà.

— Donc aujourd’hui c’était un piège ? J’étais loin de m’en douter en arrivant. Ce qui est fait est fait et j’ai passé des moments plus qu’agréables grâce à toi. Il ne faut pas que tes parents nous surprennent. Il n’y a que ta maman qui pourrait comprendre et accepterait que je sois la partenaire sexuelle de vous trois. La situation serait plus simple d’ailleurs. Ce matin elle m’a demandé si je te trouvais jolie. Je lui dit à quel point tu attirais les regards. Mei m’a demandé simplement de l’informer le jour où je succomberai à la tentation avec toi.

— Puisque tu viens mardi midi et que papa ne sera pas là c’est moi qui t’ouvrirai et on s’embrassera comme tout à l’heure en se caressant devant maman. Comme çà ce sera clair, elle saura que tu es aussi mon amante.

— Oui mais attends toi à ce qu’elle m’embrasse de la même façon et m ’entraîne dans sa chambre pour me faire l’amour.

— On verra bien. Si elle ne t’entraînes pas dans sa chambre, tu viendras dans la mienne. Ce serait marrant que tu puisses te faire la mère et la fille mardi midi.

— Pas en même temps s’il te plait. Quoique avec Mei je crois que tout est possible, j’ignore si elle a des tabous.

— Ah non pas question de te faire l’amour en même temps que maman, chacun son tour.

— Bon je vais te laisser Chloé. Merci pour cette délicieuse après-midi.

Je remis ma mini jupe par dessus le panty et quittai ma nouvelle amie après un long baiser savoureux, accompagné de caresses sur son beau corps nu.

Patoun ([email protected])

Merci à mes lectrices et lecteurs de me faire part de leurs commentaires, souhaits …

Related posts

Le scoop – Chapitre 4

historiesexe

Pauline – Années étudiantes – Chapitre 9

historiesexe

Un week-end bien coquin – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .