Camille était plutôt séduisante pour son âge. Son corps attirait les regards et elle savait en jouer. Pourtant, c’était sa personnalité qui me freinait. Charmante par moment, elle était surtout infecte le reste du temps. Il n’était pas question de lui faire confiance ni encore moins de baisser ma garde en sa présence. Je le savais et pourtant, la vigilance avait finit par s’émousser, au fil du temps. Camille me surprit avec une de ses secrétaires. Je n’aurais jamais du faire cela au bureau. Tout ce qui se passa ensuite fut le résultat de cette erreur. Camille, folle de jalousie, avait vu rouge et avait décidé d’exploiter l’affaire jusqu’au bout.

C’était un lundi. J’étais venu plus tôt pour fouiller dans les contrats dont Camille se chargeait. J’espérais trouver une irrégularité qui m’aurait permis de reprendre l’avantage.

— Ce que tu cherches n’est pas dans ces tiroirs, me dit-elle.

Je ne l’avais pas entendu arriver. Cette garce était venue plus tôt, elle aussi, devinant quelle aurait été ma première réaction. Je me retournai pour lui faire face. Il n’y avait qu’avec moi que Camille osait montrer son vrai visage. En public, elle paraissait toujours souriante et aimable. Comme il n’y avait personne d’autres dans la boite, son sourire aux lèvres en disait long sur ses intentions.

— Cela tombe bien que tu sois venu plus tôt, dit-elle. J’avais justement quelque chose à te demander.

— Une autre fois, peut-être ! Je suis venu plus tôt pour travailler et je n’arrive plus à mettre la main sur le dossier des Lauriot. Qu’en as-tu fait ? C’est urgent.

— Je crois que tu n’as pas bien compris la situation, mon petit gars. Si tu ne veux pas que tes frasques sexuelles soient déballées au grand jour, il va falloir écouter et faire ce que je te dis.

— Comme tu es déplaisante, aujourd’hui. Ton week-end n’était pas bon ? répondis-je.

— Je pensais à la tristesse de ta femme, apprenant la nouvelle. Et les enfants ? Que vont-ils penser de leur père ? Ce serait dommage.

Son visage exprimait un rictus de satisfaction. J’étais maintenant renseigné sur ses intentions. Camille était assez méprisable pour s’abaisser à un tel chantage. Cela me paraissait difficile de sortir de ce piège infernal mais il était trop tard pour regretter. Camille s’approcha de moi, sûre d’elle.

— Soulève ! dit-elle.

Je suppose qu’elle parlait de sa longue robe. Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir ou plutôt si. J’avais mon visage à hauteur de son bassin. Elle voulait m’humilier. J’étais malgré tout curieux de voir ce qu’elle nous cachait là-dessous, sous ses airs de ne jamais y toucher. Si c’était cela ma punition, je n’allais pas me faire prier. Je remontais sa longue robe jusqu’à sa taille. Je découvris des bas noirs et, à ma grande surprise, aucun autre sous-vêtement. Camille avait du préparer son coup. J’eus quelques secondes pour examiner son entrejambe. Elle avait le sexe soigneusement épilé sur les bords. Ses lèvres étaient déjà humide, aurait-on dit. Cette vision aurait pu être excitante mais voilà, sachant à qui appartenait cette chatte, toute pensée autre que le dégoût pur et simple ne verrait jamais le jour. Camille, quant à elle, jubilait.

— Très bien, mon petit ! Maintenant, lèche !

— Et en quoi cela t’empêchera-t-il de tout révéler à ma femme ?

— Ah ça, il fallait y penser avant de t’envoyer en l’air avec une de mes secrétaires. Maintenant, il ne te reste plus beaucoup de choix.

Battant tout les records de lenteurs, ma langue avança péniblement jusqu’à effleurer quelques poils. Je sentais que Camille perdait patience. Il fallait que je la fasse parler encore.

— Et en quoi ça te regarde avec qui je couche ?

— En quoi ça me regarde ? répéta-t-elle, furieuse.

— Oui, tout à fait, en quoi ça te regarde ?

— Comment as-tu pu ? Avec cette idiote, en plus, qui ne pense qu’à se trémousser à longueur de journée ! Alors que moi j’attendais que tu me jettes un regard depuis si longtemps.

— Oh, tu aurais du m’en parler. Tout aurait été si différent.

Je me faisais cette réflexion que ce genre de stratégie ne marchait que dans les films quand Camille crut comprendre mon petit jeu. Le sentiment de trahison qui déformait son visage avait cédé la place à une haine machiavélique.

— Rien n’aurait été différent. Maintenant, tais-toi et lèche. Viens bien me chercher au fond, c’est ce que je préfère.

A peine avais-je recommencé mes effleurements ridicules, Camille pressa ma tête contre son sexe trempé. Elle poussa un soupir à ce contact. Au goût âpre de son jus, ma langue se rétracta d’elle-même. Camille se frottait malgré tout sur mes lèvres tandis que je cherchais un moyen de respirer.

— Oh oui ! Continue. J’attends cela depuis si longtemps, dit Camille.

Je me demandais bien ce qu’il fallait que je continue étant donné que je ne faisais rien à part attendre que ce désastreux moment prenne fin. Son sexe n’arrêtait pas de couler. Son odeur répugnante semblait s’insinuer dans tous les pores de ma peau. Je repensais à sa délicieuse secrétaire, me convaincant que les longues minutes de plaisirs volées en sa compagnie valaient bien ce petit désagrément. C’était son compter la fureur vengeresse de Camille.

— Cela suffit. Tu as été un bon garçon mais maintenant, il va falloir passer aux choses sérieuses.

Camille hésita un long moment, semblant chercher ce qui pouvait être encore plus sérieux. Son sourire vint balafrer son visage, une nouvelle fois. Elle se retourna et me colla ses fesses sous le nez.

— Viens donc faire un petit tour par là avec ta langue, dit-elle enfin.

— Ah non. Camille ! Je t’apprécie beaucoup mais tu m’en demandes trop.

Elle me regarda, surprise. Je faisais mine de n’avoir rien dit d’exceptionnel. La couleuvre à lui faire avaler était pourtant trop grosse. Elle hésita, voulant y croire une minute puis se rappela de sa vengeance.

— Bien essayé mais maintenant, lèche !

Je peux vous certifier que Camille, dans toute sa laideur d’âme était irréprochable sur l’hygiène. Ma langue lui parcourut son petit trou rose, la chatouillant un peu. Le goût était surprenant, un peu savonneux. Il n’en aurait pas été de même le soir. Cependant, ce qui me terrifiait… non je ne peux pas le dire. Je continuai de la lécher, honteux d’être l’auteur de ses gémissement. Non, je ne peux pas dire que j’aimais cela. Ma conscience refuse de l’accepter. Pourtant, de voir Camille s’écarter les fesses et se tordre le cou pour tenter de m’apercevoir m’excitait au plus haut point. Mon sexe était tendu comme un bout de bois, dans mon pantalon. Nul besoin d’huissier pour me le faire constater. Camille s’en aperçue, elle aussi.

— Oh, qu’est-ce que je vois ? dit-elle.

— Je te l’avais dit… Tout aurait pu être différent.

Camille écarquillait les yeux, avançant sa main pour toucher la bosse de mon pantalon. Elle tâtait, ne semblant pas croire en être la raison. Sa méfiance l’empêchait de penser plus loin. Je défis ma braguette pour libérer ce jeune bois qui avait grandi trop vite. Camille l’agrippa de ses mains, soupesant le tout. L’instant d’après, il était dans sa bouche. Sans un bruit, dans le silence du bureau, Camille me faisait une pipe d’enfer.

L’entreprise ouvrait ses portes dans cinq minutes. J’entendais les autres arriver. Je jouis tout ce que je pu dans la bouche de Camille. Elle manqua de s’étouffer mais avala tout, de surprise. Dans l’entrée du bureau, se tenaient debout les deux standardistes. Je me rhabillai l’air de rien et lançai en partant :

— Je vous la recommande ! Elle suce comme une déesse.

Camille, encore à quatre pattes par terre, se figea, comprenant lentement la situation. Elle se retourna pour constater avec effroi que ce n’était pas une ruse. Il y avait réellement des gens témoins de ce final. Rouge de honte, elle sortit du bureau.

Elle ne reparut que quelques heures plus tard, maquillage refait. Son visage était transformé. Vous savez, quand je vous avais dit que Camille était infecte, en fait, c’était surtout avant car depuis lors, je ne sais par quel prodige, elle est devenue douce et charmante. Sauf, bien sûr, quand plus personne ne peut la voir

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