Cyrille et Philippe avaient passé une partie de la nuit dans le même lit. Ils avaient même dormi ensemble quelques heures. Cyrille était aux anges : il avait enfin assouvi cette envie qui le taraudait depuis un bon moment. Quand il se réveilla, Philippe était déjà levé. Il enfila juste son short de sport qui était suffisamment ample pour passer une main sur son sexe ou sur ses fesses. Il descendit et constata que Philippe et ses parents s’étaient absentés. Ils étaient partis faire quelques achats en prévoyance de l’arrivée des cousins et de leur père. Evelyne lui avait laissé un mot sur la table, lui conseillant de faire comme chez lui et de se servir pour le petit-déjeuner. Il se fit chauffer un peu de lait qu’il versa dans une grande tasse et ajouta un peu de cacao. Il se beurra quelques biscottes, finit le morceau de pain et compléta avec un bol de céréales. Il s’installa à la table de la grande salle ; la porte-fenêtre grande ouverte donnait sur la forêt et au-delà sur l’horizon découpé par les sommets et les crêtes des montagnes avoisinantes.
Il se demandait pourquoi Philippe était parti avec ses parents. Il n’était pas vraiment du style à faire les courses avec eux. De plus, il perdait une occasion de profiter de leur absence pour se faire plaisir. Peut-être avait-il besoin de souffler un peu. Cyrille lui vidait les couilles en moins de temps qu’il n’en fallait pour dire bonjour. Il se mit à sourire en pensant à cette formulation et resta un moment à rêvasser en savourant son petit-déjeuner.
Il fut sorti de ses pensées par un coup de langue. Zack avait profité que la salle était grande ouverte pour se faufiler en douce sous la table pendant que Cyrille avait les yeux fixés sur l’horizon. Le chien avait passé sa langue sous le short et avait probablement senti les effluves des ébats nocturnes. Puisqu’il était seul, Cyrille décida de s’abandonner à la langue de l’animal. Il tira son short de sorte que l’élastique de la taille passe sous ses testicules. Pour s’assurer l’assiduité du coup de langue, il s’enduisit rapidement la queue de confiture et autres sucreries. Le chien s’en donnait à cur joie et lapait tout ce qu’il pouvait. Cyrille lâcha tout ce qu’il tenait dans ses mains et se cala contre le dossier de la chaise. La langue de Zack allait si vite qu’il se sentait déjà prêt à éjaculer. Il se retint le plus longtemps possible puis, dans un grand soupir, il expulsa son foutre comme jamais. Le chien n’en perdit pas une goutte mais il ne s’arrêta pas pour autant. Il continua ses coups de langue et Cyrille sentit qu’il rebandait déjà. Cependant il repoussa l’animal avant qu’il ne le vide complètement de son énergie. Il avait l’intention de faire un tour en vélo. Il souhaitait acheter une carte postale qu’il enverrait dans quelques jours à ses parents et profiter du trajet pour jeter un coup d’il sur les étendages. Il fila dans la salle de bains et prit une douche rapide. Dommage que Philippe ne soit pas là, il aurait bien pris un coup de queue avant de monter sur le vélo. Il réfléchit à ce qu’il pouvait s’enfiler dans le fion avant de partir, mais il ne connaissait pas assez la maison pour savoir où chercher et qu’espérer trouver.
Cyrille enfourcha la bicyclette et constata que Zack l’accompagnait. Il tenta de le persuader de retourner à la ferme. En vain ! Le chien continuait de trottiner derrière lui. Il essaya de le distancer, espérant qu’ainsi il renoncerait. Mais alors qu’il s’essoufflait à pédaler à toute vitesse, Zack, lui, accélérait sans sourciller et suivait la cadence sans peine, sans même paraître forcer. Ce fut finalement Cyrille qui renonça et s’accommoda de la présence du chien, en espérant qu’il ne viendrait pas lui coller sa truffe contre son cul en plein village.
Quand il arriva sur la place de St Julien-de-Bèz, il se demanda s’il devait d’abord aller boire un verre ou se rendre à l’épicerie du coin pour prendre une ou deux cartes postales. Il opta pour le magasin. Alors que Cyrille commençait de regarder les cartes, deux femmes qui devaient être dans la trentaine firent leur apparition. Elles aussi avaient fait le trajet à vélo, mais à la différence qu’elles revenaient d’une grande boucle durant laquelle elles avaient visiblement beaucoup transpiré. Il mata leur cul parfaitement moulé par leur cuissard. Il mata avec un peu trop d’insistance et elles le remarquèrent. Elles n’en firent pas cas et, à part un petit mot glissé rapidement dans le creux de l’oreille, rien ne trahissait une quelconque réaction. Du moins pas immédiate. Après quelques minutes à déambuler dans le magasin, elles se dirigèrent vers la caisse où elles s’accoudèrent au comptoir. L’une d’elle posa une main délicate sur le fessier tendu de son amie. Cyrille n’en perdait pas une miette. Encore moins lorsque la main glissa furtivement entre les cuisses. Il prit deux cartes et se dirigea à son tour vers la caisse.
─ Bonjour. Le chien qui attend dehors est à vous ? demanda une des deux cyclistes.
─ Non, c’est le chien de la ferme voisine.
─ Il est impressionnant ! J’aimerais beaucoup en trouver un comme celui-là.
Ils échangèrent quelques banalités. Cyrille se demanda bien pourquoi elle le questionnait. Elle semblait s’intéresser à lui comme on entre par effraction. Pourquoi cette fille qui faisait mine d’avoir une attirance évidente pour son amie lui adressait-elle ainsi la parole ? Avaient-elles repéré qu’il les matait et s’amusaient-elles à ses dépens ? Mal à l’aise, il paya ses cartes, les salua poliment et traversa la place pour s’installer à la terrasse du bar. Il espérait de toutes ses forces qu’elles ne viendraient pas, elles aussi, faire une pause dans le bistrot. Il souffla quand il les vit remonter sur leur vélo et s’en aller. Elles ne devaient pas habiter très loin pour partir ainsi avec leur cargaison de légumes en vrac dans leurs sacs à dos. Et surtout, l’une d’elle avait gardé le pain à la main. Il les laissa prendre un peu d’avance puis partit dans leur direction.
En effet, elles n’habitaient pas très loin ; il était à peine sorti du village qu’il les aperçut. Elles logeaient dans une maison entourée d’un grand terrain. Elles avaient une piscine, et les chaises-longues disposées autour laissaient penser qu’elles s’abandonnaient volontiers aux caresses du soleil. Une clôture en bois qu’il pourrait facilement escalader entourait la propriété. L’étendage se trouvait en bout de terrain et serait facile à piller si elles laissaient leurs lingeries sécher durant la nuit. A condition toutefois qu’il n’y ait pas de chien rôdant par là. Mais d’après la conversation qu’il avait eue concernant Zack, il ne semblait pas qu’elles en aient un.
Cyrille imaginait déjà le style de sous-vêtements que pouvaient porter ces deux lesbiennes à moins qu’elles ne soient que bisexuelles, mais peu importait et l’idée de leur soustraire quelques pièces pour ensuite les enfiler pour le plaisir de Philippe l’excita au plus au point. Il en avait un début d’érection. Il avait également une folle envie de se faire prendre, mais Philippe manquait à l’appel. Il décida de retourner à la rivière ; Il s’y branlerait en toute discrétion et Zack lui lécherait volontiers son service trois-pièces. Après quoi il se tremperait dans l’eau, ce qui finirait bien par le calmer.
Sur le sentier qui menait à la rivière, le chien le suivait en lui collant son museau contre le cul. Zack semblait avoir reniflé une odeur qui signifiait qu’il serait à la fête. Cyrille cacha son vélo dans un buisson et traversa la rivière pour grimper sur le rocher où il pouvait s’isoler. Il se jeta sur le sol, ôta son short à toute vitesse et commença la masturbation. Evidemment, le chien tournait autour de lui et lui colla sa langue sur la bite. Cyrille s’allongea sur le dos, la queue bien érigée et offerte à la langue animale. Contrairement aux autres fois, il avait tout le temps et aucune crainte de se livrer totalement aux coups de langue. Le chien vint lui lécher l’anus et Cyrille en fut comme électrisé. Il écarta les jambes largement pour lui faciliter l’accès. Dans cette position, la langue commençait sur la rondelle, continuait sur les couilles pour finir son trajet le long de la hampe. Il ne pourrait se contenir bien longtemps. Il sentit les premiers frémissements de sa queue, puis dans une contraction le premier jet fusa. Il n’avait jamais éjaculé avec cette puissance. Le sperme lui retomba sur le torse et il s’empressa de le recueillir avec ses doigts pour l’avaler avant que le chien ne s’en occupe. Il lui donna cependant quelques coups de langue sur un téton. La sensation était nouvelle et excitante. Décidément, Zack était plein de ressources !
Cyrille allait se lever pour aller se baigner mais ses jambes étaient comme coupées par la jouissance et il dut se tourner, se mettre à genoux pour se redresser en douceur. Mais Zack n’était pas de cet avis. Lorsqu’il vit Cyrille dans cette position, il prit cela pour une invitation et se rua sur son dos. Le garçon en resta coi, puis l’excitation prit le dessus. Il tourna la tête pour observer comment le chien s’y prenait et aperçut le sexe de l’animal. Cyrille commença à prendre un peu peur. Il avait beau accepter facilement la queue de Philippe sans trop de lubrification, celle du chien était d’un autre gabarit. Il essaya dans un premier temps de se dégager mais le chien, trop excité, ne lui en laissa pas le loisir. Il cracha alors sur ses doigts et les passa sur sa rondelle qui risquait de prendre cher. Il sentait la bite de l’animal buter contre ses fesses et il espéra un instant qu’il se découragerait.
Pour l’instant, Zack ne se décourageait pas et Cyrille sentit des giclées de liquide s’écouler sur son cul. Le chien finit par pointer contre sa rondelle et heureusement, le liquide agissait un peu comme un lubrifiant. Il remuait tant et si bien que la pine réussit à s’introduire dans l’anus du garçon. La pénétration était rude et il ne put retenir un cri à la fois de surprise et de douleur. Le chien pistonnait et la rondelle s’élargissait sous la pression. Cyrille se prenait pour un prunier tant il était secoué ! L’obscénité et la violence de l’accouplement contre nature le mettaient dans un état second. Le contact du pelage contre sa peau, l’odeur animale, les petits jappements, la langue qu’il sentait parfois contre son épaule ou la bave qu’il sentait couler sur lui, tout le poussait à accepter cette saillie plutôt qu’à la subir.
Zack avait entièrement introduit sa bite dans le cul de Cyrille. Il sentit alors le nud gonfler. Dans un premier temps il apprécia cette sensation, mais rapidement l’envie de cette grosse pénétration se changea en crainte. Si cela continuait encore longtemps, le chien allait le déchirer. Il commença à supplier l’animal ; si la douleur n’avait pas été si violente, il aurait ri de lui-même. Comment croire qu’un chien pouvait entendre ses suppliques ? Cyrille essayait de trouver la position la moins douloureuse, sinon la moins inconfortable. Il commença à sentir le chien se déverser en lui. La queue semblait être un barre en fusion qui lui brûlait le fion et cette barre pulsait, expulsait un torrent de métal liquide qui lui emplissait les boyaux. Le chien était quasiment immobile. Cyrille commençait à apprivoiser la douleur qui devenait peu à peu une onde sourde. Plus le sperme canin l’inondait, plus il sentait monter en lui un orgasme comme il n’en avait encore jamais ressenti. Il se rendit compte qu’il jouissait et que sa queue laissait pisser son sperme. Mais la jouissance continuait. Jamais il ne s’était senti autant femelle.
Zack se retourna et descendit du dos de Cyrille qui avait du mal à qualifier la sensation qu’il ressentait. Comme si la barre en fusion se tordait en lui. Il avait mal et il en jouissait. Il éjacula encore une fois mais il sentait sa queue se contracter à chaque giclée, et à chaque contraction son anus se resserrait autour de la bite animale. Exquise douleur. Il en pleurait. Parfois le chien essayait d’avancer comme s’il espérait se débarrasser de ce poids collé derrière lui et Cyrille devait reculer, suivre le mouvement du chien. S’il ne le faisait pas, il lui semblait qu’il allait perdre l’air, tant la douleur de cette boule qui le remplissait était forte.
Soudain, il entendit le craquement d’une branche. Cyrille paniqua. Quelqu’un allait le surprendre en pleine saillie avec le chien ; il était encore collé à lui comme une remorque derrière un camion et ne pouvait rien faire pour se cacher ou se libérer. Sous l’effet de la surprise, il contracta son anus et il lui sembla alors être définitivement soudé à l’animal. Cyrille était blême. Pourvu que la personne ne fasse que passer le long de la rivière et ne remarque rien Zack haletait comme une locomotive, risquant d’attirer l’attention du promeneur. La peur monta d’un cran. Cyrille entendit le bruit des pas sur le rocher. Il ne voulait pas se retourner pour éviter de croiser le regard de la personne qui arrivait.
─ Cyrille, je pensais bien te trouver ici, mais je n’imaginais pas te trouver dans cette position
Sauvé ! C’était Philippe qui déboulait dans ce coin de paradis. Quand il était arrivé à la maison et qu’il avait réalisé qu’il n’y avait plus ni Cyrille ni vélo, il s’était douté qu’il le trouverait ici et avait foncé pour le rejoindre.
─ La vache ! Quelle salope tu fais ! Putain, que ça m’excite
Philippe baissa son short et se planta devant son ami. Le spectacle qu’il avait devant les yeux lui provoquait déjà une belle érection. Puisque Cyrille en avait pour un moment avant de pouvoir se séparer du chien, autant lui trouver de quoi l’occuper. Philippe engouffra sans ménagement sa queue dans la bouche de son ami. Il lui empoigna les cheveux et lui baisa littéralement la cavité buccale.
Cyrille prenait son pied de se faire malmener et le cul et la bouche. Il bandait comme il ne l’avait jamais fait et se demanda s’il allait éjaculer une troisième fois, ce qui ne lui était jamais arrivé. Il sentait l’orgasme monter. Philippe déchargea sur son visage. La dose était copieuse ; il y en avait jusque dans les cheveux. Mais il ne ramollit pas pour autant : le spectacle était vraiment excitant. Il continua de pistonner, mais cette fois ci il voulait lui défoncer la gorge. Cyrille, le visage englué de sperme et baisé par ses deux orifices, jouissait de cette obscénité, se roulait dans sa décadence. Il sentit sa queue se contracter mais aucune goutte de sperme ne partit. Il éjaculait à blanc ; ses couilles en devenaient douloureuses. Dans la douleur, il contracta aussi son sphincter. Zack jappa de se sentir serré ainsi et continuait à déverser son sperme dans le cul étanche de Cyrille qui se demandait si son ventre tiendrait le choc. Il se voyait déjà avec le sperme du chien remplissant son estomac puis, le niveau continuant à monter, il lui emplirait la bouche obturée par la queue de Philippe. Le sperme ne pourrait ainsi s’évacuer que par ses narines ; et s’il ne parvenait plus à respirer, il mourrait noyé, les poumons emplis par le mélange des semences canine et humaine.
Il reprit ses esprits ; Philippe lui déchargea une nouvelle dose de jute dans la gorge, et il l’avala avec délectation. Son ami se jeta comme un mort de faim sur sa queue pour la nettoyer. Cyrille devenait insatiable. Philippe prit son téléphone et regarda l’anus de son ami distendu par la queue monstrueuse de l’animal.
─ La vache ! Ce ne sera plus la peine que je t’encule après ça : tu ne sentiras absolument plus rien.
Il prit quelques photos en gros plan, filma le curieux tandem puis montra le résultat à Cyrille qui refusa de regarder, prétextant qu’il allait être encore plus excité et que cela retarderait d’autant le moment où Zack le libérerait. Il était toujours accroché derrière le chien, face contre le sol. Ses genoux étaient douloureux, presque en sang d’avoir râpé contre le rocher.
Cyrille cherchait tous les moyens pour accélérer sa délivrance. Il se mit à respirer comme une femme sur une table d’accouchement et tenta de se détendre. Il sentit l’animal tirer plus qu’il ne l’avait fait jusqu’à présent. Philippe filmait la scène et aurait apprécié d’avoir une troisième main pour se branler devant cette scène dantesque. Le nud du chien étirait la rondelle qui s’arrondissait comme une orange. Le muscle cédait petit à petit ; c’était comme une scène qui passait au ralenti. Sentant la voie s’ouvrir, Zack tira un peu plus fort ; l’anus s’ouvrit d’un coup et Cyrille hurla. Un mélange de douleur vive et d’ultime orgasme. Philippe filmait encore ce qu’il qualifiait de Niagara anal. Cyrille était allongé face contre le sol dans un état presque comateux. Il sentait ses intestins se vider et n’avait plus qu’une envie : dormir ici en plein soleil, laisser ses rayons sécher sa peau recouverte de sueur et de sperme.