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Fatima, son mari et sa mère. – Chapitre 1




Fatima, son mari et sa mère.

Chapitre 1

Je suis une femme mariée, il y a presque six mois de ça, avec un homme que j’aime, je m’appelle Fatima, j’ai 21 ans, issue d’une famille très conservatrice, je n’ai jamais fréquenté, ni même échangé quelque chose avec un garçon. À 19 ans, Rachid m’a demandée en mariage, ma famille a accepté sur-le-champ. Ils ne m’ont même pas demandé mon avis. Après la Fatiha, il a le droit de me parler, c’est la première fois que j’ai une conversation avec un homme. Il me plaît dès le premier jour, il a 35 ans, issu d’une famille très connue dans notre région. À chaque fête religieuse, il me rend visite, bien sûr, toujours accompagné de sa mère.

Cet été a eu lieu notre mariage, c’est lui qui m’a dépucelée, mais mon histoire n’est pas celle-là.

Comme je suis la fille aînée de la famille, chaque soir, ma mère me téléphone, elle reste, presque chaque nuit, 15 minutes en ligne avec moi, elle me demande de lui raconter ma journée et même ma nuit. Elle insiste sur les détails. Les premiers jours, tout ça me vexe un peu, même mon mari Rachid. Après, nous nous sommes habitués tous les deux. Le premier mois, tous ses appels sont après le dîner, puis ils se font de plus en plus tard. Par la suite, quand nous sommes dans notre lit conjugal, je remarque que mon mari ne me touche pas, il attend toujours l’appel de ma mère pour le faire.

Pour moi, dès le premier jour, Rachid et sa famille m’ont accueillie chaleureusement, c’était plus agréable encore que je ne l’avais imaginé. Ils faisaient très cadres dynamiques, à l’aise financièrement, mais sans ostentation. Ils m’ont tout de suite invitée à me sentir comme chez moi et il faut dire que malgré ma timidité relative, je me suis assez vite sentie à l’aise et m’ont très vite présenté le fruit de leur amour. À vrai dire, je me sentis mieux que chez moi.

Quand je parle d’amour, je dois avouer que c’est quelque chose qui m’a immédiatement séduite chez mon mari qui me manifeste, avec une même énergie, son amour. Tout cela me donnait l’étrange sensation d’une perfection presque gênante, comme si j’étais propulsée là, dans une famille idéale et qu’il me serait difficile d’être toujours à la hauteur. Mais tous les jours, leur gentillesse me fit oublier cette curieuse impression. Mon mari a changé ma façon de m’habiller, j’ai commencé à mettre mon corps en valeur, c’était le désir de mon mari. Les premières semaines se sont passées dans une harmonie que je pourrais difficilement décrire.

Le seul problème qui se posait était les appels de ma mère, sans rentrer dans les détails, j’ai remarqué que mon mari, chaque fois que je parle à ma mère, a envie tout de suite de moi. Je ne me rendais pas compte que les appels de ma mère sont un problème qui allait bientôt en entraîner d’autres et qui allait mettre à mal cette si douce harmonie.

Je me souviendrai toujours de ce vendredi soir, quand ma mère m’a appelée et m’a demandé de lui raconter mes ébats. Tout à coup, Rachid, mon mari, me fait signe de continuer et de tout lui dire. Au début, je me sentais honteuse de relater une scène que j’aurais voulu effacer de ma pensée, ma mère me demandait des choses, mais rapidement, je ressentis l’absolue nécessité de faire plaisir à mon mari.

Mon mari n’a pas tardé à comprendre de quoi ma mère me parlait, il me dit à l’oreille :

« Dis-lui tout… ! Mets le haut-parleur !

Tu aimes être enculée par ton mari ? me demande ma mère.

… Dis-moi que tu aimes sentir sa bite bien profonde dans ton trou du cul, Fatima ! »

On entendait ma mère dire ça, mon mari mit sa main au sillon de mes fesses et commença à effleurer ma rosette, c’était la première fois pour moi et mon mari constata que j’étais très excitée.

Ma mère continuait à me parler et je l’écoutais, comme fascinée par ses propos étranges.

En fait, je ne savais pas précisément quoi lui dire, ma mère me parlait de cette façon, incroyable, mais vrai, et avec le consentement de mon mari.

Nous sommes restés ainsi, immobiles, quelques instants, en écoutant ma mère. Et puis, il y a eu ce bref mouvement de mon mari qui vint se blottir plus contre moi, il se mit à me téter mon sein et caressait l’autre du bout des doigts, avec une infinie douceur. Ma respiration commença à être très rapide et ma mère me demanda ce qu’il me faisait, je lui dis qu’il me tétait les seins. Elle me répondit : « j’aimerais bien être à ta place, ma fille », cette phrase d’elle me choqua et brusquement, je me suis rendu compte que j’étais emportée vers quelque chose qui me dépassait. Comment j’osais laisser ma mère me dire ces choses, comment j’osais autoriser ma mère à écouter mes ébats intimes avec mon mari ? En même temps, je jouissais, avec une telle violence, de ses paroles et des caresses si tendres de mon mari.

Sa bouche et sa langue ne faisaient que lécher, sucer, tournoyer autour de mon mamelon pendant que je parlais a ma mère, l’autre sein était tout aussi excité par les caresses plus appuyées de sa main. J’avais l’impression que mon être entier était transporté vers une jouissance inconnue. J’étais en train de basculer sous son étreinte, de plus en plus insistant, et je me suis dit alors qu’il aurait pu faire ce qu’il voulait de moi. En même temps, j’imaginais que ma mère était avec nous.

Laisse-toi faire, ma fille, demande-lui de t’enculer !

me dit ma mère.

Comme le haut-parleur était activé, mon mari entendait très bien notre discussion.

J’ai dit à ma mère que j’étais, désormais, cul nu et que s’il voulait accomplir son désir, j’étais à sa disposition. Mon mari, de son côté, et sans perdre de temps, a glissé ses doigts dans la raie de mes fesses.

Au début, ce fut un peu difficile pour lui de forcer le passage, car je dois avouer que je n’étais pas naturellement détendue. Ensuite, son majeur a d’abord frôlé ma rosette, ce qui m’a fait légèrement sursauter comme si j’avais reçu une légère décharge électrique, mais c’est plutôt un frisson de tout mon corps qui s’ensuivit lorsquil a commencé doucement à masser mon anus. Il me fit mal et j’ai dit « ahh », puis ma mère m’a dit : « qu’est-ce qui te prend, ma fille ? », je lui explique la situation, elle me demanda de lui passer mon mari.

J’ai passé le téléphone à mon mari et j’ai entendu ma mère lui dire :

Demande à ta femme de se placer à genoux sur le lit, dans cette position, ses fesses seront relevées et, entièrement nues, s’offriront plus franchement à tes attouchements… !

Oui maman ! lui dit mon mari.

Mon mari m’a ordonné de faire ce qu’avait dit ma mère.

Mon mari faisait maintenant courir ses doigts dans le sillon de mon cul, tout en frôlant les reliefs de mon postérieur si ferme et arrogant dans la position impudique dans laquelle je me trouvais. Mais je ne voulus pas rester passive. Il me fallait répondre à ses caresses par d’autres, tout aussi agréables, et me doigter l’anus, c’était ma première fois. Ce dépucelage, je lui offrais mon cul par le désir de ma mère.

Son doigt, toujours dans ma rondelle, comme à la recherche d’un mystérieux trésor il fallait d’abord que je reprenne mon souffle et que ma mère lui donne des instructions une fois la douleur passée, ce fut bien la jouissance de me faire pénétrer qui prit le dessus. Je jetai ce qu’il me restait d’énergie pour lui souffler entre deux râles de jouissance. J’ai entendu mon mari dire à ma mère :

C’est à toi, maman, de me dire ce que je dois faire !

Allez, encule-la… ! lui répondit ma mère.

Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il frotte son membre contre ma raie et qu’il me pénètre alors que je ne m’y attendais pas, pas si vite. J’ai brusquement mordu mes lèvres, car la douleur était, cette fois, bien réelle. Il m’enculait à sec, sans plus de cérémonie, et moi je subissais tous les outrages de mon mari, sous le prétexte de vouloir apaiser le désir de ma mère.

Il a posé ce fameux téléphone sur la table de nuit et commença à me triturer la poitrine avec une ardeur sauvage et alors qu’il me culbutait comme un étalon sevré trop longtemps de sexe, il se mit à éructer, tout en continuant à me baiser sans tendresse, des mots qui me rappelaient que ma mère nous écoutait et même qu’un jour, je ferais comme elle. Il m’a dit : « dis-moi que tu aimes te faire enculer ! ». Je lui dis « oui ».

Puis il m’a dit : « dis-moi que tu aimerais que j’encule ta mère ». Je n’ai pas voulu répondre, il m’a donné une fessée, puis ce fut ma mère qui lui répondit par « oui ».

« Tu aimerais la sentir profondément en toi, maman ? Dis-moi qu’aucun homme ne t’a jamais enculée avant ! lui demanda mon mari.

Pour moi, les premières douleurs avaient disparu, maintenant, une rafle de jouissance envahissait mon corps et sentir le sexe de mon mari coulisser dans mon trou du cul.

J’aimais ça ? C’était la première fois que je me faisais mettre par-derrière.

Sans me rendre compte, j’ai dit à mon mari de ne pas s’arrêter.

Quand je me suis effondrée, en larmes, épuisée par la souffrance et la jouissance, j’ai cru un instant, que je m’étais perdue en lui. Il m’a semblé qu’au moment où je jouissais, il chuchotait : « mon amour, tu aimerais que j’encule ta mère comme toi ?.» Je ne voulus pas répondre.

Puis il m’a dit : « mon amour, j’ai envie même de ta mère ! ».

Les jours suivants furent, pour moi, vraiment étranges. Ma relation avec mon mari et ma mère évolua d’une étrange façon.

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