Il se passe un long moment dans le silence puis :
— On verra, mais déjà tu dois remettre ton truc dans le cul.
— Tu as raison.
— Mets-toi à quatre pattes que je te l’enfile.
Je me mets dans la position et elle passe derrière moi pour me rentrer le plug de nouveau dans le cul.
-Voilà, c’est fait et je vais m’asseoir sur ta bouche pour voir ce que ça fait.
Elle s’assied sur ma bouche quand je suis sur le dos. Elle reste ainsi à jouer avec mes tétons en les tordant puis donne des claques sur mon sexe qui est encore tendu puisque je n’ai pas joui. Elle bouge le bassin afin de bien placer la langue sur les zones qu’elle préfère.
— ça ne me déplait pas d’être ta Maîtresse. C’est même bon. Ne bouge pas pervers.
Elle se soulève un peu et reste ainsi à quelques centimètres au-dessus de ma bouche. Après quelques minutes.
— Ouvre la bouche, pervers.
J’ouvre la bouche et quelques gouttes de pisse tombent maladroitement. Puis la chute est un peu plus rapide. Après s’être rassise.
— Tu as eu raison de me parler honnêtement de ta soirée. Tu avais raison que la routine tuait notre couple. Je m’aperçois que j’aime çà.
— Monsieur Eric, moi Maîtresse Anaïs te prend à mon service comme soumis à l’essai. Si ça ne me plait pas, nous abandonnons çà.
— Merci ma Chérie. Pardon, merci Maîtresse Anaïs et vivement notre soirée du réveillon.
— En attendant, tu vas mettre la table et faire à manger en restant tout nu.
— Oui, Maîtresse.
Elle s’installe sur le canapé et pianote sur son portable. Pendant ce temps là, je m’active pour lui faire plaisir.
Quand tout est prêt, nous nous mettons à table. Le plug commence à me gêner lorsque je m’assois.
— Maîtresse, le plug commence à me gêner. Puis-je l’enlever ?
— Je viens de lire sur internet que ce n’est pas au soumis de choisir quand faire quoi. Tu le gardes et tu serres les dents. Nous verrons après que tu as fait la vaisselle.
Je reste donc avec le plug même si je me lève de temps en temps pour faire le service.
— En fin de compte, je crois que je m’amuse bien à jouer la Maîtresse. Bien sûr il faut que je me renseigne sur quoi faire et comment le faire. J’ai lu sur internet les vertus des fessées sur le soumis. Donc, si tu veux enlever le plug ce sera en échange d’une fessée.
—
— À combien estimes-tu le nombre de fessées pour avoir le droit d’enlever le plug ?
— , 10 ? Bafouillais-je
— Seulement ???
— Euh, 15. Maîtresse
— Allez disons 20, car il est gros.
— Bien Maîtresse.
Nous continuons notre diner puis je débarrasse pour faire la vaisselle. Pendant qu’elle retourne sur le canapé avec son portable.
— Quand tu as fini, tu te mets à genoux et tu attends. Au fait, comment t’appelle ta Maîtresse ?
— Petite pute, Maîtresse.
— C’est pas mal comme nom.
Je continue mon ouvrage puis je viens m’agenouiller face à elle, les yeux baissés et les mains derrière le dos.
— Tu veux ta fessée, petite pute ?
— S’il vous plait Maîtresse.
— Donne-moi une de mes chaussures plates, car je n’ai pas envie de me faire mal à la main puis couche-toi sur mes genoux.
Je vais me lever pour aller chercher une chaussure.
— Non ! Tu y vas à quatre pattes et tu la ramènes dans ta bouche. Pour çà tu auras 5 de mieux.
Je fais ce qu’elle me dit et je m’installe.
— Tu comptes.
Et elle frappe avec la chaussure. C’est horrible.
— 1, 2, 3, 4, 5, , 23, 24, 25.
— On ne dit pas merci ?
— Merci Maîtresse.
Le cul me chauffe et j’ai des larmes qui ont coulé. Décidément, elle apprend vite son rôle de Maîtresse.
— Tu me tournes le dos et tu enlèves ton plug que j’admire ton orifice.
Je me tourne et les fesses en l’air je prends le plug pour l’enlever tout doucement. Ça me fait mal, mais il sort. Une fois enlever.
— La vache, le trou du cul que tu as. Je pourrais y entrer ma main comme ta Maîtresse Jenny. Attends bouge pas.
Sur ce, elle se met à me pénétrer des doigts dans l’anus et, tout en rigolant, elle en arrive à me mettre la main en entier dans le cul.
— C’est fou, j’ai mis la main en entier dans tes fesses.
Et de là elle m’attrape les couilles et les sert. Je sens qu’elle serre le poing. Elle me baratte l’anus et me presse les testicules en même temps. J’en bande.
— Tu es vraiment une pute. Je te défonce le cul et t’éclate les balles. Toi, tu bandes. Tu es une chienne en chaleur.
Elle continue un moment. Je sens que je vais jouir. Tout à coup, elle me lâche les testicules et m’ôte le poing du cul qui fait un bruit ignoble.
— Interdit de jouir avant le réveillon.
Elle part vers la chambre en rigolant. La soirée est bien avancée et je pars dans la salle de bains me changer pour passer la nuit. J’y trouve Anaïs qui me regarde rentrer dans la pièce. Elle sourit et me fait une bise sur la joue.
— Je me suis bien amusée ce soir. J’ai bien aimé être ta Maîtresse.
— Moi aussi, ma chérie. Je te redécouvre.
— Tu oublies que je reste ta Maîtresse. Alors tu te changes pendant que je fais mon pipi et tu viendras me lécher au lit pendant que je surferai sur internet. Allez dépêche-toi petite pute.
Je l’entends faire son pipi pendant que je me déshabille et puis je me lave les dents. Lorsque j’arrive dans la chambre, elle est déjà sur le lit toute nue.
— Pourquoi as-tu mis un pyjama? Ôte-le et allez hop sous les draps. Viens me faire du bien.
Je me déshabille et me glisse sous les draps pour lui lécher le sexe. Elle mouille beaucoup, et semble apprécier mes caresses buccales. Je lui glisse deux doigts tout en continuant à la lécher. Cela dure un bon moment, elle gémit de plus en plus. Il fait très chaud sous les draps, mais je continue à lui donner du plaisir. Elle m’appuie sur la tête et approche un peu plus son bassin pour jouir. Je bois sa cyprine pour notre plaisir commun.
— Allez sort de là que je dorme.
Je sors de sous les draps, elle pose son portable et je me tourne le dos pour dormir.
Tous les soirs de la semaine se passent dans ma soumission à ma Maîtresse Anaïs quand arrive enfin la veille du réveillon dont nous devons passer la nuit avec Maîtresse Jenny.
Maîtresse Anaïs passe une petite robe noire sous laquelle elle n’a pas mis des sous-vêtements. Pour ma part, je me suis glissé le plug dans l’anus comme tous les soirs.
Nous descendons prendre la voiture et partons vers chez Maîtresse Jenny. Quand nous arrivons, nous voyons deux voitures garées devant chez elle. Nous descendons et sonnons chez elle.
— Ah, voici petite pute et sa chienne de Maîtresse.
Pour ma part, je baisse les yeux, mais Maîtresse Anaïs ne s’attendait pas un tel accueil.
— Toi petite pute tu te déshabilles et tu jettes tes frusques dans ta voiture.
Pendant que je me déshabille, Maîtresse Jenny s’approche de Maîtresse Anaïs et lui glisse une main sous la robe.
— C’est bien, entrez.
Nous entrons dans le salon et nous trouvons ses deux filles et un couple nu qui se trouve à genoux de part et d’autre de l’arbre de Noël.
— Clara et Marine, préparez la petite pute j’ai besoin de parler avec sa chienne de Maîtresse.
Clara me prend par le bras et me dit :
— Tu vas te positionner sous la jupe de ta chienne de Maîtresse et tu vas la lécher le sexe pendant que notre mère lui parle. Mais avant nous allons t’isoler.
Elles me mettent des bouchons d’oreilles qui m’assourdissent et ensuite un masque sur les yeux qui m’aveugle. J’ai les mains attachées derrière le dos puis je suis amené sous la jupe de Maîtresse Anaïs. Je me mets à la lécher et je suis ainsi à genoux les mains dans le dos et un plug dans l’anus.
Je ne sais combien dure cette situation, mais je commence avoir mal à la langue et aux genoux. La position est inconfortable, mais je sens que cela plait de plus en plus à Maîtresse Anaïs. Elle mouille de plus en plus. J’ai mal partout, mais elle prend du plaisir à la situation. Je n’en peux plus, mais je continue. Être aveugle et sourd dans cette situation est vraiment bizarre. Tout à coup, je sens qu’elle jouit et je reconnais sa cyprine, son goût et sa manière de me tenir la tête dans cette situation.
Je suis tiré en arrière et on m’enlève le masque puis les bouchons. Clara me positionne à genoux à côté du couple de soumis.
— Nous avons discuté Anaïs et moi. Me dit Maîtresse Jenny. Nous sommes tombées d’accord sur la suite dans notre fonctionnement. Anaïs sera ta Maîtresse dans votre quotidien, mais sera ma soumise. Que ce soit avec ou sans toi, car nous verrons même sans toi. Bien sûr, elle sera soumise à Clara et Marine. Elle aura le droit de soumettre le couple que tu vois avec toi. Anaïs est d’accord pour tout accepter de nous et tout te faire. Elle a joui, car je l’ai autorisé à le faire et de plus, je lui ai donné un cocktail à boire comme lors de ta visite à Noël. Ce puissant aphrodisiaque l’a chauffé pour la soirée.
— Maintenant, dit Maître Marine nous allons faire un jeu. Les deux soumises vont s’équiper d’un gode ceinture et vont enculer leur compagnon. Le premier qui jouit a perdu et sera fouetté par sa compagne.
Maîtresse Clara tend un gode ceinture à chacune. Ils sont énormes, et semblent très lourds. Elle leur installe quelque chose dans le vagin avant de leur installer le gode.
Le soumis et moi sommes côte à côte et on nous enlève les plugs. Nos compagnes s’installent derrière nous et nous pénètrent. Ils sont vraiment énormes.
— Pour que le concours soit plus intéressant, nous avons installé un uf vibrant dans le vagin des femmes pour qu’elles soient plus motivées. Dit Maîtresse Clara.
— Pendant que le perdant sera fouetté, la perdante sera enculée par le gagnant et la gagnante aura droit de sucer le perdant. Ça devrait être intéressant avant et après le concours. Dis Maîtresse Jenny en rigolant.
— À vos marques, partez.
Anaïs, commence les mouvements alternatifs et Maîtresse Clara me masturbe pendant que Maîtresse Marine masturbe le soumis. Je suis défoncé et Anaïs augmente la force des coups certainement à cause de l’uf qu’elle a dans le vagin et des pilules qu’elle a prises. Je l’entends gémir et s’extasier par des mouvements désordonnés de ses coups dans mon cul. La soumise jouit comme une folle tout en enculant son compagnon. La main de Maîtresse Clara m’approche de la jouissance.
— Je sens que je vais gagner. Dit-elle. Elle est au bord de la jouissance sa grosse bite.
— Oh tu n’as pas encore gagné surette, car ce chien ne va pas tarder à lâcher sa goutte.
Elles rigolent comme des folles et s’amusent. Quand tout à coup Anaïs jouit en hurlant et son gode m’entre encore plus dans les entrailles. Je serre les dents pour ne pas jouir. Je pense à autre chose pour ne pas perdre.
— Ça y est, il a tout lâché, j’ai gagné. S’écrie Maîtresse Marine.
Du coup, Maîtresse Clara augmente les mouvements pour me forcer à jouir. Ce que je fais avec plaisir.
Maîtresse Clara tend la main à Anaïs pour qu’elle boive mon sperme. Je suis surpris de la voir faire sans dégoût. Décidément ses pilules sont formidables et annihilent la volonté et augmentent le plaisir.
— Nos soumis doivent avoir soif. Si vous leur faisiez votre cocktail au viagra, car ils vont en avoir besoin pour cette nuit. Dit Maîtresse Jenny.
Ses filles reviennent rapidement et nous tendent à chacun un verre.
— Allez-vous reconnaître à qui est le nectar que vous avec dans votre verre. Dit Maîtresse Clara
— 20 coups de fouet à celui qui ne trouve pas. Complète sa sur.
— Et toi petite pute. Tâche de rebander rapidement, car tu dois enculer soumis. Dit Maîtresse Jenny
— Alors soumis, de qui est le nectar ?
— De Maîtresse Clara ?
— Et toi, petite pute ?
— De vous Maîtresse Marine ?
— Perdu petite pute, tu gagnes 20 coups.
Bientôt mon sexe se dresse et devient bien dur.
— Soumis, tu te mets à quatre pattes. Petite pute tu l’encules pendant que soumise le fouette. Anaïs tu suces soumis. Et moi, je fouette petite pute pour 20 coups. En avant
J’encule soumise pendant ce temps là soumis reçoit les coups de soumise et moi je reçois ceux de Maîtresse Clara.
Je ne tarde pas de jouir dans le cul de soumis.
— Petite pute, qui t’a permis de jouir ?
— Excusez-moi Maîtresse Jenny.
— Soumis tu t’assois sur son visage pour vider ton cul dans sa bouche.
Et me voilà en train de boire mon sperme dans le cul d’un autre homme. C’est horrible et pendant ce temps-là soumise est poussée vers moi pour me sucer et Anaïs doit lui lécher la chatte.
L’équipage est obscène et Maîtresse Jenny arrive au-dessus de soumis et lui donne sa chatte à lécher.
— Je vais te pisser à la gueule. Tâche de ne rien laisser couler sinon tu vas prendre grave.
Et elle lui pisse dans la bouche pendant que soumis boit tout. Quand la source est tarie.
— Allez les larves relevez-vous.
Maîtresse Marine arrive avec une planche sur laquelle sont installés dix godes de tailles différentes.
— Voici un nouveau jeu. Dit Maîtresse Marine. Par équipe, en commençant par les filles vous partez d’un côté de la planche et vous vous asseyez sur les godes que vous rentrez dans votre chatte et vous faites trois aller-retour, puis vous passez au suivant et ainsi de suite. Arrivé au bout vous revenez en les rentrants dans le cul. Au dernier vous passez le relais à votre compagnon. Qui fait la même chose dans le cul et qui revient en les suçant en les rentrant trois fois. Les perdants seront ceux qui ont mis le plus de temps. C’est compris.
— Les perdants auront une punition. Complète Maîtresse Clara. Soumise tu commences.
Soumise se place en bout de la planche.
— Trois, deux, un, gode ! Dit Maîtresse Marine
Soumise commence sur le premier gode, s’active dessus, passe au second et ainsi de suite. Les Maîtresses acclament soumise pour aller plus vite. Arrivée au bout, elle recommence en rentrant dans le cul. C’est plus difficile, s’active et passe au second. Ainsi de suite, puis passe le relais à soumis qui se rentre le premier dans le cul. Puis passe au second et ainsi de suite jusqu’au dernier. Il revient en suçant les godes. Et enfin fini.
— Bravo, trois minutes et dix secondes. Dit Maîtresse Marine. À vous les autres.
Anaïs se place au premier gode.
— Trois, deux, un, gode !
Et Anaïs se place le vagin sur le premier, se le rentre trois fois et passe au second. Elle recommence jusqu’au dernier. Elle revient en se le rentrant dans le cul. Cela semble être plus difficile qu’à laller, mais arrive jusqu’au bout. Elle me passe le relais et je commence à m’enculer, je m’astique trois fois et passe au second.
Les dimensions ne sont pas les mêmes entre tous les godes et les changements entre eux sont bizarres. Certains sont doux et d’autres rugueux ce qui explose le cul. Ce jeu est dur à faire. Mon anus est torturé et vivement que cela soit terminé. J’arrive enfin au bout et je reviens vers le début en suçant les godes. Le moins que l’on puise dire c’est qu’ils ont du gout.
J’arrive au dernier et Maîtresse Marine dit :
— Dommage, trois minutes et .. 22 secondes. Vous avez perdu.
— Pour votre punition, vous allez vous enculer sur les godes que voici. Dit Maîtresse Carla.
— Elle pose deux chaises avec des godes énormes.
Anaïs et moi, nous positionnons l’anus sur les godes et nous nous empalons. Mais surprise, ils sont enduits de l’onguent qui nous allume l’anus d’une chaleur intense. Nous avons l’anus explosé et l’onguent nous approche de la jouissance extrême. Je sens que je fais défaillir face à autant de sensations. Rester ainsi enculés est très difficile et le besoin de se faire ramoner est puissant.
Arrive en fin le temps où nos Maîtresses nous autorisent à nous ôter des godes. Nos anus en feu libèrent les godes.
— C’est bientôt minuit. Il va falloir vous faire la bise. Dit Maîtresse Jenny. Les soumises ensemble et les soumis aussi. Vous vous mettez en 69 et vous vous faites jouir pour le nouvel an. Et mes filles, chaussez vos godes ceintures et prenez-moi en sandwich.
Je m’installe sur le dos et soumis se met au-dessus de moi. Je prends son sexe en bouche pendant qu’il me suce. Pendant ce temps-là j’aperçois les filles qui se gougnottent à côté de nous.
Plus loin, Maîtresse Jenny se fait prendre par ses filles. Elle jouit comme une folle, et ses filles semblent être possédées de faire jouir leur mère.
Les soumises à côté de nous geignent de plus en plus et tout à coup explose dan une jouissance extrême qui ne semble pas vouloir s’arrêter. Elles crient leur bonheur de se lécher mutuellement. Cela semble inspirer soumis qui se met à me jouir dans la bouche et à mon tour je lui envoi tout mon jus. J’ai son sperme dans la bouche et son sexe ne ramollit pas. Ce doit être le viagra qui continue son effet. Je me surprends à avaler son foutre tout en continuant à le sucer.
Maîtresse Jenny hurle aussi sa jouissance accompagnée par ses filles. Elles sortent des orifices de leur mère qui tombe au sol et les filles ôtent leurs godes ceintures puis passent les doigts dans leurs sexes afin d’enlever les ufs qui les ont fait jouir.
Maîtresse Clara se tourne vers nous et nous hurle dessus.
— Dans notre gentillesse, nous vous offrons le loisir de vous faire la bise pour le jour de l’an et vous en profitez pour vous faire jouir. Vous vous donnez chacun 30 coups de fouet. Et jen veux rien entendre.
Soumis se met derrière moi et commence à me donner les coups sur le cul. C’est horrible, mais je dois tenir. J’entends les soumises faire la même chose, mais c’est plus fort qu’Anaïs, elle geint à chaque coup. Quand le trentième coup est porté, nous changeons de position et je fouette à mon tour soumis. Anaïs fouette à son tour soumise et semble vouloir se venger des douleurs, car elle porte des coups à pleine volée. Elle prend son rôle à cur.
— Bien, dit Maîtresse Marine. Venez tout de même boire du champagne pour la nouvelle année.
Elles nous servent des verres de champagne, mais curieusement le liquide n’a pas de bulles.
— Bonne année mes esclaves et que nous ayons plein d’autres soirées de dressage.
— À la vôtre Maîtresses.
Nous portons les verres à nos bouches et bien sûr, comme je m’y attendais, c’est de l’urine de nos Maîtresses. Mais je bois avec délice.
— Maintenant les soumis vous remettez vos plugs et pouvez rentrer chez vous, car il est tard et demain nous avons des invités à déjeuner.
Soumis et moi remettons nos plugs pendant que les soumises remettent leurs robes. Puis nous sortons nus avec nos sexes bandés dans la main des soumises.
À la voiture, je m’habille, mais Anaïs m’arrête et me tend une culotte.
— Maîtresse Jenny veut que tu portes des sous-vêtements féminins maintenant.
J’enfile la culotte et m’habille. Cela me fait bizarre de porter une culotte alors que mon sexe est toujours tendu et que pour le faire rentrer c’était une opération impossible.
Nous montons dans la voiture et nous partons vers l’appartement. Nous n’avons rien mangé ce soir et le ventre commence à crier famine. Un long moment de silence règne dans la voiture et je me pose la question de savoir si cela n’a pas été trop loin pour Anaïs et qu’elle est déçue de sa soirée.
Peu avant d’arriver à l’appartement, Anaïs me dit :
— J’ai passé une excellente soirée, mais ne te fait pas d’idées, tu es toujours mon soumis et Maîtresse Jenny m’a donné des instructions très précises concernant notre quotidien. Mais pour l’instant rentrons et je te transmettrai les nouvelles règles de notre vie.
C’est vraiment un sacré jour de l’an. Généralement, le jour de l’an est le jour où l’on prend de grandes décisions et je crois qu’elles sont prises nous concernant.
