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Morgane, ma patronne – Chapitre 1




A la demande d’ Heubi qui apprécie mes récits, et qui fantasme sur sa patronne, voici comment Alex va enfin pouvoir vivre le rêve qui hante ses nuits.

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Morgane, ma patronne.

Chapitre 1 : Mon fantasme

Cela fait 1 an que je bosse dans cette société spécialisée dans la sécurité de bâtiments et bureaux sensibles. Le chef de service qui m’a embauché vient de partir en retraite et c’est une femme qui a repris sa fonction.

Elle se prénomme Morgane, ingénieur en micro-informatique et je suis certain que je vais apprendre, avec elle, beaucoup de choses intéressantes pour mon boulot

Morgane a dans les 35 ans soit dix de plus que moi.

Elle est jolie, très féminine et elle a de belles rondeurs avec des courbes douces, dans ses hanches et le dos, qui englobent une paire de fesses sublimes. Cela attire le regard des hommes. C’est aussi le cas pour moi, car lorsqu’elle passe à côté de moi dans sa jupe moulante, je ne peux détacher mon regard de sa croupe qui ondule devant mes yeux. Mon imagination s’affole et mon sexe ne peut rester en place calmement dans mon slip.

Bientôt 6 mois que je désir cette femme et j’ai peur qu’elle s’aperçoive de quelque chose et qu’elle me remette à ma place.

Elle est toujours habillée impeccablement, avec des vêtements à la mode qui moulent parfaitement son corps tonique sans être inappropriés pour un environnement d’affaires. Peu de maquillage, juste pour ses yeux d’un vert profond qui pourraient faire sauter mes boutons de braguette si elle me fixait trop longtemps.

D’après mes collègues, elle est mariée à un homme beaucoup plus vieux qu’elle qui serait un peu imbu de sa personne.

En fin de journée en quittant son bureau, elle m’interpelle.

— Alex, demain j’ai besoin de toi. J’ai une réunion importante avec une société qui veut changer de prestataire de sécurité. On ne sera pas trop de deux pour les convaincre que nous sommes les meilleurs. OK ?

— Oui, madame.

La regardant s’éloigner vers sa voiture, j’admire son cul étroitement moulé par sa jupe qui s’incruste même entre ses fesses rebondies. Vachement sexy ma patronne sur ses hauts talons qui mettent en valeur les muscles galbés de ses mollets, et sa démarche chaloupée qui fait danser son cul d’une manière délicatement féminine, comme le balancier d’une pendule à chaque pas.

Cette femme qui m’intimidait un peu au début est devenue rapidement un fantasme pour moi, une déesse inaccessible, que je peux simplement admirer de loin.

Lorsque je vais dans son bureau, je regarde la façon dont ses vêtements collent à ses belles courbes. J’admire ses jambes quand elle les croise en pivotant sur sa chaise. Quand elle enlève sa veste, j’admire ses petits seins, mais des seins bien ronds, bien fermes qui tendent son chemisier.

Le lendemain après-midi nous avons préparé notre réunion jusqu’à presque 20 h. Nous étions tous les deux fatigués et j’avais enlevé ma cravate et ma veste depuis longtemps. Elle aussi avait retiré sa veste et même ses chaussures.

— Pouf ! Alex je suis éreintée !

Me dit-elle se penchant en arrière, en s’étirant, en baillant et en étendant ses jambes sur la table. Étant assis à côté d’elle, ses pieds se sont posés juste en face de ma tête reposant sur ma main, Sans tourner la tête, je regarde discrètement ses pieds.

Ils sont petits, féminins et mignons comme tout. Ses ongles sont vernis en rouge. Je ne suis pas fétichiste du pied, mais j’apprécie les pieds sexy de Morgane qui se frottent l’un contre l’autre sous mes yeux.

Je tourne légèrement la tête et j’ai une vue incroyablement belle. Elle est penchée en arrière sur sa chaise avec ses mains derrière sa tête, regardant le plafond. Moi, ma tête au repos sur ma main, je regarde ses cuisses blanches. Elle ne doit pas aimer se faire bronzer car sa peau est toujours blanche et crémeuse. Sa jupe juste au-dessus du genou me permet de voir qu’aujourd’hui elle ne porte pas de collants. Je ne peux voir plus haut, mais comme elle s’étire encore, sa jupe remonte plus haut sur ses cuisses.

C’est peut-être mon imagination, mais j’ai comme l’impression qu’elle le fait exprès. Je peux voir maintenant ses cuisses, et mon sexe à un sursaut.

Elle respire profondément par le nez, et les yeux fermés, elle se détend. Après quelques instants, elle bâille et s’étire de nouveau. Cette fois, elle écarte ses jambes encore plus largement et j’ai une vue très claire de son slip blanc. Il est lisse, soyeux et presque transparent, bien tiré sur la courbe bombée de son pubis.

Mon cur s’affole dans ma poitrine et j’ai une envie folle de faire courir ma langue sur ses belles jambes jusqu’à ce slip brillant.

Sans ouvrir les yeux, elle gémit et murmure.

— Bon, Alex, il est temps de rentrer chez soi pour passer une bonne nuit et être en forme demain. Et n’oublies pas de réserver l’hôtel pour notre déplacement car il sera sûrement trop tard pour rentrer le soir.

J’ai envie de lui dire qu’on a mieux à faire pour passer une bonne soirée de détente mais je lui réponds.

— Bien madame, je m’en occupe demain à l’aube.

Le lendemain en sortant des bureaux de la société que nous avons visitée et après la réunion qui s’est conclue sur un accord de principe, ma patronne, Morgane, me dit.

— Alex vous avez été parfait ! Nous avons gagné !

— Merci madame, c’est surtout vous qui avez été incroyable.

— Non, Alex, dit-elle en saisissant mon bras.

— Je suis vraiment fier de toi.

Ajoute-elle en jetant ses bras autour de moi et en me serrant dans ses bras.

— Ce soir appelle-moi Morgane. On est un vrai duo. C’était génial.

Son étreinte me fait frissonner d’autant que nous restons enlacés un moment et je me délecte dans cet enlacement, appréciant cette douce sensation de son corps pressé contre le mien.

J’ai vraiment l’impression que tous les deux nous voulons coller nos corps l’un contre l’autre, mais elle me repousse doucement en disant.

— Il est temps de rentrer à l’hôtel.

Nous sommes arrivés au restaurant de l’hôtel et avons eu de la chance d’obtenir une table malgré l’affluence en cette fin de semaine. Morgane, ma patronne, me regarde avec ses magnifiques yeux verts. Elle a appelé le grand patron pour lui faire part des résultats de notre négociation et celui-ci a dû la féliciter car elle est légèrement euphorique, Elle commande même du champagne que nous boirons pour le dîner. Nous trinquons à notre réussite et quant à la fin du repas, je verse les dernières gouttes dans son verre, elle me dit

— Pourquoi ne pas prendre une autre bouteille de champagne et continuer de célébrer notre succès dans ma chambre.

— Très bonne idée.

Répondis-je, tout heureux de l’accompagner dans sa chambre.

Arrivés dans sa chambre, elle balance ses hauts talons et jette sa veste de tailleur sur le sol. Elle dégrafe le haut de son chemisier et tombe sur son lit.

Nous avons plaisanté sur tout et sur rien, tout en se resservant des coupes de champagne. Couchée sur le lit, sa tête posée sur sa main, elle me sourit pendant que nous parlons. Elle est magnifique, sa jupe un peu remontée sur ses cuisses, son chemisier entrebâillé me permettant de voir une partie de seins. Je meurs d’envie de me jeter sur elle pour l’étreindre et l’embrasser, mais je n’ose pas.

Elle me regarde fixement et me dit.

— Ça va Alex… Moi je crois que j’ai un peu trop bu de champagne…

— Moi aussi… Morgane. Je vais vous laisser.

Je suis près de la porte, elle se lève et vient vers moi.

— Vous devez être fatigué Alex …,

— Oooh, non… je suis très loin d’être fatigué… et…

Je ne sais quoi dire et je pose ma main sur son bras. Elle réagit en respirant fortement à mon contact.

— On a passé une sacrée journée, Morgane…

Elle se rapproche de moi et pose sa main sur la porte pour m’empêcher de l’ouvrir.

— Oui, Alex… Quelle journée…

Elle est tellement près de moi que je peux sentir son parfum envoutant et la chaleur qui émane d’elle. Elle me fixe de ses yeux brillants comme pour refuser de rompre le contact avec les miens. Je laisse tomber ma main de son bras à sa taille, juste à l’endroit où sa chemise est rentrée dans sa jupe. Encore une fois, elle respire rapidement tout en léchant sa lèvre supérieure.

— Merci, Morgane, pour aujourd’hui… pour tout… pour …

— Tu m’as déjà remercié… Alex…

Dit-elle sans me quitter des yeux et je crains qu’elle puisse lire dans mon esprit tellement je désir cette femme en cet instant.

— Oui, mais vous êtes tellement … tellement… belle… sexy… que… je ne voudrais pas…

— Oh Alex…

Sa respiration est devenue lourde, et je peux presque entendre son cur battre rapidement. Tout comme le mien qui tape dans ma poitrine.

— Alex. Je vois bien à quoi tu penses. Tu me désires et … bon sang… j’aime ça. C’est agréable d’être désirée. Et ça m’excite…

En entendant ses mots, je me décide à agir, quoi qu’il puisse m’en coûter.

Avec ma main toujours sur sa taille, je saisi la ceinture de sa jupe et je la tire vers moi. De mon autre main, je passe mes doigts, derrière son oreille, dans ses cheveux, et j’attire sa bouche sur la mienne, pour l’embrasser avec passion. Après un bref moment de surprise, elle gémit dans ma bouche en enroulant ses bras autour de mon dos, me tirant contre elle. Elle ouvre la bouche et pousse sa langue agressive dans la mienne. Sa langue a un agréable goût fruité de champagne. Ma main glisse sur ses fesses et je peux enfin presser cette chair féminine qui, comme je le pressentais, est ferme sous ma main.

Tout à coup, je me rends compte de ce que je fais car ma queue durcit instantanément et cherche à se redresser dans mon slip. Je suis entrain d’embrasser ma patronne et sa langue fouille adroitement chaque pouce de ma bouche. Je lui palpe de nouveau son cul en la poussant doucement, mais fermement, sur la porte fermée, la clouant sur elle, nos bouches verrouillées dans un ardant baiser.

Je ne pense plus qu’à une seule chose. Je veux cette femme superbe er désirable. Je veux découvrir chaque parcelle de son corps, chaque détail de sa peau dans les recoins les plus intimes. Je veux la baiser pour lui donner du plaisir.

Soudainement elle arrête de m’embrasser.

— Oh mon Dieu, Alex, Que fait-on…

Je m’attends à ce qu’elle me dise d’arrêter mais au lieu de ça, elle plante ses ongles dans mon dos et reprend sauvagement ma bouche. Nos langues se caressent puis elle se met à sucer ma langue comme si elle me faisait une fellation.

Lorsqu’elle se détache de moi je reprends ma respiration et je lui dis.

— Je ne sais plus ce que je fais… mais j’attends ce moment depuis si longtemps… très longtemps. Vous… tu me rends fou, Morgane.

— Tu cachais bien ton jeu, Alex.

— Par respect, madame.

— Ce soir, c’est Morgane et je suis à toi. Prends-moi maintenant !

A suivre

Phantome

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