Lola ne m’embrassait plus. Elle avait de la fidélité pour son homme. Mais elle avait une fille et c’est elle qui m’intéressait le plus.
— David…me dit ma sur.
— Quoi?
— Tu me demandes de me prêter ma fille parce qu’elle est sexuellement majeure…excuse-moi si je ne sens étrange.
— Au moins, négociais-je, elle aura une première fois avec quelqu’un de confiance. Et puis, elle m’aime bien.
— Ah ah ah…et tu vas lui faire un gosse aussi?
— Tu me connais déjà bien.
— Et si tu en faisais un a d’autres. C’est assez important le nombre de filles qui t’entourent
— Oui mais je voudrais…
— Je ne t’ai pas résistée et j’en suis heureuse mais ma fille est trop jeune. Je suis désolée. Saute ta secrétaire quand ta pause de midi sera finie.
— Lola…
Ma sur se levait et reprit son manteau avant de me faire la bise et partir.
Je retournais à mon bureau mais j’avais dégagé toute mon après-midi pour effectivement m’occuper de ma secrétaire…De fille! Et oui, elle était la seconde fille que j’ai eu avec Eva, cest ma Lilou qui ne sait rien faire de ses dix doigts. Je ladore mais quelle est gourde autant quelle est bonne. Dans ses études, elle a prit les options de technique de secrétariat et elle effectuait un stage en ce moment. Je lai donc embauchée en stage et elle nest pas douée. Cela étant, elle réussira car elle est douée pour le sexe (avec moi en tout cas).
— Tu mas appelée papa ?
— Non, pas papa mademoiselle.
— Pardon, vous mavez faite appeler Monsieur ?
— Oui. Ferme la porte derrière toi.
Lilou sexécuta et sapprocha du bureau en comprenant qu’elle allait un peu devoir divertir son patron. Elle s’installa d’instinct sur un siège que je lui avais tiré à coté de moi.
— Vous allez me rédiger un peu de courrier, dis-je. Je dois écrire une lettre à un employer que je dois licencier.
Lilou et sa sur étaient assez ressemblantes à Eva. Elles avaient juste une différence de taille. Lilou avait la même taille que sa mère mais sa sur était plus grande.
— Bien, vous êtes prête pour rédiger?
— Oui Monsieur.
— Très cher monsieur Delorme, je suis au…
Alors que je dictais et qu’elle écrivait, je pris délicatement sa main qu’elle n’utilisait pas et je la posais sur mon pantalon à hauteur de mon sexe. Elle ne disait rien.
— …notre collaboration, infructueuse, doit maintenant prendre fin.
Je sentais qu’elle avait prit les devant, elle retira la tirette de mon pantalon pour plonger sa main dans mon slip…enfin, je n’en portais pas donc elle posa sa main sur mon sexe. Elle me regarda en souriant.
— …Vous êtes donc licencier. Et vous finissez avec les formules habituelles de politesse.
— Bien Monsieur.
Elle sentait mon membre gonfler dans sa main si bien qu’elle ne parvenait plus à tout contenir.
— C’est toujours aussi énorme, me fit ma secrétaire.
— Quand elle est dans ta main, toujours.
— Et la main des autres?
— Il y a aussi de la masse mais je ne passe pas mes journées avec.
— Papa…je ne sais pas si je veux continuer. Plein de garçons me tournent autour et…
— Et je suis ton père alors je suis un peu prioritaire dans mes besoins. Tu ne veux pas faire plaisir à ton père?
— Si mais plus ainsi.
— D’accord…alors c’est le patron qui demande si tu veux réussir ton stage ou non?
— Papa…
— Une dernière fois pour nous dire adieu?
— Non…je ne ferais pas plus.
— D’accord.
Je vais dans mon tiroir et je sors mon portefeuille.
— Je suis prêt à payer si tu veux pour cette dernière fois.
— Me payer?
— Tu veux quoi? 500?
— Je ne…
Je pose l’argent sur la table. Elle les regarde avant de s’en saisir et les mettre dans sa poche.
— Daccord. Encore une fois et puis cest fini daccord ?!
— Et puis cest fini, jurais-je.
Elle hésita encore un instant puis elle prit ses deux mains pour prendre mon sexe et commencer à faire une série de bisous sur le bout du gland. Cétait un style quelle avait adopté et qui ne me déplaisait pas. On avait un petit rituel et quand j’en ai assez, je lui donne une belle bifle. Elle l’a met ensuite en bouche et commence son travail. De toutes celles que me l’ont fait, c’est elle qui a la moins bonne technique mais je n’ose pas lui dire car elle le fait avec tant de passion. Elle veut me faire plaisir alors je la laisse.
— Vas-y, dis-je, va jusqu’au bout.
Elle termine son travail et se prend une autre bifle.
— Aie, dit-elle.
— C’est la dernière, je devais bien marquer la chose.
Je lui donnais un bisou sur le front avant de lui déboutonner sa veste puis sa chemise. Elle a de jolis seins cette fille et je les embrasse avec plaisir. La sensation la fait toujours rire.
— Tu me chatouille…
— Et tu veux vraiment ne plus le ressentir?
— Papa…
— D’accord.
Elle laisse tomber sa jupe et j’arrache ses bas collants avec ferveur avant d’écarter sa petite culotte et j’y plonge ma tête et ma langue. Je lui tiens les mains alors qu’elle exalte assez bien son plaisir en poussant quelques petits cris. Je crois que c’est un critère génétique parce quelles crient toutes. Cétait si mignon. Je suis si heureux à chaque fois que je peux entrer dans une de mes filles. J’aimerais tant les mettre enceintes mais ce n’est pas possible, trop de risque. En tout cas, quand j’entre mon pénis dans son vagin d’amour, je suis heureux…vous n’avez pas idée. On est nu dans mon bureau et je la mets à quatre pattes pour la pénétrer par derrière. Je pourrais lui faire une petite pénétration anale mais ce n’est pas mon tripe. Le sperme ne va pas à l’ovule par ce chemin. C’est d’ailleurs bien dans le vagin que je lui envoyais mon jet.
— Tu prends bien ta pilule hein?
— Bien sur papa…
— Tant mieux…alors prends encore!
— Oui, donne-moi! BAISE-MOI!
— Je ne fais que ca ma chérie!
Je m’y donne à fond pour aller au plus loin dans son vagin, pour qu’elle sente le plus de choses possibles.
— Tu aimes hein!
— Oui!
— Tu en voudras vraiment plus?
— Si j’en veux! J’en veux!
Je l’allongeais sur le bureau après l’avoir dégager de tous les objets possibles. Je lui enfonçais mon sexe dans le vagin encore un peu avant de la tourner pour lui mettre ma queux dans sa bouche. Qu’elle est bien dans cette position…
Puis je suis sous le choc. Au moment où je la sors de la bouche de ma fille, la porte de mon bureau s’ouvre…une personne entre…et je suis dans cette situation avec ma fille (enfin, étant la fille de ma tante Eva, elle est officiellement ma cousine et c’est important à savoir), majeure sexuelle certes mais mineure dans les faits…la prison dans les faits? Qui est la personne qui ouvre la porte? Je panique…
— David ?