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Les actrices – Chapitre 1




Je m’appelle Eric, j’ai 43 ans et j’habite un gros village dans l’ouest de la France. Après mes études j’ai bossé près de pas mal d’année à Paris, dans le milieu de la finance. Je gagnais très bien ma vie mais je ne comptais pas mes heures. De ce fait, côté conquête, à part quelques coups d’un soir, c’était un peu le désert. Si vous ajoutez à ça que mon boulot ne me plaisait pas plus que ça, ça vous donne une idée de la joie de vivre qui me caractérisait à l’époque.

Il y a quelques années, un coup du sort m’a fait reconsidérer toute ma vie : la mort de mon grand-père. Ça m’a fait un choc, j’aimais beaucoup mon grand-père. De plus, le jour de ses obsèques, j’ai appris qu’il me léguait sa ferme, avec toutes les dépendances et les terrains. Cela faisait beaucoup d’un coup, et après un moment de réflexion, j’ai décidé de profiter de l’occasion pour changer de vie. Comme je ne voulais pas voir disparaitre la ferme, et n’ayant aucun talent ni aucun goût pour l’agriculture, j’ai vendu certains terrains à des agriculteurs du voisinage, et ai transformé la maison en gîte rural d’assez haut de gamme.

Aujourd’hui, je ne regrette rien. Mon gîte marche bien, je renoue avec les relations sociales et les solides amitiés, notamment avec Gilles le restaurateur qui est lui aussi revenu en catastrophe dans la région, pour reprendre le restaurant de son père trop prématurément décédé. Quant à ma vie sexuelle, elle est bien meilleure qu’avant. Ce n’est pas encore tout à fait ça, mais j’ai plusieurs plans cul et même si je sais très bien que tout cela est temporaire, je m’en contente pour l’instant.

Ce matin-là, je me suis levé relativement tôt pour un dimanche, la famille qui m’a loué le gîte pour la semaine devait partir et je devais procéder à un rapide état des lieux. Tout était en ordre, je récupère les clés et mes locataires, visiblement très satisfait de leur séjour, sont repartis tranquillement. D’ordinaire, après chaque départ de locataires, j’ai peu de temps pour tout remettre en ordre (serviette de bain, papier toilette, changer une salière vide, ), mais là, je n’avais personne la semaine suivante. Je pris donc mon temps et il était presque midi lorsque je terminai. Comme il faisait beau, je décidai de ne pas rentrer directement chez moi et me voilà à flâner tranquillement dans la forêt qui borde le gîte, en profitant du soleil.

Au détour d’un chemin, je suis tombé soudainement sur un spectacle que l’on ne rencontre pas souvent en sous-bois : deux vans et un véhicule type monospace stoppés les uns derrière les autres, et une quinzaine de personne regroupées autour. Drôle d’endroit pour une réunion. En m’avançant encore, je pus mieux distinguer les personnes, 10 jeunes femmes d’une bonne vingtaine d’année et 4 hommes plus âgés, une quarantaine d’année environ. Un détail me frappa aussitôt : toutes les jeunes femmes sont habillées ultra sexy (limite vulgaire) et ont toutes des seins bien trop gros pour être naturels. Et pour couronner le tout, j’avais l’impression d’en connaître une. Impossible de me rappeler où je l’avais vu mais une paire de nibards pareil, ça ne s’oublie pas.

— Bonjour. Vous êtes perdus? Je peux vous aider

C’est l’homme le plus âgé en apparence qui me répond :

— Bonjour. Non, nous ne sommes pas vraiment perdus mais nous sommes complètement dans la panade. Nous avions loué une ferme pour raison professionnelle, mais à notre arrivé, la loueuse nous a mis dehors et nous voilà en pleine nature sans savoir où aller.

A ce moment-là, j’ai remarqué que le monospace débordait de matériels de prise de vue et de prise de son, visiblement rangés à la va-vite. Et toutes ces caméras et ses micros semblaient de qualité professionnelle. Ok, des jeunes femmes siliconées, du matériel de cinéma, des professionnelles, je venais de comprendre à qui j’avais affaire. Et un regard de mon interlocuteur me le confirma, il est réalisateur de film porno et ces jeunes femmes sont ses actrices. Et je me suis souvenu où j’avais vu l’une d’elle : dans une émission de télé, où elle ne m’avait d’ailleurs pas paru super sympa. C’est à ce moment précis que m’est venue une idée saugrenue :

— J’ai peut-être une proposition à vous faire. Je suis moi-même propriétaire d’un gîte, libre la semaine prochaine, et je vous le loue pour 20% de son prix, contre la possibilité de profiter pendant tout ce temps, et comme je le veux, de toutes vos actrices. De plus, chaque nuit, je partagerai le lit de l’une d’elle.

— Très bien, c’est parfait, merci beaucoup.

Holà, rapide à prendre des décisions le garçon, surtout quand ça ne le concerne pas directement.

— Euh, merci à vous, mais ce n’est pas un peu rapide comme décision? Mon gite peut ne pas vous convenir. Et ces jeunes femmes, vous ne leur demandez pas leur avis? Je pourrais être un psychopathe violent.

— Pour le gîte, on verra sur place. Pour l’avis de ces jeunes femmes, elles sont tenues par contrat d’accepter ce genre de requête, et si j’ai appris une chose depuis que je réalise des pornos, c’est à cerner la psychologie des hommes en matière de cul. Et vous n’êtes pas un psychopathe, j’en suis certain. Tu ne crois pas Mélanie?

Cette dernière réplique s’adressait bien entendu à une des actrices. Je me retournai alors pour découvrir une charmante jeune femme châtain cheveux longs, au teint légèrement halé, d’environs 1m70 pour à peine 60kg mais dotée d’un généreux 85E au bas mot. Elle me regardait d’un air amusé, avec un des sourires les plus ravageurs que j’avais pu voir :

— Oh oui, des psychopathes comme monsieur, j’aurais aimé en croiser plus souvent dans ma vie. C’est un monstre de cruauté et de violence ça saute aux yeux.

Et bien, ce n’est pas vraiment l’idée que je me faisais d’une actrice porno. Belle voire sublime, beaucoup de charme, un magnifique sourire et en plus un certain humour et de l’esprit. Comme quoi, il ne faut pas juger trop vite. Bon, au moins je connaissais le prénom de l’une d’elle. Par la suite, j’appris les autres prénoms : Chloé, Coralie, Déborah, Marianne, Julie, Jade, Nicole, Samia et Bouchra.

— Bon et bien, si vous le désirez, allons-y tout de suite.

Je montais dans un des véhicules afin de les guider jusqu’au gîte. Les lieux étaient au-delà de leurs attentes. Il faut dire que j’avais mis les moyens afin d’avoir un espace spacieux, agréable et confortable : grand salon rustique, cuisine aménagée et 6 chambres simple au rez-de-chaussée, 6 chambres simples et une double au premier étage au-dessus du salon et de la cuisine, une grange attenante reliée au bâtiment principal et transformée en piscine couverte et sauna, avec 6 autres chambres simples et une autre double au-dessus, et enfin une deuxième grange un peu séparée, aménagée en garage spacieux. Mes hôtes semblaient ravis. Je les ai laissé s’installer tranquillement, non sans avoir remarqué au préalable que les actrices avaient choisi les chambres à l’étage et les techniciens et le réalisateur celles du bas. Je suis retourné chez moi afin de préparer les papiers de locations et pour envoyer un message à Gilles afin de lui expliquer la situation. Il me répondit d’en profiter, tout en me précisant qu’il était un peu jaloux car étant en vacances, il ne pouvait même pas en profiter pour s’inviter discrètement.

En revenant au gîte, je trouvais tout mon petit monde installé. Le réalisateur était à la table du salon en train de réécrire son scénario pour l’adapter aux lieux, en expliquant ses choix aux techniciens et à trois actrices. Je lui ai donné le contrat de location à signer et j’en ai profité pour regarder où étaient les autres jeunes femmes. Deux d’entre elles prenaient un thé en cuisine, Mélanie lisait tranquillement dans le coin lecture que j’avais aménagé dernièrement avec livres à disposition, et trois autres profitaient de la piscine. Il manquait juste Chloé que je supposais être dans sa chambre. Tout le monde semblait bien occupé, j’en ai donc profité pour monter vers les chambres, afin de profiter enfin des termes de mon accord.

Je trouvais effectivement Chloé dans une des chambres de l’étage près du lit, en maillot de bain. Je découvris alors une jeune femme d’environ 1m75 pour 60kg, rousse aux cheveux mi- longs, aux seins refaits pour atteindre 90D. Lorsqu’elle me vit, elle me dit en souriant :

— Vous êtes là pour moi je suppose

Avant que je puisse répondre quoi que ce soit, elle se mit totalement nue en enlevant son maillot, et me fit signe de rentrer en fermant la porte. Devant ce spectacle, je suis passé à l’action tout de suite. Je me suis mis à genou devant elle et ai commencé à explorer délicatement son minou bien rasé avec ma langue, tout en lui caressant les fesses. J’y suis allé délicatement et en douceur, pour son plus grand bonheur si j’en juge par les soupirs de satisfaction qu’elle poussait. Au bout de quelques instants elle posa sa main à l’arrière de ma tête pour m’inciter à y aller plus profondément. J’en profitai alors pour lui mordiller le clitoris, ce qui eut pour effet de lui arracher un profond soupir de satisfaction. En quelques minutes, elle eut un premier orgasme, ce qui manqua de m’inonder le visage.

Comme pour se faire pardonner, elle me demanda de me relever et déboutonna ma chemise. Elle entreprit alors de descendre avec sa langue le long de mon torse jusqu’à atteindre mon pantalon, qui cachait de plus en plus mal mon érection. Elle dégrafa alors ma ceinture, fit tomber pantalon et caleçon sur mes chevilles qu’elle m’aida à enlever complètement, puis une fois à genou commença à me branler doucement. Ma bite à la hauteur de son visage, elle commença sans trop attendre, et avec un grand sourire, une fellation absolument divine. Ce n’était pas la première fois qu’une fille me suçait mais c’était sans commune mesure avec ce que je vivais aujourd’hui. Léchage de membre, gobage de testicules, gorge profonde, tout sa science fut mise à contribution. Cela dura plusieurs minutes, pendant lesquelles je lui caressais la tête, l’incitant régulièrement à y aller plus profondément.

Sur le point d’exploser mais ne voulant pas venir bien trop tôt, je me suis retiré de sa bouche accueillante, puis l’ai aidé à se relever. Je l’ai alors allongé sur le lit et ai commencé à la caresser et à l’embrasser partout et principalement sur ces énormes seins, ce qui la fit se tortiller de plaisirs. Très vite, elle me fit comprendre du regard qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et vint se positionner sur le côté tout en se caressant entre les cuisses. Je me suis alors placé derrière elle, afin de l’embrasser dans la nuque et pouvoir la tenir par les seins. Elle guida enfin mon sexe vers le sien, tellement lubrifié que je n’eus aucunes difficultés à m’introduire, lui arrachant un râle de satisfaction au passage. Certes, mon sexe est de taille moyenne concernant la longueur mais selon mes partenaires, il est d’un diamètre plus que respectable, qui ne laisse pas insensible la gente féminine.

En position de cuillère, je commençai mes allers-retours avec tendresse, tout en agrippant ses seins avec mes mains. Puis j’accélérai doucement la cadence, tout en veillant à aller bien jusqu’au fond. Je n’ai jamais été vraiment adepte du "défonçage de chatte" et je préfère y aller plus lentement et ainsi faire durer le plaisir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sentis le vagin de Chloé se contracter et je l’entendis pousser un long râle de satisfaction : elle avait un nouvel orgasme. J’en croyais pas mes oreilles, je venais de nouveau de faire jouir une actrice porno, le moment était tout simplement magique. L’instant d’après, elle se retira brutalement, me fit rouler sur le dos et vint me chevaucher avec ardeur, prenant les commandes des opérations. Cette chevauché dura plusieurs minutes pendant lesquelles le spectacle de ses seins ballotant en rythme est un spectacle que je n’oublierai pas de sitôt, et au cours de laquelle Chloé eu deux autres orgasmes.

Lorsque je fus une nouvelle fois sur le point d’exploser, et toujours pas décidé à en finir, je la fis descendre, l’emmena face au mur et j’ai commencé une levrette debout, en m’accrochant fermement à ses hanches. Dans cette position, ce fut deux nouveaux orgasmes pour ma partenaire et j’avoue y être allé un peu plus fort que d’habitude. Au bout de quelques minutes, la pression étant devenue vraiment trop forte, je me suis retiré pour jouir abondamment sur ses jolies fesses. Nous étions épuisés mais heureux et Chloé semblait particulièrement satisfaite par cette séance de baise, si j’en crois le sourire qu’elle avait, ainsi que la sensualité avec laquelle elle a étalé toute ma semence sur ses fesses avec ses mains, avant de se lécher délicatement les doigts et de venir nettoyer ma bite avec sa langue.

Afin qu’elle puisse au moins s’essuyer les mains, j’attrapai sa trousse de toilette à ma portée et je lui tendis les lingettes qui en dépassaient. Ce faisant, je remarquai dans le fond de la trousse un tube de gel et un spray, tous deux aux couleurs d’une célèbre marque de préservatifs.

— Ah flûte, tu avais du lubrifiant, je ne savais pas

— Ben oui, on en a toutes. Les acteurs ne pensent pas toujours à en prendre. Et ils n’ont pas ta tendresse

Cette remarque fut accompagnée d’un sourire de satisfaction, d’un regard coquin et d’un petit coup de langue sur le gland.

— C’est dommage, je n’ai pas tenté la sodo parce que justement je n’avais pas de lubrifiant.

— Oh mais voilà un oubli qu’on peut corriger.

Toujours accroupie devant moi et le regard de plus en plus lubrique, elle entreprit alors de me branler et de me sucer, ce qui me fit reprendre ma vigueur plus vite que je ne l’aurais cru. Elle prit ensuite le gel, qu’elle étala sur ma bite et sur sa rondelle. Enfin, elle se mit à quatre pattes sur le sol et me présenta fièrement sa croupe. J’avais déjà pratiqué la sodomie auparavant mais cela ne m’empêcha pas de prendre quelques précautions. Au moment de la pénétrer, j’y suis allé tout en douceur, ce qui fit renter mon sexe suffisamment lentement pour que la rondelle de Chloé puisse s’élargir tranquillement. Lorsque je fus enfoncé jusqu’aux couilles, Chloé eu un râle de satisfaction que je commençais à bien connaitre. Les allers-retours purent alors commencer, doucement dans un premier temps.

J’étais en train de sodomiser Chloé depuis quelques secondes lorsqu’un bruit nous fit réagir. Nous nous sommes retournés, pour surprendre Nicole, une métisse ayant la même morphologie que Chloé, complètement nue, en train de se masturber devant le spectacle. Elle était entrée sans bruit dans la chambre mais un soupir de satisfaction non retenu venait de la trahir. La réaction de Chloé, ma bite toujours dans le cul, fut immédiate : elle lança le tube de lubrifiant en direction de Nicole, qui compris instantanément le message. Elle s’en appliqua sur la rondelle et vint se placer à côté de Chloé, la gratifiant d’un baiser langoureux au passage.

Même dans mes rêves les plus fous je n’avais pas imaginé ça : deux créature de rêve, catégorie bombe anatomique et actrice porno de surcroit, me présentaient leur croupe à honorer. Je continuai donc à sodomiser Chloé avec de plus en plus d’ampleur, tandis qu’elle embrassait et masturbait Nicole avec fougue, Cette dernière préparant en plus son anus. Au bout de quelques minutes, je changeais d’orifice et commençais à sodomiser Nicole, que sa préparation me permis d’entreprendre tout de suite à un bon rythme. C’était bien la première fois que je zappais toutes les étapes, baiser compris, d’une relation avec une femme pour aller directement à l’étape enculage à fond. Mais bon, je n’ai pas boudé mon plaisir, d’autant que Nicole semblait apprécier le traitement. Elle soupirait de satisfaction et son magnifique postérieur semblait onduler à chaque coup de boutoir.

Voulant participer aux festivités, Chloé parvint, au prix de quelques contorsions, à se faufiler entre les jambes de Nicole, et prodigua à son amie un cunnilingus qui eut pour effet quasi immédiat de lui faire avoir un double orgasme anal et vaginal. L’effet fut si foudroyant que Nicole manqua de s’écrouler sur Chloé. Je me suis alors retiré et nous sommes retournés sur le lit afin que Nicole puisse se remettre. Pendant ce temps Chloé me chevaucha de nouveau, en anal cette fois-ci, et imposa un rythme qui semblait lui convenir si j’en juge par le sourire de satisfaction qu’elle affichait. En me redressant légèrement, je pus alors avoir ses seins à hauteur de mon visage, mordillant légèrement ses tétons pour son plus grand plaisir.

Nicole ne fut pas trop longue à se remettre, et vint nous rejoindre en se plaçant face à mon visage. Je pus ainsi pratiquer un cunni sur l’une pendant que je continuais de sodomiser l’autre. La position était acrobatique mais chacun y trouva son plaisir si j’en crois les soupires de mes partenaires. Quelques minutes plus tard, elles inversèrent les rôles, ce qui me permit de profiter encore une fois du magnifique cul de Nicole. Une fois à l’intérieur, j’accélérai petit à petit la cadence, jusqu’à entendre ma partenaire jouir profondément, pour son plus grand bonheur. Le continuais ainsi jusqu’à atteindre de nouveau le point de non-retour.

Lorsque j’ai annoncé à mes partenaires que j’étais sur le point de venir, Nicole s’est retirée, est venue se placer sur le dos puis m’a invité pour une cravate de notaire. C’est dans cette positon que je suis venu pour la deuxième fois en une demi-heure, la bite branlée par deux magnifiques obus, rependant ma semence sur les gros seins de Nicole, qu’elle accueilli avec un grand sourire. Je me suis alors relevé, afin qu’elle me nettoie avec sa langue, tandis que Chloé étalait mon sperme sur le corps de son amie avant de se lécher les doigts avec délectation. Nous étions tous les trois épuisés mais totalement comblés. Cette semaine de tournage commençait on ne peut mieux pour moi, et si les huit autres actrices étaient aussi entreprenantes que ces deux-là, le reste des évènements s’annonçait prometteur.

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