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Ma mère, d'actrice X à ma femme – Chapitre 1




— Monique (dimanche 26 mars 2017)

« Allô ? »

« Oui ? Tu me veux quoi là ? J’suis avec l’autre vielle pute de Monique et son fils ! »

« T’es sérieux ???? Tu fais chier ! J’arrive… »

« Putain quel connard ce Julio, il a besoin de moi, je dois y aller c’est dommage on commençait juste à s’amuser ensemble, non ? » nous demanda Jennifer en me fixant avec un sourire narquois.

« Oui c’est clair, j’ai encore la bite dure, prête à te péter le cul ! » s’exclama Sylvio.

« Ce sera pour une autre prochaine fois ! Tu ne me réponds pas grosse chienne ? Tu ne trouves pas qu’on s’amusait bien tous ensemble ? » me questionna Jennifer.

« Si » répondis-je timidement.

« Ne t’inquiète pas je vais revenir pour toi ma vieille pute, j’ai encore envie de ta langue, de ta chatte et de ton cul… comme ton fils d’ailleurs, regarde-le, il t’a joui dedans et je suis sûr qu’il bande encore. Lève-toi pour voir ! » rigola-t-elle.

Je me suis donc exécutée, je me suis mise sur mes talons et je me suis levée, le foutre de mon fils dégoulinait de ma chatte en feu, et Antoine était encore en érection.

« Ah tu vois Monique ! Ton fils t’aime, il aime ta chatte ! Aller, à très vite mes chéris ! » dit Jennifer avec un large sourire sur les lèvres.

C’est donc vers 17h que Jennifer nous a quittés après nous avoir tous soumis à ses désirs et nous avoir fait de belles promesses pour notre prochaine entrevue.

Une fois Jennifer partie je suis montée me doucher encore troublée de la relation que je venais d’avoir avec mon fils, Antoine. Même si c’est déjà la deuxième fois qu’il me pénètre cette fois c’est à mon vagin qu’il a eu le droit. Bien sûr on ne peut pas dire que la première fois ne comptait pas mais cette fois-ci ça m’a fait comme un électro choque, une décharge quand il m’a pénétré, non… quand je me suis empalée sur lui. J’ai essayé de rester digne, du moins de garder le peu de dignité qu’il me reste auprès de lui, s’il m’en reste encore.

Tout ça c’est à cause de cette Jennifer, c’est une belle garce, je ne peux vraiment pas la piffer. Même si c’est vrai qu’elle lèche super bien, à chacun de ses coups de langue je sens ses papilles râper mes lèvres et mon clitoris… Et quand… « non arrête toi là Monique, regarde-toi t’es sous la douche avec deux doigts dans ton con en train de penser à cette peste. T’es une belle salope. Pas autant que cette Jennifer en tout cas ! »

Et puis ce Sylvio quel enfoiré il nous a encouragé à l’inceste ! A ça m’a énervé de le voir là à bander comme un taureau à voir mon fils me pénétrer. Et puis comment ça l’a fait jouir ! Il n’a jamais joui autant avant, j’ai été obligé d’avaler une partie, je n’aurais jamais pu tout garder en bouche.

D’ailleurs, Antoine a avalé ce coup-ci mais… la dernière fois à l’hôtel… « La prochaine fois, je viendrai avec un gode ceinture et je t’enculerai ! Et j’enculerai aussi ton fils ». Non allez arrête-toi là, sèche-toi et habille-toi faut te changer les idées.

Je redescends donc une demi-heure après être partie à la douche, je suis en short et débardeur (il fait chaud pour ce dernier dimanche de mars) et les garçons sont toujours dans le salon à poil en train de discuter.

« Sylvio, va à la douche sil te plait. Et tu iras aussi après Antoine. » dis-je.

« Pourquoi chérie, je suis très bien comme ça, on est très bien comma ça avec Antoine ! » me répondit Sylvio.

« Non tu pues le foutre ! »

C’est surpris de ma réaction que Sylvio est parti à la douche pour se laver. Je dois l’avouer sur le moment c’est plus la haine que j’avais contre le fait que ça l’ait excité de me voir prise par mon fils qui m’a énervée plus que l’odeur de foutre. Mais ça ne change rien, pour la première fois depuis que l’on sort ensemble (deux mois et quelques jours) je suis vraiment contrarié contre lui.

Antoine est lui aussi surpris, il ne dit rien. Quand je le vois comme assis sur le canapé à me fixer droit dans les yeux je me demande ce que j’ai bien pu faire depuis maintenant quelques mois. Qu’est-ce que je lui ai fait subir ? Comment ai-je pu commettre l’inceste ? Ai-je perdu mon fils ? Tout est allé si vite, j’ai pris tellement de plaisir à devenir cette chienne lubrique et actrice porno. Mais je crois que maintenant à bientôt 55 ans il va falloir choisir…

Sylvio a fini sa douche, il redescend.

« Habille-toi sil te plait ! » dis-je d’une voix ferme.

« Mais Monique ?? Y a un problème ?? Jamais je… »

« Bah cette fois si habille-toi, arrête de rester la queue à l’air ballante comme ça. Aie un peu de pudeur. »

« C’est toi qui me parles de pudeur ??? Quand tu recevais Julio les seins à l’air en porte-jarretelle et string devant ton fils et qui te dépucelait du cul alors qu’il te violait presque ??? Tu me parles de pudeur alors que tu te prends des doubles pénés par deux blacks devant ton fils et que tu gueules ?? » s’exclama Sylvio.

« Allez c’est bon j’en ai assez entendu, casse-toi… » dis-je en sanglotant.

« Non je m’excuse ma chérie, j’… »

« Dégage !!!! Et revient plus !! », je hurlais de toutes mes forces, les joues maculées de larmes.

Sylvio était choqué, les yeux grands ouverts, mais avec sa fierté il s’est rhabillé, à pris ses affaires et est parti de la maison.

J’étais assise par terre la tête dans mes mains… pleurant du tout mon être. Je me demandais ce que j’avais fait pour en arriver là, à baiser mon fils, me faire défoncer devant lui en toute impunité et même à jouir avec sa bite en moi… J’étais persuadée d’être une mauvaise mère pour la première fois.

Antoine était venu me prendre dans ses bras, me caresser les cheveux, m’embrasser le front comme on fait à une jeune adolescente qui a perdu son amoureux… Ses mains étaient chaudes, ses bisous étaient doux, je voulais retrouver mon fils.

Il était 19h quand j’ai arrêté de pleurer dans les bras de mon fils. Lui était toujours nu, contre moi sa tête sur la mienne. Je lui dis d’aller se laver et s’habiller pendant que j’allais préparer le repas, il a acquiescé et est monté se laver. Je ne l’ai revu qu’un quart d’heure plus tard, il est venu me donner un coup de main pour la cuisine et on a mangé en silence.

C’est lui qui a brisé le silence, à la fin du repas alors que j’allais débarrasser.

« Laisse je vais débarrasser maman, va dans le canapé choisir un film si tu veux, je te rejoins », me dit-il d’une voix de protecteur.

Je n’avais pas la tête à regarder un film, je repensais encore à nos ébats d’il y a trois heures à peine. J’ai encore la sensation de son sexe en moi, qui entre d’un coup puis qui fait des allers-retours de plus en plus puissants, de plus en plus rapide. Pourtant je suis allée m’asseoir dans le canapé comme Antoine me l’a dit, pour essayer de faire comme si tout allait bien, pour lui ou pour moi, pour me donner du courage. J’ai donc choisi un film qu’il aimait bien, Fast and Furious 5 et j’ai attendue qu’Antoine vienne pour le lancer.

Il est venu s’asseoir contre moi et m’a prise sous son bras comme un mari, comme un amant… non ! Comme un fils qui veut protéger sa mère tout simplement ! Au bout de quelques minutes je suis tombée dans les bras de Morphée, surement à cause la fatigue physique et psychologique après cette journée. J’entends dans mon sommeil le bruit des voitures et des flingues. Jusqu’à que je sois réveillée par un souffle chaud sur ma joue… puis des lèvres chaudes et sèches qui viennent se posées dessus et…

« Je t’aime ma maman chérie, dors bien, je serai…, on…, je t’…, je suis… »

— Antoine

Je la regarde allongée, elle dort. Elle est si belle. Cela fait bientôt un an maintenant que nous nous sommes embarqués dans cette aventure, certes par ma faute, mais c’est la première fois que je vois ma mère vraiment comme une femme. Une femme qui a besoin d’un homme et pas seulement d’une bite surdimensionnée qui puisse lui éclater tous ses trous pendant des heures. Elle a besoin d’affection et de tendresse. C’est bien la première fois depuis que je la vois se faire éclater par n’importe qui, dans n’importe quel sens et de n’importe quelle manière que je pense à ce qu’elle peut ressentir comme sentiments et besoins. Mais est-ce à cause ou grâce à cette après-midi ? C’était génial de (re) franchir cette barrière de l’inceste, de pénétrer celle qui m’a mis au monde, d’avoir mon sexe au chaud dans sa chatte, de pouvoir pétrir ses grosses fesses… « Arrête-toi là ! C’est ta mère ! » me dis-je.

J’avais une érection monstre encore une fois, mais comment était-ce possible que je sois autant pris de désir pour ma mère ? Je décide de sortir de sa chambre et de partir dans la mienne me calmer. Je me déshabillai, mis un caleçon propre sans me soucier de mon sexe encore tendu et dur comme la pierre et me glissa sous ma couette sans même me toucher.

Je me réveille, j’ai mal à la tête, mal au sexe. J’ouvre les yeux, et maintenant j’ai mal aux yeux avec le soleil !

« Ah zut quelle heure il est ?! » je peste.

« Quoi ?? » m’écriais-je.

Il était 15h27 à mon radio-réveil, on était le 27 mars, un lundi, et j’ai cours normalement. Je me lève d’un bond, cours dans la salle de bain, me lave les dents à toute allure. Une fois fini, je retourne dans ma chambre, enfile un caleçon propre, un pantalon un tee-shirt, une veste, mes chaussettes et mes chaussures. Je prends mon sac et descends les escaliers par 4.

Je passe devant la cuisine, salue ma mère qui m’interpelle avant que j’aie le temps de sortir de la maison.

« Antoine pourquoi t’affoles-tu comme ça ? » me demanda Monique.

« Il est 15h30 et j’ai cours depuis 8h ce matin ! »

« Non attends, j’ai appelé la Fac et j’ai dit que tu étais malade, je ne t’ai pas réveillé pour que tu te reposes de ce dur weekend. J’ai aussi appelé Tom pour qu’il te prenne les cours de la journée et il a gentiment accepté. » me dit Monique.

« Merci maman tu es la meilleure, j’ai eu un coup de stress ! » dis-je en soupirant.

« Ne t’inquiète pas tu vas pouvoir te reposer encore et on va passer un peu temps tous les deux, je crois qu’on doit parler. »

« Mais de quoi ?? » je demandais à ma mère.

« Va te doucher, et redescend manger je t’ai préparé à manger, t’as une bonne pizza faite maison qui t’attend, une 4 fromages comme tu aimes. » dit Monique en me souriant.

« Merci maman chérie ! J’arrive dans 5 minutes ! » je dis tout en remontant les escaliers aussi vite que je les avais descendus.

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