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Marie et le sculpteur aveugle – Chapitre 16




CHAPITRE 16

Une fois seule, je vais effectivement me doucher de toute cette crasse orgiastique et j’en profite pour laver la seule robe que j’ai puisque je n’ai même pas réussi à acheter ce que je voulais.

 Je passe le petit bikini et me dirige vers la maison du Prof que je trouve en conversation avec son frère.

Robert peu habitué à me voirhabillée, me complimente immédiatement sur ma tenue très sexy.

  Le Prof ne semble pas trop me prêter d’attention, ce qui me vexe et me désole.

Je les laisse donc à leur conversation et profite une nouvelle fois de la piscine dont l’eau turquoise est à température exquise.

Le reste de l’après-midi s’écoule, le soleil tombe.

Lucien et Robert ont passé le temps à discuter et à siroter leur citronnade et à me reluquer; du moins pour Robert.

Je me prélasse au soleil sur la pelouse et pique régulièrement une tête dans l’eau azurée pour me rafraichir lorsque la sonnette retentit.

Manuel fait son apparition.  Mince, il est déjà 20 heures.

Il me salut et me complimente à son tour sur le magnifique et ridicule petit bikini que je porte, me félicitant pour mon bon gout toujours très sûr (..), puis s’attable quelques instants avec les deux autres pendant que je vais me changer.

J’enlève le bikini mouillé et enfile le string, encore plus petit que le bikini, passe la robe et les rejoins près de la piscine.

« T’es la plus belle » fait Robert toujours aussi prompt à sortir une basse flatterie.

« On y va ? » dit Manuel en se levant d’un bond.

« Vous allez où ? » demande Robert intrigué.

« Faire une répétition de mon prochain show avec Brigitte » répond Manuel.

« Ah bon ? Je peux venir voir ? »  Fait Robert implorant.

— Bien sûr ! Lucien aussi si vous voulez

— Et qu’est-ce que je serais supposé voir ?

« Ah, oui, excusez-moi » fait Manuel piteusement.

Le Prof me fait pitié et je sens bien qu’il n’a pas le moral. Il sent que j’échappe à son contrôle et ça l’affecte.

J’aurais voulu lui dire quelque chose de réconfortant mais Manuel m’entraine déjà dehors alors que Robert rassemble son équipement ; au cas où

LA RÉPÉTITION

La traversée en mer se fait au coucher du soleil.  Il fait un peu frais mais cette fois, je me tiens bien au chaud dans le cockpit du bateau.

Arrivés sur l’île, on monte jusqu’au Club qui me rappelle tellement de souvenirs intenses où nous retrouvons Brigitte et Claude ainsi que plusieurs membres du personnel de Manuel.

Je les salue.

— Tu n’es pas encore changée Brigitte ?

— Claude m’a apporté cette robe magnifique

— Oui mais tu dois mettre le smoking maintenant

Claude intervient avec une nouvelle idée.

— Eh bien, je me disais que ce serait peut-être mieux que vous fassiez un show basé sur le thème de l’espion britannique avec l’espion lui-même etune James Bond girlBrigitte

 Manuel se gratte la tête et réfléchit ; Claude enchaine.

— Du coup, au début, comme Marie a les cheveux très courts, on va la confondre avec un homme et les spectateurs vont croire qu’il s’agit d’un couple

Manuel semble de plus en plus intéressé par l’idée du jeune homme.

— Oui mais Brigitte aussi ; elle les a coupés il y a peu de temps

— On lui mettra une perruque de cheveux longs. Peut-être blonde d’ailleurs ?

« Ah oui, très bien le contraste » Manuel acquiesce et imagine la scène tandis que Claude, intarissable, poursuit.

— Et doncelles pourraient s’embrasser, et sans doute plusavant de progressivement se dévêtir et à un moment, évidemment, le pot aux roses sera découvert et les spectateurs seront surpris, voire subjugués, d’autant quedeux femmes qui s’embrassent, l’une très féminine, l’autre très garçonne… Enfin, vous voyez ce que je veux dire

« Tout à fait !! » s’exclame Manuel qui visualise la scène et la trouve géniale.

— On va faire comme il dit les filles !

— Marie, va te changer ; Eh le DJ, trouve-moi une bonne musique

— J’avais pensé qu’un thème de James Bond serait pas malcomme Live or let dieelles pourraient danser sur le début et chaque partie rapide et ensuite, commencer leur strip sur chaque partie lentequ’est-ce que vous en

— Parfait ! Trouve-moi ça le DJ  et Goldfinger aussi, c’est bien ça Goldfinger, non ?

Claude sourit « Tout à fait »

Je reviens habillée en espion avec un holster à même la peau sous le plastron et un faux pistolet dans sa gaine sous la veste. 

Brigitte m’attend sur la petite scène, genre théâtre de poche, que Manuel a fait aménager pour l’occasion.

Habillée d’une longue robe rouge sang fendue jusqu’à la hanche gauche et d’un décolleté qui descend jusqu’au nombril, elle est tout simplement renversante. Mais le choc, c’est la perruque blonde. Les cheveux très longs lui descendent jusque dans le creux des reins.  Ils sont bien peignés et soyeux et une jolie frange bien nette et droite lui couvre le front. Elle me fait un clin d’il amical.

Sam, un des employés de Manuel qui est le chorégraphe de service nous apprend rapidement quelques mouvements de tango.  Robert s’affaire en prenant des clichés en rafale. Il court dans tous les sens.

Après quelques essais laborieux, surtout pour nous caler sur la musique, on commence à produire un semblant de danse envoutante qui nous encourage à poursuivre.

Après une heure d’entrainement, les enchainements sont plus fluides et les poses vraiment sensuelles. 

Manuel me demande alors de dégrafer la robe de Brigitte

Pour faciliter la manuvre, Claude a prévu des boutons pressions au sommet des bretelles.

C’est lorsque je la fais pencher en arrière et en la soutenant sous les reins, que je les fais sauter.

Complètement cambrée la tête en arrière, la chevelure frôlant le sol, les bretelles dans le dos tombent à terre tandis que le devant de la robe reste momentanément en place.

Je la relève alors dans un grand mouvement ample.  Brigitte se couvre les seins en croisant ses bras tandis que les bretelles tombent et que son corps se dénude jusqu’aux hanches.

Je la tiens par la taille en l’exposant au public devant moi au moment d’un changement de rythme de la musique.

Elle ondule du bassin et doucement monte les bras en l’air.  En même temps, je monte mes mains et viens englober ses seins pour les cacher. Ils sont fermes et doux et je prends un plaisir non dissimulé à les malaxer doucement sous le feu des projecteurs.

Tel un serpent, elle ondule de tout son corps, les bras pointés vers le plafond.

La robe glisse lentement sur ses hanches qui se découvrent.

Puis, passée l’obstacle, elle chute toute seule à ses pieds et la James Bond girl s’en débarrasse d’un élégant mouvement de jambe.

La ficelle du string de dentelle rouge qui remonte très haut souligne magnifiquement ses hanches tandis que le petit triangle couvre à peine son jardin secret.

Claude, Manuel et les autres employés présents ne disent mot tant ils sont subjugués.

Cachée derrière mes lunettes noires et mon chapeau, je penche la tête dans son cou et l’embrassePuis, je lui masse lentement les seins et écarte doucement les doigts laissant progressivement apparaitre ses tétons entre mon index et mon majeur jusqu’à les dévoiler complètement tout en soupesant ses gros globes de chair ferme pour les offrir aux yeux de tous.

Brigitte gémit sans feindre. Je suis moi-même troublée.

Puis, toujours en dansant et ondulant son corps en se frottant sur moi, mes mains descendent sur son ventre jusqu’à introduire mes doigts sous le minuscule triangle de lingerie qui se déforme sous les yeux concupiscents du public restreint.

Claude donne des directives pour l’éclairage et un puissant spot suit le moindre mouvement de mes doigts.

Manuel jubile de l’esquisse du spectacle érotique qu’il a rêvé et qui prend forme sous ses yeux.

A la déception de Brigitte qui commençait à s’exciter, on fait une pause à la demande de Claude qui, jamais à court d’imagination,  suggère que des « méchants » armés de flingues viennent m’attaquer pendant notre danse sensuelle.

Je vois Manuel discuter longuement avec Claude qui s’éclipse ensuite.  On prend une collation. Brigitte presque nue, le string partiellement descendu, laissant voir le début de sa motte rebondie, se balade sur l’estrade sans prendre la peine de le remonter.

Robert, les yeux lubriques, la reluque lourdement alors qu’il change fébrilement de pellicule.  Elle s’en aperçoit et joue avec lui en passant et repassant devant lui en balançant son cul comme une vraie débauchée.

Puis, on reprend la répétition.

Je ne vois pas Claude mais Manuel nous demande de reprendre là où on en était.

Brigitte se repositionne devant moi, face au public.  Derrière elle, je l’enlace et replonge ma main dans son string.  Elle se cambre de plaisir et renverse sa tête en arrière sur mon épaule.

Je la triture un peu.  Elle mouille comme une chienne !  A la demande de Manuel, je prends le string à pleine main, et d’un coup sec, lui arrache au moment où la musique atteint un point d’orgue.  Elle pousse un petit cri en resserrant ses cuisses sur ma main qu’elle tient prisonnière.

Manuel et les autres applaudissent tellement l’effet est saisissant.

Puis il me demande de la caresser partout, le tout en dansant mollement au rythme de Goldfinger.   Ma main gauche lui emprisonne un sein.  La droite englobe sa moule chaude et humide.  Elle ondule comme un serpent et écarte ses jambes pour plus de stabilité mais pour laisser aussi le libre accès de mes doigts dans sa grotte gorgée de ses sucs de plaisir.

Les spots tournent autour de nous, parfois par derrière, donnant l’impression que nos corps sombres jouent comme des ombres chinoises derrière un rideau.

Puis, on arrête de nouveau.  Manuel monte sur l’estrade et me souffle dans l’oreille.  

— Tu vas la baiser sur scène

— Ququoi ??

— Tu vas te retourner doucement vers l’arrière de la scène et un accessoiriste va t’accrocher un godemichet discrètement. Avec le jeu de lumières, personne ne le verra.  Ensuite, tu te présenteras de profil et là, tout le monde verra que l’espion bande comme un âne !

 – Maisça va se voir

— Non ! Grace aux éclairages, on ne verra que ta silhouette ; le gode et toi ne feront qu’un

— Maisje je dois la pénétrer pour de vrai ??

— Oui, oui, t’inquiète, elle est d’accorden fait non ; elle n’attend que ça !!

Il sourit à Brigitte qui rougit en me regardant. Je reste pantoise.

On reprend alors et comme prévu, dos tourné au public et à Brigitte qui continue sa danse sensuelle sous les projecteurs, Sam m’accroche le godeun phallus couleur chair d’une dimension impressionnante à l’ombre des projecteurs.

Je me retourne d’un quart de tour, de profil, et m’éloigne de Brigitte qui me fait face.

Les spots venant de l’arrière de la scène nous dessinent en filigrane et mon énorme sexe apparait distinctement en se détachant sur le fond de la scène surexposé.

Manuel exulte « Génial ! »  Robert prend une masse de clichés.

Brigitte se met à genoux devant moi et mime une fellation.  Je ne pourrais pas trop dire ce que je ressens à cet instant, tant les émotions sont fortes et contradictoires.

Puis, toujours sous les directives de Manuel, Claude ayant momentanément disparu, elle se retourne, se met à quatre pattes et me présente son cul rebondi !

Je pose un genou à terre, plie l’autre jambe et enfonce mon phallus de plastique dans sa fente brillante qu’elle tend dans un arrondi parfait sous le puissant projecteur.

Sam me fait un petit signe.  Je comprends qu’il y a un interrupteur sur la base de l’engin que j’actionne à sa demande.

Le sexe se met alors à vibrer et à tourner en vrille avec des petits mouvements d’allers-retours.

Brigitte pousse un cri et sa tête tombe en avant. Manuel me demande de lui tirer les cheveux pour la ramener en arrière.  J’ai peur d’arracher la perruque et fais semblant de tirer dessus pour la monter comme un animal

Elle gémit de bonheur.  Le sexe caoutchouteux tremble dans ses entrailles alors que je la pistonne doucement mais sous les encouragements de Manuel et des techniciens, je la bourre de plus en plus profondément et rapidement, Brigitte hurle de plaisir.

Plus je lui agrippe les cheveux fermement et la baise violemment, plus elle réagit !

Sous les coups de butoir, ses genoux glissent en s’écartant, ouvrant ses fesses en grand et offrant son sexe béant à une pénétration toujours plus profonde.  Elle tombe sur ses coudes et est bientôt prise de spasmes alors que je lâche sa tête pour l’agripper par les hanches au moment du point de non-retour.

D’un coup de rein plus puissant que les autres, je pousse mon dard au plus profond de son con trempé, jusqu’à la garde.  Elle hurle et part dans une jouissance spectaculaire !

Je ralentis progressivement et ressors mon gourdin ruisselant de ses jus.  Elle s’écroule de bonheur sur l’estrade comme une lourde masse visqueuse, à plat ventre, une jambe remontée sur son flanc, offrant la vue de sa fente béante et dégoulinante à tout le public.  Un spot s’attarde sur son intimité ainsi violée.

C’est là que j’ai à peine le temps de me redresser, qu’un type masqué déboule avec un révolver à la main en dansant.  Il fait mine de m’attaquer.  A la demande de Sam, je tourne le dos au public, et il m’enlève discrètement le gode.  Je sors alors le revolver de son holster et fusille l’assaillant d’un seul coup, le tout dans une belle chorégraphie dirigée par le même Sam qui semble content de l’effet produit.  Le méchant se relève dans l’ombre de la scène et, revient comme s’il s’agissait d’un autre qui ressurgirait de l’autre côté.   Je tire d’un geste élégant alors que Brigitte encore sous le choc de son orgasme foudroyant, rampe en cercle au milieu de la bataille.

Elle se traine en exposant à qui le veut, son corps nu qui se tortille de son plaisir repu sous les yeux professionnels mais quand même exorbités des quelques spectateurs et de l’objectif de Robert qui mitraille à tout bout de champs.

Puis, alors que je reste sur mes gardes, un autre « méchant » m’assaille par derrière.  Mon arme tombe à terre et s’ensuit un simulacre de combat que Sam orchestre de sa grosse voix.

Je feinte de me défendre mais un autre assaillant entre en scène et bientôt s’en prend à mon plastron qu’il agrippe et fait voler au loin.  Ma veste de smoking virevolte et laisse entrevoir les courbes de mes seins mais dans l’action, on ne se rend pas encore bien compte.  Soudain, l’un d’eux me ceinture par derrière en passant ses mains sous la veste, sous les aisselles et me met face au public.  Je me débats alors que l’autre attrape ma veste par le col et la tire en arrière et vers le bas.  Mes épaules se dénudent immédiatement alors que les pans de la veste s’écartent, révélant ma poitrine de femme à toute l’assistance.

Manuel est aux anges.  Les autres applaudissent de l’effet produit.

Puis dans un mouvement de défense, je me libère, abandonnant ma veste et me retrouvant face à mes deux assaillants, torse nue avec le holster dont les lanières de cuir croisent sur mes seins, ce qui les met encore plus en valeur.

Brigitte, morte de peur, rampe derrière moi pour se protéger et s’agrippe à mes jambes, m’empêchant de bouger. Elle ramasse mon flingue perdu dans la bataille mais au lieu de s’en servir, elle passe le canon sur sa chatte qu’elle s’amuse à ouvrir face au public et joue avec.

Les deux autres s’apprêtent à m’attaquer lorsque la musique change drastiquement et qu’un chat traverse l’estrade  Le chat du chef de Spectre !!

Et le chef de Spectre en personne qui entre en scène !  La musique est dramatique. C’est Claude qui s’est déguisé.  Je ne peux me retenir de rigoler à la vue de son costume délirant et grotesque avec une cicatrice en travers de l’il.

Saisie d’effroi évidemment, je suis faite prisonnière par les deux autres et une croix est amenée sur scène où l’on m’attache alors que Brigitte est enchainée à mes pieds.   On lui arrache la pistolet des mains qu’elle lâche à contrecur au moment où elle s’amusait à l’introduire dans son con !

De la fumée genre brouillard est envoyée par un accessoiriste.

« Et maintenant ? » Je fais, curieuse de la suite des événements.

« Eh bien, on va arrêter là pour ce soir ; c’est déjà pas mal » répond Manuel très satisfait de la performance accomplie.

« Ça promet ! » fait Robert conquis.

« Oui, je crois qu’on tient quelque chose » ajoute Claude.

« Elles sont superbes et apprennent vite » fait Sam et les autres ne font que nous complimenter.

Je dois dire que je ne m’attendais pas à un tel spectacle et je crois sincèrement que les gens vont adorer.

Brigitte encore chaude comme la braise demande innocemment si elle peut récupérer le flingue !

Je demande discrètement à Manuel si Mumba, le géant noir, fera partie de la suite.

— T’aimerais bien ?  Vilainetu aimes les noirs alors ?

Je rougis affreusement.  « Je demandais juste comme ça »

— Je vais en parler à Claude mais ça doit pouvoir s’arranger.  Tu serais prête àà..faire un final du même genre que l’autre jour ?

Je suis cramoisie et bafouille un truc totalement inaudible.

« Ça va, j’ai compris » fait Manuel en me faisant un clin d’il.

Je ne sais plus où me mettre ; en plus il va en parler à Claude !  Puis à Mumbatout le monde va le savoir, c’est pas vrai !

Mais je ne le saurai jamais

Je ne le savais pas, mais c’est la dernière fois que je venais au Club.  Personne ne pouvait savoir évidemment.

C’était juste avant le drame final.

« On reprendra ça dans quelques jours.  Je te ferai signe. » dit Manuel en nous raccompagnant au bateau.

Sur la traversée du retour, Claude a du mal à cacher son excitation de revenir pour terminer le spectacle et j’avoue que j’y ai pris un plaisir fou.

Le lendemain, je retrouve le Prof et hésite à lui parler de tout ça, car je sens bien qu’il souffre de mes nouvelles relations et activités qui m’éloignent de lui.

Il fait encore très chaud en cet fin d’été et je profite une dernière fois, mais je ne le savais pas non plus, de cette piscine dans laquelle je me suis tant amusée depuis deux mois.

Je fais des allers-retours à poil en lorgnant sur le Prof en train de lire comme d’habitude sous son arbre favori.

Le voir ainsi comme au premier jour me touche et je repense à tout ce chemin parcouru. Cette sorte d’initiation sexuelle avec le Prof et les autres rencontres improbables, cette formidable libération de mon corps et mon esprit coincée.  Je regarde ma peau aussi.  J’ai tellement bronzé.  Plus rien à voir avec la petite fille du Nord tout blanche et repliée sur elle-même. Je suis heureuse.

La chaleur, le soleil, la sensation de mon corps immergé dans cette eau si belle finissent par me titiller entre les jambes.  Je me masturbe doucement comme au premier jour en fixant le Prof dans sa chaise.

 Au bout d’un moment, je n’y tiens plus et sors du bassin. Je m’allonge à plat ventre sur la margelle chaude, une jambe se balançant dans l’eau et une main sous moi qui descend jusqu’à mon entre-jambe.

Je me masturbe lentement, langoureusement en enfonçant mes doigts dans ma fente poisseuse.  De temps en temps, je la ressors pour la sentir et me lécher les doigts en scrutant les alentours, pour le cas où un visiteur impromptu débarque et me voit ainsi.

Je me suis tellement chauffée que j’ai envie de mains d’hommes sur mon corps. Je me lève et marche vers le Prof en croisant les jambes au maximum. Je me frotte les cuisses en écrasant mes grosses lèvres et mon clito.  Je vacille de bonheur et me retiens de plonger ma main dans mes entrailles lorsque je vois que la cruche de citronnade est vide. Je cours à la cuisine la remplir et reviens en verser dans le verre de Lucien qui ne bronche pas et semble m’ignorer complètement.

J’ai trop envie de sexeJe suis carrément en chaleur, en manque et apostrophe Lucien en m’installant autoritairement sur lui à califourchon.

« Qu’est-ce que vous lisez ? » Je demande alors que je m’en fiche complètement.

— Qu’est-ce que tu veux ?

« Rien » Je fais en répondant comme une enfant boudeuse.  J’ai les cuisses écartées sur ses jambes serrées et je m’appuie de mes mains sur les accoudoirs, la poitrine presque contre son livre ouvert qu’il tient devant lui. Mon sexe écarté touche le sien au travers du pantalon.

— Tu t’ennuies ?  T’as rien à lire ?  T’as assez nagé ?

Je ne réponds pas et m’aperçois que je ne peux réfréner un mouvement d’avant en arrière avec mon bassin en frottant ma moule trempée sur son sexe au repos et bien calfeutré dans le tissu en lin.

— Tu fais quoi là ? T’as pas encore eu ta dose au Club ?

Il cherche à me vexer, à me culpabiliser.

— J’ai rien fait au Club ; juste dansé

Je sens ma chatte me chatouiller de plus en plus et je l’appuie encore plus fort sur son sexe flasque juste protégé par le mince tissu.

« Marietu es une sacrée petite »   « Salope ? » je coupe en pouffant comme une gamine écervelée.

— Non ; Effrontée !

Mince, salope est le premier mot qui m’est venu naturellement ! Il doit se dire que c’est ce que je pense de moi-même.  Je rougis mais je continue de me frotter avec mon bassin car je ne peux tout simplement pas m’arrêter !

Et là je sens clairement que ça se durcitSon sexe se déploie lentement mais surement et ce point dur renforce encore mes sensations.  Je commence à respirer lourdement.

Il abandonne son livre et me saisit la taille de ses grosses mains puissantes. Je frémis de bonheur.  Je pose mes mains sur les siennes et je l’encourage à venir me caresser les seins dont les pointes toutes sorties se sont transformées en tête-chercheuses de doigts masculin.

Ils les englobentJe fonds de plaisir et soupire profondément tout en raclant mon con sur son gourdin tout dur.

Je ne me retiens plus désormais et me laisse aller à mon plaisir.  J’accélère mes frottements.

Le tissu s’imbibe de nos jus respectifs.

Je tire sur le nud de la cordelette de coton tressé et regarde son sexe soulever le haut du pantalon désormais détaché. Son pantalon descend alors, centimètre après centimètres à chaque retour en arrière de mes hanches.

Et à chaque aller de mon bassin, ma chatte appuie fortement sur son sexe, le forçant à se rabattre sur son bas ventre.  

Le sexe grossissant et le pantalon descendant, bientôt, le joli gland luisant de son sexe pointe sa fière tête hors du froc

Je sens l’orgasme se construire en moi mais je veux le faire jouir d’abord.  A la vue de sa tête qui part en arrière, la bouche ouverte et lâchant un léger râle grave, il prend apparemment un plaisir énorme.  Ses jus affluent et coulent de son gland pour venir maculer ses poils pubiens et ma chatte par la même occasion.

Je fais des mouvements de plus en plus amples, allant jusqu’à coincer son gland entre mes grosses lèvres, en écartant mes cuisses au maximum pour sentir cette verge tressaillir et repousser mes chairs implorantes.

Il est au bord de l’éjaculation.  Il ne contrôle plus rien.  Je le sens à la pression de ses mains.  Il saisit à nouveau ma taille et m’agrippe en enfonçant ses doigts dans ma peau.

Je me frotte sur sa queue comme une dératée et soudain…

Il opine de la tête qu’il relève comme pour essayer de voir, de regarder nos sexes collés au travers de ses lunettes noires.

La vue de son sperme épais qui jaillit d’un coup sur son ventre me galvanise.  Je pars à mon tour dans cette jouissance tant attendue.

Il pousse un long râle.  Son sexe saccade sous ma vulve béante qui ne cesse de le ramoner.

Le sperme explose une seconde fois.  Je tombe en avant et me retiens en me cramponnant à ses épaules. Sous le choc, ma poitrine le gifle et mon sexe jouit.  

Mon petit trou spasme alors que je termine par de lents et longs aller-retours jusqu’à ce que sa bite finisse de cracher tout ce qu’elle avait.  Une flaque de sperme inonde son ventre et se colle à ma chatte qui l’étale sur toute la longueur de sa verge encore dure et qui gigote toujours.

Je tombe dans ses bras. Il m’enlace amoureusement et nous restons ainsi un bon moment.

— Marieje sais que ces merveilleux moments auront une fin que j’espère la plus lointaine possible, mais je ne sais pas ce qui va se passer quand tu ne seras plus làje ne sais pas comment je pourrai me passer de toi

« C’est une déclaration d’amour ? » je réponds en rigolant comme une idiote, ne me rendant pas compte de la profondeur et de la sincérité de son aveu.

Il m’enlace encore plus fort jusqu’à me couper le souffle.

Puis, rassasiée de sexe pour le moment, je me relève et plonge dans la piscine pour me rafraichir et me laver de ces traces impures.

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A L’HÔTEL

Devant moi dans la chambre de l’hôtel, soudainement, Marie pleure.

— Ça ne va pas ??

— Si, si

Elle s’essuie les larmes.

— Je pleure car je me rends compte que c’était la dernière fois que je l’enlaçais amoureusement et que je me suis levée de sa chaise comme une petite imbécile sans prêter plus d’attention à ce qu’il venait de me dire et qui n’était ni plus ni moins qu’une déclaration d’amour .

 Je la regarde décroiser les jambes et depuis le bord du lit où je suis assis en face d’elle, je ne peux rien jurer mais au vu du fard qu’elle prend et assaille ses joues, je crois pouvoir dire que sa culotte est complètement trempée !

Ce qui ne m’étonne pas car mon slip est dans le même état et je dois ruser de contorsions pour ne pas laisser paraitre la bosse dure qui pointe sur le devant de mon froc.

C’est donc plié en avant que je l’encourage à reprendre avant qu’elle ne s’en aperçoive.

Nous sommes si proches l’un de l’autre que je dois reculer mon pied à chaque fois qu’elle décroise ses jambes.

Elle boit un coup et reprend.

— Ce jour-là il ne s’est rien passé d’autre.  Jusqu’au lendemainle dernier jour. 

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LE JOUR DU DRAME

Le lendemain, comme à mon habitude, je me lève tard. Le soleil est déjà haut.  Je prends une douche rapide pour me réveiller et un café et passe la seule culotte qui me reste et la petite robe que j’ai mis tant de mal à laver après la séance d’essayage.

A peine mon café avalé, mon esprit vagabonde.  Je me rends compte que je n’ai aucune envie de me replonger dans les quelques bouquins que j’ai achetés pour préparer ma rentrée scolaire.  Les premières pensées que j’ai sont pour le sexe !

Je réalise que mes journées sont désormais accès dessus ; que je me demande quel sera la prochaine occasion de m’éclater.  Je réfléchis même comment provoquer une occasiondemander au prof de me sculpterattendre que Manuel vienne me chercher pour reprendre la répétition de ce spectacle incroyableou la visite de Robert pour une séance photos qui dégénèreraitou même la belle Brigitte qui viendrait se joindre ou encore Alaince manipulateur subversif qui m’entrainerait dans une nouvelle séance de shopping mais à qui j’ai déjà pardonné

J’imagine déjà plusieurs scénarios possibles dans ma petite tête et sens ma culotte s’humidifier alors qu’assise sur mon tabouret dans ma cuisine, cuisses écartées, je finis ma tasse.

La réponse va venir très vite.

Après un brin de ménage et de rangement, je rejoins le jardinet du Prof qui discute avec quelqu’un dans sa maison.

C’est Robert.

Je regarde intriguée une sorte de tête de taureau, une perruque avec des cornes et une sorte d’arrière train de bouc avec une gravure d’un monstre mythologique.

— Tiens, Marie, bonjour, dis-nous ce que tu penses de ça

« Qu’est-ce que c’est que ce truc-là ? » je demande très surprise.

Lucien me répond.

— C’est le thème de la nouvelle commande qu’on m’a donnée .

« Un taureau ?? » Je fais dubitative.

« Non, c’est le minotaure, et l’autre un satyre ; des monstres de la mythologie grecque » répond Robert.

— T’as entendu parler du minotaure, du labyrinthe, du fil d’Ariane ?

— Heuça me dit vaguement quelque chose, oui

— Bon, ils ne sont jamais vraiment rencontrés, mais je dois faire une sculpture avec ce monstre et Ariane : tu serais parfaite ; à moins qu’on prenne le satyre avec une nymphe…

« Ou une athéniennes donnée en pâture au monstre pour se nourrir ou s’amuser un peu avec » sourit Robert.

 La conversation et le thème commence à m’échauffer.  Je me sens toute moite en regardant le tableau. Moi qui me demandais ce qu’allait être ma journée, je suis comblée !

« En fait, j’avais envie de m’inspirer du tableau de Picasso ; qu’est-ce que t’en penses ? » demande Lucien à son frère en tenant une magnifique reproduction.

« Dora et le minotaure ? Oui, c’est une pose assezintéressante » fait Robert en me lorgnant du coin de l’il.

Le tableau représente Dora, la muse de Picasso à cette époque, renversée en arrière, les cuisses écartées et assaillie par le minotaure qui la tient par une épaule et un sein et hume son sexe

« Mais comment pouvez-vous visualiser le tableau ? » Je demande curieuse.

— On me l’a décrit en détail mais j’en ai encore des souvenirs dans ma jeunesse avant que ma vue ne s’éteigne ; je connaissais les uvres des grands peintres par cur mais pour celui-ci

Il sort une autre reproduction.

— On me l’a seulement décrit et j’avoue qu’il ne doit pas laisser indifférent…

Robert et moi regardons « l’uvre »

« Oh !! » je fais mi- choquée, mi- excitée.

— Il s’agit d’une reproduction du minotaure et d’Ariane d’Oscar Dominguez

Le tableau représente un minotaure à califourchon sur Ariane, allongée sur le dos en train de…lui sucer le sexe qui éjacule sur sa joue !

« Aaaah ça, c’est ce que j’appelle une pose ! » fait Robert enchanté.

« Oui, j’hésite encoreon va faire des essais » répond Lucien.

Lucien nous révèle ainsi une certaine connaissance en peintures mais décidément, très érotiques.

« Mais vous n’avez pas encore vu les dessins de mes satyres » fait -il d’un ton gêné qui me surprend connaissant son aplomb habituel.  Je me demande alors à quoi ils peuvent ressembler et lui demande de me les montrer.

« T’es sûre ? » répond -il avec un embarras vraiment suspect.

Il me sort alors trois dessins complètement pornographiques !  Et même un avec deux fillesenfin des nymphes comme il dit.

— Vousvous voulez faire ça ??

— Ce ne sont que des dessins Marietu pourrais juste prendre des poses identiques et je m’arrangerai au montage

« Et qui va fairelele monstre ? Le minotaure a une telle carrure » Je demande d’une petite voix.

— Pour ma part, je dois sculpter

— Moi je dois peindre ou prendre des clichés

« Alors ? Manuel ? Alain ?» je suggère sans trop y croire.

— Non, ils ne sont pas assezmassifs, baraqués, manque de volume

— Pas comme vous deux en fait

Robert regarde son frère.

« Vous pourriez vous relayer » Je suggère à nouveau mais avec une voix pleine d’entrain.

Le silence.  Ils réfléchissent. Robert me fait un clin d’il pour me féliciter de cette suggestion idéale, pas faite pour lui déplaire évidemment.

« Pourquoi-pasÇa peut se faire » conclue Lucien.  

— Et vous allez reprendre la forme de la tête du minotaure sur cette tête de taureau ?

« Tout juste, et tu sais quoi, on peut même l’enfiler » Ajoute Robert jovial.

J’éclate de rire car je l’imagine avec « ça » sur la tête.

Sur ce, il l’enfile et pousse des grognements amplifiés par la cavité de l’énorme déguisement.

« Viens voir papa minotaure Dora ! » fait Robert en faisant semblant de me charger.

Je suis pliée de rire mais lorsqu’il m’accule dans un coin de l’atelier et qu’il imite le souffle d’un taureau contre mes joues, je frémis de peur, d’angoisse et d’excitation

« Bon, on peut se mettre en place pour les mesures ? » coupe Lucien d’un ton de fin de récréation.

Robert enlève la tête et transpire déjà.

— De toute façon, on va peut-être choisir le thème du satyre ; alors on va faire des essais avec les deux

« Les deux ?  Bien sûr ! Pourquoi ne pas les combiner ; faire les deux monstres en même tempsavec Marie au milieu » Ajoute Robert d’un ton enjoué.

Lucien réfléchit. « Pourquoi pas en effet ; le client m’a laissé carte blanche et deux monstres pour le prix d’un ; c’est sûr qu’il ne s’en plaindra pas.  Mais dans ce cas, ce serait mieux avec deux nymphes »

« On peut appeler Brigitte ? » fait Robert.

— On va déjà essayer avec Marie seule .

— Marie, déshabille toi Robert aussi complètement, même pas de bijoux, chaine, montre ou je ne sais quoi

« Ben pour moi, ce sera vite fait » je fais en rigolant mais pleine d’excitation de poser à nouveau pour Lucien ET Robert en prime. Ma respiration s’accélère déjà et ma chatte suinte comme une malade en manque à l’idée des poses demandées et de ce qui risque de suivre.

Je regarde Robert se défroquer.  Bon, il est un peu grassouillet comparé à son frère, mais, rien à dire, il a tout à fait le volume de l’emploi.  Il enlève son caleçon. Son sexe à moitié en érection se déploie majestueusement et se balance comme une grosse saucisse molle bien gonflée.

Il en est fier et ne fait rien pour la soustraire à mon regard. Il me lorgne comme une friandise et bave déjà à l’idée de prendre une de ces poses.

J’enlève ma petite robe à mon tour, libérant ma lourde poitrine et glisse la culotte à mes pieds.  

************************************************************************

A L’HÔTEL

Dans la chambre de l’hôtel, joignant -presque le geste à la parole, Marie décroise ses jambes et les laisse légèrement écartées.  Juste en face de moi.  La jupe de son tailleur couvre cependant suffisamment pour que mon regard ne puisse pas plonger directement jusqu’au sous-vêtement probablement toujours aussi imbibé que mon slip…

J’ai du mal à me concentrer sur mes notes.

Elle poursuit sans faire attention à moi.

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