Je m’appelle Marion, j’ai aujourd’hui 17 ans. Je suis une fille très banale, blonde, cheveux assez longs mais pas trop non plus, j’ai des courbes assez généreuses d’où mon surnom de mes copines "gros cul". Je suis une fille de petite taille, je mesure moins d’1M60. Je suis donc en terminale générale. J’ai peu d’ami(e)s car je suis assez insociable. Avec les garçons? Mes relations sont compliquées, je ne sais pas être amie avec eux. J’ai beaucoup de fantasme que je vais tenter de partager avec vous.
Je suis une jeune "femme" qui aime les hommes plus vieux. En effet je ne sors jamais avec des mecs de mon âge, ils ne me comprennent pas. Mes anciens copains avaient 4 et 8 ans d’écart avec moi: j’ai eu 2 relations vraiment sérieuse. J’ai rencontré mes deux copains sur Internet. Aujourd’hui je recherche plutôt des relations ouvertes, des plans culs quoi.
Un jour, j’ai rencontré un mec sur un site, nous avons parlé, toute l’après midi. Il me plaisait, j’étais en manque. Terriblement en manque. De nature ouverte, et très salope au lit, j’en ai profité pour l’inviter chez moi. Il semblait ouvert aussi on avait donc convenu d’un rendez vous le Vendredi 12 Août.
Le 12 Août venu, j’étais impatiente. J’avais une envie incontrôlable de me faire défoncer comme une petite chienne, comme celle que j’étais. Le matin je me touchais, en pensant à ce qui se passerait après mes cours, avec mon nouvel ami nommé Julien qui avait l’air d’être assez chaud, et qui j’espère arriverait à me combler de tous mes désirs que l’on peut qualifier de spéciaux. Je lui avais alors envoyé des snaps, c’est-à-dire des photos sur un réseau social nommé SnapChat, de moi, en petite nuisette avec écrit sur la photo "je t’attends sagement….." mais aussi des photos où l’on peut y voir l’entrée de mes seins, mais aussi mes fesses. Ce à quoi il a répondu plus tard dans la journée, avec une photo où l’on pouvait voir une bosse voyante dans son pantalon. Il fallait attendre toute cette journée, en cours, sans pouvoir se toucher, cela devenait pressant avec nos provocations répétés causées par nos petites photos coquines. J’avais besoin de me faire baiser, je devenais complètement folle, j’en mourais d’envie! En plus j’avais vu sa belle bite sur des photos, et elle me donnait tellement envie de la prendre partout: dans ma bouche, dans ma chatte et qui sait, dans mon cul de petite salope comme on me dit souvent. Rien qu’à cette idée, je devenais trempée… Les heures passaient tellement lentement, à l’heure de la sonnerie: 17:30, j’étais plus que contente, j’allais me faire défoncer, sans ménagement. Du moins c’est ce que j’espérais de tout cur et surtout ce dont j’avais le plus besoin en ce moment.
