J’étais venu passer quelques jours à Tokyo chez un ami américain qui s’y était installé depuis quelques années. Il avait épousé une charmante jeune femme japonaise et je dois avouer qu’elle me faisait bien envie. Mais bon, c’était sa femme et il y avait suffisamment de quoi chasser ailleurs. Le problème, c’est que seul dans cet univers complètement inconnu pour moi qu’était le Japon, j’étais un peu perdu. Aussi étais-je sans cesse collé aux basques de mes hôtes.

Un soir, mon ami m’expliqua qu’il devait accompagner son épouse à une soirée au sein de la famille de celle-ci, et qu’il ne pouvait pas trop me prendre avec. J’étais un peu ennuyé et lui demandai ce que je pourrais faire pendant ce temps. Il réfléchit un instant, puis il prit un air mystérieux et m’indiqua une adresse au dos d’une de ses cartes de visite. Il me la tendit et me murmura :

-Va là. Crois-moi, tu vas passer une bonne soirée. Mais tu gardes ça pour toi.

Puis sa femme, qui pendant ce temps s’était préparée pour la soirée, revint et tous deux quittèrent l’appartement. J’hésitais un peu, puis craignant de m’ennuyer à mourir, je pris un taxi et lui indiquai l’adresse.

Le taxi me laissa dans une petite rue et je ne voyais pas la moindre enseigne. Je redemandai au chauffeur si c’était bien là, et il m’indiqua une petite porte discrète en riant. L’entrée était bien modeste mais je m’y hasardai néanmoins. Je frappai à la porte. Personne ne vint m’ouvrir. Je poussai sur la poignée et me retrouvai dans un petit hall d’entrée. J’étais maintenant devant une autre porte et je me demandais ce que je faisais là. Alors que j’allais revenir sur mes pas, un petit homme grisonnant vint à ma rencontre et me pria de le suivre. Je pénétrai alors dans un local qui paraissait beaucoup plus accueillant, richement meublé avec une lumière rouge tamisée qui donnait à l’endroit une touche mystérieuse.

Je suivis l’homme d’un pas lent en contemplant la déco et il m’emmena jusqu’à une petite pièce. Il m’invita à y entrer et referma la porte derrière moi. Un peu étonné, je jetai un oil à ma seule issue de secours, puis, je décidai de me retourner pour voir ce qui m’attendait. Ô surprise, une jeune Japonaise était étendue sur un tapis de bambou et elle était totalement nue. Je m’approchai. Son corps était recouvert de divers sushis et à côté d’elle, je pouvais trouver diverses sauces et des baguettes.

J’étais un peu gêné par cette situation. J’évitai le regard de la jeune femme. Elle semblait très jeune mais j’ai toujours eu de la peine à donner un âge précis aux Asiatiques. Ce qui est sûr, c’est qu’elle était très mignonne, fine, des jolis petits seins bien fermes. Je me suis donc assis devant elle. Elle ne bougeait pas. J’ai dû me concentrer sur son ventre pour être certain qu’elle respirait. J’ai alors pris les baguettes et me suis mis timidement à manger les sushis qui recouvraient son corps. C’était à la fois jouissif et gênant. Tout en mâchant, je pensais à mon ami et me posais des questions à son sujet. Venait-il encore ici de temps en temps ? Avait-il rencontré son épouse dans ce lieu un peu louche ?

J’admirais également la peau blanche de la jeune femme. Je mourrais d’envie d’y goûter mais j’imaginais que je n’avais pas le droit de la toucher. C’était un peu de la torture. Mais au fond, je n’en savais rien. Cet endroit était-il seulement un restaurant ou plutôt un bordel déguisé ? J’avais intérêt à me montrer sage car je ne connaissais pas grand-chose aux coutumes locales et ne voulais pas avoir d’ennuis. Rapidement, j’avais avalé presque tous les sushis et le corps dévêtu de la jeune femme s’offrait à moi. Il régnait dans la salle un silence oppressant que seule ma façon de manger un peu bruyante pouvait briser.

Ce qui restait se trouvait autour et sur le pubis de la demoiselle qui ne bronchait toujours pas. Je pris du temps pour les avaler et les savourai comme il se doit. Puis il me prit l’envie d’essuyer les traces qui restaient sur la peau claire de ma table humaine. Celles-ci se trouvaient près de son minou et ce qui devait arriver arriva. N’ayant plus de serviette, je me mis à lécher ce qui restait, sans la moindre intention déplacée bien sûr, mais envoûté par le parfum que dégageait son sexe, je ne pus m’empêcher de dévier sur celui-ci.

Ma langue se heurta à la toison dense et bien soignée qui protégeait l’entrée de son vagin, mais cette défense était bien futile devant mon ardeur soudaine. Je m’attendais à tout moment à une résistance de la jeune fille. Je m’étais déjà préparé à lui faire mes excuses, à lui dire que j’étais navré, etc. Au lieu de ça, elle pressa fermement sur ma tête et se mit à geindre. Je compris qu’une folle partie de baise venait de démarrer et que j’allais enfin savoir si tout ce qu’on disait sur le sang chaud des Japonaises était exact.

La direction indiquée était bien entendu le clitoris. Je ne me fis pas prier pour appliquer ma langue exercée à cet endroit stratégique. Déjà, les cris se faisaient pressants. La jeune femme paraissait super chaude et je ne voulais pas que le moment soit trop court. Il me parut donc indiqué de m’attarder également à son vagin, ce qui allait se révéler utile pour la suite. Je laissai volontairement couler de la salive sur l’orifice puis utilisai mon muscle buccal pour que le liquide soit exploité au mieux. Le vagin était prêt à l’emploi, mais je me devais de finir le travail que j’avais entrepris auparavant et remontai sur le clitoris que j’achevai assez vite, malgré quelques allers vers le vagin – juste pour le plaisir de son goût – tant la demoiselle était réceptive.

Quel délicieux dessert j’avais eu là. Ma table humaine semblait complètement à plat, elle reprenait son souffle, jambes écartées. Quel homme normalement constitué serait resté inactif dans une telle situation. N’ayant pas de préservatif sur moi (ô rage), je me mis à me branler au-dessus d’elle. Elle me regarda d’un air curieux puis se releva. Bien élevée comme elle était, elle avait décidé de m’aider. Le simple contact de ma queue avec sa bouche me fit fondre, mais il fallait que je fasse bonne figure et profite au maximum de cette beauté. Ainsi, je me retins d’éjaculer tant que ce fut humainement possible, tout en caressant ses magnifiques cheveux noirs. Lorsqu’elle sentit que je n’en pouvais plus, elle me laissa sortir ma bite de sa bouche et lui envoyer mon jus sur le cou. Puis il fut temps pour moi de m’en aller, vite, comme si j’avais rêvé. Je repassai, gêné, vers le petit homme. Il me communiqua la note et à la vue du total, je compris alors que la séance de jambes en l’air devait être prévue dès le départ.

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