Il en rêve depuis longtemps. Il a réussi à me convaincre de me laisser mener comme il veut, comme une soumise. Je me retrouve ainsi chez des nouveaux amis. Au début cest bizarre dêtre la seule femme à me conduire comme je le fais là pour ma première fois. Jobéis comme jamais, même quand jétais une enfant. Je me doute que je vais supporter une foule de désagréments préalable avant de connaitre ses moments ineffaçables dorgasmes. La première épreuve, sen était une pour moi était de me laisser conduire au plaisir pas une femme. Une femme, pensez donc, une femme pour mon plaisir ou le sien. Je ne lai su quaprès. Elle me cherchait parce que je lui plaisais. Je lattirais.

Une série de coups sur les fesses me conduisait pas loin du plaisir à mon grand étonnement. Mon mari regardait ce que je supportais vaillamment. Heureusement quarrivait enfin des caresses consolatrices. Cest toujours la même femme qui posait ses mains sur moi. Elles étaient douces, trop douces pour me donner envie den connaitre encore plus. Jétais quand même surprise de sentir un doigt sur mon petit trou, comme ça, directement. Il faut que je précise que je naime pas du tout la sodomie, chose expérimentée avec dégout avec mon mari.

Mais ce soir, la pulpe dun doigt a raisons de mes aversions. Je ne sais comment elle fait : elle me donne envie daller plus loin. Mon sphincter se détend, laissant le passage. Mon mari regarde quand le doigt féminin entre doucement. Ce doigt qui élargit mon entrée secrète, qui senfonce en moi en me faisant haleter. Ce doigt orphelin est accompagné dun autre.

Je me prépare au meilleur des orgasmes. Moi, je vais jouir de caresses féminines. Et puis zut, si cest bon, pourquoi refuser ? Je me sens lactrice dun spectacle que je vis bien. Une série de spasmes me secouent longuement.

Jinaugure deux nouveautés ; la sodomie, les filles. Que va en conclue mon mari : que je suis une dégoutante, que je deviens dégénérée ? Et que va faire celle qui ma conduit là où je suis encore frémissante. Cest elle qui me retourne qui se couche à mes pieds. Je sens son souffle sur ma chate. Non, elle ne va pas me lécher ! Si elle en a lintention. Et je me laisse faire, je me laisse gougnotter par une femme. Sa langue écarte mes lèvres, lèche un peu le bouton. Je vais mourir de ce plaisir nouveau, je me laisse faire en faible femme que je suis devenue.

Sa langue est douce, elle me fait du bien, elle me fait partir au 7° ciel. Elle narrête pas. Je jouis encore et encore. Elle arrête ce quelle fait, quoi, 10 secondes, le temps de se retourner pour me donne sa chatte sur ma bouche, ma bouche pour la sucer. Je ne sais pas faire cette chose qui me fait du bien à moi quand mon mari me suce, quand cette femme la fait. Mais comment me résoudre à poser ma langue sur son sexe.

Je sens ses odeurs de sexe, de sueur, de mouille. Une foule de découverte. Ma première vraie étreinte avec une autre. Et mon mari qui bande à coté sans rien faire, si, il se branle.

Je sens les lèvres sur moi, sur le clitoris, des doigts qui fouille le vagin et dautre encore sur mon cul. Elle mange tout. Je jouis encore deux ou trois fois. Je mets ma langue en rond, je la pose sur son anus, tentée à mon tour. Je force à peine pour aller dans le cul. Je menfonce le plus possible, comme elle me fait. Nous jouissons pleins de fois encore.

Quand je e relève mon mari me colle contre le mur, le dos vers lui. Je ne peux me refuser quand je sens sa queue venir sur lanus. Il ne force pas, il ne me force pas, jouvre mon sphincter. Je suis surprise de sentir un orgasme : il me fait jouir par le cul.

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