Chapitre 1

Au collège, dans les années 70, notre prof adore nous donner des leçons de moral. C’est ennuyeux au possible mais obligatoire, en plus, on était noté sur nos travaux de moral et sur notre conduite et la note comptait pour la moyenne. Ok, j’étais dans un collège tenu par des religieuses et Mademoiselle le professeur était l’une des seules à ne pas porter le voile. À 18 ans, avec ma petite copine Irène, pour nous faire de l’argent de poche, on profitait des après-midi de congé pour récolter les vieux papiers. Cela nous faisait de l’argent de poche. Parfois, on trouvait des journaux érotiques qu’on s’empressait de cacher sous une vieille grange, près d’une ancienne ferme qui avait brûlé. Dans ce sous-sol, Irène et moi, on se caressait en regardant nos trouvailles érotiques. Quoi qu’érotique ne soit pas toujours exact. On avait aussi des journaux carrément pornos et d’autres purement SM ou fétichiste comme c’est écrit sur les couvertures. En tout, on en avait une bonne centaine caché dans ce sous-sol. Cela nous emportait dans des plaisirs que nos cours de moral réprouvait et qualifiait de dépravé, de vicieux et j’en passe. Avec Irène, si on ne faisait pas l’amour comme les adultes, on pratiquait la masturbation intensive. Nos corps nu, je la caressais, elle me caressait, on s’embrassait et parfois, chacun fessait l’autre. Son plus beau cadeau fut de me donner son joli petit cul à prendre. C’est la première fois que je pénétrais une femme. Cela étant, vu notre ignorance, cela n’alla pas loin, Irène avait eu mal dès le début et je n’avais pas insisté. 

Cela aurait pu durer longtemps avant qu’on ne passe à l’acte pour de vrai. Il est vrai qu’à l’époque, on n’avait pas les moyens actuel, comme internet pour apprendre le sexe. Et ce n’est pas nos parents qui allaient nous aider. Cela étant, les choses allaient s’accélérer. Une après-midi, un mercredi, on venait te livrer notre dernier voyage de papier et nous étions sous la grange quand elle est arrivée. Au pas, j’ai tout de suite reconnu une femme. Irène était sur le point de jouir de mes mains. Et pour ne pas être entendu, je l’embrassais afin de limiter le bruit de son orgasme. En haut, les bruits de pas se turent. Lentement, je suis monté. Il y avait une femme de dos et dont la silhouette ne m’était pas inconnue, mais qui était-ce ?

Une voiture est arrivée, je me suis glissé derrière un vieux char à buf. De là, personne ne pouvait me voir. Irène ma rejoint et me dit que la femme était notre institutrice. En effet, quand elle se mit à genou, les mains sur sa nuque, elle se tourna légèrement et je la reconnu. Un homme grand est entré, un gros sac surl’épaule. Irène et moi, on ne bougeait plus, sa main sur ma bite et la mienne entre ses fesses. Nous étions à moitié à poil. 

L’homme s’est approché de notre prof, lui a saisi sa queue de cheval et la secouée fortement avant de l’obliger à lécher ses chaussures vernies. Cela dura un moment avant que mademoiselle ne reçoive l’ordre autoritaire de se mettre nue. C’est là qu’on vit que notre prof ne portait pas de petite culotte. L’homme lui expliqua les manquements au règlement, mademoiselle répondait par l’affirmative à chacune des fautes dénoncées par cet homme. Aucun doute n’était permit, c’était bel et bien une soumise et masochiste en plus. 

Irène me dit que l’homme était un dominant et que notre prof était son esclave. C’est vrai que nos revues nous en racontaient beaucoup de ce genre d’histoire. En fait, à Irène et moi, on avait la théorie mais trop peu de pratique, tout juste du touche pipi. L’homme sortit des accessoires de son sac, dont des cordes. En quelque minute, mademoiselle était écartelée entre ciel et terre et entièrement nue. Ce qu’elle était belle, je bandais dur comme de l’acier. Mon Irène n’y arrivait plus à la main, c’est avec sa bouche qu’elle allait me faire jouir.

L’homme prit alors un lot de pince et en garnit tout le corps dont la bouche poussait de long soupir à chaque pince posée. Parfois, un petit cri nous parvenait. Je me cramponnais à Irène pour ne pas tomber sur le sol. Je profitais d’un moment de répit de ce couple pour entièrement me dévêtir et faire de même sur Irène. L’homme tournait autour de mademoiselle, lui assènent de méchant coup de sa cravache. Parfois une pince tombait, frappée par la cravache. Mademoiselle hurlait alors et ce n’était pas de plaisir, vous pouvez me croire. Du coup, je me mis à imaginer, Irène attachée et moi en méchant et pervers bourreau. Quoi qu’après réflexion, je retirais Irène des cordes et laissait notre professeur et ses cours de moral écartelée comme elle l’était. 

L’homme se mit alors à fustiger ce corps sans défense. Irène était proche de recevoir mon sperme dans sa bouche. Je m’activais sur sa chatoune de ma main. Irène retira sa bouche de mon pénis pour m’achever d’une bonne branlette. Nue, elle en reçu sur tout son visage, toute sa poitrine et même jusque sur son minou. Ma main portait la marque de mes dents et un peu de sang aussi. Irène jouit presque en même temps. Me mordant ma cuisse.

À suivre.

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