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Un soir d orage – Chapitre 2




Chapitre 2 : notre vraie nature, le prix à payer

Je prends le plug encore souillé de ses entrailles, lui présente et je dis:

— « suce-le »

— « non pas ça » me répond-elle sur un ton implorant

— « je ne le répéterai pas une autre fois. Suce-le !»

— « Sil te plait, mon petit cul n’est pas propre….tout ce que tu veux mais pas ça»

— « tu sais ce que signifie, ce refus », lui dis-je d’un ton glacial « dis le moi !! »

— « je devrais être punie si.. » mon regard est insistant « .si quoi? »

La voix tremblante elle me répond « .si je veux jouir ce soir »

" Exact, et je suis d’humeur à faire durer ton plaisir ce soir, par conséquent…ta souffrance"

"prend la position. Tout de suite"

Elle se redresse de la table, se dirige au milieu du petit salon face à la cheminée.

Elle lève les bras tendus derrière la tête, et écarta ses jambes.

" Ne bouge pas je reviens". De ma visite à létage en début de soirée, javais pris soin de redescendre avec le plug et une mallette.

Jentre à nouveau dans le salon, jabaisse la luminosité de lallogène. Son reflet mapparaît dans la grande baie vitrée. Au loin je vois les éclairs, tension électrique présente sur la moindre parcelle de peau de ma femme.

Elle est toujours dans la même position.

" Baisse les yeux, cambre toi, et écarte plus les jambes….et surtout je ne veux pas t’entendre….pas un son"

Jouvre la mallette. Elle en connaît le contenu par cur.

Je commence par lui bander les yeux.

Je pose ensuite un à un, sur la table basse, les objets qui amèneront ma femme à la soumission la plus totale.

Je mets une pince à sein à l’extrémité de chacun de ses tétons. Ces pinces sont composées dune vis qui permet dajuster la pression.

Elle fait une grimace tout en serrant les dents, « Aiihe » faible mais intolérable à mes oreilles.

Je ramasse son string, en ressort le fond encore humide de ses sécrétions, et le passe du haut de son pubis à lextrémité de sa raie culière. Il maintenant trempé, souillé. Je prends le bout de tissu.

« lèche » Elle pose la langue et remonte sur le tissu. Jen profite pour lui enfourner le tissu suintant dans la bouche. Elle ne dit rien, sert les dents.

Je positionne ensuite 2 pinces vibrantes sur ses petites lèvres et les mets en marche. Ces pinces sont un vrai supplice. Mélange de souffrance et de plaisir. On y règle à la fois la pression et la vitesse des vibrations.

Elle se cambre aussitôt un peu plus.

Mon doigt glisse sur son clito, il est trempé.

" Ne crois surtout pas que tu vas jouir aussi facilement"

Je fais un tour de vis supplémentaire à chaque pince. Les bras se replient, les genoux fléchissent.

« Tient la position !!! ». Elle se redresse, relève le menton comme par défi.

Je passe alors dans son dos, la penche en avant.

Je positionne à nouveau le plug dans son anus et lui murmure à l’oreille "tu vas bientôt me supplier de sucer tout ce qui va passer dans ton petit cul de soumise" .

J’en profite pour augmenter lintensité des vibrations des pinces clito, et j’attends de la voir bouger sensiblement le bassin, signe de son plaisir.

Plaisir que je prends soin datténuer en resserrant les pinces, diminuant les vibrations, retirant le plug.et inversement pendant de longues minutes.

Je sors alors un martinet. Je passe les lanières le long de ses cuisses. Elle reconnaît aussitôt lobjet. Le duvet de sa peau se redresse. Je la remets en position. Fesses cambrées.

"Sert les dents et silence"

Je lui retire les pinces vibrantes du clitoris. Des signes de soulagement et de frustration se mélangent sur son visage.

Je fouette une première fois ses fesses légèrement, puis de plus en plus fort, jusqu’à voir la peau blanche rougir, marquée, zébrée.

Je vois des gouttes de sueur perlées sur son corps.

Je prends alors un vibro et lui passe délicatement sur son clitoris.

Leffet est instantané, elle se cambre, bombe le torse et tremble, elle est proche de la jouissance, j’arrête aussitôt.

Je retire la culotte de sa bouche.

"est ce que tu veux jouir?"

"oui s’il te plait, fais moi jouiiiiiiiir. !!!"

"qu’est que je dois faire pour te faire jouir ?"

"tu dois.., tu dois me faire souffrir"

"veux tu souffrir ?"

"oui je le veux !!!!!!!!"

Je reprends le martinet, je passe les lanières délicatement sur le haut des ses fesses, sur le bout de ses seins. « pas un seul son, cest bien compris »

Je suis derrière elle, une vue imprenable sur ses parties intimes.

Puis dun geste brusque, je fouette son entre cuisse, et les extrémités des lanières viennent s’abattre sur son clitoris gonflé de plaisir.

Les cuisses se resserrent aussitôt, un son rauque sort de sa bouche. « Pardon,pardon » me dit-elle implorante.

"Pour cette rébellion et ces paroles qui ne sont pas dignes de la femme censée être mon épouse, tu prendras 3 coups supplémentaires, écartes les cuisses et comptes"

Elle se remet en position, beaucoup moins prétentieuse que précédemment.

Je prends mon temps, je vois quelle tremble un peu. Et d’un mouvement circulaire de bas en haut j’abats les lanières sur son clitoris.

"1" , dents serrées.

Le second est plus violent et plus rapide.

"2", une larme coule sur sa joue.

Je prends mon temps pour le troisième coup. Jobserve, le corps fébrile, lodeur de la peur se dégage de sa sueur. Enfin jabats le martinet de telle sorte que toute la surface de son clitoris soit touché.

"3", la voix est à peine perceptible, mais la fierté est là, elle a tenu bon.

Elle sait quaucune autre femme ne pourrait procurer un tel plaisir à son mari. Sabandonner sans concession, dans la confiance réciproque et absolue.

Je reprends le vibro, et lui passe délicatement sur ses petites lèvres.

Son souffle s’accélère, ses jambes ne la tiennent plus.

Je ressors le plug dun geste brusque.

Les yeux toujours bandés, je passe le plug sous son nez

« que sens-tu ? »

« .lodeur de mon petit cul »

« Ouvre la bouche, et si tu veux jouir ce soir, suce-le"

Elle ouvre la bouche, et pose sa langue sur l’extrémité du plug.

"J’ai dis suce le" tout en continuant mon action sur son clitoris.

Elle enfourne alors le plug dans sa bouche, entièrement, et le suce.

"Dis moi ce que tu es, j’écoute"

" Je suis ta soumise"

"Et quoi d’autre"

"Je suis ta petite salope de soumise, qui aime souffrir pour jouir"

"C’est très bien, et tu aurais pu éviter ce qui va venir, si tu avais été obéissante dès le début"

"penche-toi "

Nouveau coup de tonnerre, les baies vitrées tremblent.

Je fini de me déshabiller. Elle porte toujours ses talons hauts. Elle sappuie sur le rebord de la cheminée.

Je prends position derrière elle, lui écarte les fesses, et flatte son anus avec mon sexe tendu.

Je rentre l’extrémité, la ressort et re-rentre à nouveau.

Puis d’un mouvement précis et rapide, je la sodomise de toute la longueur de mon sexe.

Une fois calé au fond de son intestin je commence les va et vient de plus en plus rapides.

Elle ondule des fesses, signe de son plaisir, je la sais très sensible de l’anus.

Mais je ne veux pas jouir dans son cul ce soir.

Je ressors mon sexe, couvert de son plaisir anal.

Je la retourne et je la fais mettre à genoux.

"Suce ma bite soumise, et nettoie la bien, je veux la voir briller"

Cette fois-ci elle n’ose pas me dire non.

Je retire son bandeau.

Elle ouvre la bouche et enfourne mon sexe, le nettoyant sur toute sa longueur, malgré un air de dégoût.

« Si ton petit cul avait été propre tu ne ferais pas cette tête. Ne tinquiètes pas, je vais tenculer et tu vas me sucer, jusquà ce quil ne reste aucune trace ni odeur de ta souillure. »

Je la prends ainsi à 4 ou 5 reprises. Pénétration anale, lente, profonde toujours plus profonde, suivie dun retrait rapide, puis fellation.aussi profonde que la sodomie précédente.

Je fais durer le plaisir, mais elle est experte en fellation. Elle pompe, lèche, soupèse et gobe les bourses.

Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche, elle me regarde et sait d’avance qu’elle n’a pas le choix. Ce soir, il faudra tout avaler sans en laisser tomber une seule goutte.

Une fois fini, et signe de sa soumission totale, elle ouvre la bouche me montrant que ma semence règne désormais au fond de son estomac.

Je la relève.

Je la fais asseoir sur le canapé de cuir.

Elle ramasse son string, posé aux pieds du canapé, le frotte sur son clitoris, allant même jusquà le rentrer dans son vagin et son petit cul.

Le regard est malicieux et plein de défi. « Fais moi couiner maintenant » et elle porte létoffe à sa bouche, dents serrés.

Elle adore me prouver quelle sait se faire salope, sans être soumise.

Jécarte ses cuisses, me mets à genoux et commence un cunnilingus, lent, délicat.

Je titille, je lèche, je suce et mordille son clitoris à la fois. Son sexe est dégoulinant.

Elle ne résiste pas longtemps à ce régime.

Elle se cambre et se met à hurler sa jouissance, finissant à moitié inconsciente.

Elle finie par se blottir dans mes bras.

Je la regarde et lui dis simplement "je t’aime"

"moi aussi je t’aime".

Lorage, séloigne, la tempête est passée, sa violence a certainement du laisser des traces.

Maitre Steeve.

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