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Julie – Une nouvelle vie – Chapitre 6




Quelle après-midi ! En quelques heures notre jeune héroïne s’est faite emmancher par des bites de bien des calibres, et a avalé de belles quantités de foutre. Elle a découvert son penchant pour la sodomie, partagé du sperme avec une beauté des îles, et s’est faite défoncer les trois trous par le plus beau spécimen de queue qu’elle ait vu à ce jour. Maintenant qu’elle a décroché un job et un appartement en ville, il ne lui reste plus qu’à rentrer annoncer toutes ces bonnes nouvelles à sa mère.

Sous le jet relaxant de la douche bien chaude, Julie a bien du mal à oublier la défonce qu’elle vient de subir. Bien que sa mâchoire soit un peu endolorie, elle se ferait bien une ou deux queues supplémentaires. La jeune fille recommence à se toucher la chatte rien qu’à repenser aux belles queues de Jeannot et de Marco. Elle mouille déjà, « Mais quelle trainée tu fais ma fille », se dit-elle le sourire aux lèvres. De sa main libre, elle se caresse les lèvres charnues en repensant à tout le sperme qu’elle a pu avaler depuis qu’elle avait croisé Karim. Mais non, à bien y repenser, c’était plutôt depuis qu’elle avait écouté Hector et ses conseils à la con, qu’elle était devenu une vraie nympho. Elle espère presque qu’il soit encore à la maison lorsqu’elle rentrera. Elle va lui faire payer d’une façon ou d’une autre. Il lui reste de toute façon le trajet du retour pour imaginer une vengeance sur ce vieux vicelard. Ses grandes lèvres s’ouvrent de nouveau sous ses propres caresses, elle s’enfile un doigt dans le vagin, se cambre un peu et descend sa deuxième main vers sa petite pastille pour se mettre un doigt dans le cul. « HUM » elle pourrait se faire jouir de nouveau si elle continuait. Mais elle doit se préparer pour aller signer les papiers avec Marco, elle se touchera ce soir au calme, peut-être même qu’elle matera une nouvelle vidéo. Le sourire aux lèvres, elle extrait ses deux doigts de ses orifices, se savonne bien partout pour bien nettoyer tout ce sperme, tout en luttant pour ne pas se masturber à nouveau. « Je suis vraiment devenu accro au cul, c’est pas vrai ! ». Elle sort de la douche, s’essuie bien partout et s’assure tout de même de l’état de sa chatte et de son trou du cul. « Ils m’ont bien labourée, j’espère qu’ils m’ont pas trop déchirée ! ». Elle est surprise de constater que son vagin et son petit trou ont tous deux retrouvé leur taille normale, ils ne sont ni distendus, ni douloureux, même après avoir subi les assauts de Jeannot et de Marco. « C’est peut-être parce que je mouille beaucoup de la chatte, et il y a aussi le lavage que m’a fait ce pervers de Jeannot ! Si c’est ça, il faudra qu’il me donne sa recette, celui-là. »

C’est bon, elle est bien sèche, seuls ses cheveux sont encore humides, mais avec la chaleur qu’il fait, cela ne sera pas un problème. Elle se les lisse en arrière, ça lui donne un petit air sauvage qui lui plait bien. Julie ramasse ensuite ses vêtements, les inspecte vite fait pour en vérifier l’état. Etonnamment, les deux morceaux de tissu sont toujours immaculés, à part quelques petites tâches ici et là. Elle a réussi à avaler tout ce sperme sans en perdre trop. « Pas mal ma vieille ! Bon allez faut que j’me bouge le cul ! », elle se rhabille vite fait, réajuste son petit haut sur ses tétons, et tente de cacher au mieux son pubis et ses fesses sous sa micro jupe. Elle n’en revient pas, après tout ce qu’elle vient de subir, elle se sent encore gênée de se montrer si court vêtue en public. Bon, de toute façon elle n’a pas le choix, tant que Karim ne lui a pas rendu ses vêtements, elle devra rester accoutrée de la sorte. « Oh merde je les ai oubliés ceux-là ! Comment est-ce que je vais les retrouver ? » Elle espère qu’ils sont restés dans le coin. Elle aurait l’air fin de se pointer à la maison « habillée » de la sorte.

Sur ce, notre belle petite asiatique redescend les volées d’escaliers, les seins bringuebalants dans son petit haut tendu, et la micro jupe remontant sur ses fesses à chaque marche. « J’aurais mieux fait de rester à poil, tiens ! » Une fois arrivée au rez de chaussée, elle se réajuste une nouvelle fois puis se dirige vers le bar en traversant la cuisine sous le regard pervers du vieux Jeannot.

-Alors, c’te visite ? Ça t’a plu ma belle ?

-Oui, oui, c’est un très belle appart’ ! Lui répond-t ’elle avec un grand sourire. Je vais rejoindre monsieur Marco pour signer les papiers.

-Bienvenue dans l’équipe alors. Vivement qu’on se revoit ! Ponctuant son propos d’un clin d’il.

« Oui pour que j’astique encore ta grosse queue, espèce de vieux cochon ! » Elle lui lance un petit clin d’il provocateur et se dirige vite fait vers le bar, rejoindre Marco. Ce dernier l’accueil avec un grand sourire et la conduit derrière le bar dans son petit bureau pour lui faire signer le bail du petit studio où il vient juste de lui défoncer le cul et la chatte. Ensuite il lui présente une copie de son contrat de travail. Il lui propose un CDD d’un an renouvelable, Julie constate que les closes sont identiques au mini contrat qu’il lui avait fait signer pour l’essai qu’elle venait de faire. Les clients et le personnel peuvent lui faire ce qu’ils souhaitent tant qu’ils consomment au bar. Julie, qui avait tout de même bien aimé le traitement que lui avait fait subir les clients et ses nouveaux collègues, signe avec un petit sourire coquin.

-Bien, ben voilà une affaire rondement menée, je dirais ! Quand est-ce que tu peux commencer ?

-Ben je pensais profiter un peu du week-end pour emménager et démarrer ma première journée Lundi, si ça vous convient ?

-Parfait. Tu passeras me voir Samedi quand tu arrives, et je te remettrai ta clé. Je vais m’occuper de la paperasse avec le comptable pour que tout soit prêt Lundi, et tu pourras embrayer pour le service du soir à 19h00, OK ?

-Oui, et merci encore monsieur Marco, vous êtes formidable !

-Hahahahaha, pas de soucis ma belle ! Je vais laisser Noémie te reconduire, j’ai pas mal de paperasse à gérer maintenant pour que tout soit prêt Samedi. Noémie ?

-Oui, oui, j’arrive !

-Tu peux raccompagner la petite, s’te plaît ?

-Pas de soucis, tu viens ma puce ?

Julie salue Marco avec un petit pincement au cur, c’est qu’elle va lui manquer sa grosse queue ! Noémie la reconduit à la porte du bar, qui avait été rouverte pendant que le patron la tronchait à l’étage.

-Au fait, ton pote Karim a appelé, il a retrouvé ton sac et ton phone dans le bus et t’invite à aller les rechercher au dépôt de la régie dès que tu peux. Qu’est-ce qu’il était content pour toi lorsque je lui ai appris que tu signais les papiers avec mon frère ! Et ça c’est un petit cadeau de Jeannot.

Merde, ils savent déjà. Elle va donc devoir s’occuper d’eux comme elle le leur a promis, il n’y a aucune chance pour qu’ils ne viennent pas réclamer leur dû.

Noémie lui tend aussi un petit papier sur lequel Jeannot lui donne la recette de son lavage lubrifiant et odorant. Julie, un petit sourire honteux sur les lèvres, le range soigneusement dans la poche intérieure de sa veste, « Ça pourrait bien me servir très vite ! »

-Oh, euh, oui merci, c’est gentil Noémie. Tu remercieras Jeannot pour moi ?

-T’inquiètes, tu pourras le remercier toi-même, très bientôt.

-Ben je vais y aller alors, mais où est-ce que je trouve le dépôt moi ?

-Ah oui, c’est vrai, ben tu prends le 23, juste en face là-bas et tu vas jusqu’au terminus. De là tu devrais voir le dépôt qui se trouve juste de l’autre côté du terminus. Et, au fait, il faut que tu demandes un certain Moussa. Voilà, je crois que je t’ai tout dit. On se voit bientôt alors ?

-Oui j’emménage Samedi et je commence à bosser Lundi.

-Merde, la semaine prochaine, je suis pas mal occupée, des dossiers à boucler, mais j’essaierai de passer. Bon allez, bisou et à plus ma belle.

-Oui bisou.

« Oh la galère ! » Julie doit se taper le trajet au milieu de tout ce monde, habillée comme une salope, voir à moitié à poil. Mais de nouveau, ils ne lui laissent pas vraiment le choix. Il est déjà presque 18h00, elle doit encore récupérer ses vêtements, et faire le trajet de retour, elle ne sera pas rentrée avant 20h00. Bon elle ne doit pas trainer, elle vérifie qu’elle a bien un peu de monnaie dans sa veste. « C’est bon, ça devrait aller pour un ticket. » Une fois qu’elle aura récupéré son sac et son phone, elle pourra se débrouiller pour rentrer. Elle aperçoit le bus au loin, il ne faut pas qu’elle traîne. Elle tente de courir pour traverser la rue en direction de l’arrêt de bus, bien peuplé à l’heure de la sortie des bureaux, mais ses gros nibards n’arrêtent pas de rebondir et même avec sa petite veste, elle n’arrive pas à empêcher ses tétons d’apparaître sous la base de son t-shirt. Pour couronner le tout sa micro jupe remonte et dévoile son petit abricot imberbe. Elle arrive tout de même à l’arrêt de bus avant que ce dernier ne stoppe. Elle réajuste sa petite jupe sous le regard de tous les hommes qui attendent eux aussi le bus, mais n’a pas le temps de se couvrir mieux les seins que la porte s’ouvre devant elle dans un grand « woush ». Les mecs font preuve d’une « galanterie », la laissant monter en premier, « les bâtards, ils doivent bien se rincer l’il, oui ! » Couvrant au mieux sa poitrine, elle achète son ticket et tente de se diriger vers le fond du bus. Ce n’est pas facile, il y a plein de monde, et même si le trajet jusqu’au terminus ne devrait pas durer trop longtemps, le timing va être serré si elle veut être rentrée avant que sa mère ne s’inquiète.

Prise dans ses pensées, elle se cale tant bien que mal au milieu de tout ce monde, elle arrive à se faufiler jusqu’à une vitre entre les strapontins, les gens montent et s’agglutinent autour d’elle. Elle parvient à se mettre face à la vitre pour au moins ne pas avoir le nez collé aux dessous de bras des mecs qui l’entourent. Du haut de son petit mètre soixante, elle fait toute menue encadrée par tous ces mecs. Bien entendu, avec cet accoutrement, elle se retrouve bien vite entourée de plusieurs mecs, hommes d’affaire ou commerciaux en costume, ouvriers en tenue décontractée, short, t-shirts ou marcels. La chaleur dans le bus n’arrange rien, elle sent soudain un gros bide humide de sueur se caler contre ses reins entre le haut de sa jupe et le bas de sa petite veste. L’arrêt suivant n’arrange rien, peu de monde descend, et de nouvelles personnes montent. Le gros bide se colle un peu plus à elle. Même si peu vêtue, Julie commence à avoir chaud sous sa veste, elle arrive tout de même à la retirer, et la fait glisser sous son ventre sur la rambarde devant elle. Le bus aborde un peu vite un virage et le gros sac qui la colle lui tombe quasiment sur le dos plaquant ses gros seins contre la vitre. Elle sent la respiration du gros porc sur sa nuque, une bosse en train de gonfler sous sa jupe. Mais il est en train de bander ce gros sac. Elle tente de se dégager, mais deux autres mecs la bloquent de chaque côté, elle croise le regard de celui en costard sur sa droite, qui se contente de lui faire un petit sourire, puis elle tourne la tête sur la gauche mais ce n’est guère plus encourageant, elle ne trouve qu’un jeune black d’une vingtaine d’années qui ne fait que lui reluquer les seins toujours compressés contre la vitre sous le poids du gros sac. Ce dernier s’écarte un peu, et recale son gros bide trempé sur les reins de la belle. Mais qu’est-ce qu’il peut bien tramer dans son dos ? Elle ne tarde pas à le découvrir, ou plutôt le sentir. Il est en train de glisser une main sur le haut de la cuisse droite de Julie puis commence à caresser la fente lisse de sa chatte de son gros doigt boudiné. Il remonte ensuite sa grosse main gauche le long de ses côtes, la glisse sous son sein, passe un doigt sous le fin tissu élastique, lui titille la pointe du téton, en passe un deuxième puis se met à lui pincer la pointe et à la tordre entre ses gros doigts. « HUN ! Le salaud, il sait y faire ! » Le doigt sur sa chatte appui sur les lèvres gonflées, les écarte, expose son clito, et commence à le masturber. La grosse boule collée à son cul augmente encore de volume, « Le gros porc, il bande bien ! », elle ferme les yeux, rejette la tête en arrière, sent sa respiration chaude et haletante sur la nuque, il vient de lui enfourner le doigt dans la chatte ! Le black sur sa gauche vient de soulever le petit bout de tissu exposant le sein gauche toujours maltraiter par les gros doigts. Le gros porc lui libère le téton, que le grand black s’empresse de malaxer à son tour, il le pince bien fort, le tort, lui secoue le sein. Julie gémit de plaisir, et sent alors la main gauche du gros sac sur la cambrure de ses reins. Il remonte la jupe, dégage son pénis, et commence à se masturber entre les deux fesses de la petite.

Il lui écarte un peu plus les lobes fessiers, et positionne son gland à l’entrée du petit trou. « Mais qu’est-ce qu’il fait ? Il va quand même pas m’enculer en public ? HUN ! Ouh ! ». Le gros sac, la bedaine en appui sur les reins de la belle, un doigt lui trifouillant la chatte, vient de la pénétrer d’un seul coup de reins, et se met à l’enculer de petits mouvements rapides. En appui sur la rambarde, Julie fait des efforts surhumains pour ne pas hurler de plaisir sous les caresses du black et les coups de queue du gros inconnu. Elle est obligée de baisser la tête, de se mordre la lèvre inférieure. Elle entrouvre les yeux, et aperçoit un chauffeur livreur de l’autre côté de la vitre en train de la filmer sur son phone, ils sont arrêtés à un feu rouge, et la gamine est complètement exposée, un sein à l’air en train de se faire peloter par le grand black, doigter et enculer par le gros derrière elle.

Le jeune black se tourne d’un quart de tour vers la belle, lui attrape la main et la dirige vers sa queue qu’il venait de déballer de l’entrejambe de son short. Le feu passe au vert et le livreur démarre son camion à contrecur, Julie commence tout de même à branler la belle bite qui grossit et durcit sous ses caresses. Vu la belle taille de ce nouveau monstre de chair, dont le gland arrive quasiment à la hauteur de ses seins, la jeune fille a vite fait de baisser la tête et tente d’aspirer la pointe du dard d’ébène entre ses lèvres. Sa position ne se prête à une bonne pipe, en plus l’autre est toujours en train de la sodomiser. Le gros porc a dû comprendre la situation, il se retire, et la laisse se retourner pour lui faire face. Julie s’accroupit entre les trois hommes les cuisses bien écartées, aspire la bite du gros entre ses lèvres et recommence à branler celle du black. De sa main libre, la jeune fille reprend la masturbation de sa chatte, s’enfile deux doigts dans le minou et se branle de plus en plus fort. Des gouttes de mouille glisse le long de ses doigts et tâchent le sol du bus d’une petite flaque. Le troisième larron a tôt fait de déballer lui aussi sa queue, que Julie s’empresse d’aspirer à son tour. Les doigts se farfouillant bien la chatte, elle suce ces deux bites chacune leur tour et continue de branler le grand black.

Alors qu’elle reprenait la pipe du gros lard, ce dernier lui attrape la tête à deux mains, et lui enfonce violemment la queue au fond de la gorge, jusqu’à la garde, et se met à lui baiser la bouche comme une brute, écrasant le gras de son bide contre le visage à chaque coup de rein. Il se retire aussi sec, fini de branler sa queue toute baveuse et éjacule cinq jets de foutre chaud et bien gluant sur le visage de Julie, qui, toujours en train de s’astiquer la chatte, peine à reprendre son souffle tellement les derniers coups de queue brutaux l’ont déstabilisée. Les deux autres mecs finissent de se branler et éjaculent simultanément une dizaine de giclées supplémentaires de sperme chaud sur le joli visage de la belle, pile poil au moment où le bus s’arrête au terminus de la ligne.

Les portes s’ouvrent, le mouvement instantané de tous les passagers sortant du bus force la jeune fille à se relever. Elle attrape de justesse son petit veston accroché à la rambarde, et descend du bus le visage couvert de foutre, le sein gauche à l’air, la chatte dégoulinante de mouille et le cul totalement exposé. La petite asiatique à moitié à poil au milieu de tous les passagers ne peut cacher le sperme dégoulinant de son visage et sa propre mouille coulant le long de ses cuisses. Les passagers sourient et la photographie, ou la filme sur leurs smartphones, le sourire aux lèvres. Couverte de sperme et dans un nouvel élan nymphomaniaque, ne disposant ni de serviette, ni de mouchoir en papier, la jeune fille racle comme elle peut le foutre encore tiède, et l’avale en se léchant les doigts. Le spectacle ne dure que quelques instants, mais les passagers de la ligne 23 se souviendront longtemps de cette petite chienne couverte de sperme.

Julie reprend doucement ses esprits, observe autour d’elle les derniers badauds quittant le terminus. Elle réajuste ses vêtements une nouvelle fois. Décidément, se dit-elle, à chaque fois qu’elle se retrouve en public dans cette tenue, les mecs deviennent fous et très entreprenant, c’est sûr que se faire peloter et tailler des pipes en public n’allait pas lui arriver habillée avec ses vieux joggings trop larges ! Elle devrait être couverte de honte, mais elle doit bien s’avouer adorer jouer les chiennes en public. Elle adore que des inconnus lui maltraite les seins et lui astique la chatte, elle aime se faire asperger de foutre, elle en aime le goût rance et la texture bien visqueuse, comment avait-elle pu passer toutes ces années sans connaître de tels plaisirs ? Elle se souvient de ses copines de lycée, voir même de collège, qui taillait déjà des pipes aux garçons dans les toilettes entre les cours. Elle était passée au travers de tout ça, mais elle allait rattraper son retard vite fait, c’est sûr ! Elle va en bouffer de la queue et du sperme avec son nouveau job !

La jeune fille repère vite fait l’entrepôt où se trouve le dépôt des bus de la régie. Elle est à la fois anxieuse, et tout de même un peu excitée de retrouver la petite bande de zonards qu’elle avait sucés quelques heures plus tôt. Anxieuse de ne pas savoir quel sort ils lui avaient réservé, et inquiète de ne pas savoir dans quel état elle allait retrouver ses vêtements, elle est aussi un peu excitée à l’idée de retrouver toutes ces bites, et peut-être les chevaucher sur le voyage de retour. Julie fait le tour du dépôt et trouve la grande grille bordant l’entrée ouverte. Les bus vont surement bientôt rentrer de leurs tournées, elle allait tâcher de ne trop tarder dans le coin. Elle rajuste de nouveau sa jupe et se couvre au mieux avec sa veste puis entre dans le grand hangar, trouve la guitoune où elle demande au gardien présent de lui indiquer où elle peut trouver Moussa. Le gardien, un jeune basané d’au moins 1m95 très musclé, lui demande de la suivre.

-Tu dois être Julie ? Moussa m’a demandé de l’appeler dès que tu serais arrivée, on n’a pas trop le droit de faire entrer des personnes qui ne font pas partie du service. Mets-toi devant la caméra, j’appelle Moussa.

Il compose un numéro sur son téléphone.

-Ouais vieux ? Ta copine est arrivée, tu vois avec le turc si elle peut te rejoindre ? Ouais elle est face à la caméra, y peut checker !

Après quelques instants.

-Ouais nickel, j’te l’amène.

Le gardien fait le tour de sa guérite, et vient chercher la petite asiatique. Il est décidément immense, Julie lui arrive juste en-dessous des épaules, même avec ses talons. En traversant les entrepôts, il lui dit qu’il s’appelle Tarik, et qu’il a vu Moussa arriver avec ses potes un peu plus tôt dans l’après-midi. Il l’a conduit en direction d’un Algeco posé au fond de la cour, lui ouvre la porte et la fait entrer dans la salle de repos des mécaniciens de la régie. Julie entre dans une salle rectangulaire dont les quatre murs sont tapissés de posters de filles à poil, certaines les jambes écartées, d’autres en train de sucer une ou plusieurs queues, d’autres encore qui se font monter par un ou plusieurs mecs. Un seul thème reste commun, elles ont toutes à peine plus de 18 ans, 20 tout au plus. Dans le coin au fond à gauche, elle entend la bande son d’un film porno dans lequel une gamine à peine plus vieille qu’elle se fait défoncer par un () « Non, c’est pas vrai elle se fait embrocher par un cheval ? » Dans le fauteuil en face de l’écran, une sorte de gros ours en marcel, les épaules velues de gros poils noirs collés par la sueur mate la scène. Le dos tourné à la porte, il n’a pas l’air d’avoir remarqué la belle poule. Dans quel merdier a-t-elle encore fourré son nez ? Elle est soulagée de reconnaître Moussa, à qui elle avait acheté son billet de bus au départ de chez elle, qui se lève pour accueillir la belle. Lorsqu’elle le voit se lever et se diriger vers elle, Julie ne cache pas sa surprise devant son gabarit. A peine plus petit que Tarik, elle lui arrive à peine au-dessus des épaules. C’est bien sa veine, encore un géant black bien musclé !

-Salut ma poule, désolé mais toute la bande vient juste de partir, ils ne veulent pas se faire tuer par l’entraineur de basket ! Ils savent ce qu’ils risquent s’ils arrivent en retard, hein Tarik, tu te souviens ?

C’est donc ça, ils font du basket à la cité, ça explique les gabarits.

-Mais t’inquiètes, je me suis arrangé avec le turc, il nous prête un utilitaire pour rentrer avec Tarik, et il y a de fortes chances qu’il accepte que tu remontes avec nous.

-Euh comment ça « y a de fortes chances » ? Et qu’est-ce que Karim a fait de mes affaires ? Je peux pas rentrer comme ça !

-Ben en fait, en principe on n’a pas le droit de prendre des passagers dans nos utilitaires, les assurances, tout ça, tu vois ? Alors le turc voulait te voir avant de prendre sa décision. Pour tes fringues, t’inquiètes pas, Karim me les a filé tout à l’heure, ils sont même passés au pressing et tout !

-Hum, ouais admettons. Lui répond-t-elle d’un air dubitatif. Il est où ton turc ? Qu’on en finisse.

-Hey, le turc, tu as deux minutes pour voir la petite dont je t’ai parlé tout à l’heure ? Lance-t ’il en direction du gros ours assis à mater une gamine en train de sucer l’énorme sexe d’un étalon à l’écran.

-Ouais fait-la venir et allez préparer le kangoo blanc !

Prononçant ces mots, le gros ours ne détourne même pas les yeux de son écran. Moussa fait signe à Julie de s’approcher du turc, et il s’éclipse avec son pote l’abandonnant à son destin. Julie remet de nouveau sa jupe en place, ôte sa veste tellement il fait chaud dans ce petit local, tire un peu sur l’élastique de son t-shirt pour cacher la base de ses aréoles, et s’approche un peu timidement de la masse de graisse avachie sur le siège miteux. La scène à l’écran change au moment où elle se présent au turc, une gamine vêtue d’un petit bikini, est en train de brosser un étalon sous le ventre. Julie voit la grosse bite toute molle du cheval pendre au bout des grosses couilles et sous le ventre de l’animal. Elle est comme hypnotisée par la scène.

-C’est impressionnant, quand même ! Hein petite ?

Ces paroles font sortir la petite asiatique de sa torpeur, elle détourne le regard de l’écran pour le diriger en direction de la grosse voix à l’accent de l’est. Elle voit enfin le turc, de trois quarts de profil cette fois. C’est un gros moustachu, les cheveux huileux, plaqués sur l’arrière, avachi sur son fauteuil, son gros ventre poilu dépassant sans vergogne de son maillot de corps, velu des bras, des épaules, même son torse et la base de son cou était couvert de la même couche de poils poisseux de sueur. Il observait Julie des pieds à la tête en train de s’astiquer le gourdin devant la vidéo trash.

-Ils mentaient pas les p’tits, t’es vraiment bandante ma cochonne ! Vient t’asseoir qu’on fasse un peu connaissance.

Toujours à s’astiquer le poireau à moitié bandé, il lui désigne sa cuisse gauche d’une claque bien poisseuse sur les poils de sa jambe. Quelque peu intimidée par le regard sournois et vicieux du turc, mais aussi par la grosse bite molle et poisseuse de bave qu’il astique entre ses grosses cuisses bien musclées, Julie s’assoit. Elle sent le contact humide de la cuisse du turc sur son petit cul que la jupe ne couvre déjà plus. Il passe sa grosse paluche autour de la fine taille de la belle, se redresse, approche son visage du cou de Julie et lui susurre à l’oreille :

-Alors, dis-moi pourquoi je devrais te laisser utiliser un de mes transports gratuitement ? Qu’est-ce que j’ai à y gagner ?

Elle devine bien où veut en venir le gros porc puant la sueur qui la colle. Ne se démontant pas, elle attrape la grosse main lui enserrant la taille, la dirige subtilement sur son gros sein gauche. Elle passe ensuite son bras droit autour de la nuque musclée du turc, et lui glisse à l’oreille tout en lui mordant le lobe :

-Je pourrais m’occuper de faire durcir se beau morceau de bidoche pendant que tu mates cette chienne sucer son étalon. Et si ça te tente tu peux même baiser ma bouche et y cracher ton foutre visqueux ?

Joignant l’acte à la parole, de sa main gauche, elle lui caresse la main, écarte les gros doigts musclés, et s’empare de la grosse bite mollassonne, et encore toute visqueuse de bave. Sans plus aucune inhibition,  elle la sert entre ses doigts fins, la masturbe sur toute la longueur et la sent prendre de la vigueur sous ses caresses. Elle relâche le lobe qu’elle mordillait, puis approche ses jolies lèvres pulpeuses de la grosse moustache derrière laquelle se cache la bouche du turc. La petite chienne asiatique passe sa main libre dans les cheveux bien gras, et commence à l’embrasser. Il lui retourne un baiser bien baveux, insinuant sa grosse langue dans la bouche de la gamine. Sa main a tôt fait de soulever le petit carcan de tissu blanc couvrant si peu la grosse poitrine. Il lui malaxe alors sauvagement le sein gauche, puis cherchant à attraper la deuxième mamelle compressée par le tissu élastique, il arrache dans un grand « RIP » le devant du petit top, libérant les deux grosses tétines bondissantes.

Il relâche son étreinte et entraine la belle à se mettre debout sur les accoudoirs de son fauteuil, positionne le joli petit cul de Julie juste en face de son visage. Les deux mains autour de la taille de la gamine, il la contraint à se plier en deux et lui descend le visage au niveau de sa verge à moitié bandée. Julie lui gobe la queue aux relents de pisse, de sueur, et de bave. Elle commence à l’aspirer bruyamment, tout en continuant de l’astiquer entre ses doigts. Elle bave abondamment sur le vît de chair pour bien le lubrifier et faciliter la branlette. Devant la docilité de cette petite chienne, il lâche les reins et de ses mains, écarte les grandes lèvres pour dévoiler la chatte bien ouverte et déjà toute trempée de Julie. Il lui lèche abondamment le clito, et commence de lui travailler la chatte en la branlant violemment à deux doigts. Toute occupée à lui pomper le dard, Julie fléchit un petit peu les jambes pour mieux ouvrir son cul. L’effet est instantané, le turc abandonne le clitoris et la chatte de la belle et, lui écartant les deux lobes fessiers, lui lèche le trou du cul et y insére sa grosse langue.

Julie suce maintenant bruyamment cette belle queue bien dure, elle s’active bien et tente même à plusieurs reprises de l’aspirer au fond de la gorge, mais rien n’y fait, le gland est trop gros, elle n’arrive pas à lui faire passer sa luette. Quant au turc, après avoir bien lécher la petite pastille au goût de vanille, il se met à lui branler le trou du cul. Il y insère directement les deux doigts, détendant au maximum le petit sphincter. Sans crier gare, il la décule, attrape la petite en-dessous des bras, se lève en coinçant bien les cuisses musclées de la jeune fille au-dessus de ses épaules et cale son gros visage moustachu sur la chatte bien humide. Dans cette position inversée, la tête en bas, les grosses loches pendant dans le vide, Julie continue sa pipe, lui masse bien les couilles et essaye de nouveau une gorge profonde, toujours sans succès. Cette fois-ci le gros slave prend les choses en main, lui attrape le visage, et se met à lui baiser la bouche profondément et violemment. A chaque coup de rein, il force un peu plus loin le passage de son gros gland, à chaque sortie de cette grosse bite, un filet de bave vient s’écraser sur le joli minois de la petite, c’est de loin la pipe la plus trash qu’elle ait faite. D’un grand coup de queue, il force le passage de la luette. Il lui défonce maintenant la bouche profondément et lui claque le nez de ses grosses baloches velues et puantes.

Après une dizaine de grands coups de queue bien profonds, il s’arrête et reste bien calé au fond de la gorge, empêchant Julie de respirer. Dans cette position, il se déplace derrière le dossier de son fauteuil, il libère enfin la gorge de la petite, de gros filets de bave lui coulant sur le visage. La positionne à califourchon, le ventre en appui sur le dossier inconfortable, les mains reposant sur les accoudoirs, les seins pendant dans le vide, les jambes et le cul bien écartés devant sa grosse bite. Dans cette position, il lui empoigne les cheveux, lui tire violemment la tête en arrière la forçant à bien se cambrer, et à regarder la vidéo qui montre maintenant une gamine asiatique dans un village africain en train de se faire défoncer la chatte et l’anus par deux énormes queues d’ébène.

-Tu vas prendre cher, petite !

Tirant un peu plus fort sur les cheveux de Julie, il positionne son gros gland bien gonflé à l’entrée de la petite pastille anale, plaque sa grosse main sur les reins déjà bien cambrés, et lui défonce le cul d’une seule et grande poussée.

-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !

Julie pousse un hurlement de douleur et de jouissance mélangées. Le turc ne lui laisse aucun répit et se met à lui buriner l’anus comme un marteau pilon. Personne ne l’avait encore prise si brutalement.

-HAN ! HAN ! HAN !

Elle hurle à chaque coup de burin. Il lui défonce le cul d’une force et d’une violence qui l’excite encore plus.

-Ah oui ! Défonce-moi bien vieux porc.

VLAN ! Il lui assène une fessée majestueuse, Julie ressert son sphincter sous la violence du coup, ce qui accroît encore son plaisir. Il la défonce ainsi encore quelques minutes, retire sa bite de l’anus béant et un peu rougit, la tire violemment par les cheveux pour la redresser, la remet à genou devant sa bite bien tendue cette fois, et lui enfourne tout aussi violemment sa bite au fond de la gorge d’un seul coup de rein. Une fois bien calé au fond de sa bouche, il lui encadre le visage entre ses mains viriles, le lui soulève un peu pour bien lui ouvrir la gorge, et repart à l’assaut de ce nouveau trou. Par quelques vas et vient bien profonds il imbibe bien sa queue de salive, se retire de nouveau puis soulève de nouveau la petite pour lui caler, cette fois-ci, les reins sur le dossier du fauteuil.

Elle lui fait maintenant face, le torse dans le vide au-dessus de l’assise du siège, les mains en appui sur les accoudoirs, les obus pointant vers le plafond. Il lui attrape le dessous des genoux, lui écarte bien les cuisses pour lui ouvrir la chatte. Il plaque sa bite gluante de bave contre le tout petit vagin de l’asiatique et s’astique le dard entre les lèvres bien luisantes de mouille.

-T’aime ça, hein ? Te faire maltraiter tous les trous par ma grosse queue bien dure.

Julie à mi-chemin entre la torpeur et la conscience, se demande s’il va faire subir le même traitement à sa petite chatte ouverte. Le turc se retire de la petite vulve ouverte et luisante, sert les fesses pour bien tendre sa bite, présente à nouveau son gland bien gonflé entre les petites lèvres juste en-dessous du clito. Il profite quelques instants de cette position dominante, soulève un peu plus les cuisses de la belle, passe ses avant-bras en-dessous de ses genoux pour lui attraper les seins qu’il sert aussitôt d’une poigne de fer, arrachant un nouveau cri à Julie. Le petite reprend conscience, se pince elle-même les gros tétons en érection bien durs, les tortille entre ses doigts fins, les yeux fixés dans le regard de son tortionnaire comme pour mettre au défi le turc de bien lui défoncer la chatte.

Il ne se fait pas prier, et plonge violement sa grosse bite au fond de cette magnifique chatte imberbe, arrachant un nouveau cri de jouissance à Julie. Il lui pilonne maintenant la chatte avec une nouvelle force et donne une grande amplitude à chacun de ses coups de queue pour la besogner bien profondément.

-Oh oui ! Baise-moi bien gros porc, défonce-moi bien la chatte, qu’est-ce que j’aime cette queue ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !

Julie rejette violemment la tête en arrière faisant éclater sa jouissance. Le turc la besogne encore quelques instants, la chatte bien serrée autour de son vît le mène vite à la jouissance lui aussi. Il se retire de la belle avec un énorme bruit de ventouse. Julie se jette au sol, lui attrape la queue de la main, l’avale goulument, lui aspire le gland, lui astique la hampe bien gluante et le fait jouir dans sa bouche une belle quantité de sperme gluant. Une fois bien vidé, elle retire la bite qui dégonfle déjà, ouvre grand la bouche et tire la langue pour qu’il voit bien le liquide blanc au fond de sa gorge. Elle referme ses belles lèvres et avale d’un trait le foutre bien chaud. Julie branle toujours la bite visqueuse et mollassonne pour en extraire les dernières gouttes, qu’elle récupère sur le bout des lèvres en un tendre bisou. C’est alors qu’elle entend la voix de Moussa et réalise qu’il est avec Tarik, tous deux en train de filmer la scène :

-Putain, la vache, mais tu es pire qu’une pornstar. Qu’est-ce que t’as encaissé ma vieille !

« Merde, ça commence à en faire des vidéos trash sur mon compte ! » La petite réalise que potentiellement certaines des vidéos tournées cette après-midi sont peut-être déjà sur internet. Le turc, lui, se retire comme si de rien n’était pour reprendre sa place devant un nouveau porno bien crade, et notre Julie, à genou au milieu de la pièce, les seins et le cul à l’air, lèche les dernières gouttes de sperme encore sur ces lèvres, sous l’objectif des deux cinéastes amateurs. Elle ne sait même pas depuis combien de temps ils filment la scène.

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