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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 24




La soirée mondaine annuelle au château – FIN du tome 2 et de la saison 1 –

La belle et grande soirée costumée organisée annuellement au château du Marquis dEvans est toujours un grand événement mondain dans le monde de la D/s. Les moyens mis en uvre pour divertir les invités sont toujours impressionnants voire démesurés. Et quand le Marquis invite, quil reçoit chez lui au château, on dépense donc des fortunes en costumes, toilettes et les Maîtresses et Maîtres usent de toute leur influence pour obtenir une invitation. Cest la soirée annuelle à ne pas manquer. Le soir de la réception, une foule nombreuse de Dominants de la France entière se presse, bourdonnante, curieuse, un peu excentrique. Tous sont déguisés et masqués comme à lépoque du Roi Soleil et des fameux bals masqués de Versailles. Le thème est clair : Toutes les folies sont possibles à la condition de se costumer masqué comme les nobles pérruqués du temps de Louis le Quatorzième.

Deux géants blacks esclaves possédant juste un pagne et un épais collier sont postés devant limmense portail en fer forgé, et deux autres devant les lourdes portes de chêne du château, ayant pour ordre de ne laisse entrer que les personnes munies de leur carte dinvitation. Leurs consignes sont strictes, sans appel. De la grille dentrée, lallée gravillonnée, entre les pelouses impeccables, est magnifiquement éclairée et se perd entre des pins parasols. Elle débouche dans limmense parc du château, rigoureusement entretenu, avec ses plates-bandes symétriques, ses haies de buis et son superbe labyrinthe de charme taillés à la perfection. Lallée de gravier rouge traverse cette impressionnante architecture végétale, passe sous une arche en charmille, et souvre devant limposante demeure, aux épais et hauts murs flanquée, sur ses terres ancestrales depuis 1625. Devant lentrée principale et son volumineux perron aux larges escaliers de pierre, alignés de chaque côté, deux délicieux éphébes esclaves entièrement nus accueillent les nobles invités. Ils ont été sélectionnés pour leur perfection physique, tous les deux sont minces et légèrement musclés. Au-dessus de leur tête des lumières vives étincellent à chaque fenêtre, et une musique discrète se fait entendre, mêlée à des cris et des rires. La fête a commencé très tôt, et promet dêtre mémorable.

Le Marquis dEvans est déjà présent dans le grand hall dentrée ou un immense buffet décoré au fond de la pièce a été dressé pour laccueil des convives. Il est entouré de deux jeunes femmes qui semblent samuser de toutes ses facéties. Le Maître des lieux sourit, heureux, gracieux, observant tout ce qui se passe avec verve et un brin despièglerie. Il est vêtu comme on aurait pu voir Louis XIV à son époque, dans un magnifique costume royal. Il inspire demblée le respect à la simple vue de son charisme quil dégage à lévidence. Rien néchappe à son regard. Il commente tour à tour et avec beaucoup desprit les victoires royales de ses ancêtres qui au cours des siècles ont combattu sur les terres dEurope et même doutre-atlantique quand il parle de son aïeul qui fut aux côtés du fameux Marquis (et Général) Gilbert du Motier de La Fayette lors de Guerre d’indépendance des États-Unis. Le Marquis dEvans surprend son auditoire en dévoilant avec une facilité déconcertante certains secrets inavouables qui se dissimulent derrière toutes les personnalités de ces ancêtres, surtout quand il conte celle du Marquis Charles-Edouard dEvans ami personnel du fameux Marquis de Sade (voir les Origines de la Saga) au XVIII ème siècle.

Il semble reconnaître presque tout le monde sous les masques de chaque convive, et cest avec un peu de taquinerie quil se moque toujours gentiment, se divertissant de tous ces gens costumés qui grâce à eux (et au décor) recréent lambiance des bals masqués de lépoque royale. A mesure que les invités entrent dans le grand hall, Walter le majordome annonce leur nom dune voix forte et solennelle. Il est habillé dune façon assez maniérée, avec une chemise à poignets mousquetaires, un gilet de fantaisie aux couleurs fluorescentes et un nud papillon à fleurs. La foule déjà en place applaudit à chaque fois, admirative devant les costumes ou impressionnée de reconnaître certaines personnalités importantes.

Une trentaine de minutes passées, les invités traversent lentement tout le hall, cette vaste salle carrelée de 200 m.2 environ, pour atteindre ensuite au fond une estrade de jade où, au milieu, est royalement installé sur un trône divoire le Maître de la cérémonie, le Marquis dEvans venu sasseoir une coupe du meilleur champagne en main. Là, tous les convives sinclinent et font la révérence. Le Noble qui vient de se lever, imposant le silence dun geste théâtral.

— " Merci mes amis, merci du fond du cur davoir répondu présent à mon invitation du bal masqué annuel, et dêtre venus si nombreux. Je suis persuadé que personne ne manque à lappel. Vous êtes tous là ?", dit-il avec humour.

Un "oui" général se fait bruyamment entendre. Satisfait, le Marquis sourit :

— " Très bien. Alors amusez-vous, mangez, buvez, riez et une fois la panse bien garnie, baisez à volonté sans distinction de sexe, chez moi tout est permis. Quon fasse venir mes esclaves pour la décoration tandis quon va déguster le buffet qui vous attend et que la fête commence !"

Sous une musique de chambre, un tonnerre dapplaudissements éclate, quand de suite deux grandes portes latérales souvrent et laissent place à une vingtaine desclaves nus et enchaînés, mâles et femelles évoluent à quatre pattes et viennent simmobiliser alignés sur tout le côté gauche du mur latéral. Les invités se pressent alors au milieu du grand salon, préférant dabord se jeter sur le buffet amplement garni, délaissant pour le moment les esclaves qui attendent immobiles sur le côté. Les mets et les boissons exposés sont dexcellente qualité. Tous se mettent à manger et boire et les couples homosexuels étant aussi nombreux que les couples hétérosexuels, tous se mélangent et conversent dans une joyeuse ambiance. Lalcool est servi sans modération. Une pyramide de fruits de mer lui ouvre lappétit. Huîtres, langoustes, crevettes et moules se disputent vite la place dans son assiette. Les serveuses esclaves sont efficaces et servent avec application tous le monde. Les discutions vont de bon train. Une fois que tous se soient restaurés avec abondance, le Marquis dEvans sécrie dune voix puissante mais claire pour imposer le silence :

— " Mes amis, mes amis, jai une petite surprise pour bien démarrer la soirée ! En effet, je vous propose la vente aux enchères dun bel étalon esclave. Mise à prix pour la modique somme de100 euros ! "

Et à peine avait-il finit de parler quil frappa des mains et que le rideau de lestrade derrière lui souvre, comme au théâtre. Des exclamations et une agitation de joie fusent sous les applaudissements. Un spectacle insolite sorganise au fond de la pièce, sur lestrade, où un superbe athlète esclave roule des muscles, se pavanant devant une foule agitée qui sécrie et marchande alors le prix. Des cris admiratifs et soupirs extasiés se font entendre :

— " Jen propose 200 euros" crie une Maîtresse

— " 250" renchérit une autre

Le géant brun gonfle le torse, pour faire monter les enchères. Il est entièrement nu et laisse apparaître une paire de bourses digne dun taureau et une verge gonflée, pendante et longue, et son corps robuste est soigneusement huilé afin de mieux faire ressortir ses muscles luisants. Walter est présent, sur lestrade et excite les spectateurs jouant le rôle du commissaire-priseur. Il touche les muscles noueux du mâle dun air admiratif, comme pour mettre en valeur la qualité de la marchandise.

— " Allons, messieurs, ce magnifique apollon est dune vigueur incomparable, et promet de bons moments à le soumettre à toutes vos perversions ! Il est très docile et obéissant ! Cest une superbe affaire à saisir ! Il vaut son pesant dor ! dit Walter tout en lui pressant les couilles et en les soupesant avec insistance.

— " 300 euros !" dit un Maître bi

— " 500 euros !" – " 800 euros !" – " 1200 euros !" etc etc .

Et le prix continue de monter rapidement par les Maîtresses surtout pour leur plaisir personnel car elles aimeraient bien se faire embrocher par une si grosse verge rarement vue de cette taille en position de repos. Un couple homosexuel qui roucoule sans discrétion relance le prix. Tous deux sont habillés en galants gentilshommes de la Cour du Roi, avec volants de dentelles aux manches et aux genoux. Lun deux sécrie dune voix précieuse :

— " 3500 euros !"

Puisque personne insiste, cest ce couple de gays qui remporte le mâle et sitôt fait, il lemmène au collier sur un canapé plus loin afin de lessayer sur place. Lhomo qui aime se faire enculer se met alors à sucer lesclave géant afin de le faire bander au maximum puis exige que celui-ci lencule du temps que le dominant du couple encule en même temps lesclave lui imposant décarter largement les jambes. Tandis quune Maîtresse qui avait amplement participé aux enchères sapproche et demande au couple gays vainqueur sil serait daccord pour quelle se fasse lécher la chatte par lesclave. Le dominant gay accepte bien volontiers et la domina ne tarde pas à retrousser sa longue robe pour présenter son sexe aux grosses lèvres du géant. Celui-ci baisant lhomosexuel, se faisant enculer par lautre, étire sa langue pour honorer la Maîtresse qui lui plaque dun coup de main énergique la tête contre sa chatte.

Tout est luxe, des tapis épais, au parquet en bois admirablement ciré, des lourds rideaux de tentures velours rouge aux nombreux tableaux et cest dans ce décor feutré que lorgie magistrale commence avec les esclaves qui attendaient tranquillement quon les appellent pour le plaisir des Maîtresses et Maîtres. Quand un Maître attrapant une esclave femelle où sur son collier est inscrit esclaveAstrideMDE sexclame, quand celle-ci tire en arrière sur sa laisse légèrement rétive juste linstant de quelques secondes :

— " Quelle belle chienne fougueuse ! Qui aura le plaisir de la monter pour lui apprendre les bonnes manières ?

Lassemblée en délire sécrie :

— " Moi ! Moi, on va la baiser cette chienne ! "

Une lueur de joie sadique illumine le regard du Maître qui lance à esclaveAstride qui prend un air peiné.

— " Chienne, la foule réclame son droit le plus élémentaire. Il va falloir se laisser faire et être moins rétive " Et sadressant à la foule. – " Voyons voir si elle est saine. Puis se tournant vers la femelle : – " Ouvre la bouche, catin ! "

Il pose ses doigts sur la lèvre supérieure de lesclave et les caresse lentement sur toute la longueur. Puis, sans ménagement, il introduit deux doigts dans sa bouche, les écartant pour mieux palper lintérieur avec profondeur. La chienne docile se laisse faire. Elle sursaute malgré elle, lorsque les doigts vont et viennent dans sa bouche, simulant lacte sexuel, dans sa signification la plus crue. Puis il tire sur lextrémité du collier, entraînant la chienne au milieu de la foule forçant Astride à se cambrer, puis le Maître sort son sexe en lexhibant déjà long et énorme gonflé dun réel désir. Il ne tarde pas à lenfoncer dans la bouche de lesclave. Elle est entièrement obéissante et se met à sucer avec application. Il ne tarde pas à éjaculer de longs jets de sperme dans sa gorge et lui impose de tout avaler Les Maîtresses et Maîtres tout autour qui baisent déjà les autres esclaves par tous les orifices palpent vicieusement Astride. Un gode lui est enfilé dans le cul et un pénis en latex dans la chatte par une vicieuse Maîtresse. Un autre Maître passe ses doigts prés du sein droit, descend de plus en plus bas, glissant bientôt le long du ventre à la base duquel elle ressent des attouchements vicieux de mains baladantes, contournant le pénis en latex. Impatiente de désirs qui la font mouiller, lesclave Astride se cambre au maximum et se tend au devant des mains qui la tâtent. Du coup la main dun Maître touche brutalement le gode et elle en tressaillit de surprise, étonnée de trouver ce contact aussi doux quagréable. Elle se met à haleter, bouche ouverte, ce qui facilite la tâche dune Maîtresse lesbienne qui lembrasse plus fougueusement.

La Maîtresse gouine se saisit alors du mâle bourgeon en latex qui se darde devant elle, et refermant ses doigts sur la hampe artificielle qui semble étrangement sallonger davantage. Elle lenveloppe de caresses perverses, puis dun rythme égal, la parcourant sur toute sa longueur en accélérant peu à peu le mouvement du poignet dans la chatte de lesclaveAstrideMDE. La respiration de celle-ci saccélère au rythme de cette cadence imposée, par ce sexe qui vibre et dont les chaudes pulsations se répercutent délicieusement jusquau plus profond de son vagin, dans sa chair, lemplissant peu à peu dun bien-être insidieux et persistant qui la rend encore plus chienne. Etre possédée par un vrai sexe ne lui aurait pas fait plus deffet, elle simagine des choses, une situation quelle na que rarement connue et dont lexpérience est divinement excitante. La main de la Maîtresse échappe à son contrôle, audacieuse et adroite, esquissant un va et vient accéléré, se pressant ardemment sur le faux pénis. Pour lexciter davantage, la Domina lesbienne se met alors à agiter les reins pour se frotter contre elle, suivant le rythme de la main qui va et vient en serrant si fort le gode quelle en est presque crispée. Elle se met en même temps à lembrasser encore mais avec plus de fougue. Leurs bouches se dévorent sauvagement, comme dans une passion si brutale que la chienne semble prendre beaucoup de plaisir, soffrant encore plus à sa dominatrice, comme pour se soumettre plus encore à son emprise.

Cest dans cette excitation intense quelle distingue la Domina reculer. Celle-ci ne tarde pas à se ceinturer dun énorme gode ceinture et sétend à même le sol, allongée sur le dos, avec donc cet impressionnant phallus gonflé et bien raide qui pointe droit vers le plafond. Devant cette vision indécente la lesbienne Maîtresse lappelle dune voix ferme :

-" Allez, chienne, je tautorise à enlever ton gode dans le cul et le pénis en latex de ta chatte et viens Monte sur moi, je vais te baiser ainsi."

Astride avance sans quelle le veuille, comme si ses jambes ne lui obéissaient plus. Elle simmobilise à laplomb du gode tendu que la Domina maintient bien droit, dressé vers le haut. Puis, enfin, elle enjambe le faux pénis, cuisses écartées, intimités ouvertes. Lentement, le buste bien droit, elle fléchit les genoux et, millimètre par millimètre, sabaisse sur le gode. Comme une chose vivante, celui-ci trouve sa voie, atteint le bulbe fendu, pénètre un peu. Lénorme phallus en latex écarte les chairs, distend les lèvres intimes, senfonçant davantage. Puis, dun coup, glisse dans la longue fente charnelle aux muqueuses déjà mouillées, gonflées dun désir impétueux. Le gode semble happé, pressé, absorbé par un puits humide et chaud dans lequel il glisse jusquau fond, cognant jusquà sa source. Ny tenant plus, dun seul coup de reins, lesclave senfonce encore plus loin. Astride lâche un cri rauque, se mord les lèvres jusquau sang, se retenant de ne pas gémir de façon discontinue. La lesbienne Domina la saisit aux hanches, se mouvant en elle dun long et imposant va et vient, de plus en plus vite. La chienne est en extase dans cette extraordinaire intrusion dans ce quelle a de plus intime, une lascive pénétration qui la brûle et la submerge de sensations fabuleuses, uniques, si fortes, si grandissantes

Une vague qui grossit et déferle, sarrêtant nette lorsque la Maîtresse cesse soudainement de bouger, avec un sadisme inhumain. Astride pousse un cri de frustration tout aussi inhumain, comme brisée en plein élan. Et, dun coup, cest elle qui se met alors à bouger sur sa partenaire dominante, dabord lentement, comme pour faire durer le plaisir alors quil la submerge de nouveau. Elle se redresse un instant, laissant réapparaître le gode luisant, puis elle se laisse redescendre, remonte, redescend encore vers la hampe qui la pénètre à chaque fois plus facilement, plus profondément. Elle sempale doucement, avec précaution et délectation, pour que le gode aille vraiment au fond delle, et quelle puisse laspirer et lavaler le plus méthodiquement possible. Elle simmobilise un instant, quand la Domina lui exclame :

-" Jouis chienne, jouis je le veux de ma grosse bite bien raide ! "

Alors esclaveAstrideMDE prise dun tremblement nerveux alors quun premier orgasme la saisit vivement, lui arrachant un cri voluptueux. Puis, comme pour en accentuer la sensation fabuleuse, elle remonte tout doucement en frissonnant toujours de tout son être, dévoilant le gode couvert de sécrétions intimes avant de sempaler dessus avec plus de lenteur, comme pour en savourer chaque instant, prolongeant divinement lorgasme qui ne semble jamais sarrêter. Cest une sensation indescriptible, une impression de plénitude aiguë et de vagues ardentes qui déferlent dans tout son corps. Vite, elle sent monter un plaisir encore plus incandescent, et du coup se met à accélérer le mouvement, yeux grands ouverts et le regard étrangement flou, articulant de brefs sons étranglés comme si elle délirait.

Elle sempale avec plus de force, et la Domina suit son rythme, la labourant impitoyablement, le visage crispé et en sueur, lattrapant par le collier pour la tirer vers elle et chercher son cou quelle se met à lécher et mordre sauvagement alors que la cadence de leurs deux corps trempés devient de plus en plus désordonnée. Maintenant, alors que sa partenaire est secouée par une sorte de spasme, elle lâche le collier pour saccrocher avec furie aux deux seins ronds qui tressautent au-dessus delle, au rythme de leurs soubresauts et contorsions frénétiques. Devinant un deuxième orgasme encore plus violent, la Maîtresse gouine continue de lancer impétueusement son bassin en avant, dans des coups de boutoir toujours plus vigoureux. Ses efforts effrénés portent leurs fruits. La chienne Astride se soulève du sol comme si elle voulait prendre son essor, agitée de violents spasmes tandis quelle se libère dune explosion aussi longue quintense, si insoutenable quelle en pousse un rugissement de lionne blessée. Elle gémit sans discontinuer alors quelle retombe sur le gode, le laissant enfoncé en elle tandis que son bassin est encore agité de secousses langoureuses. Elle ferme les yeux, à la fois honteuse et repue. Mais le vertige qui la saisit alors que la Domina la bascule sur le côté pour adopter une autre position lui fait comprendre que la nuit ne fait que commencer, et que son corps nest pas aussi assouvi quelle le voudrait. Déjà, elle vibre toute entière quand la Maîtresse lattrape par le collier, lobligeant à se contorsionner dans une posture quelle ne comprend pas. Docile, elle se laisse guider quand elle sent le gode ceinture pénétrer son anus et entend la Domina lui dire :

-" Et maintenant chienne, je vais t’enculer et toffrir à tous, tu vas être le vide couilles de tous les Maîtres présents ce soir, tu lécheras toutes les chattes des Maîtresses. Nous allons tous jouir de toi, user et abuser de ton corps qui est Notre"

FIN du tome 2 et de la saison 1 –

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