J’ai chaud. Sur cette croisière en retour de ce festival d’art contemporain, assise à l’arrière du bateau, au soleil, j’ai chaud. Logique constatation au vue de la trentaine de degrés et de ce ciel bleu sans nuage. L’estuaire nantais est sublime. Je transpire légèrement malgré un pantalon court et noir et un haut rouge plus que décolleté.

Toutefois, l’humidité d’entre mes cuisses me semble toute autre. D’où vient cette soudaine excitation? Les rives naturelles sont magnifiques mais pas de là à m’émoustiller. Le moteur! Voilà la réponse. Je suis assise sur le siège juste au dessus du moteur du bateau. J’en ressens toutes les vibrations, elles pénètrent mon corps. Je me sens tellement bien, agréablement chauffée par les rayons du soleil et surtout par ces vibrations. L’esprit s’emballe, les envies se dévoilent. Autour de moi, il n’y a qu’un homme, employé du bateau qui fume une cigarette. Nos regards se croisent parfois mais assez pieusement. Je me penche alors un peu en avant et écarte légèrement mes cuisses. Mon sexe humide est collé au siège, je ferme les yeux. Quel doux bercement. Je sens mes lèvres tremblaient et la perversité me gagner. Je repense alors à cet homme, à cette douce aventure vécue quelques jours plus tôt.

    J’attendais mon amie à la terrasse d’un café, un doux soir d’été. Elle devait revenir du bar avec les verres de notre quatrième tournée. Lui, se trouvait en face de moi. Certains regards avaient été partagé mais rien de plus. Une bonne trentaine d’années, une barbe drue presque d’ours qui contrastait avec un regard très doux. De carrure normal, je ne pouvais m’empêcher de l’observer. Je focalisais sur ses mains, mon petit pêché mignon. Elles étaient longues aux doigts larges et noueux, des mains criantes de virilité. Je les voulais sur moi, je voulais sentir ses doigts en moi. Nos regards se croisaient et se fuyaient aussitôt. Pourtant, je remarquais ses yeux en direction de ma poitrine. Je suis ronde avec des formes plus que généreuses et j’avais un haut qui mettait la grosseur de ma poitrine en valeur. Oui, j’avais envie de plaire.

J’allumais une cigarette et nonchalamment, je fis glisser mes doigts sur mes seins offerts grâce à l’échancrure osée de mon haut. Je perdais mon esprit ailleurs en fumant et en me concentrant sur mes douces caresses.

Revenant à moi, je vis mon observateur suivre du regard chacun des déplacement de ma main sur mes seins. Je commençais à frissonner et je dois l’avouer, à mouiller aussi. Lui, semblait subjuguer par mes mouvements innocents. Lorsque je vis du coin de l’oeil mon amie revenir les verres à la main, je stoppai mon petit jeu. Je pris mon baume à lèvres et le passa sensuellement sur ma bouche. Il n’en perdait pas une miette. Je fixais son regard. Quand j’eus terminé, il me vit et sourit gêné. Je lui rendis ce sourire.

    Ce souvenir d’instant finit de m’exciter. Sans que je m’en rende compte, j’avais glissé ma main entre mes cuisses, tentant d’être discrète. Je sens ma main, ne sait plus si je suis seule ou pas vu que je garde les yeux fermés. L’idée qu’on m’observe m’excite un peu plus. Un gémissement sort de ma gorge sans que je ne puisse le maîtriser. C’est trop, je ne peux plus tenir. J’ouvre les yeux et vois l’homme employé, en train de me fixer. Je rougis tout en mouillant un peu plus.

Il faut que je soulage cette pulsion, je pars au toilettes. Exigus, à l’hygiène douteuse, il fait terriblement chaud dedans . Mais peu m’importe. Je suis debout, me regarde dans le miroir et commence à jouer avec mes seins. Je les sors de leur étau et joue avec. Je mate leur lourdeur, la manière dont ils tombent quand je les lâche. Je tire sur mes tétons déjà durs. Je les maltraite légèrement mais rien de tel pour m’exciter. Puis, une main glisse entre mes cuisses. Je suis terriblement mouillée. Je me caresse au-dessus de mon pantacourt et mon esprit repart dans les souvenirs.

    Au bout d’un certain temps, les verrres bus avaient fait leur effet, je me rendis aux toilettes du bar. Nichés au fond, dans une certaine obscurité, je vis de loin qu’une personne attend. Cette personne, c’était mon ours. Je me sentais moins fière mais impossible de faire demi-tour, il m’avait vu. Arrivée près de lui, nous échangeâmes un regard et un sourire. Définitivement, il me plaisait, me titillait et ses mains me rendaient dingue.

— Elles vont mieux? me demanda t-il.

— Pardon?

— Vos lèvres, elles vont mieux? Vu que vous y passiez du baume…

— Ah oui, merci. Bizarrement avec cette chaleur, elles sèchent très vite. Je me rendais compte de la double signification de ma phrase mais au contraire, cela me plaisait.

— Je peux en faire le constat par moi-même?

Je compris la question uniquement quand il posa sa bouche sur la mienne. Je fondis. Sa barbe me piquait légèrement mais la douceur de ses lèvres me faisait tout oublier. Nos langues se croisèrent, se caressèrent, il me plaqua contre lui. Du gentil baiser, nous passions à un instant plus torride. Ses mains tenaient fermement mes fesses, nos sexes étaient plaqués l’ un contre les autres, je passais mes doigts dans ses cheveux et faisant fis de tout, je gémissais aussi. Il me rendait dingue, je le voulais en moi.

Nous fûmes interrompu par la demoiselle qui sortit des toilettes. Nous nous écartâmes légèrement pour la laisser passer. Puis il entra, et m’attira à lui. Sans un mot, la porte fut verrouillée comme nos bouches l’une sur l’autre. Mon corps à nouveau contre le sien, j’ondulais au rythme de nos baisers. Je n’avais plus envie d’être sage. Je pris sa main que je glissais dans mon pantalon, il trouva de lui-même le chemin sous ma culotte. J’étais trempée. Je pris sa tête et la posa sur mes seins. Il me dévora la poitrine alors que ses doigts, ses délicieux doigts me fouillaient. Je soupirais, gémissais. Il sortit ma poitrine de mon haut pour les manger d’autant plus. Il aspirait mes tétons et titillait mon clitoris gorgé de plaisir.

Je déboutonna son jean, le fit glisser. Le petit salaud ne portait rien dessous. Sa queue était déjà prête, bien droite, bien dure. De longueur normale, elle était surtout épaisse. Je le branlai un peu en lui demandant d’accélerer ses doigts sur mon clito. Je sentis le plaisir monté. Pour éviter la jouissance trop rapide, je m’écartai légèrement de lui et glissa doucement à genoux. J’avais à loisir alors de saisir son membre bandé et de le gober comme une affamée. C’était la première fois que je faisais ça, un lieu public, un inconnu et peu de mots. J’avais perdu toute raison, je voulais juste l’avaler. Ma langue glissa sur son sexe de toute sa longueur, elle entreprit d’en faire le tour avant que je l’enfourne entièrement dans ma bouche. Directement calé dans ma gorge, mon amant ours soupira fortement. Je n’avais pas à beaucoup bouger, juste donner quelques à-coups pour que sa queue remplisse au maximum ma gorge. Il m’aidait de ses mains sur ma tête, enfonçant lui aussi son sexe dans ma bouche. Peu de mouvement de tête mais ma langue cherchait à se glisser partout sur ce membre. Il ne finissait pas de grossir. Je respirai difficilement mais je ne m’en préoccupai que peu.

— C’est trop bon hurla t-il à moitié. Je vais jouir trop vite arrêtez.

Je ne bougea pas, ma bouche toujours empalée sur sa queue. Je la sentis trembler légèrement avant de déverser son flot de sperm. J’avalais ce que je pus, le reste déborda. Je toussai un peu, m’étouffant légèrement mais cela ne comptait pas. Il se retira doucement pendant que j’avalai encore ce que je pouvais. Son goût était étonnement doux, délicieux. Il me releva et nous nous embrassâmes, partageant goulument ce plaisir sucré. Sans arrêter de mélanger nos langues, ses doigts reglissèrent sur ma chatte inondée. Légèrement fléchie, mes cuisses écartées, il glissa directement trois doigts en moi. Me branlant rapidement avec force, je me retenais à lui pour ne pas tomber. Je gémissais et me tortillais comme une véritable petite chienne affamée. Il me rendait folle.

— Plus vite haletai-je.

Il accéléra et la jouissance me gagna avec puissance. Je jouis fort, sans aucune discrétion. J’entendais ses doigts pataugeant dans ma mouille abondante. J’avais jouie si délicieusement. La tension retomba doucement. Nos bouches ne s’étaient pas décollées, j’avais même un peu mal des morsures que nous nous étions prodigués sous l’effet du plaisir. Il retira sa main qu’il glissa entre nos lèvres et ensemble, nous suçâmes tout le goût de ma mouille. Quand ses doigts fut propres, je me recula. Son regard pétillait, son sourire franc me plut. Je remis mes vêtements et mes seins en place, l’embrassa une dernière fois avec de sortir des toilettes. Je rejoignis mon amie, la tête haute, faisant fis des éventuels regards sur moi, j’avais jouis, j’étais bien.

    Mes doigts sur mon clito remuent avec force. Je suis accroupie, mes jambes tremblent beaucoup. Je me délecte de la situation, de cette remémoration de plaisir, je jouis rapidement, presque trop vite. Je ne suis là non plus, pas discrète sur mes gémissements. Mon corps se contracte encore et encore et déverse en moi un flot de plaisir intense.

Je retrouve un peu mes esprits. Je me relève et m’arrange devant le miroir, j’ai ce sourire de satisfaction collé à ma bouche et je ne peux m’en défaire.

Je sors de la cabine de toilettes et tombe nez-à-nez avec le marin. La tête haute encore une fois, il ne bouge pas, je dois me coller presque à lui pour passer mais cela me plaît. Je retourne m’asseoir à l’intérieur cette fois, cherchant un brin de fraîcheur. M’a t-il entendu? A t-il compris ce que je faisais? Je n’en sais rien, je m’en moque… quoique je l’espère aussi un peu. J’ai eu ma douce masturbation, c’est tout ce que je voulais.

Related posts

mes dix huit ans – Chapitre 12

historiesexe

Week-end triolisme zoo – Chapitre 6

historiesexe

100% inceste avec ma soeur – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .