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Mariés pour le meilleur – Chapitre 5




J’ai passé l’après-midi à discuter avec mes futurs collègues de travail. Ce n’est pas un exercice que j’apprécie particulièrement. Alors je suis plus qu’heureux d’enfin rentrer pour retrouver ma Maëlle.

Je suis certain que son après-midi avec Marie a été intéressant et je me demande si lui donner le numéro de Manuel a apporté ses fruits.

J’entre dans l’ascenseur quand je vois la jeune et jolie Estelle courir vers moi ! Je suis tellement surpris que je ne pense pas à empêcher les portes de se refermer alors elle se précipite dans l’ascenseur. Les portes se referment, Estelle met rentrer dedans. Ses bras me serrent, elle lève un visage enjoué vers moi.

« Salut ! Je suis désolé de vous avoir bousculé.

— Aucun problème j’adore quand de jolies femmes me tombent dans les bras.

— C’est marrant merci. »

Un silence s’installe entre nous. J’ai bien vu qu’elle me jette des coups d’il, elle est intimidée et semble vouloir me demander quelque chose. Après un moment où elle reste à ne rien dire je tente de lui tendre des perches.

« Alors les cours c’était comment ? Tu es en quelle classe ?

— Oh oui c’était très bien, je suis à l’université.

— Toi aussi ? Cette génération vous avez sauté des classes ou quoi ! Vous faites si jeunes.

— Pourtant vous n’êtes pas si vieux !

— J’ai déjà 26 ans ma petite !

— Et moi 19 ans ! Je ne suis pas si petite ! »

C’est fou comment elle m’attire. J’ai envie de l’embrasser là, maintenant. Je la regarde intensément et pendant un instant nous arrêtons de respirer. Finalement, je ne le fais pas. Sexuellement j’ai peut-être moins de limites que la majorité des personnes mais je me refuse à la faire avec un de mes étudiants.

« En tout cas, je serais heureux de pouvoir t’aider à la fac et de t’y voir.

— Oui à ce propos, je ne sais pas si Manuel vous en a parlé, mais j’aurais quelques questions et j’aurais aimé savoir si nous pouvions échanger nos numéros.

— Non ça ne va pas être possible.

— Pourquoi vous l’avez bien échangé avec Manuel !

— C’est différent ! À ce moment-là, je ne savais pas que nous serions dans une relation professeur/élève. Ce serait dangereux pour ma position. »

J’ai presque la sensation qu’elle va se mettre à pleurer. Elle commence à me faire un peu peur et me rappelle la sale gamine qui m’a poursuivie pour harcèlement sexuel justement parce que je ne l’avais pas touché. Il faut que je me montre fort et que je lui impose des limites maintenant pour que la situation ne dégénère pas.

« Ecoute tu es une fille formidable, charmante et belle. Mais je dois me protéger.

— Vous protégez de moi ? Je suis un danger ?

— Oui. »

Allez savoir pourquoi mais il semble que j’ai exactement dit les mots que je n’aurais jamais dû dire. Estelle me sourit comme si je venais de lui faire un cadeau.

« Je vous promets, je ne vous embêterai pas. Ni vous ni votre femme.

— Merci Estelle.

— Est-ce que vous me permettez que je vous fasse un câlin ? En toute amitié !

— Heu oui. »

C’est un peu circonspect que je la serre dans mes bras. Elle est si moelleuse que je pourrais la serrer contre moi plus longtemps. J’ai la tête baissée et je la regarde dans les yeux. C’est à ce moment où je baisse ma garde. Sa main vient délicatement toucher ma joue pour ensuite s’emmêler dans mes cheveux attirants mes lèvres aux siennes.

Nos langues s’entremêlent follement. Ma main descend jusqu’à ces fesses, je les saisis à pleine main, les massant sensuellement.

Estelle me saisit par le cou collant m’emprisonnant dans ce baiser que je n’avais pas l’intention d’interrompre. Son autre main part à l’aventure sur mon corps. Elle caresse doucement mon torse et palpable mes fesses.

Nous arrivons à son étage, les portes s’ouvrent et se referment sans que nous ne nous soyons décollés l’un de l’autre.

Mes mains ont glissé en dessous du jean et de la culotte. J’y ai difficilement accès mais j’arrive à frotter un doigt contre son anus. D’habitude, je préfère masser le sexe de mes partenaires avant d’attaquer la porte de derrière, mais le jean est vraiment serré.

Etonnamment ma partenaire ne s’en offusque pas alors je continue à la masser. Je la sens fondre sous mes caresses devenant incapable de prendre d’autres initiatives.

Les portes s’ouvrent à mon étage et alors que mon pénis commençait à prendre son élan, la vue de Maëlle avec une mine énervée me fait débander direct.

J’abandonne Estelle comme un mal propre pour courir après ma femme.

« Excuse-moi chérie.

— Dire que je t’avais fait part de mon sentiment à l’égard de cette fille !

— Je suis vraiment désolé !

— Tu n’aurais jamais dû tenter quelque chose avec elle sans mon accord !

— Oui trésor et j’en suis vraiment désolé.

— Et dis-moi, lequel a commencé ce baiser ?

— Nous sommes tous les deux fautifs.

— Est-ce c’est elle ou toi qui l’a dragué ?

— C’est elle ! J’ai même essayé de la rembarrer. Je lui ai demandé de prendre ses distances.

— Oh oui et toi tu lui palpes le cul ! Quelle distance incroyable !

— Je suis désolé, je n’ai aucune excuse.

— Dire que je t’avais préparé un cadeau. »

Je la suis, elle allume la lumière dans notre chambre et retire la robe qu’elle avait enfilée. Elle a une magnifique nuisette tout en tendelle qui enveloppe ces seins et laissant légèrement entrevoir ces auréoles. Ces tétons pointent et elle ne porte aucune culotte car lorsqu’elle se tourne, je vois parfaitement son pubis et ses fesses nues. Elle ondule son corps, s’approche de moi, repousse mes mains alors que je tente de la caresser. Elle recule sensuelle et envoutante. A cette seconde, j’ai tout oublié tous les sujets dont nous devions parler : Estelle, Marie et Manuel.

Je suis tellement obsédé par elle, alors ce n’est que lorsqu’elle s’allonge lascivement sur le lit que je remarque la présence de Marie. Elle est allongée sur le lit, les bras au-dessus de la tête, une jambe pliée qui dévoile toute son intimité malheureusement cachée par une culotte en dentelle.

Elle est dans une nuisette nacrée. Marie fait toujours autant petite fille sage à côté de Maëlle. Pourtant elle est vraiment sexy. Maëlle a fait les choses jusqu’au bout. Elle l’a maquillé, lui a mis des escarpins. Et surtout, elle est frémissante, ses tétons sont pointés, sa culotte bien humide, j’ai dû interrompre quelque chose, sa respiration est rapide.

Tout en me regardant Maëlle s’allonge sur Marie et l’embrasse fougueusement. Je vois leur langue s’entremêler, elles sont avides l’une de l’autre. Maëlle caresse le corps de Marie. Elle lui empoigne brièvement un sein, pour ensuite reprendre sa balade. Quand elle glisse sa main sous la culotte, je suis surpris de la vitesse à laquelle elle la doigte mais les sons humides du vagin de Marie me font comprendre qu’elle est une fontaine.

Quand je commence à m’approcher du lit, Maëlle lève tout de suite une main. Je continue à m’approcher alors elle se détache de Marie pour me demander d’arrêter que c’était ma punition de ne pas avoir droit de participer.

« Si tu me l’interdis, tu vas non seulement me punir, mais tu vas également punir incidemment Marie.

— Marie n’a pas à ce point envie de coucher avec toi…

— C’est vrai Marie ? La punition de ce matin ne vous a-t-elle pas laissée insatisfaite ?

— Tu sais quoi d’accord laissons Marie choisir et je te punirai autrement plus tard ! Marie as-tu envie que Dimitri participe à nos ébats ? »

Marie rougie violemment, elle avait peut-être la sensation de devoir choisir entre nous deux et c’était certainement le cas. « Je vous veux tous les deux. »

La douceur de cet aveu nous fait fondre, Maëlle et moi, et nous commençons naturellement à nous occuper ensemble de Marie.

Je m’occupe de ces lèvres du bas et Maëlle de ces lèvres du haut. Sous nos caresses c’est au tour de Marie de fondre de plaisir et de bonheur. La moindre de ces réactions, ces petits cris, ces petits gémissements, nous excitent davantage.

Ma langue va dans sa chaire, je vois son vagin se contracter sous l’excitation et son clitoris se durcir. Sa mouille coule de plus en plus. Alors Maëlle s’approche pour goûter également à son goût. Elle me repousse pour prendre ma place et pour profiter seule de Marie.

Je me déshabille, retirant le moindre de mes vêtements.

Pendant ce temps les dames ne s’inquiètent pas de mon absence. À genoux à côté du lit, Maëlle agrippe les hanches de Marie pour ne pas perdre le contact car sous ses coups de langue, le plaisir de Marie s’intensifie. Elle ne parvient plus à se contrôler et ces hanches font des va-et-vient comme si elle faisait l’amour avec la bouche de Maëlle.

Je reste debout un moment à admirer ces deux belles femmes, frissonnantes et chaudes sur le lit. Marie se tend et s’agrippe au drap comme pour se rattacher au sol et ne pas s’envoler grâce à son plaisir.

Mon sexe est totalement près alors je rejoins Maëlle au sol que j’embrasse langoureusement. Elle est surprise, elle se laisse faire, sa bouche a le goût de Marie. Nos bouches ne se décollent que lorsque Marie vient nous rejoindre.

Elle se glisse derrière Maëlle. Je sens encore une certaine pudeur envers moi. Elle ne me touche jamais d’elle-même. Nos mains se frôlent quand nous caressons Maëlle. Marie la serre dans ses bras fins, comme si elle était un trésor.

Je me saisis de mon sexe pour venir caresser les lèvres de Maëlle. Elle mouillait si abondamment que j’aurais pu la pénétrer d’un coup. Je préfère cependant qu’elle m’ouvre d’elle-même ces cuisses alors je lui murmure à l’oreille à quel point je l’aime et que j’étais prêt à tout pour elle.

Elle prend mon pénis tendu dans la main et le caresse doucement. « Toujours prêt à me faire jouir de ton amour mais aujourd’hui j’en veux plus. Tu ne dois plus jamais tripoter, embrasser, caresser ou aimer Estelle sans que je ne sois là ou que tu me le demandes expressément. »

Je n’ai aucune hésitation et je pénètre facilement d’un coup de rein le vagin de ma belle. Ces chairs s’écartent pour moi et me serrent comme si elles ne voulaient jamais me laisser partir.

« Ce n’est que peu cher payé pour toi. »

En position de missionnaire, ces jambes s’enroulent autour de moi me commandant à plus d’ardeur. Nos sexes se connaissent parfaitement. Je sais exactement à quelle vitesse, quel rythme, où taper pour que nous prenions notre pied.

Et Marie c’est notre petite folie qui vient nous aider l’un à bander plus fort et l’autre à mouiller davantage.

Alors que j’étais en train de prendre profondément Maëlle, mon gland venant taper son utérus me donnant la sensation de l’embrasser de l’intérieur ; je m’attendais à ce que Marie demeure passive ou au maximum qu’elle embrasse Maëlle ou moi. Nullement, elle commence à masser les seins de Maëlle qu’elle lèche délicatement.

Maëlle lui glisse quelques mots à l’oreille que, malgré notre proximité, je ne parviens pas à entendre.

Marie s’allonge complètement sur Maëlle m’obligeant à me relever. Mon bassin vient taper contre sexe. Elle mouille comme une folle sur moi et elle me surprend vraiment quand elle écarte ces fesses me donnant une parfaite vision sur son vagin et son anus.

Sans un mot, elle me lance un regard suppliant, je présume, pour que je m’occupe d’elle. Avec un tel regard, je ne pouvais rien lui refuser. Marie est une chatte en chaleur qui est depuis trop longtemps en manque d’affection. Son époux ne devait la baiser que pour son propre plaisir.

Je garde une main sur la hanche de Maëlle et l’autre vient titiller le vagin de Marie. Mon rythme ralenti car je dois me concentrer aussi sur mon doigté, mais Maëlle ne semble pas en souffrir car elle gémit sous les mains et la langue de Marie qui parcours sont corps.

Les mains de Maëlle retirent d’un geste rapide la nuisette de Marie pour caresser son dos comme pour l’encourager.

Nos cris de bête résonnent dans tout l’appartement.

Je me plais à imaginer nos voisins nous entendre. Est-ce que Valentin reconnaît les gémissements de Marie ? Est-ce que Manuel voudrait nous entendre ?

Cette idée me donne une envie violente de prendre Marie de la faire crier plus fort. Pour l’instant, elle est timide mais je veux l’entendre gueuler son plaisir.

Alors je me retire de Maëlle, ma bite est luisante. Je crois qu’elle proteste un peu, mais finit par se taire sous les baisers de Marie. Elle a bien compris que c’était à son tour. Elle tend encore son cul vers moi.

Alors je n’attends pas une seconde et je pénètre d’un coup dans sa chatte. Elle se cambre et je crois bien qu’elle a joui dès que je l’ai pénétré.

En levrette je lui saisis les hanches et lui donne des coups de reins qui me permettent de m’enfoncer profondément en elle. Je sens une main venir jouer sur les petites lèvres et le clitoris de Marie. J’ai également le droit à un massage de mes boules.

Ces deux femmes viennent à bout de moi. A l’oreille de Marie, je la questionne : est-ce que je peux jouir en elle ?

Cette question semble déclencher un déclic. Elle se met à hurler des « oui », « jouis en moi », « féconde-moi ». Cette ardeur nouvelle chez elle accentua mon plaisir et je jouis en elle, beaucoup et profondément. Une fois que j’ai éjaculé, je me retire, épuisé. Depuis deux jours nous n’arrêtons pas avec Maëlle et je suis épuisé.

Marie s’effondre sur Maëlle qui la serre fort. Elle la félicite et la remercie pour ce bon moment. Marie semble heureuse d’entendre ces mots à tel point qu’elle en pleure. Alors je m’approche à nouveau pour la serrer contre moi. En sandwich entre Maëlle et moi, Marie a de gros sanglots. J’ai un peu peur qu’elle regrette le moment. Pour moi le meilleur moyen de lui faire accepter son plaisir sans culpabilité c’est d’en parler.

« Est-ce que tu regrettes ?

— Oui un peu. Surtout que maintenant je vais devoir aller me chercher une pilule du lendemain. Il va y avoir des conséquences et j’en ai peur.

— Ne te prend pas la tête avec ça. Nous pourrions te la chercher.

— Oui reste avec moi, je vais te faire une tisane et Dimitri va la chercher.

— Non, non restez avec moi pour l’instant. »

Alors que j’avais commencé à me lever, je reprends doucement dans mes bras ces deux femmes. Nous nous installons tous les trois sur les lits. Nous allons devoir, une nouvelle foi, changer les draps. Le plus important reste de prendre soin de Marie. Surtout si nous voulons poursuivre cette relation.

Nous discutons, rigolons et nous caressons. Et finalement ce qui devait advenir vient. Maëlle qui n’avait pas eu son compte se saisit rapidement de mon membre épais pour se l’enfoncer. Elle me chevauche.

Elle a retiré sa nuisette, ces seins se balancent au rythme de ses hanches. Ses fesses viennent taper mes cuisses. Je serre Marie contre moi et nous admirons la façon dont Maëlle prend du plaisir. Enfin nous l’admirons jusqu’à ce que le plaisir envahisse mon esprit.

Je commence à bouger mes hanches en rythme avec elle et j’embrasse Marie. Elle vient mordiller ma lèvre ce qui m’excite terriblement.

Je crois que je durcis encore davantage car Maëlle se mit à chanter. A nouveau, Marie et moi nous nous trouvons à l’admirer.

Marie se détache de moi pour aller embrasser Maëlle. C’est un baiser passionné que ma femme lui rend. Marie descendit ensuite pour venir laper ma verge et le clito de Maëlle en même temps. La sensation est incroyable.

Maëlle eut enfin droit à son orgasme. Et moi j’ai eu le droit à mes deux somptueuses déesses pour venir nettoyer mon sexe et finir de me faire jouir. C’est Maëlle qui prit ma jouissance en bouche. Sa générosité fit qu’elle partageait mon foutre avec Marie.

Alors nous nous rallongèrent totalement rassasier.

« Je t’avais promis que le sexe avec nous est intense.

— Oui et je vous remercie de vous être amusés avec moi.

— Tu sais, avec Dimitri, nous n’avions pas l’intention de ne faire que s’amuser avec toi.

— Comment ça ?

— J’ai eu un vrai coup de cur pour toi et Dimitri est également très attiré par toi. Alors nous aimerions établir une relation solide entre nous trois.

— Comme un trouple ? Je crois que c’est le terme.

— Ahah oui ce mot existe mais cela ne nous définirait pas. Déjà parce que tu es marié et que tu as des enfants donc tu ne peux pas te le permettre et nous ne voulons pas que tu abandonnes ta vie pour nous. Non nous aurions une relation intime et personnelle. Tu pourrais, par exemple, venir quand tu veux ici. Dormir avec nous si tu le veux.

— Il faut que j’y réfléchisse.

— Evidemment. Garde à l’esprit que je t’adore Marie.

— Je t’adore également Marie. Et je tiens à dire que la façon dont nous avons fait l’amour, notre haute compatibilité sexuelle est quelque chose de rare, surtout à trois. Ce serait dommage de ne pas saisir l’occasion.

— Oui moi aussi je vous adore. J’ai ressenti des choses et fais des choses auquel j’avais pensé mais je n’ai jamais imaginé les pratiquer. »

Le visage de Marie s’illumine d’un sourire. Elle se lève pour aller se laver pour se débarrasser de cette odeur de sexe et de sueur dont elle doit embaumer l’air.

Quand nous l’emmenons fraîches et habillé jusqu’à la porte d’entrée je me permets une dernière réflexion car j’ai trop peur qu’elle parte et ne revienne jamais. « Même si tu n’as pas joui, je te promets que si tu reviens nous voir nous ferons tout pour avoir un orgasme.

— Comment as-tu remarqué ?

— J’ai été attentif.

— Mon mari n’a jamais remarqué mon absence d’orgasme.

— Certaines personnes ont besoin d’un fort degré d’intimité et de confiance pour pouvoir s’abandonner. Si tu reviens je veux t’en donner un.

— Moi aussi !

— Alors j’en aurais deux ? Cela fait si longtemps que je n’ai pas eu un orgasme alors deux ?

— Reviens nous voir sil te plaît.

— Merci. Oui je reviendrai. »

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