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Une voisine explosive – Chapitre 1




Ma femme et moi, vivons dans un petit bourg près de Lyon. Nous avons tous les deux trente quatre ans et n’avons malheureusement pas d’enfants car je suis stérile. A coté de notre pavillon, vit un couple beaucoup plus âgé avec qui nous avons sympathisé malgré la différence d’age. Lui s’appelle René et dirige toujours sa petite entreprise bien qu’il ait presque 70 ans. Un bonhomme dynamique comme c’est pas possible. En plus il est maire du bourg et président de plein d’associations. C’est un bonhomme très grand et gros avec un visage de bon vivant. Sa femme, Clémence, 61 ans, est tout le contraire. Toute petite, à peine 1m50, menue, toujours habillée en noir, d’un caractère effacé, membre, femme de maire oblige, des ?uvres de la paroisse. Elle est très serviable et a tout de suite pris ma femme sous son aile, la considérant comme sa fille. Nous nous fréquentions souvent et dînions régulièrement ensemble.

    Un jour que j’étais à Lyon, j’ai aperçu Clémence qui sortait d’un hôtel avec un jeune homme d’à peine 25 ans. Elle le tenait par la main. Sans savoir pourquoi, je les ai suivis. Au moment de le quitter, elle l’a furtivement embrassé sur la bouche et lui a glissé quelques billets dans la main. J’avais du mal à comprendre ce que je voyais. J’ai laissé Clémence s’éloigner mais me suis débrouillé pour la croiser deux rues plus loin. Elle a bien sûr été surprise et sans raison a rougi. Visiblement cette rencontre la contrariait et je pensais savoir pourquoi. Elle devait rentrer en train mais je lui ai bien sûr proposé de profiter de ma voiture. Elle ne pouvait pas refuser.

    Pendant tout le trajet, je la guettais du coin de l’?il. Elle n’arrêtait pas de tirer sa jupe noire sur ses genoux. En arrivant, elle m’a demandé de ne rien dire à René car elle avait été à Lyon, d’après elle, pour lui choisir un cadeau. Quand elle m’a quitté pour entrer chez elle, je me suis surpris à bander en la voyant de dos. Comment une personne aussi insignifiante pouvait-elle tromper son mari avec des petits jeunes ?. Me serais-je trompé ?

    Le lendemain, je me suis rendu à l’hôtel d’où elle était sortie en prétextant avoir trouvé un trousseau de clef sur le trottoir, avec un nom dessus. Le portier me l’a pris de suite en disant qu’il le remettrait à sa cliente qui passait régulièrement tous les mardis après midi. Le mardi suivant, j’étais bien sûr en planque et guettais ma voisine. J’avais un appareil photo équipé d’un bon Zoom. Elle est arrivée et son petit jeune l’attendait à la porte. Un baiser furtif et ils se sont engouffré dans l’hôtel. Je l’ai suivie comme ça pendant trois mois et l’ai photographiée avec quatre jeunes différents. Le doute n’était plus permis. Et à la voir ainsi, je devenais obsédé d’elle. Je baisais ma femme en pensant à ma vielle voisine. Je la dévorais des yeux quand je la voyais, essayant d’imaginer son corps sous ses vêtements. Quand elle me parlait, je la voyais me suçant la queue, la bouche pleine de mon jus épais et gras. Je n’en dormais plus, il fallait que je me la fasses, que j’assouvisses tous mes désirs.

    Un jour, un peu tremblant, sachant que son mari était absent et que ma femme ne rentrerait de suite, je suis allé la voir chez elle. Elle m’a fait entrer, un peu étonnée, mais très gentiment m’a proposé un café.

    Quelques lignes pour vous la décrire. Comme je l’ai dit, elle a 61 ans mais est très bien conservée et très coquette malgré sa manie de presque toujours être habillée en noir. Elle est très petite, environ 1m50, mais bien proportionnée. Toujours bien coiffée d’un chignon qui met son visage ordinaire en valeur. Ses cheveux gris ne la vieillissent pas du tout. Ses yeux sont marrons et cachés derrière des lunettes de myope. Ce jour là, elle portait un pull raz du coup noir très ample qui dissimulait sa poitrine et une jupe noire qui cachait ses genoux. Rien de bien excitant en somme mais de la classe.

    Je me suis assis sur le canapé en l’attendant, serrant mes photos dans ma poche. Mon c?ur battait la chamade.

    Elle est revenue avec le café et s’est assise à coté de moi.

    – Alors, Jacques, que me vaut le plaisir de votre visite ?

    – Je ne sais vraiment pas si ça va vous faire plaisir en fait !

    – Ouh, vous me faites peur tout d’un coup – dit-elle en rigolant.

    Et là, plutôt que parler, je me suis tourné vers elle, un bras sur le dossier du canapé et j’ai brusquement glissé mon autre main sous sa jupe jusqu’en haut des cuisses.

    – Vous êtes fou Jacques, que faites vous ?

    Elle essayait de retirer ma main mais elle était bien accrochée à la chair pulpeuse et souple de ses cuisses. Je sentais même sous le bout de mes doigts le tissu de son slip.

    – Vous me rendez fou et depuis que je sais que vous vous tapez des petits jeunes, je me suis dit ? Pourquoi pas moi après tout ? ?.

    – Vous rêvez ou quoi !, me taper des petits jeunes, et quoi encore ?. Vous savez l’âge que j’ai ?

    – Justement, regardez plutôt ces photos et dites-moi que j’ai rêvé.

    Effarée, elle a pris les photos mais les a à peine regardées.

    – Et alors, c’est ma vie non ?

    – Et bien justement, j’aimerais beaucoup faire partie de cette partie de votre vie

    En disant cela, je retirai ma main d’entre ses cuisses et la portai sur ses seins que je me suis mis à malaxer par dessus son gros pull noir. Ma main gauche, passée sur le dossier du canapé la maintenait dos collé au dossier.

    Surprise, surprise, je ne m’imaginais pas qu’elle avait des seins aussi plantureux et si souples sous la main. Pas du tout des seins de vieille dame comme je la pensais.

    – Mais arrêtez Jacques, vous êtes devenu fou ou quoi ?

    – Fou, peut être, mais excité c’est sûr. Vous avez des seins fantastiques. Jamais je n’aurais imaginé qu’ils étaient si beaux. Du moins au toucher.

    Je tentai de l’embrasser mais elle détournait la tête et essayait de se relever. Sa jupe toujours retroussée à mi-cuisse excitait ma convoitise.

    – De toute façon, ou vous me cédez ou je transmets les photos à votre mari et à vos amies qui seront ravies d’être au courant de vos turpitudes. Qu’en pensez vous ??

    – Arrêtez ? Jacques, ne profitez pas de la situation. En plus vous avez une femme formidable et très belle. Pourquoi vous en prendre à une vieille femme comme moi qui en plus est une de vos amies ?

    – Pourquoi ?. Je ne sais pas. Sans doute parce que je vous découvre sous un jour nouveau. C’est vrai que ma femme est très belle mais on se lasse de tout. Le temps use tout, surtout le désir.

    Je continuais à triturer ses seins à pleines mains et je l’embrassais même dans le cou sans beaucoup de résistance de sa part. Je me prenais pour un boulanger amoureux de la pâte qui vit sous ses doigts. Je sentais ses mamelons durcir.

    – Allez, juste une petite pipe et je vous laisse tranquille.

    – Une petite pipe comme vous dites, mais vous êtes fou !. Premièrement, je n’ai jamais fait cela de ma vie et ce n’est pas maintenant que je vais commencer et encore moins avec vous. Vous vous rendez compte de ce que vous me demandez !

    Je continuais malgré tout à la caresser sur tout le corps et ma main était repartie à l’assaut de ses cuisses. Je voulais atteindre son sexe de suite, pour rendre la chose plus précise, plus irrémédiable. Elle serrait un peu les jambes mais à chacun de ses mouvements, je progressais en profondeur. Mes doigts touchaient son slip mais je voulais palper sa chair si douce et pénétrer son antre du désir. Après quelques efforts, j’y suis arrivé et j’ai pu mêler mes doigts à sa fourrure intime. Elle ne faisait que répéter :

    – Non, non, non, non, non, ’, mais sans y mettre de conviction.

    Enfin, mon majeur a pu caresser sa vulve et glisser le long de ses lèvres intimes. Instinctivement, elle a écarté ses jambes et mon doigt a pénétré son sexe qui, comme je l’espérais, était déjà trempé. A partir de ce moment, la femme que j’avais dans les bras s’est complètement transformée. J’avais une furie contre moi. Son bassin se tendait vers mes doigts et sa bouche cherchait la mienne. Ce n’était plus mon majeur qui fouillait son intimité, mais mes trois qui la masturbaient sans ménagement. Son jus devenait de plus en plus abondant et gluant.

    Elle remuait la tête dans tous les sens et tenait des propos étonnants dans sa bouche. J’étais très étonné car ma femme est plutôt muette pendant l’amour à part les gémissements d’usage. Là, c’était des :

    – Oh oui c’est bon, c’est bon. plus profond, encore, plus profond les doigts. Plus vite, Oh oui, comme ça. Continues, je viens, oh oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

    Je sentais ses cuisses enserrer ma main et son corps secoué de spasmes de jouissance. Ses mains tenaient ma tête contre ses nichons dont je mordillais les bouts à travers le pull. Elle jouissait à n’en plus finir.

    Une vrai nymphomane, excitée au possible. Elle était pantelante, essoufflée et toute rouge, ses cheveux collaient sur son front et son chignon était à peine défait.

    – Et bien ma salope, on peut dire que vous cachiez bien votre jeu. Vous êtes une vrai bête de sexe dites donc !

    – Vous êtes un salaud. C’était ma vie privée. Vous n’aviez pas le droit d’en profiter.

    Moi, je bandais comme un âne et pourtant, je ne voulais plus lui faire le plaisir de la pénétrer car je savais qu’elle aurait dit ? oui ? de suite. Je voulais être le maître. Je l’ai laissé remettre de l’ordre dans sa tenue et reprendre son aspect de bonne femme de catéchisme.

    – En tout cas, vous avez pris votre pied et sans payer en plus. La prochaine fois on fera mieux Non ??

    Elle n’a pas répondu et a baissé la tête.

    – J’ai honte, mon dieu comme j’ai honte. Comment pourrais-je regarder votre femme en face maintenant ?

    – Ca, on le saura vite, il paraît que vous mangez à la maison ce soir.

    – Mon dieu, ça va être un cauchemar.

    – Mais non, vous verrez, tout se passera très bien.

    Et je suis rentré pour une bonne masturbation très nécessaire.

    La suite est très explosive et bien sûr beaucoup plus corsée.

    Si ce premier chapitre vous a plu, faites le moi savoir et suivant le nombre des demandes, j’écrirais la suite. Attendez vous a du sexe, du sexe et encore du sexe. Le tout dans des circonstances spéciales.

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