Bonjour,
Je me lancer et vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a quelques années alors que j’étais encore étudiant à Toulouse. Pour faire des économies, j’avais trouvé un petit studio que j’occupais moyennant quelques services chez un couple âgé à qui il appartenait. Eux même vivaient dans une maison près de mon immeuble. Je bénéficiais du loyer gratuit en échange de travaux dans leur jardin et leur maison. Ce qui m’arrangeait bien étant bricoleur et faisant des études d’ingénieur.
J’y allais en général le jeudi et le samedi ou dimanche. Quand j’y allais, je me changeais sur place pour y mettre un bleu de travail et faisait divers travaux pendant quelques heures. Ma propriétaire avait pris l’habitude de le laver régulièrement.
Pour me présenter rapidement je suis plutôt dans la moyenne inférieure, 1m74 pour 65kg allure plutôt sportive quelques poils sur le torse et plutôt un joli sexe bien proportionné. Depuis quelques mois, j’avais l’habitude de mettre des shortys de fille rien de sexy mais je les trouvais surtout plus confortables que des caleçons classiques. Shortys très sage mais la matière ne laissait peu de doutes. Niveau affectif, j’avais eu quelques amourettes mais nous n’avions jamais été au-delà des préliminaires à mon grand regret.
Cela faisait déjà quelques mois que j’étais chez eux et il ne s’était jamais rien passé, je faisais juste le travail demandé. Mais tout à changer un mois de mai particulièrement chaud. Je passais le coupe bordure depuis une heure et était en nage à cause du soleil et du moteur. J’étais torse nu et ne prêtais pas attention à ses regards (la pensant aussi très sage) quand Pauline, la propriétaire de 65/70 ans m’a appelé me disant d’arrêter et que je risquais de tomber dans les pommes par cette chaleur. Me proposant un verre de citronnade et de prendre une douche pour me rafraîchir ce que j’acceptais avec plaisir. Je m’assis en la regardant du coin de l’il : jupe juste au dessus des genoux, des cuisses un peu épaisses mais appétissantes, un débardeur classique, petite poitrine qui pointe légèrement mais il me semble sans soutien-gorge.
Après l’avoir bue, je suis donc allé dans leur chambre, m’y suis dévêtit et rentré dans la douche. Quelques minutes après alors que je profitais de cette douche bien méritée qui coulait le long de mon corps bien chaud et sous le coup de quelques caresses je bandais bien fort, j’entendis Pauline me crier « Nicolas je vous ai rapporté vos habits de rechange, je prends vos affaires sales pour les laver ».
Trop occupé à me caresser, je n’y ai pas prêté attention. Ce n’est qu’en sortant que j’ai réalisé qu’elle allait tomber sur mon shorty qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’il était fait pour une femme sobre mais en satin. Il était de plus avec un petit liseré en dentelle que je n’avais pas vu au moment de passer la commande. En me rhabillant, je constatai qu’il était en effet parti à la machine avec le bleu de travail en espérant qu’elle ne l’ait pas remarqué.
— Ah vous voilà, ça doit faire du bien ? Vous avez fait du super travail encore une fois merci beaucoup de votre aide !
— Je vous en prie, ça me plait plaisir de bricoler et de jardiner et ces économies m’aident bien. Merci pour la douche je n’en pouvais plus.
— Par contre comment avez-vous fait pour votre sous vêtement ? Je ne me suis rendu compte que lorsque la machine tournait que je vous l’avais pris. Voulez-vous emprunter un de mon mari ou peut-être un des miens ?
Sur le coup, alors que j’étais d’humeur joyeuse après une bonne douche, mes caresses et mon érection de la douche, j’ai blêmi et débandé d’un coup. Et ai commencé à bafouiller. "Euh pardon, comment ça que voulez-vous dire ? Je vais y aller Madame, pardon en me dirigeant tout penaud vers l’entrée"
— Ne soyez pas timide, je comprends tout à fait c’est plus joli et plus agréable à porter que ces slips moches. Et puis ne vous en faites pas je ne dirai rien à Michel. Alors vous voulez ?
J’hésitai un peu et finalement acquiesçai sans trop savoir à quoi m’attendre.
Nous sommes alors partis vers sa chambre où elle y a ouvert un tiroir me disant de prendre ce que je voulais. Tiroir rempli de sous-vêtements en tout genre de la culotte bien sage à des dessous bien plus sexy, je n’aurais jamais pensé qu’elle portait ça. Un peu timide j’y ai pris une culotte bien sage et suis parti directement la mettre. Mais Pauline m’a rattrapé en me tendant un string que je devinais très sexy.
« Essayez ça plutôt ! »
Direction la salle de bain, je l’avais à peine enfilé que je me suis mis à bander très fort alors que la vision était particulièrement ridicule. Mon sexe dépassant sur le côté de même que mes couilles ainsi que mes poils. J’étais vraiment gêné car je n’en n’avais jamais mis et n’avais jamais eu d’attrait pour ce genre de lingerie. Les shortys me suffisaient. Pourtant ce nouveau type de lingerie bien plus osé m’excitait.
Je remis mon pantalon et sorti en voulant rentrer au plus vite chez moi quoi que très excité.
— Ben alors Nicolas vous ne me montrez pas ?
De nouveau, temps d’arrêt pour moi et sans réfléchir, j’ai baissé mon pantalon me retrouvant en string devant cette femme qui aurait pu être ma grand-mère. La queue ramollissant vu la situation étrange à laquelle j’étais confrontée.
Oh ben c’est mignon tout plein même si c’est un peu poilu ! Dit-elle en s’approchant et en posant sa main dessus. Je devenais complètement perdu, si j’avais su ça ! Jamais je n’aurais imaginé qu’elle soit comme ça.
Le simple contact de cette main un peu sèche mais si chaude me refit aussitôt bander. Elle me poussa délicatement vers le lit sur lequel je tombais sur le dos. Je fermai les yeux alors qu’elle commençait à me branler tout doucement tout en jouant avec mes couilles à travers le tissu. Mon sexe me faisait mal tellement il était bandé, mon frein me tiraillait. Le contact de ses mains chaudes, du tissu était tellement agréable, je m’abandonnai complètement. Après quelques minutes de pur plaisir elle se leva pour s’allonger à côté de moi en me disant « Fais-moi l’amour Nicolas » (première fois qu’elle me tutoyait)
Maladroitement je lui expliquai que j’étais puceau et que je n’avais pas de préservatif. Elle m’a regardé avec des yeux pleins de tendresse en me redisant « fais-moi l’amour ».
En quelques secondes je me débarrasse de mon tee-shirt, m’approche d’elle lui retire son haut, dévoilant une toute petite paire de sein (elle n’avait en effet pas de soutien gorge), un peu pendante mais très sexy (du moins à mes yeux) avec deux petits tétons dressés. Après quelques caresses, baisers et gémissements, je m’attaquai à sa jupe, me contentant de la remonter tellement j’étais pressé de voir ce qu’il y avait en dessous : une jolie culotte en dentelle légèrement transparente de laquelle dépassait des poils tout frisés blancs et gris. Je la retire et commence à embrasser son minou, tentant de faire comme dans les films mais avec beaucoup moins de succès. Les poils n’aidant pas forcément mais l’odeur très agréable et le gout salé me rendait fou et j’ai fait de mon mieux pour la contenter.
Quand après une ou deux minutes, elle me tire un peu les cheveux pour me faire comprendre de monter et de la prendre. Elle met alors un coussin sous son dos et moi j’approche ma queue bien dressée en partant du bas et commence à appuyer. Aie, mauvais trou ! Je remonte un peu plus, ça bloque. Encore un peu plus haut, je sens l’humidité, jappuie d’un coup sec et ça y est ça rentre ! Ma première fois, enfin ! Je suis dans une chatte. Plus étroit que ce que je m’attendais mais on y est bien, c’est à la fois chaud et humide. Je reste en suspens profitant du moment, regardant mon sexe enfoncé jusqu’à la base. Nos pubis ne font plus qu’un.
Pauline ne dit rien, elle gémit un peu les yeux fermés ou mi-clos et commence à onduler légèrement du ventre.
Je pourrais mentir en disant que ça a duré longtemps et qu’elle a joui plusieurs fois mais il n’en n’est pas. Ses mouvements avaient à peine commencer que je savais déjà que je ne durerai pas très longtemps. Elle a dû sentir mon trouble car avec gentillesse elle m’a dit « Va y fort ne t’en fais pas c’est ta première fois fais toi plaisir». Je ne me suis donc pas retenu et en la tenant par les hanches, j’ai donné plusieurs grands coups sous ses gémissements. Ses mains me caressant les tétons, le dos, le ventre pour exploser en elle quelques coups de bassin après. Même si l’effort n’avait pas duré si longtemps, j’étais épuisé.
Je suis resté un peu en elle pendant que je débandais doucement profitant de la chaleur qu’elle dégageait. Puis nous nous sommes pris dans les bras pendant quelques minutes. Elle ne disant rien juste quelques petits gémissements et moi « merci » en lui caressant le corps. Corps usé par le temps mais que j’appréciais.
C’était la première fois que je profitais du corps d’une femme et que c’était bon !
L’histoire s’arrête ici sur le papier mais dans la réalité cela a continué quelques temps avec Pauline. C’était ma première histoire sur le site (et totalement authentique) j’espère avoir réussi à vous la faire vivre. Si vous voyez des modifications nécessaires ou des conseils, n’hésitez pas à me le dire.