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Ma fille : la plus sexy des valentines – Chapitre 4




Je ne pus rien répondre… Même lorsque je sentis la joue de Lucile se décoller du rideau, la mienne resta plaquée sur le tissu en velours souple. J’étais affaissé, les muscles totalement bandés et paralysés, la voix perdue dans les tréfonds de mes entrailles, les sens vrillés par des éclats de luxure. Tout autour de moi semblait irréel. Rien de ce que je vivais n’était possible. « Ce n’est pas réel ». Je me répétais cette phrase comme un mantra sacré tout en rassemblant mes forces pour aller me traîner jusqu’au siège près des cabines. Ma carcasse de père choqué et abasourdi s’étala dans le rembourrage du coussin comme une masse pesante.

Je restai là quelques minutes, perdu dans mes pensées. La fièvre était bien réelle. Une chaleur diffuse parcourait mon corps, se mêlant à mon sang bouillonnant.

Je fermai les yeux, comme enivré par un tourbillon de décharges émotionnelles. Qu’allais-je pouvoir faire pour échapper à toute cette situation ? Je savais qu’un défi plus grand que ce que j’ai connu m’attendait derrière ce rideau rouge. Le défi ultime. Celui qui allait me projeter dans l’inceste. Peu importe sous quelle forme. Peu importe à quel degré. Ce qui se déroulait ici depuis une heure n’était rien d’autre qu’un basculement progressif dans l’interdit. Personne n’aurait pu le nier. Mon cerveau principal luttait pour garder la main mise sur mes actes, mais mon cerveau secondaire bataillait de toutes ses forces pour prendre le dessus et remporter la mise : un voyage droit vers le corps juvénile et banni de ma fille.

— Daddy ?

La petite voix de Lucile me sortit de ma torpeur. L’heure n’était plus à la réflexion. J’allais la découvrir pour la dernière fois. Peut-être l’instant charnière de cette soirée…

Je me levai d’un pas mal assuré, chancelant sur les 3 mètres qui me séparait de la cabine, et m’arrêtai juste devant le rideau. Je pris une profonde inspiration et me lançai.

— Je suis là ma chérie.

— Entre, mais garde les yeux fermés s’il te plaît.

J’accédai à sa demande, entrant à ses côtés tout en tirant bien le rideau derrière moi. Hors de question que quelqu’un d’autre la voit dans cette tenue.

— Je vais te positionner devant moi.

Lucile prit mon bras et manipula mon corps pour me placer assis sur le petit banc. Elle voulait sûrement que j’ai une vue parfaite de son anatomie. J’allais pouvoir la détailler de toute sa hauteur et la contempler comme un joyau.

— Voilà, comme ça c’est parfait, fit-elle.

— Je peux ouvrir les yeux maintenant ? m’impatientai-je.

— Non ! Pas encore. Je veux juste te dire quelque chose avant…

Elle laissa planer une aura de mystère tout autour de moi. Cela devenait étouffant et je sentis l’excitation monter.

— D’accord, vas-y, je suis plus que prêt, lui assurai-je.

Lucile approcha son visage du mien, je pus sentir son souffle chaud tout prêt de mon oreille. Rien que de respirer son parfum d’encore plus près me fit rebander instantanément.

— Je vais te laisser ouvrir les yeux Papa, mais avant, je veux que tu me promettes de te laisser aller. Dis tout ce qui te passe par la tête quand tu me verras. Sois sans filtre ! Je veux savoir l’effet que je peux procurer à un homme dans cette, euh… lingerie, appelons ça comme ça.

— Je ne peux pas faire ça ma belle.

— Tu le peux Daddy. Ne me vois plus comme ta fille, mais comme une femme.

— ça va être… difficile, répliquai-je en déglutissant bruyamment.

— Je sais bien oui. Mais fais-le pour moi.

Lucile me dit cela avec une telle gravité dans la voix que je ne savais plus comment échapper à cette demande.

— Je ne pourrai jamais te voir comme une simple femme ma chérie, je te verrai toujours comme ma fille. Tu ne peux pas changer ça en quelques secondes… Je regrette, mais je ne peux pas te dire ce que je pense tout haut, j’en aurai honte…

J’étais fière de moi ! Encore une fois, je réussissais à gagner un combat acharné contre mon sexe avide de désir.

— Bien. Alors je vais changer de stratégie, répondit ma fille. Tu as raison, je serai toujours ta fille, et je ne peux pas changer l’image que tu as de moi. Mais dans ce cas, je veux qu’en ouvrant les yeux, tu t’imagines tout ce que tu désirerais faire à ce corps.

Elle s’interrompit brièvement pour poser ma main gauche sur une de ses cuisses nues. Tout mon corps frémit en sentant le doux contact de sa peau.

— Tu m’as compris. Je veux que tu laisses tous tes fantasmes sortir. Je sais que les hommes ont des envies inavouables, et sans doute bien plus que je peux l’imaginer. Je sais aussi que tu as forcément, dans un recoin de ta tête, une sorte d’attirance pour moi.

(Elle n’avait même pas idée !!! Là, sur le moment, j’aurais pu lui faire mal, très mal. Ses trous ne s’en seraient pas remis avant des jours).

— Peut-être ma chérie, peut-être…, tempérai-je comme je pus.

— Voilà. Alors, laisse-toi aller. Dis-toi que je te donne cette chance, maintenant, de pouvoir me dire ce que tu penses vraiment de moi dans cette tenue. Mon copain n’aura sûrement pas de filtre lorsqu’il réagira en me voyant, alors je veux y être préparée.

J’étais moyennement convaincu de la véracité de ses arguments, mais, sur le moment, je ne vis pas tellement matière à y redire.

— D’accord, approuvai-je enfin. Mais Lucile, tu ne devras pas m’en vouloir. Si je m’emporte, promets-moi de ne pas te vexer. Les mots crus sont une source d’excitation pour moi, et je ne peux pas te garantir de garder le contrôle.

— C’est promis, murmura-t-elle en collant son front contre le mien. On va pouvoir le faire.

— Attends ?

— Oui Daddy ?

— Juste une dernière chose, est-ce que je pourrai te… euh… enfin, tu vois…

Je fis des mouvements avec mes mains et elle dut comprendre.

— Ah… me toucher ? fit-elle hésitante.

— Oui.

— Si tu en as vraiment envie, euh oui, tu peux. Mais doucement s’il te plaît. Je suis pas vraiment habituée à ce qu’un homme pose les mains sur moi.

Même avec les yeux fermés, je pouvais la sentir rougir. Sa voix était saccadée et emprunte de gêne.

— Je ferai attention ma chérie.

— OK alors, c’est quand tu veux.

Je sentis son corps s’éloigner un peu lorsqu’elle se redressa. Le moment fatidique allait arriver dans quelques secondes et je ne savais plus quoi penser. Désormais, je voulais profiter de l’instant, de cette chance unique qui ne se représenterait sûrement jamais.

Je pris une profonde inspiration et ouvris les yeux…

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