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Déviation incontrôlable – Chapitre 8




Maryse et son époux sont invités chez le fameux cousin éloigné de la famille. Après un repas copieux, Marcel a invité tout le monde à tester son nouveau spa. Antoine qui est épuisé de sa semaine ronfle sur le canapé du salon. Sophie, quant à elle, s’est éclipsée de la salle d’eau.

Elle sait très bien quel est l’objectif du cousin, il souhaite séduire l’épouse d’Antoine, il avait déjà posé son regard sur elle lors de leur première rencontre et n’a cessé de penser à elle et surtout de vouloir la conquérir. L’homme est au courant que cette dernière n’est pas farouche, puisqu’elle effectue des parties de jambes en l’air avec monsieur Bouteille, et Dubois.

Il est aux alentours d’une heure du matin, après avoir joué à son jeu de séduction, Marcel a réussi sa première étape. Mettre à nue Maryse. En effet, ce dernier à demander à la femme si elle souhaitait voir son membre en érection, elle a accepté, puis il lui a proposé de faire la même chose.

Les deux adultes sont à présents nus dans le spa. La tension sexuelle est palpable dans la pièce, les deux protagonistes ont très envie de franchir le pas.

Ils sortent du spa, ils se sèchent mutuellement en effectuant des gestes sensuels, puis les amants s’embrassent. La barrière de l’interdit vient d’être franchie. Marcel attendait ce moment depuis une éternité, la langue de ce dernier effectue des rotations avec celle de sa partenaire puis il l’assoit sur une sorte de chaise longue.

Il se positionne face à elle, présente son sexe face à la bouche de la femme et s’offre une fellation. Maryse ne se fait pas prier, elle avale le membre et aspire le gland de l’homme. Ce dernier est aux anges. Il allonge la femme sur le dos, lui malaxe la poitrine, puis lui lèche les seins avec beaucoup de passion. Il descend petit à petit en direction du vagin de la femme, écarte les jambes de cette dernière et savoure son abricot.

Sa langue passe par le clitoris, il le mordille, le suce, puis il continue le long des lèvres. Il glisse ensuite deux doigts dans le puits d’amour. La cadence est plutôt rapide, et les cris de Maryse se font de plus en plus entendre. Au bout de dix minutes de masturbation, la femme envoie un jet de cyprine.

L’homme présente sa verge à l’entrée de la grotte, il se frotte un peu, puis d’un coup de reins pénètre la femme. Il effectue des gestes assez calmes dans un premier temps, puis devient un peu plus virulent. Il savoure cet instant avec passion.

Il propose à la femme de se mettre à quatre pattes, elle accepte la demande et montre ses fesses à l’homme. Ce dernier écarte les globes, puis plonge sa tête afin de faire un cunilingus, mais pas que, puisqu’il lui lèche aussi l’anus. Il pénètre la femme en levrette et lui claque les fesses.

Le bassin de cette dernière commence à faire des gestes saccadés, l’orgasme est proche, Marcel le sait et continue de besogner la femme tout en lui titillant le clitoris.

Elle finit par jouir en poussant un cri strident. L’homme récupère un peu de cyprine et l’étale sur l’anus de Maryse. Il y glisse deux doigts assez facilement, puis y présente son sexe.

Il y va avec tendresse dans un premier temps, effectue des coups de reins plutôt calmes. Il ne veut pas faire mal à sa partenaire. Quand soudain, le rythme s’accélère. Les fesses de Maryse claquent contre le bas-ventre du cousin. Au bout d’un quart d’heure, ce dernier jouit avec une puissance incroyable dans les entrailles de sa maîtresse.

Le couple se câline quelques instants, puis se rhabille.

Il est deux heures du matin, les paupières sont lourdes. Marcel propose à la femme d’Antoine de dormir sur place, cette dernière ne refuse pas. Il l’emmène dans la chambre d’ami afin de ne pas éveiller les soupçons d’Antoine lorsqu’il se réveillera.

La pièce se situe à l’étage, juste à côté de la chambre du cousin. Il rejoint Sophie, elle l’attend avec impatience afin de savoir. Ce dernier lui raconte la partie de jambes en l’air, lui dit qu’il a pris beaucoup de plaisir et qu’il ne souhaite qu’une chose recommencée au plus vite.

Un peu jalouse, la quadragénaire lui demande tout de même de ne pas l’oublier. Marcel qui est un coureur de jupon tente de convaincre son amie qu’il n’y aura pas d’oubli. Elle semble rassurer, mais n’y croit pas trop.

Ce dernier ne tarde pas d’ailleurs d’aller vérifier si Maryse est confortablement installée. Il entre-ouvre la porte de la chambre, et à sa grande surprise, la femme est en train de se masturber, elle soupire des prénoms, celui de Marcel, celui de Roger, et celui de monsieur Dubois.

Le cousin est assez surpris, comme si la partie de jambes en l’air ne lui avait pas suffit. Il entre dans la pièce à pas de loup. La femme a les yeux fermés, il prend alors l’initiative de caresser la jambe droite nue de Maryse. Cette dernière sursaute, elle demande à son amant si elle fait trop de bruits. Ce dernier répond par la négation, et lui explique qu’il souhaitait juste voir si tout allait bien.

Elle lui confirme qu’il n’y a aucun souci. Elle semble être dans un autre monde, la tête dans les nuages. L’homme tente une approche, caresse les seins de sa maîtresse, puis suce les tétons de cette dernière. Il glisse sa main en direction du pubis de la femme et la doigte.

Ce dernier ne reste pas insensible, son sexe est en érection, il a envie de prendre possession de ce corps qu’il aime tant. Il écarte les jambes de Maryse, présente sa verge à l’entrée du puit d’amour et d’un coup de rein la pénètre.

C’est toujours un délice, il la prend ainsi en missionnaire pendant quelques minutes puis positionne la femme sur le côté afin de la prendre en cuillère.

Il saisit la poitrine de cette dernière et donne des coups de butoir assez puissant, mais pas trop afin d’éviter de faire trop de bruits.

La femme effectue des soupirs de plaisir, et mord le coussin lorsque l’orgasme arrive comme un éclair.

Marcel positionne Maryse à plat ventre. Elle cambre légèrement ses fesses, puis l’homme prend à nouveau possession de son vagin. Il est de plus en plus bestial et ses gestes sont saccadés. Au bout de cinq minutes, il craque, son sperme se répand dans la vulve de la femme. Le couple est un peu essoufflé, puis se quitte.

Durant la nuit, le cousin éloigné rendra visite plusieurs fois à sa maîtresse afin de l’honorer. Le matin alors que le soleil vient de faire son apparition, une odeur de café envahi les pièces de la maison.

Petit à petit, les habitants se réveillent. Sophie salue Antoine, puis Maryse et Marcel suivent le mouvement. Tout le monde se retrouve autour de la table de la cuisine, bavarde brièvement.

Il est dix-heure du matin, Antoine veut rentrer à son domicile, il veut profiter de son week-end pour se reposer. Maryse suit son époux. La journée est longue. Il est quatorze-heure, l’époux regarde un match de football à la télévision tandis que sa femme repense encore à cette soirée débridée.

Cette dernière reçoit un message sur son téléphone, il s’agit de Marcel qui la remercie. Quelques instants après, Sophie propose à cette dernière de faire une sortie entre fille pour ce samedi soir.

Maryse demande à son mari si elle a la possibilité d’effectuer cette sortie. Ce dernier accepte sans hésitation, puis replonge dans son match de foot.

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