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Il y a de cela quelques années, j’ai "profité" d’une période de chômage pour reprendre mes études, et obtenir un diplôme plus élevé dans ma branche professionnelle.

Bien qu’étant indemnisé par les Assedics, j’étais loin de rouler sur l’or, aussi acceptai-je sans hésiter la proposition que me fit une étudiante de ma promo avec qui j’avais sympathisé :

— Dis-moi, Sam, je sais que généralement, ce sont surtout les filles qui font ça, mais accepterais-tu de me remplacer pour une séance de baby-sitting?

Elle m’expliqua qu’elle avait pris cet engagement avec une nouvelle "cliente" quelques jours auparavant, mais qu’elle venait d’apprendre la veille au soir que, exceptionnellement, son petit ami serait en ville ce jour là. Ne voulant pas la priver de la joie de ces retrouvailles (elle ne voyait son boy-friend qu’un week-end sur deux), je lui dis que j’étais d’accord, à condition bien sûr que sa "cliente" le soit aussi. Contactée par téléphone, celle-ci nous demanda si nous accepterions de la rencontrer dans un café afin de discuter directement de cela.

C’était une femme d’un mètre soixante quinze environ, mince, d’une trentaine d’années comme moi; elle portait un long manteau de cuir gris en agneau voilé, un pull angora et un pantalon en velours "peau de pêche" de couleur noire qui tombait sur des boots en cuir beige à hauts talons.

Elle me posa quelques questions et je compris vite qu’elle voulait en fait surtout se rendre compte de visu à quel type de garçon elle avait affaire avant d’éventuellement lui confier son fils pour une soirée.

Il faut préciser que, dans la mesure où j’avais quitté le monde du travail pour reprendre ces études, j’avais dix ans de plus que les autres étudiants qui eux poursuivaient un cursus "normal". C’est peut-être cela qui rassura quelque part Ghislaine (c’était le nom de la "cliente"). Elle accepta finalement que je garde son fils de 4 ans le mercredi soir suivant et rendez-vous fut pris pour 19 heures.

A l’heure précise, je sonnai à sa porte. Elle habitait un immeuble cossu du centre ville. Au café, je l’avais déjà trouvée très belle, mais lorsqu’elle m’ouvrit, je ne pus m’empêcher de marquer un temps d’arrêt. Elle portait un chemisier vert émeraude et une jupe en cuir gris souris, serrée de la taille aux genoux et s’évasant ensuite en forme de corolle pour descendre à hauteur des chevilles; sa longue crinière rousse flamboyait en s’étalant sur la soie : elle était superbement désirable!

Ses yeux verts pétillaient de malice lorsqu’elle me demanda "Et bien, que vous arrive t’il? Vous rentrez?".

Je lui répondis "Oui, oui, bien sûr. Excusez-moi, mais je je suis soufflé par votre élégance". Elle éclata de rire "La flatterie ne sert à rien, mon cher, ce n’est pas ça qui fait que je vous paierai plus cher! Allons, allons, assez plaisanté, je vais vous présenter Florian".

Nous fîmes donc tous trois connaissance, puis elle me laissa ses instructions et conclut : "Florian doit aller se coucher à 20 heures, et surtout rappelez-vous que c’est un sacré comédien, ne vous laissez pas embobiner! Je pense rentrer entre onze heures et minuit, comme je vous l’ai dit l’autre jour, c’est d’accord? Allez, je vous laisse, je vais être en retard En dernier ressort, tenez, voici le numéro de mon portable".

Elle se dirigea vers un des placards de la lingerie qui jouxtait sa chambre à coucher et acheva de s’habiller pour sortir. Elle saisit une paire de bottes cavalières noires montant haut sur le mollet; la particularité (et le charme) de ces bottes venait de la petite chaînette en métal doré qui soulignait les talons aiguilles. Je masquai tant bien que mal l’émoi qui me coupait la respiration, mais ne perdis pas une miette du spectacle lorsqu’elle fit glisser son mollet dans le fourreau de cuir. Tout en pariant en moi-même qu’une femme comme elle portait des bas et non des collants, je me promis de venir visiter cette penderie une fois que Florian dormirait

A ce point du récit, il convient de préciser ceci : en ce qui me concerne, Sam nest malheureusement pas le diminutif de Samantha ! Mais d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé passer des vêtements féminins. Chaussant du 39/40 et taillant 38 pour les habits, je n’ai en général pas trop de difficultés à assouvir cette particularité.

Cette promesse que je venais de me faire devint une certitude lorsqu’elle acheva de s’habiller en mettant son maxi manteau en cuir gris!

Pendant la demi-heure qui suivit le départ de sa mère, j’autorisai Florian à regarder une vidéo-casette de dessins animés. Je n’eus finalement pas trop de mal à l’envoyer au lit, et peu après 20H15, je pus constater avec plaisir qu’il s’était endormi profondément.

Je me dirigeai rapidement vers la lingerie et ouvris la porte d’une des trois penderies qui meublaient la pièce. Je vis un manteau en fourrure blanche descendant aux chevilles et l’enfilai aussitôt. Elle contenait également deux vestes noires, l’une en fourrure et l’autre en cuir, ainsi qu’un blouson très court en cuir rouge et un blouson de type "aviateur" marron. Mes yeux et mes mains s’attardaient sur ces vêtements, je voulais les porter tous!

Je me baissai pour chercher les boots que je lui avais vus au café, car j’étais bien décidé à les essayer. Je m’étais dit que, vu sa taille, elle devait chausser au moins du 39. Je ne m’étais pas trompé. Regardant sous la semelle, je vis le chiffre ’7’. La chance me souriait!

En hâte, j’ôtais mes chaussures et mes chaussettes et les enfilai. Ils m’allaient bien et les neuf centimètres de talon ne me gênaient pas pour marcher, comme je pus le constater en me dirigeant vers la chambre de Florian située à l’autre extrémité du couloir. Je tremblais d’excitation en entrebâillant sa porte, à l’idée qu’il pourrait s’être réveillé et qu’il me voit vêtu du manteau de sa mère et de ses boots! Mais l’attrait du "danger" s’avérait plus fort que tout : pas de problème, le garçon était bel et bien parti pour faire sa nuit.

La soirée m’appartenait donc et je sus à cet instant que les cours que j’avais amené afin de réviser ne sortiraient pas (ou tout au moins pas avant 23 heures dans le meilleur des cas) de la pochette plastique dans laquelle eux aussi dormaient profondément!

Je revins sur mes pas et un examen du contenu de l’armoire me révéla la présence de quatre paires d’escarpins et de deux autres paires de boots (rouges et noirs). A part les boots noirs dont les talons ne mesuraient "que" cinq centimètres, toutes ces chaussures possédaient des talons de sept à dix centimètres en moyenne. Manifestement, cela ne gênait pas Ghislaine de culminer entre un mètre quatre vingt et un mètre quatre vingt cinq!

Je me mis quelques minutes à découvrir plusieurs paires de bottes soigneusement rangées à plat dans leurs boites en carton. La première était vide, car c’est d’elle que provenaient celles que Ghislaine avait aux pieds. Dans la deuxième, je vis des bottes gris clair en croûte de cuir, zippées sur toute la hauteur de la tige. La doublure en peau beige attirait l’il et paraissait être un modèle de douceur.

Les deux boites suivantes contenaient des bottes respectivement blanches et bordeaux à talons très fins et tout aussi hauts que les autres.

Lorsque j’ouvris le dernier carton, j’eus la respiration coupée : la lumière des spots encastrés accrocha un reflet sur les talons carrés en métal argenté de bottes bleues nuit, très fines, à la tige très haute. Elles me semblaient sorties tout droit d’un défilé de haute couture! Je les saisis aussitôt.

J’étais dans un état second et commençais à déconnecter de la réalité. Je me dis que je n’avais pas le droit de cacher de telles merveilles sous mon pantalon et décidait d’aller trouver une jupe dans l’autre armoire.

J’avais quelque part la sensation de violer l’intimité de cette femme inconnue 48 heures plus tôt, mais n’en éprouvais même pas de honte, emporté par mon désir. Ce que j’avais déjà vu de sa garde-robe me laissait à penser qu’elle et moi avions les mêmes goûts, et qui sait, peut-être les mêmes fantasmes : elle aimait manifestement les talons hauts, les bottes, le cuir et la fourrure! J’étais prêt à parier que je pourrais trouver au moins un pantalon ou une jupe en cuir à mettre sur moi.

Je ne fus pas déçu : je trouvai en plus des vêtements plus "classiques"- deux pantalons en cuir, l’un noir de coupe "jean taille basse", l’autre couleur sable dont la particularité était d’avoir une fermeture éclair sur le coté et non sur le devant, assurant ainsi manifestement une coupe très près du corps. Je dénichai aussi trois jupes dont je testai la longueur en les plaquant sur ma taille : la première que je saisis était blanche et descendait un peu au-dessus des chevilles; la deuxième tombait juste au-dessus du genou, elle était de couleur vert émeraude et la coupe paraissait très belle bien que très simple; enfin la troisième que dire d’autre sinon qu’elle "chauffait énormément"! Elle était rouge vif et vraiment très courte. Elle constituait un ensemble avec le blouson spencer tout aussi mini et tout aussi "chaud"!

Bien que n’ayant que partiellement entrevu les jambes de Ghislaine lorsqu’elle avait enfilé ses bottes une heure auparavant, j’imaginais sans peine l’effet qu’elle devait faire habillée ainsi! Mon sexe, qui avait déjà fortement augmenté de volume quand j’avais troqué mes tennis pour les boots beiges, tendait maintenant sans équivoque la toile de mon jean bleu délavé.

Tous ces habits avaient un point commun : le cuir était d’excellente facture, très souple, presque élastique; sa garde-robe devait valoir une petite fortune! On voyait là la marque d’une personne connaissant et aimant cette matière. Manifestement, Ghislaine choisissait soigneusement la qualité et la couleur de ses tenues.

Je détachai la mini-jupe et le spencer des cintres sur lesquels ils étaient suspendus, sortis les bottes blanches de leur emballage et passai dans la chambre de Ghislaine attenante à la lingerie. Je posai délicatement le tout sur son lit et me déshabillai à la vitesse de l’éclair, n’aspirant qu’à sentir au plus vite le contact sensuel sur ma peau!

La jupe était tellement "mini" qu’elle descendait à peine sous mes fesses! Bon coté des choses, cela me permettait de sortir mon sexe pour me caresser sans avoir à la retrousser!!!

Je m’assis sur le lit pour enfiler les bottes en tremblant d’émotion. Premier soulagement, je pouvais rentrer mon mollet, un peu juste, certes, mais sans risque néanmoins de les abîmer. Sachant que mon pied gauche est un peu plus fort que le droit, je craignis un instant le pire, mais la chance était décidément avec moi, car là encore, mes craintes s’avérèrent vaines et je pus me relever botté. Retournant dans la lingerie, je pus me voir dans une des portes miroir : de toute évidence, cette tenue ne faisait pas autant d’effet (ou tout du moins pas le même) sur moi et sur sa propriétaire légitime, mais mes yeux montaient des bottes à la ceinture de la jupe avec ravissement.

Je sortis mon sexe, à présent tendu au maximum, et commençai à me masturber doucement, puis le rentrai sous la courte jupe. Je pénétrai à nouveau dans la chambre et me dirigeai au fond vers la salle de bain. Il ne me fallut pas longtemps pour découvrir ce que je cherchais, à savoir la panière à linge. Elle était presque vide, mais je trouvai dedans des sous-vêtements qui n’appartenaient manifestement pas à Florian!

En équilibre sur le fin talon aiguille, je passai la première jambe dans la petite culotte noire, changeai (sans trébucher!) de pied d’appui pour passer la deuxième et plaquer le tissu satiné sur mon intimité. J’ôtai le blouson et agrafai ensuite dans mon dos le soutien-gorge assorti et le rembourrai avant de remettre le manteau de fourrure par-dessus le spencer rouge. La sensualité et la douceur de la caresse de la doublure du maxi sur mes cuisses découvertes par la jupe hyper courte me faisaient frissonner de plaisir et je décidai de retourner me voir dans la glace.

Le contact de ces matières si érogènes pour moi sur ma peau provoquait une excitation telle que je dus interrompre mon "auto-contemplation" pour aller me soulager dans les toilettes. J’expulsai cinq longs jets de sperme dans la cuvette.

Après avoir remis mon sexe légèrement déturgescent dans son logement de satin, je décidai de visiter en détail le grand appartement : une belle entrée desservait à droite un WCsalle d’eau, puis la cuisine (spacieuse) avec une petite terrasse; à gauche, on trouvait un salon avec une cheminée d’angle; cette pièce était éclairée naturellement par une large baie vitrée qui donnait sur une deuxième terrasse couverte.

Une porte séparait l’espace "jour" de l’espace "nuit". Un couloir permettait d’accéder à gauche à la chambre de Florian et à un deuxième WC; sur la droite s’ouvrait la fameuse lingerie, jouxtant la chambre à coucher et une salle de bains qui avait deux entrées, l’une au bout du couloir et l’autre directement dans la chambre de la merveilleuse Ghislaine.

Tout l’espace "nuit" étant recouvert de moquette, je savais que ce n’était pas le cliquetis de mes talons hauts qui pourrait réveiller Florian.

Ces quelques minutes m’avaient permis de me calmer un peu et de retrouver mes esprits. Revenu dans la chambre de Ghislaine, je m’allongeai un instant sur son lit en l’imaginant. Que faisait-elle à cet instant? Elle m’avait dit être invitée à une soirée dans le cadre de son travail. J’imaginai tous ses collègues masculins lui faire du gringue et baver à qui mieux mieux en la regardant. Je recommençai à me caresser.

Il me restait encore un placard à explorer : celui qui contenait les tiroirs renfermant ses sous-vêtements. Je n’eus pas beaucoup à chercher pour trouver un ensemble slip/porte-jarretelles/soutien-gorge et des bas. Je découvris également trois paires de gants en cuir très fins, montant plus ou moins haut sur les avant-bras.

Je me déshabillai à nouveau pour me changer, puis retournai à la penderie pour essayer la longue jupe blanche et les bottes bordeaux. Une fois rhabillé et botté, je ressentis en marchant le plaisir trouble du frottement des bas contre la doublure de la jupe lorsque je remis sur son cintre l’ensemble rouge. Je marchai de long en large devant la glace, faisant voler et s’enrouler autour de moi le bas de la jupe, puis je m’allongeai sur le lit. Je caressais ma fausse poitrine, mes jambes gainées de cuir, puis je retroussai la jupe en me tortillant et promenais mon doigt ganté sur le fond du petit slip. Mes mains allaient et venaient, non pas sur ma peau, mais sur cette matière qui me fascinait tant : le cuir.

Je passai ainsi peut-être une demi-heure, caressant mon sexe tendu sous la jupe, puis n’y tenant plus, je me masturbai fébrilement jusqu’à éjaculer dans des kleenex que j’étais allé chercher quelques minutes auparavant.

Je restai quelques temps allongé en continuant à promener mes mains sur moi avant de me relever, puis je décidai d’essayer la troisième jupe. Elle était très confortable, et finalement, elle aussi "en jetait un maximum" grâce à la qualité de la coupe. Je chaussai les bottes grises. Je déambulai d’une pièce à l’autre pour profiter de mon plaisir.

Je pus constater que je ne rencontrais aucun problème pour porter n’importe lequel de ses habits. Le hasard fait parfois bien les choses

J’essayai dans la soirée ses deux pantalons de cuir, toutes les autres paires de boots et de bottes, ainsi que les deux vestes ¾!

Le temps passa ainsi doucement : Florian dormait à poings fermés, et moi je déambulai, travesti avec les vêtements de cette femme que je ne connaissais même pas.

Par mesure de prudence (je n’osais imaginer la réaction de Ghislaine si elle m’avait surpris ainsi), je décidai un peu avant 23 heures de remettre mon jean et mes tennis. A contrecur, la tête encore dans les nuages, je m’assis dans le canapé du salon et sortis mes cours.

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