Entre temps, Jean-Marc rentra, excité de savoir comment Laurence avait passé sa journée. Celle-ci se délassant dans son bain, yeux mi-clos, désireuse de raconter à Jean-Marc, en détail, sa journée.
Laurence sortit de son bain après s’être séchée, elle s’enroula dans un drap de bain en éponge rose pâle, qui la couvrait à mi-cuisses ; ayant auparavant pris soin d’ouvrir la fenêtre pour offrir à Jean-Marie une belle vue de ses attributs, en détail, sachant qu’il n’était pas très loin à la mater.
Mais à première vue il n’était pas là. Dommage pour lui !!!
Ce que Laurence ne savait pas, c’est que son voisin, qu’elle cherchait du regard, était en fait, au grillage, en pleine discussion avec Jean-Marc.
Et c’est seulement, en venant dans la salle à manger, qu’elle les vit.
Ne changeant en rien à sa tenue, elle les rejoint.
— Alors, mes deux cochons, à peine rentrer, que je vous surprends à discuter !!! Je peux te chercher, Jean-Marie, derrière ta fenêtre, alors que j’étais nue !!!
— J’ai vu Jean-Marc, je suis venu…
— Il est venu, me proposer une soirée animée… Que tu vas sans attendre entamer l’apéro… Dit Jean-Marc.
Et dans un geste brusque, il tira sur le haut du drap de bain, la laissant nue. Laurence, surprise, se laissa faire, regardant ses deux étalons, alors que sa main gauche dégrafa le jean de Jean-Marc, Jean-Marie, lui en fit autant de son côté.
— Tu vas nous sucer !!!
— Tu as pensé que nous avions des voisins ???
— Oui, si ça les dérange, ils n’ont qu’à regarder ailleurs… Sourit Jean-Marc, regardant Jean-Marie. Ne perds pas de temps, ma chérie, suce-nous…
Laurence, docile, s’agenouilla au plus près du grillage, car la queue de Jean-Marie, se faisait envieuse d’être, elle aussi, sucée.
Les deux hommes partagèrent un sourire complice. La main droite de Laurence agrippa la queue de son voisin, qu’elle masturba, avant de venir le sucer à son tour. Durant un long moment, elle joua entre les deux queues en érections, puis se releva, se sentant prête à se faire enfiler.
Elle se tourna vers celle de Jean-Marie, pour se pencher et entamer une fellation.
Jean-Marc, lui, vint devant son fessier dilaté, dont il en écarta les lobes, lui révélant son anus.
Dilatation anale, il lui enfourna son majeur, Laurence, attendant une action de sa part, ne fut pas surprise.
Puis, Jean-Marc, continuant sa promenade, lui prit sa cuisse droite, qu’il releva et écarta, afin d’y glisser dans son volcan en dilatation, sa queue.
Il oscilla un long moment, puis se retira. Regardant en direction des deux maisons voisines, où, sans nul doute, ils s’y trouvaient à les mater.
Il y décida de se mettre sur sa gauche, tout en la laissant continuer une superbe fellation sur celle de Jean-Marie, et commença à lui pratiquer un doigté.
Faisant signe de la tête à Jean-Marie, qu’il y avait du monde de l’autre côté.
Derrière ce grillage et une haie d’arbustes, un bel homme, d’une quarantaine d’années, en jean et tee-shirt, qui devait jardiner au même moment.
Jean-Marc en avait introduit trois de ses doigts, puis, sans aucune difficulté, il en rajouta un quatrième.
Mais l’élasticité de ses parois vulvaires, ont fait que rapidement, Laurence se retrouva fistée, ayant juste, comme effet, de surprise, un soubresaut.
Durant tout ce temps, Laurence, ne retenait pas ses râles de plaisirs, accélérant, elle était en trans, tellement son plaisir fut puissant. Abandonnant quelques secondes la fellation, qu’elle administrait à son
Voisin, le temps de reprendre ses esprits.
Alors que Jean-Marc, lui, ne lâchait pas son regard, sur son autre voisin, qui avait du mal à en faire abstraction.
Jean-Marc laisse le cul de Laurence, l’obligeant à se relever, la prenant par la main.
— Tu viens nous rejoindre, Jean-Marie. La porte d’entrée est ouverte… J’ai une idée…
— Ok, à tout de suite. Répondit Jean-Marie, qui se rajusta, mais qui savait déjà ce qu’il allait se passer.
Ne laissant pas le choix à Laurence, qui comprit très rapidement, lorsqu’ils se dirigèrent vers son autre voisin.
— Tu ne vas pas tout de même, me demander de ??
— Eh bien, si ma chérie… Je te veux totalement offerte à tout et surtout à tous… Lui glissa-t-il à l’oreille.
— Mais, mon cur…
— Rappelle-moi, hier, tu m’as bien dit que tu étais prête à tout pour notre bonheur ???
— Oui… Mais, mon cur…
— Laurence, tu vas te donner à tout ce que je te demanderai…
Laurence ne dit rien, car au plus profond d’elle-même, elle en avait une folle envie, son voisin, un beau noir, svelte, le crâne rasé, 45 ans, dont elle a eu l’occasion déjà de le surprendre nu.
Il n’avait pas une queue, mais un gourdin.
Son voisin s’était glissé entre la haie et le grillage, et donnant un coup d’il vers la maison, il se dégrafa, lui présentant, son gourdin, entre le grillage.
— Bonsoir, je vous dois bien cela… Laurence va vous soulager, elle est gourmande, et, surtout a une grosse envie… Allez, ma chérie, soulage le monsieur…
Laurence s’agenouilla, et commença une fellation sur ce pieu, qu’elle eut du mal à enfourner dans sa bouche, mais l’envie dépassa la surprise, et rapidement elle se fit au format proposé.
Goulûment elle le suça, alors qu’entre-temps, Jean-Marie vint les rejoindre. Laurence s’activa de plus belle.
Puis d’elle-même, elle se leva lui présentant son fessier qu’elle écarta à pleines mains, et se laissa enfiler sur ce pieu, dont elle en donna le mouvement.
Tout en suçant, en alternance, ses deux gros cochons de voyeur, qui sont à ses côtés. Elle se fit jouir aussi puisement que lors d’un fist.
Le voisin lui proposa de la sodomiser. Jean-Marc, la fit changer d’orifice, Laurence avait une crainte, de se faire déchirer, alors qu’elle suçait Jean-Marie, c’est son mari qui la fit coulisser en forçant le passage, la faisant grogner de douleur, douleur qui fut rapidement remplacée par du plaisir intense, jusqu’à ce qu’il jouisse au plus profond de sa rosette.
La soirée ne faisait que commencer.
— Que fais-tu ce soir ?? Demanda Jean-Marc à son voisin.
— Heu !!! Rien de spécial, mon épouse est partie travailler… Moi, c’est Harry…
— Jean-Marie, notre voisin, et Laurence, mon épouse, que j’éduque, et moi Jean-Marc… Tu viens nous tenir compagnie ???
— OK, je sors mon chien, et j’arrive…
Le trio entra à la maison. Laurence en avait plein son petit cul, encore en pleine dilatation, elle décida d’aller prendre une bonne douche, laissant les deux cochons à discuter de leur soirée.
— Je vous préviens les garçons, je suis vidée, avec la nuit que vous m’avez fait passer, j’ai besoin de dormir…
Jean-Marie et Jean-Marc se regardèrent, et c’est Jean-Marc qui prit la parole.
— D’accord, ma chérie… Va te laver ce petit cul… Nous allons faire au plus vite, pour ne pas aller nous coucher trop tard…
— Trop tard, ça veut dire quelle heure pour toi ???
— Le temps de faire connaissance avec notre voisin… Et de se boire un verre, le verre de l’amitié…
Laurence les abandonna, pour se diriger dans la salle de bain. Elle se lava rapidement, mais déjà, malgré la fatigue, son ventre avait faim. Faim de se faire à nouveau, ce nouvel étalon, et pour tout vous dire, elle mouillait, de nouveau. Elle se glissa à nouveau dans le drap de bain, rose, avant de rejoindre, son petit monde.
Jean-Marc, après avoir accueilli Harry, son voisin, et l’ai fait asseoir dans le canapé. Suffisamment grand pour que les trois hommes puissent s’y installer. Il leur proposa un apéro, Whisky pour tous les trois, Laurence ne boit pas d’alcool. Liqueur à grande dose, va lui être proposé.
Jean-Marc, remarqua, dans le sac ouvert de Laurence, un tissu, blanc, à la forme d’une culotte. C’est vrai que pour les adeptes de la culotte, nous avons un il qui ne trompe pas.
Effectivement, au passage, alors que Laurence n’était pas encore sortie de la salle de bain. Jean-Marc attrapa le morceau de tissus, blanc, qu’il étira.
Alors qu’il était assis avec ses deux voisins, qui eux, le regardaient faire. Manipulant cette petite culotte, dont il huma à pleines narines, l’entrejambe. Ne reconnaissant pas le parfum de Laurence, il s’étonnait de la présence de ce vêtement dans son sac.
Laurence les rejoint, restant debout, face à ses trois étalons. Elle regarda Jean-Marc, qui jouait avec le petit vêtement blanc.
— Que fais-tu avec ça ???
— J’allais te poser la question. Que fais-tu avec cette culotte, qui, à ma connaissance, ne fait pas partie de ta garde-robe ??? Lui présentant.
— Euh !!! Je… Bafouant, cherchant ses mots, Laurence, en était écarlate de honte, baissant les yeux.
— Allez, nous en reparlerons plus tard… Viens là, tu vas t’occuper de nos deux amis… Je ne t’ai pas servi d’alcool… Tu as de quoi… T’enivrer…
Laurence, docile, s’exécuta, gardant son drap de bain, elle s’agenouilla devant Harry, lui dégrafant son jean, et, comme, assoiffée, elle lui sortit sa tige bandante, qu’elle avala au plus profond de sa gorge. Elle le suça comme elle aime le faire, avec passion, tout en branlant de sa main droite, Jean-Marie, qui lui s’était dégrafé, tout ça en sirotant leur whisky.
— Heureusement que tu étais fatiguée ?? Dit Jean-Marc, qui lui admirait sa pouliche, jouer de la queue.
— Elle suce à merveille, tu l’as bien éduqué… Hum !!! Je me régale, dit Harry.
— C’est sûr qu’avec ton instrument, elle fait la gourmande… Dit Jean-Marc
Entre-temps, elle changea, se tournant vers celle de Jean-Marie, qu’elle avala avec autant d’envie, même si le volume n’était pas le même.
Puis tirant la queue d’Harry, pour l’obliger à se lever.
Ce dernier compris ce qu’elle désirait, il se leva, s’agenouilla devant ce fessier, et sans avoir à retrousser le drap d’éponge rose, offrant sa raie fessière dilatée, pouvant voir son anus.
Il y glissa son gourdin, s’arrêtant au niveau de l’anus, la doigtant, il fit le choix d’aller dans sa vulve béante, s’y enfournant, et oscilla durant un long moment.
La faisant hurler de tout son corps, puis il vient la sodomiser, avant de venir face à elle et éjaculer sur son visage, bouche ouverte. Exténuée, la soirée se termina par une fellation pour Jean-Marie et Jean-Marc, qu’elle leur fit dans les règles de l’art. Harry, lui repartit comblé, de cette nouvelle rencontre de voisinage, en espérant renouveler l’expérience.
Laurence totalement épuisée tomba dans le lit, pour une nuit réparatrice. Jean-Marc, satisfait de cette nouvelle soirée, se coucha, en regardant sa douce princesse dormir aux anges. Mais sans réponse de la propriétaire de cette petite culotte, qu’il avait trouvé dans le sac à main de Laurence.
Il se leva, layant abandonné sur le canapé, il s’en imprégna, une nouvelle fois, au plus profond de ses narines, à qui peut-elle appartenir ???
À force de humer, il en eut une érection, ce faisant, il se masturba, sans aller jusqu’au bout.
Puis laissant retomber son envie, il finit par se coucher, trouvant difficilement son sommeil, très tard dans la nuit.
Le lendemain, au petit déjeuner, Jean-Marc se fit insistant pour connaître l’appartenance de ce lycra blanc, qu’il lui avait volontairement posé à côté de son verre de jus de fruit.
Lorsque Laurence vint s’asseoir à table, elle ne pouvait ignorer le lycra, elle rougit.
— Peux-tu me dire ce que faisait ce petit vêtement dans ton sac ?? Lui dit-il, tout en buvant son café.
Il y eut une hésitation de sa part, avant de lui répondre.
— Joëlle… Je ne pouvais pas garder plus longtemps ce délicieux W. E., que tu m’as offert, mais tu sais la relation avec elle, qui est purement amitié et même, confidente… À midi, elle m’a rejoint dans mon bureau, ayant fermé ma porte, pour ne pas être dérangées… Je lui ai détaillé. Avec ma crainte, d’être une salope… Même si, comme je te l’ai dit, tu peux me demander tout ce que tu veux, je ne veux pas te perdre… Résultat, je me suis retrouvée couchée sur le bureau… Elle m’a mangé, et fisté…
Jean-Marc, très attentionné, l’écouta.
— Et vous avez fini par un échange de culottes… Je peux la garder ?? Un vrai délice…
Laurence, lui sourit.
— Oui, mon cur, je te l’offre… Allez j’y vais je suis en retard… À ce soir, mon cur… Tu aimes ça, hein, mon gros cochon ???
— A ce soir, ma chérie… Hum, j’adore !!!