Attablée, nous papotons comme font les femmes, de voisines, de chiffon, un peu de sexe, en survolant simplement le sujet. Nous en sommes à notre deuxième thé. Sylvie me raconte en détail comme son mari lui fait l’amour. Je suis à la fois excitée et fascinée. Comment fait-elle pour lui demander de se faire fourrer l’anus, ce petit trou que je protège bien contre toute atteinte. Elle me dit que c’est bon, j’en doute. Je lui avoue qu’elle m’excite beaucoup : c’est vrai je mouille grave.

Elle continue à me dire combien elle aime une langue sur la chatte : moi c’est pareil, quand il me lèche, je mouille, je jouis même en lui donnant pas mal de cyprine, d’après lui.

Nous rentrons vers chez nous, bras dessus, bras dessous. Au moment de nous séparer Sylvie me demande de venir chez elle. Je connais déjà son logis, j’y vais sans appréhension. Elle me surprend à peine quand elle me prend dans sa bras. Elle me colle ses lèvres sur les miennes. Elle m’embrasse comme le ferait un homme. S’en suit un :

Je te veux, je veux te faire l’amour, te lécher, te sucer, te branler, te faire jouir plusieurs fois.

Elle m’embrasse à nouveau. Sa langue est dans ma bouche. Je me laisse faire comme une nigaude.

Je répond même au baiser. J’aurais pu me sauver, la laisser seule. A quoi bon, regretter son étreinte : je ne sait comment les filles se font plaisirs entre elles. Je vais essayer, quitte à ne pas recommencer après. Elle défait les boutons du corsage, elle ouvre devant, quand elle caresse les épaules, j’en veux plus. Elle fait sauter le soutien gorge. Ma poitrine libre me fait un peu mal de désir. Elle caresse un sein. Une main est sur une fesse qu’elle malaxe doucement.

Je me hasarde à enlever son tee-shirt. Sa poitrine est contre la mienne. J’ai envie qu’elle aille bien plus loin. Elle le fait doucement trop doucement par rapport à mon mari. Mais c’est doux, bon, délicat, agréable. Nous sommes pubis contre pubis. C’est chaud, elle me met nue. Je n’ai même pas honte quand je le vois elle aussi nue : mon dieu qu’elle est belle, qu’elle doit plaire aux hommes et aux femmes. Je la veux contre moi, je veux ses caresses, je veux ses initiatives. Je veux tout d’elle. En vérité je ne sais pas exactement ce que je veux.

Sylvie profite de mon inexpérience pour poser sa main sur la chatte par dessus le string. Je sais que je mouille, je sais qu’elle sait.

Ne voilà-t-il pas qu’elle passe une main entre mes fesses. Elle passe doucement : j’en frisonne. Je sens les doigts passer juste sur le cul. Je le serre au maximum. Mais non, elle respecte l’anus pour aller se nicher juste là où j’aime. Elle caresse doucement le clitoris : je me tends vers sa main. Un doigt passe entre les lèvres, les écarte doucement, pas comme un homme toujours pressé. Il frôle le minou, frôle le bouton. Il me tarde qu’elle me caresse à jouir.

Elle me fait coucher sur le lit. Nous sommes nues, toutes nues. Elle me plaît, je la tente. Elle ose sa bouche sur un sein. L’autre en devient jaloux. Le téton durci sans cesse. Elle change de sein : j’aime sa caresse. Elle est couchée sur le coté : je ne peux que caresser ce qui est à portée : peu finalement. Sa tête descend sur le ventre. Le nombril est son objectif. Elle y met sa langue la tourne, me fait envie de plus. Sa main gauche caresse la cuisse Elle effleure la peau fragile.

Elle pose sa bouche tout près, trop près( ?) du pubis. Je dois envoyer des senteurs de fille en chaleur. Elle touche comme il faut le petit bouton ; Je sursaute de surprise et du plaisir nouveau.

Mon Dieu qu’elle me fait du bien. Je m’ouvre encore plus. Elle accentue sa caresse. Je me lâche complètement à son désir. Elle me branle bien mieux que mon mari, ce qui n’est pas peu dire.

Elle ne me masturbe pas longtemps. Sa bouche est sur le pubis, je sens sa langue sur moi. Elle écarte les grandes lèvres puis les petites. Savamment elle la pose sur le clitoris. Je vais mourir de plaisir : je me laisse guider vers l’infini. Je reste les bras écartés, les seins durcis, la bouche ouverte, mes cordes vocales déchaînées : je gueule mon plaisir.

Il ne manque qu’un chose : une bite. Elle n’en a pas, seuls ses doigts me servent. Elle m’en met deux dans le vagin, elle me remplie assez. Je ne sais combien d’orgasme j’ai eu. Je la laisse faire ce qu’elle veut. Elle veux que je lui rendre tout : elle se couche sur moi, me donne sa chatte. Que faire avec un chatte en chaleur sur sa bouche : la manger. Ce que je fais pour la première fois. Elle a un bon goût de cyprine un peu safranée. Elle pousse la gentillesse à me demander si je ne veux pas qu’elle me caresse le cul. Je n’en veux pas. Elle oui, je fouille son anus. Pour moi c’est dégoûtant, pour elle c’est extrêmement bon, chacun ses goûts Tant pis se sera pour la prochaine fois.

Mais la prochaine fois c’est maintenant. Elle me veut encore, je le veux aussi. Nous n’y allons pas par quatre chemins : directement en 69. J’ai apprécié tout à l’heure sa langue. Elle me la donne avec ses doigts. Nous nous léchons en 69. J’aime ça.

J’y pense si son mari arrive que va-t-il se passer ! Rien d’après elle, il aime les hommes. S’il vient il sera avec son amant habituel. J’aimerais bien voir deux hommes se faire l’amour.

Ils sont là, ils m’embrassent sur les joues, même si je suis nue tentante, prête à me donner facilement à eux. Mon amante aussi voudrait bien qu’ils la baisent à deux, un devant l’autre dans la bouche ou au cul. Non ils sont là pour s’aimer entre hommes. Je me demande ce qu’ils vont faire.

Ils le font sans pudeur. Sylvie arrête ses caresses, je regarde comme elle. Ils sont grands forts, plein de vie, avec des queues splendidement bandées. J’en prendrais bien une pour mon usage.

Ils s’embrassent presque sur la bouche. Ils bandent, il se touchent rapidement.Le mari bien sasseoir près de moi. Je voudrais le branler. C’est l’autre homme qui vient sur ses genoux, prend la queue la malaxe un instant. Je vois les deux bite droites. S’ils pouvaient se tromper et nous baiser les deux filles.

Celui qui était assis se lève, s’accroupit en face de son ami. Il écarte les jambes du copain, s’installe entre les deux. Il prend la queue dans la main, la branle un peu. Je regarde toujours curieuse : il la met dans sa bouche. Il lèche la queue comme je le ferais si c’était mon tour. Je la demande, il me la prête juste pour le goûter. Il la remet en bouche : je vois ses lèvres d’homme coulisser autour de la queue. C’est Sylvie qui vient à mon secours en me masturbant. Je regarde à peine ses doigts se promener sur la chatte. Je lui rend la pareille.

L’homme continue la fellation, je vois que le queue grossit un peu. Je ne me trompe pas: elle donne son jus. Un peu en coule sur le menton. J’ai quand même droit à lécher le peu.

Sylvie possède un mari en or : elle se fait enculer, il encule les autres. Moi, je ne cède pas, sauf que Sylvie passe un doigts sur mon bijou de derrière Je ne sais comme elle fait, j’ai envie qu’elle mette son doigt au fond. Elle fait ; je jouis autrement, c’est bon de se faire caresser cet endroit. Je recommencerais, même avec son mari qui s’est bien enculer les hommes.

Je recommencerais avec Sylvie c’est certain.

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