Quelques jours avaient passé depuis que Nicolas avait espionné le couple de parents en pleins ébats. Il était depuis descendu quasiment chaque nuit rôder autour de leur porte, mais jusqu’à maintenant sans succès. Frustré, il remontait généralement se masturber devant son ordinateur, en visionnant principalement des vidéos d’éjaculations faciales.
Ce soir encore, il descendit sur la pointe des pieds et sans allumer, et tendit l’oreille devant la porte de la suite parentale. Malheureusement, une fois encore, il n’entendit aucun bruit et resta en plan avec une demi érection qui déformait son caleçon. Soudain, il entendit un bruit en haut des escaliers et battit en retraite vers la cuisine, le cur battant la chamade. Il ouvrit rapidement le réfrigérateur, et fit mine de chercher à l’intérieur.
Quelques secondes après, la lumière s’alluma et Marion entra.
— Un petit creux ? Mais pourquoi n’allumes tu pas la lumière ?
Nicolas se sentit rougir, mais tenta de conserver une contenance, tout en prenant un yaourt avant de refermer la porte du frigo.
— Oui, j’avais faim mais je ne voulais déranger personne, je pensais que tout le monde dormait…
Il priait intérieurement pour que la jeune femme ne remarque pas la bosse dans son short. Affectant un air détaché tout en mangeant son yaourt, il lui sembla toutefois qu’elle avait remarqué son état. Mais, gêné, peut être était il juste en train de se faire des idées.
Il évitait de la regarder, car Marion était une belle jeune fille, et il ne voulait pas aggraver son état. De petite taille et plutôt menue, elle avait, pour autant qu’il ait pu voir, de belles fesses hautes et rondes, et une poitrine relativement volumineuse compte tenue de sa petite stature. Pour autant, il était difficile de juger car elle ne s’habillait pas vraiment sexy ni près du corps. Ce soir, elle portait un tee shirt long et ample qui ne dévoilait rien de ses formes. Elle prit une barre de céréales.
— Bon, je te laisse. Je vais me doucher et hop, au lit !
Il laissa passer quelques instants après son départ, et remonta lui aussi à l’étage. De la lumière filtrait sous la porte de la salle de bains, et il entendait des bruits d’eau à l’intérieur. Pris d’une inspiration subite, il s’approcha et colla son il à la serrure. A ce moment précis, Marion sortait de la douche. La voyant nue et ruisselante, son érection revint d’un coup.
Il apercevait distinctement les beaux seins en de la jeune femme, volumineux mais apparemment fermes comme du marbre, avec des mamelons réguliers d’une taille parfaite et des tétons légèrement durcis par le frais de la salle de bain. Il voyait également son sexe ombré d’un léger duvet, et, quand elle se tournait, sa somptueuse chute de reins. Décidément, la jeune brunette était magnifique !
Après l’avoir regardée se sécher corps et cheveux, il battit en retraite vers sa chambre, pour ne pas risquer de se faire surprendre. Son sexe pleinement tendu, il attrapa son ordinateur portable et lança une vidéo porno. Sur l’écran, une asiatique suçait et branlait alternativement trois énormes chibres. Il commença lui même à se masturber, allongé sur son lit, l’ordinateur posé à côté de lui. Sur l’écran, l’asiatique se faisait maintenant prendre en double pénétration, tout en suçant le troisième homme. Les gros plans alternaient sur le sexe qui lui ramonait l’anus, celui qui coulissait dans sa chatte, et le dernier qui lui défonçait la bouche.
Il se caressait de plus en plus rapidement, et du liquide commençait à perler de l’extrémité de son gland. L’homme qui se faisait sucer avait attrapé les cheveux de l’actrice, et pistonnait sa bouche à toute vitesse, s’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge sans que celle ci ne paraisse incommodée le moins du monde. Subitement, il sorti son sexe du fourreau accueillant, et expulsa plusieurs giclées de sperme sur le visage de l’asiatique, qui ouvrait grand la bouche pour en avaler le maximum. Pendant ce temps, celui qui la sodomisait s’était retiré et arrosait sa croupe de semence en criant, tandis que le dernier jouissait manifestement directement dans son vagin.
N’y tenant plus, Nicolas accéléra son mouvement de va et vient, et éjacula brutalement en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Le sperme giclait en hauteur avant de retomber sur son ventre, qui se retrouva trempé. Il laissa aller sa tête en arrière, mais sursauta immédiatement en entendant un bruit de choc contre la porte de sa chambre. Il tourna brusquement son regard dans cette direction, et entendit un frottement, des bruits étouffés de pas s’éloignant dans le couloir, et enfin la porte de Marion se fermer doucement.
Incroyable ! Après avoir épié tout le monde, c’était maintenant lui qui était espionné par la fille de la maison. Il se demanda aussitôt si ses précédentes masturbations avaient également été matées par le trou de la serrure. Il s’essuya le ventre et remis son short. Entrouvrant sa porte, il constata qu’il n’y avait plus aucun bruit, ni aucune lumière sous la porte de Marion. Il referma et parti se coucher, passablement perturbé par la situation.
Le lendemain, il ne revit la jeune femme que le soir au dîner, et eu l’impression qu’elle faisait tout pour ne pas croiser son regard. Après avoir mangé, elle dit à ses parents qu’elle était fatiguée et comptait se coucher tôt, puis partit directement dans sa chambre après avoir débarrassé son couvert. Nicolas monta également dans sa chambre, attendit que les parents soient également couchés depuis un petit moment, et sortit dans le couloir. La lumière était toujours allumée dans la chambre de Marion, et il toqua doucement à sa porte.
— Euh, c’est qui ?
— C’est Nicolas, je voudrais te parler. Je peux entrer ?
— Euh, je… Oui, entre.
Nicolas ouvrit la porte et entra. La jeune femme était allongée sur son lit, avec le même grand tee shirt long qu’hier. Il prit un ton courroucé et dit :
— Dis donc, je voulais te voir pour que tu me dises exactement ce que tu faisais hier à m’espionner par le trou de la serrure !
— Quoi, mais je… euh… Pas du tout, je…
— Ne mens pas s’il te plait. Peux tu me dire ce qui t’es passé par la tête !
— Je… Excuse moi, c’est parce que… parce que je n’avais jamais vu un homme nu avant… Je… Je n’ai pas pu m’empêcher, c’était de la curiosité mal placée, je suis désolée…
Nicolas était estomaqué. Comment une fille aussi jolie pouvait être aussi ignorante des choses du sexe à son âge ?
— Tu veux dire que tu n’es jamais sortie avec un garçon jusqu’à maintenant ?
— Euh, si, une fois ou deux, mais uniquement des baisers…
— Et qu’as tu vu en m’espionnant ?
— J’ai vu ton… euh… ta… ton sexe… Mais je t’assure que je ne voyais pas très bien car la serrure est vraiment petite.
— Et qu’as tu vu d’autre ?
— Je t’ai vu… euh… avec ta main…
— Me branler, c’est ça ?
— Oui c’est ça…
— Et quoi encore ?
— J’ai vu les… le… le liquide couler quand tu avais fini. Mais du coin de l’il et de loin, hein, rien dans le détail…
— Et ça t’a plu ?
— Je… Je ne sais pas trop, je n’ai pas pris le temps d’y réfléchir, ça m’a surtout fait un peu drôle et j’étais mal à l’aise de savoir que je t’espionnais…
Nicolas la regarda. Elle paraissait stressée et lui lançait des regards effrayés, guettant sa réaction. Il réfléchit et dit :
— Ce que tu as fait est très mal, tu n’as pas le droit de m’épier ainsi au mépris de mon intimité. Je devrais le dire à tes parents, et ils seraient certainement bien déçus de ton attitude. Ceci dit, comme tu es encore vierge et bien ignorante à ton âge, je comprends que tu te sois laissée tenter. Puisqu’on en est là et que le mal est fait, j’ai le choix entre alerter tes parents et te laisser voir ça de plus près que par le trou de la serrure. Mais dans ce cas il faudra toi aussi me rendre la pareille. Qu’en penses tu ?
— Surtout ne dis rien à mes parents, s’il te plaît ! Je serais trop gênée…Je ferai comme tu veux.
A ces mots, Nicolas s’avança à côté du lit. Marion était toujours étendue, le dos rehaussé par des coussins. Il sentait sons sexe commencer à frémir en pensant à ce qui allait arriver.
— Baisse mon short et tu verras enfin à quoi ressemble une bite de près…
Marion le regarda d’un air gêné, puis tendit les bras pour tirer du bout des doigts sur chaque côté du caleçon, le faisant glisser le long des hanches du jeune homme, jusqu’à ce qu’il tombe au sol. Elle fixa son regard sur le sexe encore flaccide qui pendait entre les jambes, appuyé sur les deux testicules légèrement duveteux. Les veines étaient déjà apparentes, et le gland à moitié gonflé déjà sorti du prépuce.
— Voilà ce que c’est qu’une bite. Pour l’instant elle est encore molle, mais tu vas voir rapidement du changement. En dessous, ce sont les couilles, qui pendent, mais qui vont remonter un peu quand je serai plus excité. Veux tu voir la même bite mais en érection ?
— Euh… Je… Oui, je veux bien…
— Alors il faut que tu me motives. Je pense que la moindre des choses serait de me montrer tes seins, pour compenser un peu l’espionnage que tu m’as fait subir…
La jeune femme rougit comme une pivoine, le regard toujours fixé sur la verge qui grossissait lentement. Elle réfléchit quelques secondes, puis attrapant son tee shirt, elle le fit passer au dessus de sa tête, découvrant ses seins magnifiques et fermes et la laissant revêtue uniquement d’une culotte en coton blanc. Ses tétons pointés trahissait son trouble.
A ce spectacle, le sexe de Nicolas se gorgea rapidement de sang. Les yeux de la jeune fille suivait fixement la verge en train de se relever, jusqu’à pointer vers le plafond, tendue et frémissante. Un peu de liquide suintait du méat.
— Voilà, tu vois maintenant une bite pleinement déployée. C’est ce qui arrive quand un homme est excité, par exemple par une belle jeune fille comme toi. Veux tu toucher pour voir ?
Toujours rouge et gênée, Marion tendit lentement la main jusqu’à toucher le sexe du jeune homme, qui tressauta à son contact. Elle referma sa main autour de la hampe et resta sans bouger. Nicolas remarqua que ses tétons étaient maintenant complètement durcis.
— C’est chaud et dur. Je sens des pulsations…
— Je fais te montrer comment on branle…
A ces mots, il posa sa main sur celle de la jeune femme et commença un mouvement de va et vient. Au bout de quelques instants, il retira sa main et la jeune femme continua docilement à le masturber, les yeux rivés sur son gland. Il se pencha un peu et toucha un de ses seins. Elle eut un léger mouvement de recul, mais n’arrêta pas de le branler. Il caressa un sein, puis l’autre, pinçant légèrement les tétons. Il l’entendait respirer plus fort, et resserrer sa prise sur son pénis.
— Très bien. Maintenant il faut accélérer régulièrement, si tu veux voir ce que c’est qu’une éjaculation…
Il attrapa son autre main et l’amena à caresser ses testicules, tout en le branlant de plus en plus rapidement. Il pétrissait les seins de la jeune fille, et la situation était si excitante qu’il sentait qu’il n’allait pas tenir très longtemps. Il aurait voulu tenter bien d’autres choses, mais il sentait déjà les fourmillements de l’orgasme. Il se redressa et admira le spectacle.
— Tu t’y prends bien… Tu ne vas pas tarder à me faire gicler !
Soudain, deux jets de semence jaillirent de son sexe et allèrent s’écraser sur les seins de Marion. Il eut toutes les peines du monde à ne pas crier. Plusieurs autres puissantes giclées fusèrent, coulant sur les mains de la jeune femme, qui ne cessait pour autant pas de le branler tout en caressant ses testicules.
Il posa sa main sur son bras pour stopper son mouvement de va et vient, et acheva de se vider. Marion ne bougeait plus. Ses mains, ses bras et ses seins étaient maculés de sperme. Elle le regardait, ne sachant pas que faire…
— Je… Je suis toute dégoulinante. Est ce normal d’avoir autant de jus qui sorte ainsi ?
— Oui c’est tout à fait normal, et beaucoup de femmes préfèrent ne pas le gaspiller. Elles le boivent ou le lèchent…
— Tu es sûr ? J’ai peine à croire que ce soit possible de faire une chose pareille… Ce n’est pas un peu… dégueulasse ? Beurk, c’est tout gluant !
— Écoute, tu n’as aucune expérience. Fais moi confiance si tu veux apprendre comment ça se passe…
Devant son air dégoûté, il estima que c’était suffisant pour cette première fois, veillant à préserver toutes ses chances pour la suite qu’il espérait. Il attrapa des kleenex sur le bureau, et l’aida à essuyer ses mains, ses bras et ses seins. Il remarqua que la culotte de la jeune femme était légèrement humide à l’entre jambe.
— Bon, je vais me coucher. Nous poursuivrons cette conversation demain. Bonne nuit !
Il ferma la porte derrière lui, et regagna sa chambre.Il se demandait ce qu’elle était en train de se dire de son côté. Pour sa part, il espérait bien pouvoir continuer dans cette voie et assouvir le maximum de ses fantasmes. Il se coucha et s’endormit rapidement, repu, rêvant de sexe, de sperme et de seins…
— A suivre —