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Le petit garçon puni et humilié – Chapitre 2




Coincé et soumis par la force des choses, j’enlevais donc mes chaussures, mon pantalon et mon tee-shirt.

Elle éclata de rire.

"Mais c’est qu’elle est mignonne, la salope dans sa culotte blanche et sale!"

"Assied-toi et regarde!"

Et là je découvris avec stupeur qu’elle m’avait filmé la veille en train de me caresser et de me doigter le cul, habillé en femme…

Je rougis comme le petit garçon que j’étais et me sentis extrêmement gêné.

"Alors comme ça, tu aimes t’habiller en fille te branler et fouiller ton joli petit cul? Mais tu es une véritable petite salope! j’ai envoyé cette vidéo à ta mère! Elle est furieuse et honteuse! Elle m’a donné carte blanche pour te corriger!

Ce soir tu seras puni et humilié! Salope! Cochonne!

Mais en attendant tu vas te lever, enlever ta culotte et te masturber devant moi! Je veux te voir éjaculer! Allez!!"

"Mais Maria…."

"Il n’y a pas de mais!"

Je reçus une gifle violente qui me fit vaciller sur ma chaise.

Je me levais donc sans plus hésiter, enlevais ma culotte et regardais Maria, le sexe pendouillant.

"Tu vas bander, crois-moi!" dit-elle doucement.

Elle glissa ses mains sous sa robe et retira sa culotte en dentelle, la mit en boule et la glissa sous mon nez.

Elle était humide et odorante, je bandais immédiatement.

Pendant ce temps, Maria avait saisi un caméscope et se mettait à me filmer.

"Branle-toi!"

Excité par la culotte et par le fait qu’elle me voit à poil, je me mis à me branler frénétiquement et à jouir rapidement, envoyant des giclées de sperme un peu partout sur le sol. Quand je me fus vidé, Maria me dit:

"Lèches tes doigts, bouffe ton sperme, nettoie ton sexe ridiculement petit."

Ce que je fis sans difficultés aucunes, l’ayant déjà fait de nombreuses fois auparavant.

"Très bien! Tu es une véritable petite cochonne et à partir de maintenant, tu es ma soumise personnelle.

A quatre pattes, petite salope! Cambre-toi bien que je vois tes petites fesses de pucelle et ton petit trou!

Tu vas avaler tout le sperme que tu as répandu par terre, tu n’as pas intérêt à ce qu’il en reste qu’une seule goutte!"

Je le fis sans rechigner, de toute façon j’aimais le goût de mon sperme, légèrement vanillé;

la position vulgaire et humiliante dans laquelle je le faisais, bizarrement, m’excitait.

"Très bien petite pute! Lève toi et viens avec moi, je vais te préparer pour ta punition de ce soir!"

Je me levais et pris la main qu’elle me tendit, nous allâmes à la salle de bain. Elle mit des gants de caoutchouc et prit tout un ensemble à lavement dans l’armoire de ma mère, elle remplit la grosse poche d’eau tiède et la suspendit à l’armoire.

"A quatre patte, enculé, je vais laver ta boîte à merde!"

Ce que je fis.

"Cambre-toi, cochonne, offre-moi ta rondelle! Enfin rondelle, c’est vite dit! j’ai jamais vu un trou du cul aussi gros: tu as dû en mettre des trucs dans ton cul, salope! D’ailleurs, à partir de maintenant, puisque tu aimes te transformer en femme, on ne parlera plus de ton petit trou mais de ta chatte! De même que tu n’as plus de bite mais un gros clito ; de toute façon ta bite est tellement petite… Tu t’appelles Caroline, tu as bien compris?"

"Oui…"

"Oui qui??"

"Oui Maria…"

"Oui MAITRESSE Maria!! Tu es ma soumise et je suis ta maîtresse!! Ne l’oublie jamais, sinon…"

Sur ce, elle me mit une violente claque sur les fesses qui me fit vaciller.

Sur ce, elle se baissa et enfonça à sec la canule de lavement dans mon fondement et ouvrit le petit robinet;

3et voilà! 2 litres et demi! Et t’as pas intérêt d’en perdre une goutte, sinon… Serre bien ta chatte, je reviens!"

Une fois partie je me concentrais pour ne rien perdre, malgré la douleur et je sentais mon ventre s’arrondir.

Elle revint avec le caméscope sur un trépied, et l’installa de façon à me filmer sans rien perdre.

Puis elle ouvrit l’armoire et prit le coupe-chou dont mon père se servait pour se raser ainsi que du savon et un blaireau. Il n’y avait maintenant plus d’eau dans la poche et je me tordais de douleur.

"Je vais retirer la canule, attention de ne rien perdre!"

Elle la retira doucement et m’aida à me relever.

"Reste comme ça 5 minutes et surtout contrôle-toi!"

Après quoi, elle m’autorisa à me rendre aux toilettes pour me vider, ce que je fis dans un bruit torrentiel.

"Reste assise, Caroline, tu vas mettre un petit moment pour te vider ma salope!!" Effectivement je me vidais en plusieurs fois.

"Tu as fini, Caro??"

"Oui Maîtresse!" "Alors essuie bien ta chatte et viens me rejoindre!"

Elle me rasa toute la tête à la tondeuse puis au coupe chou, j’avais le crâne parfaitement lisse

Elle avait mis une serviette sur la grande table et me demanda de m’y allonger Elle me passa le blaireau savonné sur tout le devant du corps. Elle me rasa délicatement et me demanda de me retourner; elle recommença à me passer le blaireau partout et me rasa à nouveau, y compris très prés autour de la rondelle.

"Descends, mets-toi à quatre pattes et écartes les jambes!"

Elle enduisit ma chatte de vaseline et y introduit deux doigts qui rentrèrent sans aucune difficulté.

"Qu’est ce que t’es ouverte, ma chérie!!!"

Un troisième puis un quatrième doigt rentrèrent avec difficulté et douleurs, puis elle commença à faire des va et vient dans mon cul, m’ouvrant progressivement, puis ce fut la main entière, je bandais et étais sur le point de jouir, elle s’en rendit compte et se retira avec un bruit bizarre de succion.

"Voilà! Tu es bien dilatée pour ton dépucelage de ce soir! Maintenant va prendre un bain, j’ai mis des sels pour que tu sentes bon la femelle que tu es en train de devenir! Interdiction de te branler ou de te doigter, je t’ai à l’oeil! Après tu sors, tu t’essuies et tu enfiles uniquement ces chaussures à talons hauts! Pas de vêtements! Quartier libre jusqu’à 19H!

Après quoi tu raseras au plus près ta barbe naissante de petite pucelle, je ne veux RIEN sentir de piquant sur ta belle gueule de pute!"

Je passais l’après midi à m’habituer aux talons hauts, ce qui me força à me dandiner le cul dans toute la maison.

A 19H, finement rasé, elle me fit venir dans la salle de bain.La caméra était de nouveau en action.

"Pose ce qui est pour la dernière fois tes couilles et ta bite ridiculement petite, sur le bord du lavabo, je vais te traire!"

Elle s’enduisit les doigts de vaseline et les enfonça dans ma chatte, commença à me branler la prostate, pour mon plus grand plaisir, et au bout de quelques minutes je vis sortir le sperme en flots réguliers couler dans le lavabo.

Je me tortillais de plaisir. Quand j’eus tout donné, elle me lava tendrement le sexe et le cul avec un gant de toilette.

"Dis moi, quand tu te branlais habillé en fille, est-ce que tu fantasmais à l’idée de sucer un mec et de te faire casser le cul par une grosse bite bien dure?"

"Non Maîtresse, les hommes ne m’excitent pas, il n’y a que les femmes pour me mettre dans tous mes états."

"Parfait! Je vais donc faire de toi une gouine parfaite! Maintenant, finissons ta transformation gouinasse!"

Elle tint soigneusement mes ongles de mains et de pieds d’un rouge vif. Elle me farda le visage avec attention, mit du noir autour de mes yeux, ce qui souligna leur vert, mit du noir sur mes cils et mes sourcils, et enfin du rouge très vif sur les lèvres.

Enfin, elle fixa sur ma tête une perruque longue et blonde qui me chatouillait les épaules.

Elle m’aspergea ensuite tout le corps, y compris entre les fesses du parfum de ma mère, parfum délicieux.

"Une vraie pute, prête pour la baise!" et tout d’un coup, elle se rapprocha de moi, me saisit le menton, approcha son visage et m’embrassa goulûment. Surpris au début je finis par lui rendre son baiser, c’était très agréable, c’était la première fois que j’embrassais une femme sur la bouche!!…

Elle s’écarta et me dit: "Et maintenant, les habits!"

Elle m’emmena dans la chambre de ma mère. Sur le lit était disposée une panoplie féminine complète, j’étais aux anges.

Ce soir tu vas beaucoup souffrir et beaucoup jouir! C’est moi qui aurait le privilège de commencer à te punir et à te dépuceller! Je veux que tu soit bien dilatée! Penche-toi en avant et écarte les jambes, salope!

Elle cracha sur ma "chatte" et je sentis un objet froid et gros forcer mon entrée avec difficulté.

"Pousse salope, comme si tu voulais faire caca!"

Ce que je fis. Et l’objet rentra d’un coup, je lâchais un cri de douleur.

"Ta gueule! C’est mon plus gros plug, je ne suis jamais arrivé à me le mettre que ce soit dans ma chatte ou dans mon cul!! Tu as un corps très accueillant dis donc!"

Elle éclata de rire.

"Ta mère qui est la gouine la plus salope que je connaisse va adorer voir le film où on voit sa nouvelle fille se faire punir!"

J’étais choqué, j’apprenais d’un coup que ma mère était lesbienne!!…

Elle me fit enfiler des bas de soie blancs et une guêpière assortie. J’adorais instantanément le contact de la soie sur ma peau et des frissons de plaisir parcoururent mon corps.

Elle me mit ensuite un soutif coordonné dans les poches duquel elle inséra deux grosses prothèses en silicone.

"Pas mal!"

Puis elle me passa pardessus la tête une robe se soie noire très courte arrivant difficilement à mi-cuisses.

Elle me mit une claque sur les fesses.

"Tu es hyper excitante, petite salope! Enfile ce string blanc et sale de ta mère, mais d’abord sens comme il sent bon la mouille et le pipi!"

Ce que je fis en prenant tout mon temps tant les effluves fortes qui se dégageaient étaient puissantes et délicieuses..

Puis je l’enfilais, plaquant ainsi mon mini sexe en érection contre mon pubis. J’étais surexcité, la soie caressant délicieusement mes fesses lisses et mon corps délicieusement de femme, enfin!

"Viens voir comme tu es belle et combien tu vas procurer du plaisir ce soir!"

Elle me mit devant la grande glace et je manquais de tomber en arrière en découvrant mon image!

Je voyais l’image d’une très jolie jeune femme juchée sur ses talons hauts avec un tout petit cul bien cambré.

Cela faisait des années que je me caressais, tripotais le cul, mais curieusement je n’avais jamais remarqué à quel point il était joli, petit et bien serré. Fait pour la baise!

Une opulente poitrine et…un angélique visage finement maquillé de jeune fille aux traits infiniment féminins de jeune pucelle effarouchée..

J’étais délicieusement femme et tout mon corps appelait la jouissance.

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