Durant lété, je passais pas mal de temps courir dans les bois et parcs, pour le sport, mais aussi por mater et me masturber.

Ce jour là, la fin de la journée approchait. Je décidai de passer par le petit bois.

Empruntant une allée cavalière, je remarquais une femme en mini-jupe qui téléphonait, assise sur lune des tables destinées au pic-Nic. Les pieds posés sur le banc, elle papotait tranquillement. Elle portait un chemisier blanc et une jupe bleu marine et des lunettes de soleil. Je mapprochais doucement delle, me cachant derrière un arbre. Je sentais déjà lexcitation monter et ma grosse bite commencer à gonfler dans mon short. De là où jétais, je pouvais voir le haut de ses cuisses serrées l’une contre elle, raté pour ce qui est de voir sa culotte, pensais je. Malgré tout je fantasmais et commençais à bander ferme. Je nen pouvais plus. Alors, je baisais mon short, feignant vouloir pisser contre larbre Jétais à une dizaine de mètres de cette jeune femme fort bien foutue, et je bandais comme un taureau.

Continuant de parler au téléphone, celle-ci regarda à gauche et à droite, le sourire aux lèvres. Elle restait les cuisses à moitié écartées, et je ne pouvais toujours pas voir son entrejambes.

Cela dit, je nen pouvais plus, il fallait absolument que je me branle. Alors, jai dégagé ma bite de mon short et je me mis à me caresser à moitié caché par larbre. Jétais dans un état dexcitation très avancé, me dévoilant peu à peu, faisant un pas de côté, je me retrouvai en face de cette jeune femme. Lorsquelle vit ma grosse pine que je branlais, elle ouvrit grand la bouche, toujours souriante, et écarta les cuisses aussitôt. Elle sembla surprise mais intéressée par le spectacle. Je vis alors apparaître sa belle chatte libre de toute culotte

Je ne fixais plus dès lors que son entrecuisses quelle moffrait du regard, les cuisses suffisamment écartées. Les lèvres de sa chattes étaient rasées et charnues, jaurais tant aimé pouvoir la caresser.

Je me masturbais non loin delle, et elle continuait de parler au téléphone, feignant dêtre passionnée par la conversation. En attendant, elle écartait les cuisses de plus en plus, et passa même sa main libre sur sa chatte pour se caresser.

Comme il ny avait personne aux alentours, je décidai de mapprocher delle pour mieux admirer encore le spectacle, et espérer quelle raccroche son téléphone pour soccuper de moi.

A quelques mètres seulement delle, le short baissé, le cul, les couilles et ma bite à lair, je me masturbais ainsi devant elle. Jétais dans un état dexcitation total. Cette salope soffrait ainsi à mon regard sans aucune gêne. Je me masturbais à pleine main devant elle, ma queue offerte à son regard. Je me tenais cambré en avant pour la mettre bien en valeur.

Elle fixait ma grosse queue de derrière ses lunettes, regardant mon gland rose réapparaitre à chaque aller retour. Je grimaçais de jouissance. Les lèvres de sa chatte semblaient sécarter de plus en plus, ses doigts sactivaient de plus en plus . Lintérieur de sa chatte luisait ,cette salope devait bien mouiller.

Je sentais que jallais jouir dune seconde à lautre. Enlevant mon tee-shirt pour lui offrir ma nudité, je mis ainsi la taille de mon sexe en valeur. La femme avait raccroché son téléphone et ne me quittait plus du regard. Je nen pouvais plus .Je me mis à taper ma bite contre mon autre main et ainsi la faire claquer à men faire râler. Sentant que jallais éjaculer, je prenais mes couilles en main et prenais mon gros manche à pleine main et avançant de quelques pas, je me mis, dans un grand râle de jouissance, à jouir de puissants et longs jets de sperme en face delle. Ma spectatrice lâchait alors un cri de stupéfaction, mon foutre giclait sur ses mollets et sur ses pieds.

Une fois léjaculation terminée, ma grosse queue encore gonflée à dexcitation, je reprenais mon esprit. Je me sentais honteux de mêtre branlé devant cette inconnue, mais fier davoir surpris et excité cette belle salope qui en restait bouche bée. Je remontais mon short, je remerciais cette belle inconnue qui sessuyait les mollets a laide dun kleenex .Je mapprêtais à partir lorsquelle me lança « Merci, cétait très agréable, si vous voulez renouveler lexpérience, appelez moi » dit elle en me tenant un morceau de papier et elle sen alla .

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