Sophie:

Ce soir, c’est mon Anniversaire, en sortant du restaurant où nous étions, Xavier, mon mari, m’a promis une surprise, mais, impossible de savoir quoi!! Le voiturier m’ouvre la portière et, un peu grisée, je me laisse tomber dans le profond fauteuil en sachant pertinemment que ma jupe va s’ouvrir jusqu’au ventre et que, placé et courbé comme il l’est, ce monsieur aura une vue plongeante sur mon sexe nu, uniquement voilà par sa toison naturelle…Il ne peut cacher sa stupéfaction lorsqu’il découvre mon luxuriant mont-de-Vénus. Poussant mon exhibition un peu plus loin, je m’étire langoureusement, les bras en arrière et j’écarte généreusement mes cuisses gainées de soie fumée… mes lèvres intimes s’ouvrent sur ma chair la plus secrète, humide et luisante parce que déjà excitée par les caresses que mon mari m’a dispensées pendant le repas. Portière ouverte, donc plafonnier allumé, l’homme, discrètement, se penche davantage pour mieux profiter du spectacle de mon con dans l’ écrin noir et nacré de ma pilosité.Son regard appuyé suffit à faire sourdre en moi un ruisselet de cyprine dont les larmes de plaisir s’égarent au plus bas, vers mon anus.

"Madame ,Monsieur, il me semble bien superflu de vous souhaiter une excellente soirée! " dit-il, en se redressant lentement, les yeux toujours rivés sur ma chatte désormais béante et son sourire complice me donne à penser que ce métier de voiturier doit lui offrir souvent de bien beaux spectacles…et sans doute d’autres opportunités plus actives – voilà que je l’imagine se faisant sucer la bite dans la limousine d’une bourgeoise esseulée…

En démarrant doucement la voiture, Xavier, profitant de ma disponibilité, vient directement investir de ses longs doigts mon vagin béant et pousse un léger sifflement : "Ta chatte est trempée, dis-donc ! ta petite exhibe te fait de l’effet, tu mouilles comme une salope ! En tout cas, tu l’as bien allumé ce brave homme, je suis sûr qu’il va se branler en rêvant à ton si joli con !…" Sans répondre, je me glisse vers l’avant du fauteuil pour faciliter encore plus la progression de ses doigts, il me pénètre au plus profond , sa paume titillant au passage mon clitoris saillant et gonflé."Arrête-toi sur le bas-côté, lui dis-je, je suis trop excitée, j’ai la foufoune en feu! branle-moi à fond! fais-moi jouir….. vite,vite !!!! " Dès l’arrêt entre deux lampadaires, il se penche sur moi, sa main gauche part à l’assaut de la place déjà bien ouverte, l’investit presque brutalement et sa main droite s’empare de mon bouton bandé pour mieux le frotter, le pincer,le branler… OOOHH! oui,ouuuiiii…Xav!…plus fort !pince-le, branle-le bien ! enfonce tes doigts!…j’aime…c’est bon…je suis super excitée…ooohhhh!!je viens…je vais jouir…aaahhhhh…plus viiiteeeeee……!!!!!!!!!! " .

Xavier:

Je la connais bien ma coquine, le suraigüe de sa voix est un signe: l’orgasme est là, tout proche. Je continue de manier son clito, bouton rouge vers la déflagration, mais je retire ma main gauche ….juste une seconde avant qu’un jet puissant-plus puissant et plus soutenu encore qu’un jet d’urine- jaillisse de son con, tandis qu’elle se tend sur ses talons, reins cambrés, chatte en avant pour accentuer cette éjaculation, preuve irréfutable de l’ampleur de son plaisir !!! Décidément,le repas "arrosé " et la séquence avec le voiturier l’avaient déjà bien fait grimper aux rideaux,… c’est de très bon augure pour la réussite de la surprise que je lui ai concoctée……………mais, chut !!! Je ralentis ma pression sur son clito pour passer à des caresses plus sensuelles, ma main glisse sur sa chatte et ses cuisses mouillées de ce liquide onctueux mais transparent que seules savent libérer celles que l’on appelle "femmes-fontaine" – ma Sophie est de celles-là !!!-

Sophie :

Quelques minutes après ce fantastique orgasme, je retrouve tous mes esprits et me redresse un peu sur mon siège,sans doute aussi mouillé que ma jupe et mes cuisses. Xav’ conduit plutôt lentement, et, me sentant bouger, me dit: "Wouaouh! quel jet tu as lâché, ma coquine…tu as joui comme une reine!" et il ajoute en chantonnant à la Dutronc " … Et moi! et moi! et moi!"

J’allume le plafonnier droit et je constate qu’il a défait les fermetures de son pantalon à pont -style ancienne marine- dégageant ainsi sa bite bien bandée. Je l’enveloppe de la main et la caresse descendant jusqu’aux couilles, libérées, elles aussi par l’ouverture.

" Mon joli dard dresse la tête, il a peut-être envie de se faire pomper ? " demandai-je, presque innocemment. Un sourire gourmand fut sa seule réponse; je me laisse glisser sur le côté et referme mes lèvres autour du gland luisant, sur lequel je passe délicatement ma langue, puis j’accélère le rythme pendant que , de la main droite, Xav’ remonte le pan de ma jupe longue et vient investir mon cul d’un doigt précis. J’adore quand il me pénètre ainsi et qu’il me branle pendant que j’engloutis son " "cabot " (mot du créole réunionnais qui désigne ce que vous pensez!). Son doigt glisse en moi tandis que ma bouche l’avale de plus en plus profondément, sur un tempo…de plus en plus rapide, mais il me calme "Lento,lento……., ne me fais pas jouir maintenant ! La soirée ne fait que commencer!!! "

Xavier:

Elle se calme, heureusement car il m’était impossible de me retenir longtemps, léché, sucé, absorbé par ses lèvres si actives et sa langue si douce … c’est vrai, So’ est une virtuose de la fellation qui vous enveloppe la queue comme dans un écrin de soie et de velours mêlés…mais un écrin sacrément autonome!

Elle ralentit sa cadence mais ne cesse ses "caresses buccales et manuelles" (dixit Gainsbourg!) qu’à notre arrivée sur le parking de "LAmbigüe ", la boîte "in" du moment…

So’ se relève, elle remet rapidement un peu d’ordre dans sa tenue,

et me dit d’un ton gourmand: "Ah, je vois,Monsieur se sent coquin ce soir! Monsieur n’aurait-il pas envie que sa pauvre petite femme se conduise comme la salope qu’elle est? Monsieur veut-il me voir baiser comme une pute ?…Je suis très en forme, ce soir, tu ne seras pas déçu, crois-moi !!! ". Sur ces mots, elle sonne à la porte du club… Nicolas nous accueille en souriant; brun,plutôt mince, il est, comme tous les employés mâles de la maison, vêtu d’une souple djellabah de lin blanc. Ma Sophie lui lance gaiement "bonsoir, Nico,en forme ce soir? "tandis que sa main droite se glisse dans les plis de la djellaba…et vient caresser le sexe nu de leur hôte. " Toujours aussi douce…ta queue! Une vraie friandise à déguster sans modération!!! "

Xavier :

Nicolas nous conduit dans le petit salon que j’ai réservé- salon qui ressemble d’ailleurs plutôt à une chambre délicatement meublée et garnie de plusieurs grands miroirs … "Déshabilles-toi, ne gardes que tes bas …et tu mettras ça ! " dis-je à So’, en lui tendant un masque aveugle. Toutes les pièces de l’étage ne sont séparées du couloir que par une grande baie vitrée et un rideau que l’on peut tirer pour sauvegarder l’intimité, mais il faut bien dire, vu le genre de la maison, que la plupart restent ouverts à la vue de celles et ceux qui passent par là…Par contre, la porte tirée indique qu’on ne souhaite pas de visites pour le moment.

"On joue à Colin-maillard,ce soir! "répond-elle en riant. Elle se déshabille rapidement, met le masque. Une très belle métisse entre et dépose sur la table du champagne et des verres. Brune, cheveux courts, elle porte pour seul vêtement un collant noir translucide dont la découpe découvre un pubis couvert d’une fort belle pilosité crépue, ses seins plutôt menus contrastent avec la belle ampleur de ses fesses magnifiques, mises encore plus en valeur par le collant indiscret. et par les escarpins noirs à très hauts talons qui accentuent leur aspect callipyge. Je ne peux retenir un court sifflement en ajoutant: " Bonsoir, vous êtes très belle,Mademoiselle….! – Bonsoir, je m’appelle Maélys, et je suis tout à votre service. – Commencez donc par mettre Madame en condition, même si elle n’en a , j’en suis sûr, pas vraiment besoin, n’est-ce pas ma chérie? – Exact! mais je n’ai rien contre un supplément de préparation…viens Maélys, montre-moi que tu sais lécher une belle chatte, sans négliger les autres lieux stratégiques ! " Ce disant, elle s’étend sur le lit, écarte ses cuisses découvrant son sexe encore avide de sensations. La jeune femme s’agenouille face au coquillage offert et y colle ses lèvres. "Oui, oui, comme ça, suce le bouton, fais bien bander mon clito,…aahhh, salope, comme tu me lèches bien, pousse, pousse ta langue au plus profond, tu sens, dis, tu sens comme je mouille!!! ooohhhh,ouuiiii, tiens, vas-y, lèche-moi aussi le cul, enfonce bien tes doigts, prépare-moi bien ,ce soir je veux qu’on me prenne par tous les trous, de toutes les façons…làààààà! ohhhhh, c’est bon…tu es une vraie gouine, ta langue est diabolique, je la sens encore sur mon clitoris ou dans mon vagin qu’elle est déjà en train de me fouiller le cul!!! aaahhhh!!!! je…jeee joooouuuuuiiiiis………!!!!!Xav’! oh! Xav’ ! arrête-là, elle va me tuer….."

Son corps arqué, tendu vers le plaisir se relâche d’un coup, Maélys se relève bouche et visage luisants des copieux jets de mouille qu’elle a déclenchés.

Xavier :

Joli spectacle, en vérité! So’ n’est jamais aussi belle, aussi flamboyante que quand elle jouit sans retenue ni pudeur; sans parler du plaisir que j’ai pris à épier les mouvements de sa partenaire dont la position me permettait de voir ses lèvres intimes s’humidifier peu à peu, son clitoris étonnamment développé et saillant, preuve irréfutable de la montée de son propre plaisir, également révélé par les multiples contractions vaginales et anales qu’elle ne pouvait contrôler et qui dévoilaient jusqu’au plus profond les chairs roses, violettes ou bistres de son intimité.

Sans bruit, Nicolas accompagné un autre homme que je ne connais pas entrent dans la chambre. L’homme s’approche du lit et sur ma demande, So’ se relève et, sans le voir, entreprend de le déshabiller: je sais combien elle adore ça: dénuder peu à peu un inconnu qui va la baiser, glisser sa main dans le slip pour découvrir le membre qui va la défoncer, la mener au plaisir, je devine qu’elle explore ce bas-ventre, qu’elle prend ses couilles à pleine main pour en estimer la grosseur, en apprécier la douceur, puis elle saisit la hampe déjà bien bandée, la caresse et la branle pour en évaluer la puissance… "C’est un très belle bite que tu m’offres là, mon chéri, la peau est fine, douce, chaude, elle est vraiment très grosse, j’arrive à peine à en faire le tour avec les doigts, par contre, elle n’est pas très longue, plutôt courte même, elle ne pourra aller très profond, mais elle va me remplir le vagin de belle façon, j’en suis sûre! Et ces couilles, je les devine bien pleines, prête à décharger des torrents de foutre qui vont me combler….et te combler également,mon amour, je sais que ça va te plaire !…" puis elle se tait car elle vient de refermer ses lèvres sur cette bite trapue qu’elle suce avec délectation avant de l’engloutir tout entière. L’ inconnu pousse quelques gémissements de plaisir…les lèvres chaudes qui avalent sa chair tendue, les dents qui mordillent légèrement sa tige, la langue souple qui s’enroule autour de son gland rougi, je sais tout ça et j’en connais les délices !!!

" Arrête!" dit-il en se dégageant d’un coup de reins. "Tu suces divinement bien, mais là, je veux te baiser, t’emplir le con de mon foutre…je vais t’éclater la chatte…"Encore agenouillée, So’ enchaîne d’un ton outré : "Oh là, Monsieur, fi de vos grossièretés, nous n’avons même pas été présentés!!!" Un instant décontenancé, l’homme se rassure car, sur ces mots, So’ affiche un sourire moqueur.

"- Pardonnez-moi! Je m’appelle Paul, Paul F…, nouveau dans la région!…vos êtes tellement bandante que je n’ai pu me retenir ! – Eh bien j’espère que vous saurez mieux vous retenir le moment venu…vous devez savoir que j’apprécie tout particulièrement les longues, très longues séances, la baise en trente secondes, très peu pour moi !! – Comptez sur moi pour vous satisfaire !! Impatient,j’interromps le badinage :

"- Foin de vos galanteries , passons plutôt à l’étape suivante . Paul va s’étendre sur le lit, et toi, ma chérie, tu vas te mettre sur lui, Maélys va t’aider …"

La bite (d’amarrage ! ) toujours dressée, Paul s’exécute, Maélys aide So’ à s’agenouiller au dessus de lui, tenant dans sa main le manchon rigide, elle le dirige vers l’accueillant refuge. Lorsqu’elle sent le gland à sa portée ’So’ se laisse tomber d’un coup sur le membre turgescent. en poussant un cri sauvage."Aaaaooouuuh! elle est si épaisse qu’elle me remplit entièrement ! Tu la vois, mon chéri, tu vois comme ta petite femme est comblée? . – Attends, ce n’est pas tout ! " dis-je en indiquant d’un geste à Nico que c’est le moment d’y aller. Nu, il monte sur le lit, dirige de la main sa longue queue vers l’anus déjà dilaté par Maélys et il investit la place d’un seul coup de reins.

" Aaaaah, Nicolas’ que tu m’encules bien… Tu sais,ta bite est si longue que je la reconnaitrais entre mille ! Ah! tu vas jusqu’au fond…j’ai un serpent dans le ventre…et un canon dans la chatte, pénétrez-moi bien, faites-moi éclater…deux pines pour moi toute seule, c’est diviiiiiin ! Non, pas d’alternance! Je veux que vos queues sortent et entrent en même temps! Allez! allez! ne me ménagez pas! J’aime ça…je suis une salope, baisez-moi!enculez-moi!Putain, que c’est boooooooon…………!!!!!!"

Sophie :

Contrairement à ce que je souhaite, mes deux amants baisent chacun à son rythme. Manifestement,Paul veut éviter la "sortie de route" et ne donne que de courts mais puissants coups de reins, sa queue me remplit comme un bouchon dans un goulot de bouteille, son bas ventre frotte régulièrement mon clito bandé au maximum, excitant ainsi toutes mes terminaisons nerveuses.

Derrière moi, Nico, au contraire, dans un ample mouvement, sort presque entièrement de mon cul puis il y replonge de toute sa longueur, avec un claquement sonore quand il s’abat sur mes fesses.

Un cul ne peut, je crois, être plus profondément investi que le mien, à cet instant. Leurs assauts désordonnés font que l’un sort de son antre lorsque l’autre s’y enfouit encore plus ou, à l’inverse, les deux queues me défoncent dans la même poussée en avant; je me sens alors entièrement prise, écartelée par les deux boutoirs…mon cul sécrète toutes ses humeurs, ma chatte dégouline de mouille, facilitant encore plus les pénétrations!

Xavier :

Assis sur le côté du lit, je lis sur le visage de ma femme la montée du plaisir, je bande comme un cerf et Maélys s’approchant de moi me fait lever puis entreprend de me déshabiller, ce qu’elle fait avec une dextérité de professionnelle. Elle s’empare de ma bite tendue, me branle de la main droite et, de la gauche me caresse les couilles. "Que ta bite est dure, dit-elle à voix basse, tu aimes ça, hein, mater ta nana qui se fait troncher par tous les trous, ça t’excite de la voir se donner totalement à ces hommes… je te sens bander encore plus…c’est vrai qu’elle est encore plus belle quand elle se fait mettre par tous les trous et quand elle jouit comme une salope."

Elle n’imagine pas à quel point elle a raison, mais je ne réponds pas car elle me fait écarter les cuisses d’une pression de la main, et elle m’enfonce un doigt, puis deux, dans le cul, tout en continuant de me masturber, ce qui accentue encore ma bandaison! Je ne sais quel onguent ou quelle crème elle utilise mais ses longs doigts vont et viennent en moi avec une facilité et une douceur extrêmes, je les sens de l’intérieur comme si elle me branlait à deux mains ce qui m’oblige à la calmer un peu, car il n’est pas encore temps pour moi de "jeter ma gourme"…Sur le lit, la cadence s’accélère, les aller-retours des deux hommes sont de plus en plus rapides, So’ gémit et crie son plaisir en continu…

"Aaaaahhhh! mon amour, que c’est boooon! La bite de Nico me fouille au plus profond… Je la sens qui durcit encore, aaaaahh, oui, vas-y,Nico, remplis-moi le cul de ton foutre…oui! ouuuiiii! viens!!! lâche tooouuuuuuut!!!!!!!!!! Et toi,mon Paulo, vas-y, cravache, ne me laisse pas refroidir, mon con en veut aussi, …oui! je sens que ça vient, inonde-moooooiiiiiii! Non, Nico ne pars pas encore, je veux garder ta pine chaude en moi pendant qu’il me fourre…"

Les coups de reins désordonnés de Paul traduisent l’explosion imminente…et il se lache dans un grand cri !

"Aaaaaahhhhhhhhhh! le salaud; il me jute jusqu’au fond de la matrice, c’est un vrai canon, sa queue…et quels jets il me met, mmmmmhhh, je sens que ça vient, ça monte comme un typhon, j’ éclate, je joouuuiiiiiiis…oh,mon amour, regarde, regarde comme ils me remplissent, les cochons !!!!! "

…Un moment après cet orgasme fou, tandis que Maélys continue de me fouiller le cul et de me branler la pique, Nicolas se relève et, prenant sa gandhoura, sort de la pièce. So’ se dégage à son tour, un sperme abondant dégoulinant de sa vulve et de son anus…Elle ôte alors son masque !

Agenouillé sur le lit Paul , la pine toujours en érection, lui dit : " Tu es trop bonne, Sophie, tu vois, je bande encore pour toi, maintenant, je voudrais t’enculer, tu veux bien?

— Oh oui, je veux que tu me défonces avec ta grosse queue!…"et, se tournant vers moi, elle ajoute: "Dis, mon chéri, tu veux bien que ta douce femme se fasse enculer par le monsieur? "

Elle n’attend évidemment pas la réponse et se remet sur le lit à quatre pattes , cul et con béants et inondés puis lui lance, impatiente: " -Eh bien, qu’est-ce que tu attends, tu ne vois pas que je t’offre tous mes trésors! "

Paul s’agenouille derrière elle, lui écarte les fesses des deux mains pour la dilater le plus possible et, sans coup férir, plonge en elle d’un seul élan…

"-Ouuuh! le salaud! Comme il m’embroche! Heureusement que le passage est bien lubrifié, sinon j’aurais senti ma douleur! Qu’elle est bonne ta pine dans mon cul…vas-y, casse-moi le pot, fais-moi grimper au ciel…! "

L’homme va et vient en elle, de plus en plus fort, sa queue sort entièrement de son antre, puis le défonce à nouveau, le gland vient buter sur le sphincter, investit de force la rondelle comme s’il la violait à chaque coup de reins. Sous les assauts répétés, So’ gémit sans arrêt, le plaisir la submerge, de la main droite, elle se branle le clitoris congestionné … Le ventre de Paul claque, chaque fois contre les fesses qui viennent, tout aussi violemment, à sa rencontre.

"Ouaaaiiiis!,s’écrie-t-il soudain, ça monte, ça vient…je vais te le remplir ton cul, belle salope!…" , et il lâche tout dans un dernier coup de boutoir…

Délaissant Maélys qui me branlait lentement, je viens sur le lit, me place derrière So’ toujours à quatre pattes, pendant que Paul quitte la pièce. Je colle mes lèvres dans l’entre-cuisses dégoulinant et ma langue s’active à lécher le foutre qui s’écoule peu à peu de ses orifices.

" Oooooooh oui, mon amour, lèche bien, avale bien tout, nettoie bien ta salope qui en a plein le ventre et plein le cul… Il es bon, non?, tout ce foutre qu’ils m’ont mis tous les deux et qui s’est mêlé au mien… mais attends…, je veux sucer ta queue, étends toi là…"

Elle vient alors se placer tête-bêche sur moi, cuisses ouvertes sur mon visage, sa bouche se referme sur ma queue tendue et se met à me pomper le dard tandis que ma langue replonge dans sa fournaise. Maélys ne reste pas inactive, elle papillonne autour de nous, caressant ici mes couilles gonflées, titillant là les tétons dressés de Sophie…ses longs doigts pénètrent tour à tour dans les orifices disponibles…

Tout en me suçant comme elle sait si bien le faire, So’ me fouille le cul, ses doigts s’activent à l’intérieur pendant que sa langue s’enroule autour de mon gland et que ses lèvres vont et viennent le long de ma hampe.

Le sperme luit partout en perles de rosée dans sa pilosité et en longues traînées blanches sur ses cuisses. Tout en léchant, je viens mordiller de temps en temps son clito qui, sans pouvoir rivaliser avec celui de Maélys, n’en est pas moins d’une belle grosseur. Alors que j’appuie sur son bas-ventre pour faire sortir le foutre, elle interrompt sa fellation: " Pas si fort, chéri, tu vas me faire pisser!

-Tu sais que j’aime tout de toi ! "lui dis-je et je reviens à mon activité. Un instant plus tard, je sens son ventre se contracter, quelques gouttes dorées glissent sur mes lèvres,suivies de jets plus conséquents. je déguste tout, au moment même où ma queue frémit, grossit encore et mon gland éclate dans sa bouche en flots saccadés qu’ elle avale jusqu’à la dernière goutte…

Quelques instants plus tard, nous dégustons une coupe de champagne et So’, les yeux encore embués de plaisir, s’exclame: "-Cet anniversaire, c’est un vrai feu d’artifices! Maélys, veux-tu t’occuper encore de mon chéri, en ce qui me concerne, ces hors duvres m’ont ouvert l’appétit…je crois que je vais vous laisser et aller chercher le reste du menu, avec le gâteau, bien sûr!!!! ".

Elle se lève, se sert une autre coupe puis, nue avec ses bas et ses hauts talons, elle sort de la pièce en disant d’un air très coquin: "Je laisse la porte ouverte!"

Maélys me regarde: "Dis donc, ta femme, c’est une grande gourmande! Tu l’imagines, elle va se faire baiser et enculer à satiété, combien d’hommes ou de femmes vont lui faire l’amour ce soir? Elle va te revenir couverte de foutre! tu vas pouvoir te régaler, hein, mon salaud! Tu vois, rien qu’à cette idée, tu bandes déjà!…Je vais pouvoir rattraper mon retard car, jusqu’à maintenant j’ai pas eu mon compte, moi, même si j’ai superbement joui en vous caressant! "

Elle a bien trouvé les mots qu’il fallait, je sens ma queue se redresser, reprendre de la vigueur.

" Regarde-moi, me dit-elle en se couchant sur le lit, cuisses ouvertes, je vais me branler pour toi, rien que pour toi, ça va te remettre en pleine forme! ".

Elle se caresse les seins, en étire les pointes bandées, descend vers son ventre, se pénètre d’un doigt, puis de plusieurs qui vont et viennent en elle avant de pincer son étonnant clitoris. Elle se branle comme pourrait le faire un jeune garçon, elle gémit doucement, ses fesses se soulèvent d’un mouvement régulier, "viens, oh, viens, prends-moi! J’en ai trop envie! "

Étant moi-même en train de me masturber, je me place entre ses jambes et, écartant sa main, je prends sa mini-queue dans ma bouche, je la mordille et la suce longuement jusqu’à ce qu’elle clame son plaisir. Attirée par ses cris de jouissance ou bien par ce qu’elle vient de voir à travers la vitre, une femme entre et s’approche de nous. Pas très grande, des cheveux blonds très longs, un très beau visage, elle ne porte qu’un châle léger sur les épaules et des talons aiguilles. Son sexe, entièrement rasé, ressemble à celui d’une petite fille, mais on aura compris que je préfère les chattes bien velues, les pilosités abondantes qui laissent planer le mystère sur les vulves qu’elles recouvrent élégamment.

"Bonsoir, moi, c’est Mariange,…je vous ai trouvé si beaux tous les deux que j’ai eu envie de me joindre à vous, si vous le souhaitez!

-Aucune objection! Voici Maélys, moi, c’est Xavier…"

Elle se penche et, tour à tour, nous embrasse langoureusement sur la bouche, ses lèvres et sa langue sentent le sperme, elle a dû en avaler récemment…

Related posts

Prisonniers des émeutiers – Chapitre 4

historiesexe

Les machinations de Laure – Chapitre 2

historiesexe

Mon nom est Angie – Chapitre 5

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .