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Jeu de soumission – Chapitre 2




La pièce était spacieuse, décorée simplement mais avec goût. Le lit était assez grand et la tête de lit avait des barreaux en fer forgé.

«Idéal pour y être attaché, pensai-je.

Les volets étaient fermés, il alluma un halogène près de son bureau et fit en sorte de mettre une lumière tamisée. Face au lit se trouvait une gigantesque armoire sur laquelle il y avait de grands miroirs sur deux des quatre portes qui la composaient.

Thomas vint me placer devant ladite armoire et me fit m’agenouiller sur le sol.

Lui aussi se mit à genoux derrière moi. Nous nous regardions indirectement dans les yeux à travers le miroir, il fit courir ses mains sur mes épaules et me massa légèrement la nuque.

J’étais tendue, mais l’excitation se faisait de plus en plus grande.

Ses mains descendaient chaque fois plus bas dans mon dos afin de venir caresser mes flancs et finir par remonter lentement vers ma poitrine.

Il ne me lâchait pas du regard, et moi non plus.

Il prit mes seins fermement en main tout en continuant son massage. Mes tétons étaient devenus durs sous le plaisir que ses caresses me procuraient. Il décida de jouer avec, les pinçant, les faisant passer entre ses doigts.

Le moment était très sensuel, le plaisir avait maintenant prit le dessus sur tout le reste.

Il fit descendre sa main droite sur mon ventre pour venir caresser les haut de mes cuisses, tout en prenant bien soin de venir effleurer mon intimité. A chaque fois, ce contact faisait naître des frissons qui parcouraient mon corps tout entier.

Désireuse de plus de plaisir, je le lui fis comprendre en ouvrant mes cuisses. Recevant clairement le message, il ne se fit pas prier. Il caressa langoureusement mon clitoris. J’étais déjà bien humide et apparemment il en était satisfait, en vue du petit sourire qu’il esquissait.

Enfin, il introduisit un premier doigt, rapidement suivi d’un second. Il commença à faire des va-et-vien, d’abord lents, me permettant de bien le ressentir et d’accroître le plaisir déjà bien présent. De son autre main, il délaissa ma poitrine pour venir prendre mon cou et le serrer doucement.

Plaquant son torse contre mon dos, j’ouvris encore plus les jambes pour qu’il puisse accélérer et intensifier ses caresses. Le plaisir était tel que je renversai la tête en arrière sur son épaule.

Le bâillon me gênait pour respirer et son étranglement n’arrangeait rien. Mais une chose était sûre, c’est que c’était très stimulant.

L’orgasme était proche, je gémissais de plus en plus, remuant le bassin au rythme de ses caresses. Puis, en une fraction de seconde, ce fut l’explosion. Mon corps tout entier se contracta sous l’effet de la jouissance. Je m’étais bien évidemment déjà procuré du plaisir seule, allant jusqu’à l’orgasme à chaque fois. Mais je n’en avais jamais connu d’aussi puissant.

Il arrêta ses caresses progressivement et lâcha mon cou. Il m’aida à me relever, encore tremblante, et me dirigea vers le lit.

Il me fit m’y mettre à genoux, face au mur, donc face à la tête de lit. Il détacha mes poignets, pour n’en garder qu’un, qu’il fixa, toujours à l’aide de la ceinture du peignoir, à ces entrelacs de fer forgé.

Il s’éloigna un instant, fouilla dans le même tiroir que dans lequel il avait prit le bâillon, et en sorti deux cordes, dont une qu’il utilisa pour attacher mon autre poignet. Avec la seconde corde, il attacha mes chevilles l’une à l’autre. J’étais complètement exposée et maîtrisée dans une position qui me dévoilait entièrement. Je trouvais ça terriblement excitant.

Thomas enleva enfin son pantalon, et en vue de l’état dans lequel il était, il devait y être très à l’étroit. Il vint se placer derrière moi, pressant son membre durci contre mes fesses et mes lèvres humides. De ses mains, il caressait mon dos en partant de la chute de reins jusqu’aux épaules. J’étais de nouveau excitée.

Puis il me pénétra, en douceur, pour que tous les deux puissions savourer ce moment. Il s’enfonça aussi profondément qu’il put, puis se retira. Il recommença ce procédé pendant un instant, tout en caressant mon dos.

Ensuite, il plaça ses mains sur mes hanches et les tint fermement tout en accélérant ses va-et-vient. Mon excitation était à son paroxysme, mes gémissements se faisaient plus intenses.

Thomas posa une de ses mains sur ma nuque et enfonça ma tête dans l’oreiller pendant quelques secondes pour m’étouffer d’une autre manière. J’étais complètement électrisée sous l’effet de la surprise et de l’excitation. Il recommençait plusieurs fois.

Maintenant sa peau claquait contre la mienne, je me cambrais au maximum pour pouvoir le ressentir au plus profond de moi. Il ne fallut pas longtemps pour que nous jouissions tous les deux simultanément.

Il resta en moi un instant. Nous ne bougions plus, tous les deux, le souffle court. Une fois nos esprits retrouvés, il se retira et me détacha.

Il alla prendre une douche, et moi, pendant ce temps, je restai allongée sur le lit réalisant à peine ce que je venais de faire. Quand il sortit, il ne portait qu’une serviette blanche autour de la taille. Les cheveux mouillés, quelques gouttes sur le torse, et son regard qui me transperçait il était encore plus sexy.

Même après ce que nous venions de partager, je le désirais encore. Sans échanger un mot, seulement un regard et un sourire, je pris sa place dans la salle de bain. Je remarquais que les cordes à mon poignet et aux chevilles avaient laissées des marques sur ma peau. Ma main droite était aussi endolorie, réalisant seulement maintenant, que je tenais encore le trousseau de clés qu’il m’avait donné. Effleurer ces marques éveillait une petite douleur, qui stimulait à nouveau mes sens, me forçant à me rappeler ce que nous avions fait et le plaisir que ça m’avait procuré.

Mais il fallait que je me ressaisisse, le week-end ne faisait que commencer. Rien qu’à cette idée, l’excitation refit surface. Je me dépêchais d’entrer sous la douche, laissant l’eau chaude emporter avec elle mon désir naissant. Quand j’en sortis, encore une fois couverte de son peignoir, il était allongé sur le lit et avait remplacé la serviette par un boxer. Je restais debout, face à lui et observant son corps. Il se redressa et me fit signe de venir à ses côtés. Timidement, je l’écoutais. Aucun de nous n’osait parler en premier. Ne sachant pas vraiment quoi dire.

— Est ce que ça t’a plu ? Demanda-t-il au bout d’un moment. J’espère que pour ta première fois je n’ai pas été trop brutal et que tu as apprécié tout autant que moi.

— Oui, c’était puissant et terriblement bon. Mais j’espère que tu ne t’es pas retenu à cause de moi.

— Ne t’inquiètes pas pour ça me dit-il en souriant, j’ai apprécié. Et je suis heureux que tu m’aies fait confiance pour ta première fois

— J’en avais envie, je voulais que ça soit toi. Je savais que tu me respecterais, peu importe comment ça allait se passer.

Il se contenta de me répondre en souriant de plus belle, et déposa un baiser sur mon front. Puis il s’allongea et s’endormit peu de temps après. J’en déduisais que je pouvais dormir avec lui puisqu’il ne me disait rien à ce sujet.

Je mis plus de temps à trouver le sommeil, ne pouvant m’empêcher de repenser à tout ça. Surtout le sachant à mes côtés, j’entendais sa respiration et voyais son dos bouger à chacune de ses inspirations et expirations. J’avais envie de le toucher, de balader mes mains sur cette peau lisse, de sentir la chaleur de son corps. Mais je ne pouvais pas, je ne savais pas si j’en avais le droit ou non.

Quand je me réveillai, il n’était plus là. Il avait laissé un petit mot sur la table de la cuisine me disant que son patron l’avait appelé pour une urgence et qu’il ne savait pas quand est-ce qu’il serait de retour. Et que par conséquent, je ne devais pas l’attendre.

Je décidai donc de déposer ses clés chez le concierge et d’aller en ville pour aller récupérer ma voiture que j’avais abandonnée la veille, non loin du restaurant et ensuite de passer le temps jusqu’à ce qu’il m’envoie un message pour me prévenir quand il rentrerait.

C’est vers 18h qu’il m’annonçai qu’il serait à la maison dans une heure à peu près, j’avais juste le temps de faire 2-3 courses et de préparer le dîner.

Il se faisait 19h30 quand il passa la porte d’entrée, apparemment étonné de me voir aux fourneaux.

— Salut, lui dis-je en souriant, ça va ? T’as passé une bonne journée ? T’arrives justement quand c’est prêt !

— Salut ! Ma journée à été longue, j’ai bien cru qu’elle ne finirait jamais. Je suis désolé de ne pas t’avoir prévenue, mais je voulais te laisser dormir. Et toi, ta journée ça a été ? Tu ne t’es pas sentie trop seule ?

Il affichait un petit sourire malicieux, il se plaça derrière moi, posa ses mains sur mes hanches et sa tête sur mon épaule. Sans même attendre ma réponse, il ajouta :

— Moi, j’ai pensé à toi, me souffla t-il dans l’oreille, j’ai eu envie de toi, et maintenant nous sommes tous les deux.

— Arrête, Thomas, c’est prêt à manger, lui dis-je en rompant le contact de nos corps pour aller dans le salon. On s’amusera après, sinon ça va refroidir.

J’eus à peine posé le plat sur la table qu’il me prit d’une main par la taille et de l’autre par la gorge.

— Tant pis, on réchauffera ! C’est toi que je veux manger, et maintenant !

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