Le plus difficile quand on veut commencer à raconter une histoire, c’est de savoir où l’on commence !
Je m’appelle Virgine et quand tout a commencé, j’avais 24 ans et j’étais mariée depuis 4 ans à Richard, l’homme de ma vie, enfin tout du moins le croyais-je !
J’ai été initiée au sexe très tôt. A 14 ans, j’ai eu mon premier rapport (que je n’ai pas apprécié outre mesure), mais j’ai ensuite eu l’occasion de trouver des garçons qui m’ont fait découvrir autre chose. Depuis, j’adore ça et je suis très portée sur le plaisir, et quand j’ai rencontré Richard, ce fut l’extase ! Il me faisait l’amour plusieurs fois par jour et me comblait de délices, je savais que ce serait l’homme de ma vie, celui avec qui je serais heureuse. Les 2 premières années de notre mariage furent idylliques et je souhaitais à quiconque de vivre ce que je vivais. La 3ème année fut plus triste, à savoir qu’il ne faisait plus l’amour tous les jours et la 4 ème devenait plus qu’ennuyeuse !
Ses parents avaient une maison à 70 kms de chez nous et nous y allions très souvent pour le WE. Nous nous retrouvions tous avec ses frères et sour pour des WE de franche rigolade.
Au début du mois de Juillet 2006, nous partons le vendredi soir chez ses parents. Accueillis comme des rois comme d’habitude, nous déposons nos affaires dans notre chambre et chacun va aider à la préparation du WE. Mon beau-frère arrive avec sa femme quelques instants plus tard et nous prenons l’apéritif en attendant sa sour.
Cette famille est vraiment unie et heureuse et l’on s’y sent bien.
Une fois tout le monde arrivé, nous passons à table, j’aide ma belle-mère, que j’aime beaucoup, pour servir ou débarrasser et tout le monde part se coucher pour récupérer de la semaine. Au lit, je fais des approches pour que Richard me fasse l’amour :
— Non, pas ce soir ! Je suis fatigué !
— Mais tu es fatigué tous les soirs et j’ai envie de toi
— Tu as toujours envie de toutes façons !
— Tu ne t’en plaignais pas avant !
— Oui, mais maintenant, il faut admettre que l’on n’a plus que ça à faire. Avant, on n’avait pas de soucis, on vivait chez nos parents et on ne pensais qu’à nous retrouver.
— Moi, je n’ai pas changé !
— On verra demain, bonne nuit.
Richard s’endormit assez rapidement, me laissant avec mes envies. Je décide de sortir fumer une cigarette sous la nuit étoilée, sans faire de bruit.
Je descends dans le salon pour trouver mon sac et me dirige dehors vers la balancelle.
Il faisait très sombre et c’est avec surprise que je découvre, Jean, mon beau-père, assis sur la balancelle en train de fumer lui aussi. Je m’assois à ses côtés et nous nous balançons doucement sans parler. C’est lui qui rompt le silence :
— Tu as un problème, Virginie ?
— Pourquoi me demandez-vous ça ?
— Parce qu’à ton âge, je serais avec mon mari dans mon lit.
— Il dort !
— Donc, tu as un problème.
— Il n’éprouve plus le besoin de me faire l’amour, dis-je rougissante dans la pénombre.
— Je sais de quoi tu parles, j’ai vécu, et je vis encore ça !
— Mais je ne comprends pas pourquoi
— Il n’a pas de gros besoins, comme sa mère.
En disant cela, mon beau-père avait mis une main sur ma cuisse.
— Jean, ce n’est pas raisonnable !
— Nous sommes en manque tous les deux, où est le problème ? Tu n’as pas envie de faire l’amour ?
— Si !
— Alors je vais remplacer mon idiot de fils. Nous allons nous faire du bien puisque c’est que nous désirons.
— Votre femme dort aussi ?
— Oh que oui ! Tu sais, maintenant je n’y ai droit qu’à une fois par mois !
— Une fois par mois ? Ce doit être terrible, moi qui n’arrive pas à concevoir que ce n’est pas tous les jours. Elle n’aime pas ?
— Si elle aime, enfin du moins je le pense parce qu’elle jouis plusieurs fois et a l’air satisfaite.
— Elle jouit plusieurs fois ?
— Oui ! Richard ne te fait pas jouir plusieurs fois ?
— Non, jamais !
— Tu veux bien que je te montre comment on fait l’amour à une femme ?
— Je ne sais pas si je dois.
Pendant que je disais ça, il avait déjà avancé sa main entre mes cuisses et je sentais le point de non retour.
— Laisse-toi aller. On ne parle que de se faire du bien.
Je me laissai aller selon sa demande. Il caressa ma chatte doucement et pendant longtemps avant de se concentrer sur mon bouton dressé et prêt à tout. J’étais en nuisette et sans culotte ce qui lui rendait la tâche plus facile. Tout en me caressant il dégagea un de mes seins pour le téter et il avança un doigt dans mon vagin pour constater le taux d’humidité qui s’en dégageait. Il me murmurait des mots vicieux tels que :
— J’aime noyer mes doigts dans ta cramouille et je vais te bouffer la chatte
Je ne répondais rien et attendait. Après m’avoir trituré les mamelons de sorte à ce qu’ils soient très durs, il m’enleva ma nuisette. Il se mit à genoux devant moi et enfouit sa tête entre mes jambes pour me procurer un plaisir inouï, il me lapait plus qu’il me léchait et quand il posa sa bouche à l’entrée de ma vulve pour en aspirer le jus de la jouissance qu’il venait de procurer, il semblait repus. Il me demanda de m’allonger dans l’herbe afin de pouvoir me pénétrer et quand je sentis la bite de mon beau-père s’introduire en moi, je n’en revenais pas de la fougue qu’il pouvait encore avoir à son âge et de la taille de l’engin ! Il pouvait être mon père et à 50 ans il me faisait ressentir des plaisirs jusqu’alors inconnus. Il me pilonna très fort, il n’y a pas d’autre mot, et j’ai joui 2 fois ! Il a fini par me faire asseoir pour me mettre son pieu dans la bouche et me gicler dans la gorge afin que j’avale le maximum de son foutre bienvenu.
Il prit le paquet de cigarettes et m’en tendit une que nous avons fumée en silence. A la fin de notre cigarette, il me caressait à nouveau et je me laissais faire telle la pute en manque du village.
— Tu mouilles encore, tu en as encore envie ?
— Oui, mon problème est que j’en ai toujours envie.
— Nous sommes faits pour nous entendre. Tu as une chatte étroite et serrée, tu es faite pour l’amour. Laisse-moi te manger encore, tu es tellement goûteuse.
J’écarte les jambes, laissant la place à mon beau-père qui me suça majestueusement, je me mordais les paumes pour ne pas crier tellement il me faisait du bien. Il me fait mettre à 4 pattes pour me prendre en levrettes et j’avoue que j’ai rarement ressenti une jouissance pareille. Il m’avait demandé s’il pouvait jouir en moi et il le pouvait étant donné que je prenais la pilule !
Il était plus de 2 heures du matin quand j’ai rejoins Richard et je me suis endormie très vite. Les mains de Richard, parcourant mon corps, m’ont réveillée :
— J’ai envie de toi !
— Ah oui ? Répondis-je, endormie, et bien moi non !
— S’il te plait chérie !
— Attends, ça fait une semaine que j’en ai envie alors que tu es fatigué et tu me réveilles parce que toi tu en as envie !
— Oui, je ne te demande rien, juste de te laisser faire.
Il me caressait de partout et je ne pouvais me soustraire à ça ! Il me prit presque violemment me faisant crier de plaisir.
Nous sommes descendus prendre le petit déjeuner avec le reste de la famille et mon beau-père, dès qu’il a pu, s’est empressé de me dire :
— Ben dis donc, il t’a mis quelque chose ce matin !
— Oui, ai-je du avouer, le problème est qu’il ne recommencera pas de sitôt !
Le WE s’est passé et mon beau-père m’a promis de venir me retrouver chez moi dans la semaine.
Nous avons joué à ce petit jeu pendant un an, puis Richard me demanda de lui faire un enfant. J’arrête la pilule et à partir de cet instant, il me fit l’amour tous les jours jusqu’à ce que je sois enceinte. J’avais bien sûr prévenu mon beau-père qui venait quand même mais qui se protégeait. Le jour où je fus enceinte, Richard retomba dans sa léthargie et mon beau-père venait deux fois plus qu’avant et plus je grossissais plus ça l’excitait et plus je jouissais.
Actuellement, nous sommes toujours mariés avec Richard, nous avons une petite Anna et Jean est plus présent que jamais.
Richard me fait l’amour une fois par semaine et Jean compense le manque par ces visites. Chaque fois que nous allons en WE chez eux, je suis heureuse parce que je sais que Jean va aller au-delà de mes espérances.
Je n’aurais jamais cru que faire l’amour avec un homme de l’âge de mon père pourrait me combler à ce point.