Je n’avais plus revu Claude depuis notre aventure de la Madine.
Samedi soir, il est venu manger avec un autre couple d’amis.
J’avais opté pour une robe noire boutonnée sur le devant, assez courte ce qui m’obligea à mettre des collants,ce que je n’affectionne pas spécialement.
En prenant l’apéro dans le salon, je me suis arrangée pour être face à lui.
Chaque fois que je croisais son regard, j’en profitais pour modifier ma position ce qui avait pour effet de dévoiller mon entrejambe ce dont il ne se privait pas, tout cela en jetant un coup d’oeil à sa femme pour ne pas éveiller de soupçons.Le repas s’en suivit sans particularité, sa femme s’étant d’autoriter mise à ses cotés ce qui m’empêcha de le faire.
Peu après le dessert, je suis allée sur le balcon pour fumer une cigarette, mon souhait était qu’il vienne me rejoindre, les autres étant en pleine discussion sur l’actualité du moment cela nous permettait de nous isoler même si je savais que contrairement aux autres fois, ils nous seraient impossible de faire quoique ce soit.
C’est ce qu’il fit très adroitement, d’autant que le balcon ne nous permettaient pas de se soustraire pleinement à leurs yeux.
Le temps nous était compté aussi il ne s’encombra pas de trop de préliminaires.
Très furtivement, il glissa sa main dans l’espace qui lui était disponible entre deux boutons et sa main au travers de mes collants se posa sur mon sexe.
Dommage que tu es mis cette chose horrible ( il parlait des collants)j’aurai apprécié de te doigter.
Je jetais un oeil rapide dans la salle de séjour et certaine que l’on ne pouvait me voir, je glissais mes mains sous ma robe, me saisissait de l"élastique des collants et de ma culotte que je baissais très légèrement et rajustais le tout.
Exterieurement il était impossible de voir ce que je venais de faire où d’imaginer que collant et slip entravaient mes cuisses, mais pour Claude en remettant sa main dans l’échancrure cela lui permit de poser sa main sur mon sexe et lui donna la possibilité avec son doigt de sentir combien je mouillais pour lui.
Tu es encore plus juteuse qu’ a la Madine qu’il me dit.
Je pliais un peu mes jambes tout en ouvrant mes genoux pour lui permettre de me caresser plus librement.
Je continuais à jeter un oeil vers nos convives pour anticiper toute visite impromptue.
Je te prendrai bien debout, j’en ai trop envie.
Je posais ma main sur son sexe au travers de son pantalon et je pouvais constater qu’il ne mentait pas.
Il continuait ses caresses, concentrant tout sur mon clitoris qui était bandé et je me mordais les lèvres pour éviter de me faire entendre à l’intérieur, je haletais et je parvenais à une courte jouissance.
Il retira sa main content de son forfait et me dit: Mardi je prends le train et je viens passer la journée avec toi, viens me chercher vers 10H, j’aimerai que tu sois habillée comme ce soir, tu remplaces juste tes collants par des bas.
Ok que j’ai répondu puis il a rejoint les autres et j’en ai fait de même quelques minutes plus tard.
Mardi
Je suis sur le quai et à sa demande je suis habillée comme il me l’a demandé.
Lorsqu’il descends je me jette à son cou et nous nous embrassons comme des adolescents sans nous soucier des gens autour de nous.
Nous rejoignons la voiture et avant même de démarrer il glisse sa main entre mes cuisses et la remonte à la lisière des bas, je m’ouvre à lui et sa main poursuit son ascension jusqu’a mon sexe que je n’ai pas jugé utile de couvrir.
Il me regarde et me dit : tu es encore plus cochonne que je ne le pensais.
Son majeur investit directement mon puit d’amour,facilité par le fait de mon excitation.Je le laisse quelques secondes me fouiller puis je repousse son bras en disant: rentrons,nous n’avons que 8H devant nous.
Le temps de la route il me raconte que sa femme se doute de quelque chose mais qu’il s’en fout. Il me demande comment la nuit s’est passée et je lui raconte par le détail qu’excitée comme je l’étais, ça a été très intense et que j’ai pensé à lui, m’imaginant dans ses bras, que c’était son membre qui me labourait la chatte, que j’ai même faillit crier son nom au moment de ma jouissance.
Attends que l’on soit chez toi tu vas voir ce que je vais te mettre.
Je pose ma main sur son entrejambe et effectivement il a l’air d’être en forme.
A peine je referme la porte sur nous qu’il me plaque contre le mur, ses doigts défont les boutons encore fermés de ma robe,il dégage mes seins de mon soutien-gorge et commence à me mordiller le tétons qui se redressent sous les coups conjugués des ses dents et de ses lèvres.
Il se frotte contre ma chatte et je peux ressentir sa bite en érection.Il faut que je te prenne tout de suite j’en ai trop envie.Je lui dis la chambre est juste à deux pas et très rapidement je suis en travers du lit,il a quitté son pantalon et ses chaussures et se jette sur moi.
En moins de dix secondes son sexe s’engouffre dans ma chatte, il va et viens dans mon puit d’amour hyper lubrifié par le désir, sa queue s’active dans mon vagin, perfore mon utérus, ses couilles s’écrasent contre mes fesses, je les saisis avec une main (je sais que les hommes adorent cela),je les malaxent ce qui a pour effet de faire grossir sa queue en moi, je sais qu’il ne va pas chercher à se retenir, en fait il veut se venger du fait que j’ai baisé samedi avec mon ami et qu’il aurait voulu le faire lui.
Il s’agite de plus en plus vite et poussant son membre au plus profond il se deverse en moi, je jouis en même temps que lui, nos lèvres se soudent, dans mon ventre la chaleur de son sperme me fait le plus grand bien.
Il nous faut un peu de temps pour reprendre nos esprits, il me deshabille complètement, ne me laissant que mes bas.
J’ouvre le lit et nous nous y glissons.
Il me prends dans ses bras,c’est très agréable de se sentir protéger de la sorte.
Combien de mecs ont fait l’amour avec toi ici qu’il me demande.
Pas beaucoup que je lui réponds, habituellement je vais chez eux où à l’hôtel.
Ils mettent des capotes quand ils te prennent?
Bien sûr…
Avec moi on n’en mets pas.
Toi c’est pas pareil,je te connais.
Le gars à la Madine il t’a prise sans en mettre
Certes,je n’ai pas eu le choix et tu ne l’as pas empêché, j’ai du faire un test et je n’étais pas très fière
Tu le trompes souvent le beauf’ ?
ça arrive, c’est de sa faute c’est lui qui me pousse dans les bras des autres quand je sors les week-ends où l’on ne se voient pas.Il me dit toujours de profiter…
Il n’est pas au courant pour nous deux ?
Non, il serait peut-être moins concilliant.
Et dernièrement tu es sortie ?
Oui, il y a deux semaines et j’ai revu un gars que j’avais connu il y a deux ans…
Tu avais couché?
Oui, cette fois aussi.
Tu étais habillée comme aujourd’hui je suppose ?
Tu supposes bien et il a apprécié autant que toi.Il est venu ici et il est reparti le lendemain à midi.
Notre échange verbal a pour effet de lui redonner de la vigueur, je me glisse sous les draps et me saisissant de son sexe je commence pa titiller son gland, il apprécie la fellation, dans la position que j’ai prise il peut me caresser également et explorer toute mon intimité, ses doigts glissent d’un orifice à un autre cherchant plus particilièrement à infiltrer mon oeillet plissé.Il finit à parvenir à ses fins et je me cambre pour faciliter son exploration.
Retourne toi qu’il me demande.
J’ai compris son intention et ne cherche pas à m’y soustraire. Il se plaque dans mon dos et recommence à me doigter l’anus, son membre est plaqué sur ma cuisse, je m’en saisis et le dirige vers le coeur de cible. Doucement, s’il te plait,il se laisse faire et je positionne l’intrus, il pousse lentement son sexe en avant, sa résiste un peu puis dame nature étant bien faite son gland pénètre mon intestin,doucement que je lui répète, il suit ma recommandation et s’enfonce dans mes reins.
La douleur s’estompe et les premiers frissons de bien être se font ressentir, à présent il peut aller et venir en moi.Il a beaucoup de chance, habituellement seul mon ami a le droit de profiter de cet accès.
Il recommence à m’interroger sur mes écarts de conduite et je lui fais part de mes expériences,ça l’excite d’avantage et ne me laisse pas indifférente non plus.Il accélère les coups de boutoir, tout mon corps répond à ses assauts, tous mes sens sont en éveils, plus je lui en raconte et plus il s’acharne sur moi, des tourbillons de plaisirs envahissent mon être et mon esprit,je jouis presque sur chaque pénètrations de son sexe au fond de mes reins. Quand il sent qu’il risque de se liberer il se retire et reviens dès que la tension a baissé.Il me baise ainsi durant de longues minutes puis alterne entre les deux orifices à sa disposition.Je ne sais pas combien de fois j’ai défaillis mais je crois n’avoir jamais autant jouis de ma vie.
Plus il m’investit et plus je souhaite qu’il continue.Je suis une poupée de chair entre ses mains et il ne s’en prive pas.Je suis dessus,dessous,il s’active en moi, je n’en peux plus et l’implore presque de se vider où bon lui semble,il finit par se laisser aller et dans un râle m’honore de sa semence aux fonds de mes reins. Il reste soudé à mes fesses jusqu’a ce que son sexe ayant perdu de sa prestance s’extrait de lui même.
Le restant de l’après-midi fut de même intensité et à 18H je le ramenais à la gare.J’étais nue sous ma robe à sa demande.Il me demanda si vendredi prochain je pouvais prendre le train du matin afin de passer la journée ensemble,que l’on pouvait se retrouver à Reims ce qui me permettrait d’arriver le soir sans éveiller de soupçons.
Je lui donnerai ma réponse demain,ce sera sans doute…Oui!