Sophie :
Longeant la coursive, j’approche de la piscine intérieure et me dirige vers le bar, ma coupe à la main. Sur la piste, des couples plus ou moins (dé)vêtus dansent un slow, l’ambiance est très "hot", des mains s’activent sur des seins, des fesses ou des couilles, certains se branlent mutuellement, d’autres baisent debout. Sur un des tabourets du bar, je remarque une jolie jeune femme qui prend appui pratiquement sur les cuisses de telle façon que son cul somptueux, à peine voilé par une jupe longue et transparente, déborde largement du tabouret comme un véritable appel au viol. Elle discute avec une autre femme tout en lui caressant les seins dénudés. A cet instant, quelqu’un me bouscule et ma coupe de champagne finit sur ma poitrine dont les tétons se redressent sous l’effet du froid. Je n’ai même pas le temps de réagir que, aussitôt, je sens une langue douce qui me lèche les seins, et le ventre…sensation délicieuse, je dois dire, mais trop brève…
" Désolé de vous avoir bousculée, mais cela m’a donné l’opportunité de déguster quelques gouttes de champagne sur la plus belle des coupes.." .me dit en souriant l’homme, tout petit, qui se tient devant moi, et qui est l’ auteur de ce plaisir éphémère, " permettez que je vous en offre une autre ! " et il se tourne vers la barmaid. Il est vraiment petit – sa bouche était juste à portée de mes seins! – mais aussi d’une extrême beauté et doté d’un sourire absolument irrésistible. Les cheveux mouillés, il doit sortir de la piscine et porte l’un de ces peignoirs légers que la maison laisse à la disposition de la clientèle. Il revient avec deux coupes et nous trinquons.
"Permettez que je me présente, Sébastien, enfin Séb’ -hé oui, un homme aussi grand que moi mérite bien un diminutif!" dit-il en riant…
– Moi, c’est Sophie, et je vous trouve très séduisant, Séb, c’est un plaisir de vous avoir ainsi rencontré… Vous évoquez votre taille, mais- ajoutais-je en baissant les yeux vers lui- la forme de votre peignoir montre, à l’évidence, que la nature vous a comblé de ce côté-là! puis-je le vérifier par moi-même?
— J’allais vous en prier, j’avoue que vous êtes très bandante, Sophie ! "
Écartant les pans du peignoir, je découvre une des plus grosses bites qu’il m’ait été donné de toucher; avec un "Ooooh" admiratif, je la prends à deux mains et commence à le branler tandis que ses mains parcourent mon corps, elles sont aussi douces que sa bouche!
Juste derrière lui, la femme au beau cul est toujours occupée à caresser sa voisine, lorsque je remarque qu’un homme brun s’approche d’ elle, soulève la jupe, dévoilant une paire de fesses encore plus somptueuses que je les imaginais, et mises encore plus en valeur par sa position sur le tabouret. L’homme sort sa bite de son pantalon et , fléchissant un peu sur ses jambes, il pointe l’oeillet violet et le défonce d’une seule poussée, la femme pousse un petit cri mais ne se retourne pas. Sans cesser de caresser l’autre femme, elle se laisse enculer, lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Excitée par ce spectacle, je branle mon partenaire en lui pressant les couilles, pendant que son majeur va et vient dans mon vagin trempé… A côté, la jeune empalée pousse un long cri de plaisir quand l’homme, dans une dernière poussée, libère son flot de foutre au plus profond du ventre investi. Débandant, il se retire et des coulées de sperme, ressortant de l’anus encore dilaté, se répandent sur le sol. L’autre jeune femme vient alors s’accroupir derrière elle et accolant sa bouche au trou béant, se met à boire le précieux élixir directement à la source!
Les danseurs bougent sur les dernières notes de "Nights in white satin" des Moody Blues et la bande-son enchaîne avec le "C’est extra" de Léo Ferré: "Me feriez-vous danser? C’est une de mes chansons préférées." ; sans répondre, il sort son doigt de ma chatte et me tire vers la piste. Lorsqu’il me serre contre lui, sa queue tendue heurte mon pubis; de la main, je l’incline un peu vers le bas et la glisse entre mes cuisses, le long de ma fente.
De fait, nous ne bougeons presque pas, seuls nos bassins entament un mouvement de va et vient qui nous rapproche ou nous éloigne l’un de l’autre. Son membre coulisse à la base de ma vulve, il frotte sans arrêt mon clitoris bandé et caresse mes lèvres intimes sur toute leur longueur. "Oui, c’est extra! oui, Léo, je suis cette "fille qui tangue et vient mouiller", oui, c’est bien ma "touffe de noir Jésus qui ruisselle dans son berceau" ! Oui, elle est bien à moi "cette chair que vient troubler l’archet qui coule ma chanson! "
Le frottement incessant de sa longue mentule sur mon clito me maintient dans un état de pré-orgasme permanent, mon sexe et tout mon corps fourmille de milliers de petites décharges électriques et je sens que ma vulve mouille sans discontinuer alors que sa bite inondée glisse de mieux en mieux… Je sens soudain des mains sur mes seins, et une pine inconnue vient se caler contre mes reins… cette intrusion me déplaît, je vis un moment trop magique pour le partager autrement qu’avec Séb. A ma demande, l’homme se sépare de moi et s’éloigne… Je ne sais si c’est pour bien montrer que "la place est prise" mais la main droite de Séb se pose sur mes fesses, et son majeur vient, en douceur, investir mon cul. Sans chercher à s’enfoncer davantage en moi, il fait avec son doigt un mouvement circulaire qui dilate mon sphincter et n’en néglige aucune parcelle… tout mon bas ventre est en suspens, continuellement au bord de l’orgasme dévastateur… "Tourne-toi!" Eh, non! Ce n’est pas Séb qui me le demande mais Gainsbourg lui-même, qui vient de succéder au grand Léo. Me dégageant des mains de mon partenaire, je me tourne et me plaque de dos contre lui.. De lui-même, il dirige sa bite au bas de mes fesses où elle vient se loger mais cette fois c’est son gland qui vient frotter mon bouton bandé…ses deux mains ont saisi mes seins aux tétons pointés, durs comme des crayons… Je ferme les yeux et me laisse emporter par "La Décadanse"…"Bouge tes reins lentement devant les miens." mais, c’est ce que je fais, Serge…!!!
Délaissant mon sein gauche, la main de Sé’ descend le long de mon corps et s’empare de mon clito saillant pour le branler très lentement pendant qu’à chaque retour sa queue démesurée distend les abords de ma vulve, elle aussi gonflée de désir. Séb me murmure les paroles de la chanson: " La décadanse sous mes doigts t’emmènera vers de lointains au-delà !" …mais, j’y suis au delà… je flotte… je ne touche plus terre… je franchis la limite…"
N’y tenant plus, je me penche en avant et, écartant mes cuisses, je saisis sa bite par en-dessous et la pointe vers mon con qu’elle envahit sans difficultés. Mains sur mes genoux, bien penchée en avant, je lui assure l’entière possession de mon vagin, je sens son gland buter contre mon utérus mais "des eaux troubles soudain troublent [ses] sens. ". Sortant de ma caverne, il oriente son membre un peu plus haut et m’encule d’un seul coup de reins! une pensée me traverse l’esprit : il me défonce en alliant la longueur de Nicolas et le calibre de Paul… Plusieurs hommes et femmes se sont arrêtés de danser et font le cercle autour de nous, cette fois, des mains masculines et féminines se promènent sur nos corps soudés…et cela ne fait qu’accentuer notre désir commun!
D’une légère poussée dans mon dos, il me fait pencher encore un peu plus en avant et il entreprend un fantastique va et vient entre mon cul et mon con, deux ou trois incursions dans l’un, deux ou trois dans l’autre…si j’ajoute que quelqu’un , homme ou femme, me travaille le clito avec une diabolique efficacité, on comprendra que je ne puisse résister plus longtemps à la vague, que dis-je? au "tsunami " qui me submerge et mon plaisir explose en même temps qu ’il me comble de son foutre en éjaculant puissamment dans mes deux trous alternativement!!! Lorsqu’il se retire, j’ai l’impression d’un abandon, tant tous mes trous restent béants, mais, bien qu’encore dans l’éblouissement de l’orgasme, je sens des mains m’écarter encore les cuisses et une bouche se colle à mon entrejambes… surprise, je reconnais la femme du bar, celle qui avait léché sa copine après son enculage en règle… je m’abandonne à ce bien agréable nettoyage… décidément, elle doit vraiment aimer le foutre, ce que je ne saurai lui reprocher!!
Un moment plus tard, je rejoins Séb au bar, il a déjà commandé deux coupes de champagne : "Ce fut pour moi un moment exceptionnel! me dit-il en souriant, absolument inoubliable!…
— Je dois dire que j’ai, moi aussi, beaucoup apprécié ton infinie douceur pendant la danse mais aussi ta vigueur quand tu m’as baisée et enculée… quel plaisir j’ai eu…, un orgasme grandiose…, j’en tremble encore ! J’aimerais te présenter mon mari, mais pas ce soir…Si tu le souhaites aussi, laisse tes coordonnées à Nicolas, je les récupèrerai auprès de lui en fin de soirée. Maintenant, je te laisse, je veux aller au bout de ma nuit de folie ! " Sans lui laisser le temps de répondre, je lui tourne le dos et repars à l’aventure!
Sur la bande sonore, Colette Renard succède à Gainsbourg avec ses "nuits d’une demoiselle"…je me surprends à en fredonner les paroles: "je me fais sucer la friandise, je me fais caresser le gardon…" Tout en marchand, je mate à droite et à gauche, en quête de nouvelles sensations ,je croise un couple qui va vers l’escalier desservant le sous-sol – partie réservée aux adeptes du sado-maso, ce qui n’est pas du tout ma "cup of tea", mais, à chacun ses plaisirs entre adultes consentants… Eux le sont visiblement :
La femme porte des bottes de cuir à talons super- hauts, un loup noir sur le visage, elle est (dé)vêtue d’une guêpière noire très serrée à la taille ce qui accentue encore ses seins volumineux aux larges aréoles brunâtres, et son cul rebondi, aussi cambré que celui de certaines africaines. Jarretières et bas noirs complètent sa tenue. Elle tire une laisse terminée par un anneau qui emprisonne les parties génitales de l’homme qui la suit, vêtu d’un pantalon de cuir dont la découpe laisse à nu ses fesses et son sexe en érection…
Il a, par ailleurs, un très beau cul !