Voilà quelques jours qu’il m’est arrivé mon premier écart avec ce jeune passé dans mon service, à qui j’ai fait une toilette… Et que j’ai masturbé.
Quand j’ai quitté le travail, je suis rentrée chez moi, comme d’habitude. J’ai repensé à cette situation tout l’après-midi ! J’étais mal dans ma peau et ma tête.
La journée s’est terminée normalement, puis, aussi bizarre que ça puisse paraître, le lendemain matin, mes sentiments de « tromperies » n’étaient pas les mêmes. En effet, après une nuit, cette situation m’avait en fait beaucoup excitée, et je me suis dit que j’avais eu raison de suivre mon envie.
Trois jours après, mon mari et moi sommes invités à une soirée chez des amis pour fêter leur arrivée dans leur nouvelle maison.
Pour cette occasion je me suis habillée classe, avec une robe noire plutôt moulante, qui laisse deviner mes formes. Je sais que cette robe fait ressortir mes fesses mais aussi ma poitrine.
Des chaussures à talons aiguilles de huit centimètres.
Une coiffure cheveux attachés, une sorte de petit palmier sur la tête, et enfin un maquillage discret, du noir autour des yeux et un rouge à lèvres gloss. J’ai pris soin d’entourer mes lèvres avec un crayon de la même couleur que mon rouge à lèvres.
Mon mari me complimente sur ma tenue vestimentaire et mon maquillage.
Me voilà prête à aller à cette soirée, mon mari aussi.
Nous sommes arrivés vers 20H00, apéro sympa, puis repas. Vers minuit, le son de la musique est monté, plusieurs personnes se sont mises à danser et moi aussi puisque j’aime bien danser. Mon mari est resté avec d’autres à parler devant un verre.
Vers 2H00 du matin, un homme est venu me demander de danser avec lui. Ce que j’ai fait avec plaisir. Au moment des slows, il m’a demandé de les danser avec lui. Nous avons un peu discuté en dansant, fait un peu connaissance, et j’ai senti ses mains se balader le long de mon dos pour aller doucement vers mes fesses. Gentiment, je lui ai dit que mon mari n’était pas loin, et que s’il voyait un homme me caresser les fesses je pense que ça ne le ferait pas du tout. (D’autant plus que mon mari est plutôt du genre baraqué.), puis il y a des personnes que je connais.
Ce monsieur ne s’est pas démonté pour autant, il m’a proposé d’aller faire un tour à l’extérieur. La quarantaine, sans être un bel homme il est plutôt charmant, et très charmeur.
En rigolant, je lui ai dit que si nous allions dehors faire un tour comme il le dit, ce sera en tout bien tout honneur. Il m’a répondu " pas de soucis, juste pour prendre un bol d’air frais.
Nous avons continué à danser ce slow tranquillement tout en discutant naturellement. J’avais bu quelques verres de trop, sans être saoule, j’avais légèrement la tête qui tournait. L’ambiance décontractée de la soirée, quelques verres dans le nez, cet homme qui me charme, je me suis remise, tout en dansant avec lui, à cette excitante situation de ce jeune homme dans mon service trois jours auparavant. Je me suis revue en train de branler ce jeune. Avec cette image dans la tête, je me suis dit – Et pourquoi je ne l’exciterais pas un peu ce mec ? Après tout, ça peut me plaire de savoir qu’il me désire.
Donc, pour jouer le jeu de la séduction, je lui ai demandé doucement dans l’oreille ce qui lui plaisait chez moi.
— J’aime tout de toi, tu es bien foutue, tu as un joli visage et tu donnes envie.
Je me suis mise à rire. – C’est gentil, mais tu oublies que je suis mariée et que mon mari est là. Et je donne envie de quoi ?
— Oui, j’ai bien compris, et c’est bien dommage. Disons que tu donnes envie parce que tu es jeune, jolie, et tu sembles être ouverte d’esprit.
— Si je comprends bien, tu es attiré par les jeunes. Tu as quel âge ?
— J’ai 49 ans. Je sais, je suis trop vieux pour toi. Et j’avoue que ta jeunesse m’attire. Mais ne le prend pas mal, j’ai juste tenté mon coup, je m’excuse. Puis je suis marié aussi, mais ma femme n’a pas pu venir, elle était fatiguée.
Je lui donnais la quarantaine, mais en fait, il a presque 50 ans ! Il est vrai qu’il fait moins que son âge. Je persiste à me dire que j’ai envie de l’allumer gentiment.
— Tu as 21 ans de moins que moi. Tu ne coucheras pas avec moi, je ne couche pas, puis c’est plutôt difficile ici avec ce monde. Non ?
— Oui, tu as raison. Oublions cette conversation. J’ai compris.
— Tu as compris quoi ?
— Que tu es une femme fidèle et qui sait jouer avec son charme.
— Tu veux dire que je suis juste une allumeuse ?
— C’est un peu ça oui.
— Alors je vais te faire une confidence. C’est vrai que je suis mariée et que mon mari n’est pas loin, c’est vrai aussi que je n’ai aucune intention de coucher avec toi, surtout à la va-vite. Mais peut-être que je me laisserai tenter à trouver un autre moyen.
— Je ne sais pas si j’ai bien compris ce que tu veux dire. Tu dis être fidèle, ne pas vouloir coucher, ce que je peux comprendre, et tu parles de trouver un autre moyen.
Je sentais bien que je le perturbais, il ne comprenait pas. Alors j’ai décidé de le mettre sur la bonne voie, et de voir sa réaction.
— Tu m’as dit que tu me trouves jolie, que tu aimes mon jeune âge, mais je vais te poser juste une question, et tu vas comprendre. Comment trouves-tu ma bouche ? Jolie aussi ?
— Heu… Tu me mets mal à l’aise là ! Bien sûr que je trouve que tu as une jolie bouche, de belles lèvres aussi, mais je ne comprends pas où tu veux en venir.
— Ah bon, tu ne comprends pas ?
— Non, pas très bien. Tu es en train de jouer avec moi, ça je le comprends !
Je le trouvais très hésitant, mais je suis sûre qu’il a compris ce que j’insinuais. Ben oui… L’alcool aidant, je me suis laissée aller à une petite envie, de prendre ce risque. Je me suis donc mise à devenir un peu plus directe dans mes propos.
— Alors je vais te le dire autrement et plus franchement. Tu me dis que j’ai une jolie bouche, mais il faut savoir que ma bouche ne fait pas qu’embrasser. Elle sait et elle aime donner du plaisir autrement. Suivant si on le peut ou pas, je serai peut-être tentée de te faire une petite pipe si on va dehors. Tu comprends mieux là ? ?
— Tu me dis ça comme ça toi ? !
— Ben oui, c’est mon péché mignon et j’aime faire ça. Je te rassure, ce sera la première fois pour moi, mais j’ai envie de le tenter ce soir. Puis ça peut être rapide. Décide-toi, mon envie peut passer rapidement.
— Comment on fait ?
Voilà, il a très bien compris à présent. Et me voilà prise à mon propre piège, difficile de reculer maintenant ! Je me trouve bête, mais avec cette envie de vivre cette expérience.
— Très simplement. On va dehors, on trouve un endroit sombre et isolé, puis je te fais plaisir.
— Et ton mari ?
— Tu te poses trop de questions. Tu ne vois pas qu’il est occupé à discuter avec les autres et qu’il ne fait pas attention à moi.
— Je te suis.
— OK, attends-moi vers la porte, je vais voir mon mari.
Il s’est dirigé vers la porte discrètement, et moi je suis allé voir mon mari. Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter, je vais prendre un peu l’air dehors, il faisait chaud à l’intérieur, et que j’avais besoin de prendre un peu l’air.
Mon mari a déposé un baiser sur mes lèvres en me disant qu’il n’y avait pas de problème.
Je me suis donc dirigée vers la porte et, en passant à côté de cet homme, je lui ai fait un signe de me suivre.
Cet homme, (dont je ne connais même pas le prénom), m’a suivi.
Une fois dehors, il y avait moins de bruit, deux ou trois personnes étaient aussi à prendre l’air et discutaient entre elles.
Je lui ai dit : " On va marcher un peu si tu le veux "
— Oui, c’est une bonne idée
Nous nous sommes mis à marcher doucement dans le petit parc de la maison, puis j’ai engagé la conversation car il ne parlait plus tout d’un coup.
— Ca ne te gêne pas si je fume une cigarette en marchant ?
— non non,
J’ai donc allumé une cigarette.
— Tu es intimidé ou choqué de mon comportement ?
— Disons que ce n’est pas commun d’avoir une telle proposition
En marchant, j’avais repéré un endroit près d’un arbuste. Je lui dis de faire demi-tour et de se rediriger vers la maison.
— On retourne las bas ? ?
— Oui…
— D’accord, ça m’étonnait aussi que tu fasses ça vite fait dehors.
Il croyait que j’avais décidé de retourner avec les autres. Mais en marchant, je me suis arrêtée et lui dis « Approche-toi de cet arbuste.
Je mets ma cigarette terminée par terre, l’écrase avec mon pied.
Il s’est mis tout près de l’arbuste, et moi, en faisant glisser ma main entre ses jambes,
— Pas un mot à personne de ce qui va se passer ici, je te demande discrétion, et inutile de dire à tes copains que tu t’es fait tailler une pipe par une fille lors de la soirée chez Monsieur et Madame X.
— Oui, promis. Je te rappelle que je suis aussi marié.
De ma main, je caressais sa bosse déjà dure. Il bandait fort ! J’ai voulu retirer les boutons de son pantalon, mais je n’y arrivais pas. Alors je lui ai demandé de se déboutonner sa braguette lui même, car je n’y arrivais pas.
Il a retiré ses boutons lui-même, puis moi, le bouton du haut niveau de la ceinture. J’ai fait descendre le pantalon jusqu’à environ mi-cuisses. Je me suis accroupie, baissant le boxer et, juste devant mon visage, est apparu un beau sexe, droit, long et plutôt fin. Je ne le vois pas très bien à cause de la pénombre, mais je peux deviner un sexe bien tendu.
Je devais faire vite car j’avais un peu peur quand même d’être vue.
Ne pouvant pas me mettre à genoux, je reste accroupie. Je prends le sexe dans ma main droite, le masturbe doucement et approche mon visage vers celui-ci. Une fois à portée de ma bouche, je donne quelques coups de langue sur son gland, et ma langue glisse le long de sa hampe jusqu’aux testicules. Je n’oublie pas de passer ma langue sur ses bourses qui pendent, puis happe une de ses boules pour la faire rouler dans ma bouche en aspirant légèrement. Je remonte lentement en léchant la longueur, puis ensuite, mes lèvres se posent délicatement sur ce gland, et peu à peu, j’enfonce son sexe dans ma bouche. A peine son sexe dans ma bouche, il a poussé un râle.
Je sors son sexe de ma bouche et lui demande s’il ne le regrette pas.
— Oh non, ce n’est que du plaisir, c’est merveilleux
En mode joueuse – Je continue alors ?
— Oui, tu as été trop loin pour t’arrêter maintenant.
Je dépose de la salive sur le bout de ma langue et l’étale sur son gland. Je fais ressortir mes lèvres et frotte doucement son gland sur mes lèvres. Il a l’air de bien aimer cette caresse.
— Ça fait quoi de se faire sucer par une jeune de 28 ans ?
— Ne me dis pas des choses comme ça, tu vas trop m’exciter et je ne vais pas tenir longtemps !
Tout en continuant à caresser son gland sur mes lèvres lentement, et toujours dans le but de l’exciter encore plus.
— C’est bon de se faire caresser le gland par des lèvres d’une petite jeune, hein ?
— Oh oui ! Tu as des lèvres succulentes. Ne continue pas trop longtemps, je risque de venir si tu continues à faire glisser des lèvres comme ça.
Tout en continuant à frotter doucement son gland sur mes lèvres, et, ayant sorti ma langue, à la promener dessus. Il pousse un râle sourd. Je vois bien que le frottement de son gland contre ma langue lui plaît terriblement.
Sachant que mon jeune âge par rapport au sien lui plaisait bien, puis il me l’a dit tout à l’heure pendant le slow, je prends un malin plaisir à l’exciter. J’avoue que moi aussi ça m’excite bien cette situation.
Pour l’exciter un peu plus encore, en le branlant doucement.
— Maintenant que je me suis bien amusée, tu veux que je te montre comment elle s’y prend la petite jeune de 28 ans pour faire une fellation ?
— Ben déjà, je vois comment tu es capable de m’exciter en si peu de temps. Vas-y, montre-moi, je me laisse faire, et avec grand plaisir, mais je te préviens, je ne vais pas tenir longtemps.
— D’accord, laisse-toi faire. Et ne t’inquiète pas, il n’y aura aucune tache sur ton beau pantalon noir. Je ne vais quand même pas te laisser rentrer avec des tâches ! Ta femme risque de le voir.
— Je te préviens.
A peine terminé sa phrase, sa queue est dans ma bouche. Je me suis activée en faisant des allées et retours à vitesse irrégulière le long de sa queue. De la main gauche, je caresse ses testicules et de la main droite, je sers la base de son sexe.
Tantôt je le pompe rapidement, tantôt plus lentement, je laisse son sexe et lèche ses bourses, puis reprends son sexe en bouche, je le sors de ma bouche et lèche son gland à pleine langue, et reprends mes va-et-vient.
J’entends quelques râles à moitié étouffés de sa bouche, je comprends qu’il aime ma façon de faire. Tout cela m’excite, j’aime cette situation, je pousse moi aussi quelques petits gémissements en le suçant.
Je l’ai sucé ainsi quelques petites minutes. Il ne bougeait pas, une de ses mains glissait dans mes cheveux. (Il me décoiffait ! ! !)
Puis pour achever cette fellation, j’ai ouvert en grand la bouche, sortie ma langue, posé son gland sur ma langue et l’ai branlé ainsi en léchant en même temps.
— Laisse-toi aller, c’est le moment !
— Attention, je vais venir !
Dès que j’ai senti son sexe se durcir et monter en pression, j’ai entouré son gland entre mes lèvres et j’ai senti enfin plusieurs jets de sperme envahir ma bouche. J’avalais chaque jet au fur et à mesure. Puis une fois qu’il avait fini de se vider dans ma bouche. Il gémit, se tend, se penche vers l’arrière, il tremble à moitié sur ses jambes. Je suis restée quelques secondes avec sa queue au chaud, j’ai sorti son sexe délicatement puis ai fini de nettoyer les quelques gouttes qui étaient restées sur son gland avec ma langue. A chaque coup de langue, il se dandine.
Je me suis redressée et me retrouvant en face de lui.
— C’était rapide, mais est-ce que tu as aimé ?
— Ah oui alors, j’ai eu beaucoup de plaisir. Tu m’as fait craquer rapidement !
— Je peux faire ça très longtemps, j’adore le faire. Mais là, on ne pouvait pas s’éterniser de trop. Mais j’ai pris du plaisir à te le faire aussi. Et j’imagine que je n’ai plus de rouge à lèvres. Je fais comment moi maintenant ?… En rigolant.
— Soit tu en as plus, soit tu en as d’étalé autour de la bouche. J’en suis désolé.
— Non, ne t’inquiète pas pour ça, je vais aller dans la voiture me remettre du rouge à lèvres ou m’essuyer si j’en ai d’étalé.
En me parlant, il avait rangé son sexe à sa place, et nous nous sommes mis à marcher vers la maison. A une vingtaine de mètres de la maison, je lui dis de retourner à l’intérieur, je passe à ma voiture pour me refaire une beauté.
Une fois dans la voiture, je réajuste ma coiffure, car à force de passer sa main sur ma tête, mes cheveux se sont mis un peu n’importe comment, puis, je suis surprise agréablement que je n’aie pas de rouge à lèvres étalé autour de la bouche, qu’il suffit juste que je m’en remette.
Avant de retourner à l’intérieur de la maison, où il y avait du bruit, de la musique, je décide de fumer une cigarette. Toujours quelques personnes à l’extérieur, qui discutent entre eux.
Je regarde par une fenêtre, et, rassurée, je vois mon mari assis avec d’autres personnes, occupé à discuter. Il avait même l’air de bien rire. Un homme vient me voir pour me demander l’heure. Je lui donne l’heure, et m’aperçois que ça ne fait que 20 minutes que je suis partie.
J’ai osé penser, avec cet homme qui me demande l’heure, que c’est un coup de drague, voyant une femme seule en train de fumer. Il me remercie, avec un joli sourire puis repart.
Eh bien non ! Ce n’est pas un coup de drague. C’était vraiment qu’il voulait l’heure. Je me suis dit – Presque dommage, peut-être que j’aurai eu l’occasion de faire une petite pipe au même endroit que tout à l’heure. Puis je me suis reprise moi-même en me disant, Nathalie ! Tu deviens folle ou quoi ? ? ? ! ! ! Qu’est-ce qui t’arrive ?
C’est vrai, je ne me reconnais pas. Voilà que ça fait deux ans que je suis en couple, heureuse, bien avec mon homme, et le mardi je branle un jeune sans savoir pourquoi, et le samedi, je me retrouve accroupie en train de tailler une pipe à un homme que je ne connais pas du tout ! Jamais je n’aurai dû faire ça ! Mais j’aime bien.
Je suis retournée voir mon mari juste pour qu’il voie que j’étais à l’intérieur, me suis servi un verre question de passer le goût du sperme mais aussi par respect de mon mari en cas où il m’embrassait.
La soirée s’est poursuivie tranquillement. Cet homme, je l’ai croisé plusieurs fois dans la soirée, il me faisait toujours un grand sourire.
J’ai repris quelques verres, peu alcoolisés, certes, mais comme je ne tiens pas l’alcool, la tête me tourne un peu. Mais je sais exactement ce que je fais ! Je danse, fais la fofolle, je m’amuse quoi !
Vers 4h00 du matin, je croise cet homme à qui j’ai fait une fellation il y a environ 2h00 de ça. Mais cette fois-ci, je ne me contente pas que de le croiser, je lui attrape le bras et lui dis « Maintenant que tu as eu ce que tu as voulu, tu ne me connais plus. C’est ça ?
— Non, pas du tout, c’est surtout par rapport à la discrétion.
— Tu parles ! Personne ne nous a vu ! Tu vois, même que si tu veux, on retourne à notre endroit, et cette fois-ci, je te pompe. Je fais ma grosse pompeuse que tu ne vas pas tenir longtemps.
— Ne prenons pas de risques. Je vois ton mari, s’il me tombe dessus, je ne fais pas le poids.
— Ça prend cinq minutes, je te pompe et tu repars. (D’un air insistant)
— Non, on a fait une bêtise.
— Tu ne disais pas ça tout à l’heure.
Oui, c’est vrai, je suis un peu touchée par l’alcool. Mais mon mari est tellement pris avec ses amis qu’il ne pense même pas à moi. Du coup, je me retrouve un peu seule, puisque plusieurs personnes sont parties, et que plus personne ne danse. Il est 4h00 du matin, la plupart sont partis.
— Viens boire un dernier verre avec moi.
Il me suit. Nous allons vers la table où se trouvent plusieurs bouteilles, il se sert un verre et moi aussi.
Je remets ça sur le tapis.
— Alors tu ne veux pas te refaire sucer par une jeune ? Je suis prête, il suffit d’y aller.
Il me répond qu’il n’y a presque plus personne et qu’on prend beaucoup trop de risques à cette heure-ci. Au fond de moi, je sais qu’il a raison, mais je ne sais pour quelle raison, j’ai envie de recommencer avec lui.
Je finis mon verre, le fixe dans les yeux.
— Bon, écoute, je vais dehors, je fume une cigarette, si tu n’es pas là avant que j’aie fini de fumer, je comprends que tu te dégonfles, et je reviens à l’intérieur et te laisse tranquille. De toute façon, on ne va pas tarder à partir nous aussi.
— Va prendre l’air, tu as raison. Ça va te faire du bien.
Déçue qu’il ne me suive pas, je vais quand même dehors. Personne dehors ! Je suis seule. Je prends une Marlboro que je porte à mes lèvres, prends le briquet, et allume ma cigarette ? A plusieurs reprises je place ma cigarette au milieu de mes lèvres, aspire lentement, prends le temps, mais il ne vient pas.
Puis je le vois arriver vers moi. Je me dis que c’est bon, il a réfléchi, et qu’il a envie que je m’occupe de lui. Mais non, ce n’est pas pour cette raison qu’il vient vers moi.
— Je suis venu te dire au revoir, il est tard, je vais rentrer chez moi.
— Je vois, d’accord, eh bien je t’accompagne à ta voiture si tu le veux bien.
— Oui, je le veux bien.
Sa voiture est à une trentaine de mètres. Pour vous dire que le chemin est court ! En lui faisant la bise, je pose ma main droite entre ses cuisses et le caresse ainsi. Il ne se recule pas.
— Tu sais, je suis fatigué, puis j’ai un peu bu. Je ne pense pas que je puisse jouir à cause de ça.
— Laisse-moi essayer, tu vas voir que la petite jeune de 28 ans est une bonne suceuse, et le pire, c’est qu’elle aime ça !
Je continue à le caresser entre les cuisses, et je sens que sous le pantalon, ça se durcit légèrement.
— Je vois que je ne te laisse pas indifférente quand même. C’est que monsieur commencerait à bander. Tu aimes sentir ma main te caresser ?
— Oui, bien sûr que j’aime et que tu commences à me faire de l’effet. Mais je ne sais pas si j’ai assez la forme pour avoir une deuxième éjaculation, même si la précédente date d’un peu plus de deux heures.
En continuant à le caresser, et donc à le faire durcir, je lui réponds qu’il suffit d’essayer.
— Assis toi, laisse la portière de ta voiture ouverte, je me baisse et tu te laisses faire. Tu veux ?
— Non, pas ici. C’est trop dangereux ! La porte de la maison est pratiquement en face.
— Alors on retourne à l’endroit de tout à l’heure.
Par ma plus grande surprise, je le vois refermer la portière de sa voiture, mettre la clé dans sa poche, et me dire « Je vais bander mais je ne vais pas éjaculer, tu vas être déçue après.
Nous retournons à cet endroit, il se recule un peu pour ne pas être dans la lumière. Je lui demande de déboutonner sa braguette et son ceinturon. Ce qu’il fait.
Je m’approche de lui, prends sa queue dans ma main droite et le branle doucement. Mon visage s’approche du sien, et, en lui faisant des bisous dans le cou, je lui dis tout bas dans le creux de l’oreille pour l’exciter
— La petite jeune de 28 ans va commencer par te branler, parce que c’est une bonne branleuse, et après elle va te sucer, parce que c’est une bonne suceuse. Et du haut de mes 28 ans, je vais tellement bien te sucer que je vais te faire jouir. Et quand tu vas jouir, tu sais ce qu’elle va faire la jeunette ? Elle va avaler, comme tout à l’heure, parce que, en plus, c’est une bonne avaleuse.
Il ne disait rien, mais en revanche, il bande fort !
Je continue avec des mots excitants pour lui
— Tu sais ce qu’elle va faire maintenant la petite jeune ? Eh bien elle va se baisser et te sucer, et tu vas exploser dans sa bouche.
Je me baisse, il bande fort, il est raide. Je prends sa queue dans ma main, et, avec ma langue, je lèche son gland. Ma langue tourne autour de son gland, comme ça je lui roulais une pelle. Je sens qu’il aime ce que je lui fais.
Je promène son sexe contre mon visage. J’aime la sensation d’un sexe se promener sur mon visage. Tout en promenant son sexe sur mes joues, mes lèvres, mon front.
— Tu sens ce que je suis en train de faire ? Je me caresse le visage avec ta queue. Et ensuite, je vais l’engloutir.
— J’aime ce que tu me fais. J’aime les jeunes de ton âge. Tu m’excites grave toi !
— Tu sais que si tu voulais, je pourrais devenir ta suceuse régulière ?
Sans le laisser répondre, j’engloutis sa queue dans ma bouche, et je me mets à le pomper en creusant bien les joues pour mieux aspirer. Des allées et venues sur son sexe sans m’arrêter, je pompe et je pompe en lui caressant les testicules en même temps. Il gémissait, moi aussi. Je me déchaîne sur sa queue en la pompant.
Défi relevé ! Il se met à tressauter, je sens une faible quantité de sa semence dans ma bouche, et, chose promise chose due, j’avale ces quelques gouttes.
Un coup de langue pour nettoyer, et le voilà tout propre et moi, fière d’avoir réussi à le faire jouir.
— Alors ? Je n’ai pas réussi ?
— C’était trop bon, en effet, tu as réussi. Tu es super douée.
Je le raccompagne jusqu’à sa voiture.
— Tu veux mon numéro de téléphone ? Si tu as envie d’une petite pipe de la jeunette de la soirée, il suffit de me téléphoner.
Il note mon numéro sur son téléphone, et me dit à bientôt en me remerciant.
Mon mari et moi sommes rentrés 6H00 du matin. Mon mari avait un peu bu donc j’ai pris le volant. Quand nous sommes arrivés à la maison, il est allé directement au lit.
Quand je suis ressorti de la salle de bain, il était à moitié endormi. Je me suis mis à le branler doucement, a commencé par avoir une érection, je l’ai terminé par une bonne fellation, douce et sensuelle pour le faire lui aussi exploser dans ma bouche. J’ai avalé jusqu’à la dernière goutte.
Quand je le suçais, il me disait des mots genre " ma suceuse, que tu es bonne ! Ou je vais tout te mettre au fond de la gorge, etc…
J’ai eu un peu de mal à le faire jouir, mais j’ai réussi en le finissant avec un bon pompage lui aussi.
J’étais excitée, je suis allée une nouvelle fois dans la salle de bain et me suis masturbée.
Quand je suis retournée dans la chambre, mon mari s’était endormi. Je me suis blotti contre son torse ferme et large, et me suis endormi à mon tour.
En me réveillant vers midi, la première chose à laquelle j’ai pensé en ouvrant les yeux, a été ce que j’ai osé faire durant la nuit. Je me suis dit que j’étais une femme heureuse, et que je ne regrette pas mes actes, même si je peux être prise pour une salope. Je me dis que ça me plaît bien, et que j’ai envie de continuer. Deux doses de sperme dans la nuit, et une dose de mon mari en arrivant, c’est une première fois pour moi. Après tout, nous n’avons qu’une vie ! Je dois avoir un déclic.
L’après-midi s’est passé au calme, à la maison, un peu fatigués quand même.
Je précise que l’homme de la soirée ne m’a jamais téléphoné, ni même un SMS, pourtant il me semble que je lui avais fait une belle proposition. Celle de devenir sa suceuse régulière.
C’est vrai, j’aimerais, je pense, être la suceuse régulière d’un homme. Peut-être un jour ?
La prochaine histoire à venir plus tard.
Nathalie.
