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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 25




Lundi 8 août. Je me réveille. Un coup d’il à l’horloge : il est presque 6h30. C’est le jour du départ. Un grand voyage nous attend, Eva et moi : un peu plus de mille km, distance qui nous séparent de la maison de ses parents, en Tchécoslovaquie.

Je me tourne : Eva est à plat ventre, le torse découvert, ayant rejeté le drap jusqu’à ses fesses. Elle est nue et adorable à regarder. Je me lève doucement et vais voir le temps qu’il fait à la fenêtre. Le ciel est d’un bleu limpide. La journée va être chaude. Au moment où je reviens vers le lit, Eva se retourne et se redresse :

« J’ai bien dormi, même s’il a fait un peu chaud ! »

Au même moment on toque légèrement à la porte.

C’est Daniela : « Excusez-moi de venir si tôt ! C’est pour vous dire de ne vous occuper que de vous ! Pour le reste, je remettrai moi-même tout en ordre ! Le petit déjeuner sera servi dans la cuisine ! » Et elle sort.

« Je vais d’abord faire ma toilette ! Tu viendras après ! Prépare tes affaires en attendant ! » me lance Eva. Elle enfile la robe bleue posée sur la table, saisit sa trousse de toilette et sort.

Je commence aussitôt à ranger ma valise et à ramasser quelques affaires que je place dans un sac. Quand elle revient dans la chambre, je vais à mon tour faire ma toilette.

Quand je reviens, Eva, habillée, sa valise bouclée, m’attend. Elle porte toujours sa minirobe bleue aurait-elle renoncé au fameux maxi t-shirt qu’elle semblait trouver trop court ? Ayant revêtu un short et un t-shirt bleu, je prends Eva par la main, et c’est ainsi que nous nous dirigeons vers la maison. Daniela nous accueille dans la cuisine. Nous prenons le petit-déjeuner dans un silence relatif. Notre hôtesse semble un peu tendue, ce qui est compréhensible, ces quelques jours ayant permis de tisser des liens particuliers pour le moins !

« Tes parents sont là ? » demande Eva.

« Ils sont déjà partis depuis un moment, ils ont repris le travail ! Ils s’étaient reposés quelques jours la semaine dernière. Mais ils m’ont prié de vous transmettre les vux de bon voyage ! » Daniela essaie d’être gaie, mais on sent que c’est difficile pour elle.

Puis nous nous levons de table. Et tandis qu’Eva reste un moment à bavarder avec Daniela, je me dirige vers le chalet, pour rassembler les bagages que je place dans le coffre de la voiture. Une fois vérifié que tout est en ordre, je reviens à la cuisine.

« Tout est prêt il est presque 8 h il va falloir y aller ! » dis-je tandis que mon regard va de l’une à l’autre.

Eva tire de la poche de sa minirobe, une paire de lunettes, qu’elle pose sur son nez : des lunettes aux verres ronds et fumés qui lui donnent un petit air mystérieux.

« Cela te va très bien, chérie ! » dis-je avec entrain. Puis Daniela nous tend un petit sac en papier :

« Quelques provisions pour la route ! C’est de tout cur ! » nous dit-elle.

Puis nous sortons tous les trois. Je fais tourner le moteur de la voiture, tandis qu’Eva s’assoit sur le siège avant, mais sur le côté, pour bavarder plus aisément avec Daniela, qui ne semble pas prête à cette séparation. Sa minirobe dévoile bien ses cuisses, si largement, que Daniela ne peut que remarquer :

« Tu n’as pas mis de culotte ? » lui lance- t-elle avec un sourire malicieux.

« Et pas soutien-gorge non plus ! » reprend Eva, qui déboutonne le haut de sa robe, pour appuyer ses dires.

« Eh bien ! Vous allez avoir un voyage coquin, j’imagine ! » conclue Daniela en apercevant les seins d’Eva. Presque machinalement, elle avance la main toujours cette attirance. Les doigts de Daniela caressent ces seins laiteux. Eva la laisse faire. Tout cela dure une bonne minute. Puis, Eva s’assoit sur le siège et met la ceinture de sécurité.

« Au revoir, Daniela ! Je t’écrirai et peut-être que nous nous reverrons  ! » Derniers signes. Je démarre et la voiture sort du jardin. Puis à droite pour s’engager dans la rue. Au carrefour suivant un panneau indique « Craiova ». Nous allons dans cette direction. Daniela n’est plus là, mais elle reste dans nos esprits.

Tandis que nous nous dirigeons vers Craiova, le silence se fait dans la voiture. Comme je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’il furtifs à Eva, elle finit par briser le silence :

« Tu te demandes pourquoi je n’ai pas mis le fameux t-shirt ? C’est que je ne savais pas si ses parents étaient encore là ou pas. Tu peux trouver mon choix bizarre, mais je suis comme ça. Ils auraient pu penser que leur fille avait une amie exhibitionniste ! J’ai des principes, moi ! » dit-elle avec un sourire amusé.

Comme je ne trouve rien à répondre, elle enchaîne aussitôt : «  Et tu aimerais savoir si je vais le mettre, hein ? C’est Daniela qui a parlé de voyage coquin, n’est- ce pas, chéri ? Si tu trouves un endroit pour t’arrêter parce que le t-shirt est dans ma valise ! »

« Pas avant Turnu Severin, à 150km d’ici. On s’arrêtera à une station- service, histoire de remplir le réservoir de la voiture. Tu en profiteras pour te changer aux toilettes ! »

« Et provoquer une scène par la même occasion ? » reprend t-elle, au souvenir de la station-service de Pitesti.

Il est environ 10h30 lorsque que j’aperçois la station, à l’entrée de Turnu Severin. Pendant que je fais compléter le réservoir, Eva, qui a pris le t-shirt dans sa valise, ainsi qu’un sac en plastique, repère les toilettes.

« Elles n’ont pas l’air terribles Bon j’y vais ! »

Quelques minutes plus tard, alors que je viens de payer et acheter en même temps une bouteille d’eau, Eva apparaît : c’est absolument divin ! Il faut dire que le t-shirt, sans être moulant, est un brin ajusté. Si on ne remarque pas l’absence de culotte, comment ne pas voir les tétons qui se dessinent nettement. Et puis c’est vraiment très court ! Ses jolies cuisses sont quasi dénudées. La pompiste, une femme, l’observe avec une certaine réprobation, mais cela n’ira pas plus loin. Eva qui retrouve le siège de la voiture :

« Tu vois, j’ai tenu parole, mon chéri ! » me susurre- t-elle, avec un sourire enjôleur, en prime.

« Tu es vraiment sexy comme cela ! Tu vas attirer tous les regards surtout que tu n’as rien dessous ! »

« Tu peux vérifier  » et elle retrousse légèrement le t-shirt, me faisant admirer sa petite touffe.

« Ne fais pas ça quand on va rouler ! Cela pourrait être dangereux pour nous deux ! » dis-je avec un petit sourire admiratif.

Peu après Turnu Severin, nous abordons le grandiose défilé des Portes de Fer : une route sinueuse, à flanc de montagne et tout en bas le majestueux Danube, que nous allons côtoyer un moment. Nous y étions passés à l’aller, mais sans arrêt. Vers 11h30, alors que nous sommes au cur du défilé, j’avise un parking situé sur le côté gauche de la route, d’où on peut admirer le Danube. Pour le moment, il y a juste une voiture.

« On va s’arrêter là, pour le paysage et aussi parce que je commence à avoir faim ! » dis-je à Eva, qui approuve. Nous descendons de la voiture. Eva, qui marche avec une certaine retenue, m’adresse un sourire :

« Ce n’est pas évident de devoir se tenir bien droite ! »

Nous montons quelques marches, pour nous retrouver sur une terrasse bordée par une rambarde. De là, nous admirons le fleuve, environ à deux cents mètres au- dessous de nous. Je remarque vite que le t-shirt, en tissu synthétique léger, même s’il couvre l’essentiel du corps d’Eva, est très sensible au vent.

« Faire tout le voyage comme ça je dois être un peu folle, même si j’avoue que ça m’excite ! » me confie- t-elle tandis que nous sommes appuyés sur la rambarde.

« Sois la plus naturelle possible juste de quoi attirer le regard des voyeurs, sans provoquer d’émeute, bien sûr ! »

« Je vais donc jouer les exhibitionnistes ! Je l’avais déjà fait un peu à Prague, mais tu as envie que cela aille plus loin, n’est-ce-pas ? »

« Tu as des jolies cuisses un peu rondes, des belles fesses et des seins un peu gros  J’adore que d’autres que moi les remarque ça me fait bander, pour tout dire ! » dis-je pour conclure.

« Bien, les choses sont claires. Tu l’auras voulu ! » me lance -t-elle comme un défi.

« Tu as faim, chéri, je crois ?  Daniela nous a donné quelques provisions et il y a quelques tables avec des bancs. »

Pendant que je vais les prendre dans la voiture, Eva s’est assise à une des tables. Je reviens vers elle. Tandis que nous mangeons, le couple d’âge mûr, jusque- là accoudé à la rambarde, retourne à sa voiture. L’homme jette de fréquents coups d’il dans notre direction. Et comme il est au- dessous de nous, il est clair qu’il doit avoir une belle vue sur les cuisses d’Eva.

« C’est sûr qu’il te mate ! »- dis-je un peu excité- « montres- en un peu plus pour voir ! »

« Comme ça ? » demande- t-elle, en écartant ses cuisses. En bas, l’autre ne semble plus savoir comment faire pour mater sans se faire remarquer de sa femme.

« Alors, ça te plait de voir mon minou ? Tu vois je n’ai pas de culotte ! » Eva se prend vite au jeu avec ce dialogue imaginaire. Et quand je me penche à mon tour, c’est pour voir son adorable chatte qui émerge nettement du t-shirt.

« Cela te convient ? » me demande- t-elle, tandis que la voiture du couple s’éloigne. « Tu sais que ça commence à m’exciter, tout ça ? J’ai l’air d’une sex-bomb, maintenant ! » dit-elle, aguicheuse.

« Chérie ! Tu es simplement adorable ! »

Il est environ 12h15 quand nous redémarrons. Encore quelques km à suivre le Danube, puis nous remontons vers le nord, à travers les Carpates. A cet endroit l’altitude n’est pas très élevée, mais la température déjà plus agréable. A lapproche de Lugoj, vers 14h30, alors que nous longeons la Timis, une grande rivière, j’avise un petit parking improvisé, abrité par quelques arbres :

« On va s’arrêter un moment, si tu n’es pas contre ! » dis-je, tout en coupant le contact. Puis nous descendons de voiture.

« Pas de voyeur en vue ! » lançai- je à l’adresse d ’Eva, qui se contente de sourire. Puis je la regarde :

« C’est vrai qu’il est très court, ce t-shirt on devine tes formes tu es mignonne comme ça ! »

« Qu’est- ce que tu vas me demander, chéri ? Je te vois venir avec tes compliments ! »

« Si tu l’enlevais juste un moment, histoire de te montrer toute nue, que pour moi, bien sûr ! »

« Tu es sûr qu’il n’y a pas de voyeurs ? » le ton est légèrement ironique. Je la sens un peu hésitante, avant qu’elle ne fasse passer le t-shirt par la tête pour le déposer sur son siège. La voilà nue avec juste ses sandales et ses lunettes. Mon regard va de ses seins à son ventre, de son ventre à son sexe.

« Tu as envie de moi, c’est ça ? Tu dois bander très dur  » De sa main droite, elle effleure le devant de mon short. Puis avec la paume elle caresse mon sexe à travers le short :

« Viens ! » je lui empoigne la main droite et l’entraîne derrière un bosquet d’arbustes à quelques mètres. Elle résiste à peine, comme si elle voulait juste tester ma détermination. Là, je baisse short et slip, libérant mon sexe qui se redresse aussitôt. Je vois Eva passer sa langue sur ses lèvres ; ça m’électrise :

« Suces-moi, chérie, comme tu sais le faire maintenant ! A genoux  »

Elle s’agenouille dans lherbe et commence par me lécher le gland, par petits coups, avant de le prendre dans sa bouche. Divine sensation  ! Maintenant elle gobe une partie de ma queue, avant d’entamer de lent va- et vient. Ce fourreau mouillé, tiède qui emprisonne une partie de ma queue De temps en temps, elle lève les yeux vers moi. Quant à moi, j’ai une vue plongeante sur ses seins.

« Tu es belle, chérie ! Tu me rends fou avec ton corps, avec ta bouche ta bouche. Vas jusqu’au bout, mon amour je veux jouir dans ta bouche tu ne sais pas combien tu es excitante ! »

Puis on n’entend plus que les bruits de succion, tandis que mon plaisir monte vertigineusement :

« Oh oui ! Oh oui ! Chérie ! Oh que c’est bon ! Oui ! Ouiiii ! » Je gicle au moment où Eva n’a plus que le gland dans sa bouche. Si bien qu’elle en reçoit un peu sur les lèvres et sous le nez. Puis je vois bien qu’elle déglutit, avalant mon foutre.

« Eh bien ! Tu en avais vraiment envie mon chéri ! C’est stimulant de baiser dans la nature ? » me dit-elle en se relevant.

« Ce qui m’a excité aussi, c’est que tu sois toute nue! »

« Et moi j’aime ta grosse queue ! » dit-elle en la caressant avec sa main.

« Doucement, coquine ! Il faut en laisser pour ce soir ! »

« Et où serons-nous ce soir ? J’aimerais bien un peu de confort ! Le camping, c’est bien, mais »

« Si tout vas bien, nous serons à Arad. C’est à deux bonnes heures de route d’ici. Je connais un peu la ville et je sais qu’il y a un grand hôtel sur les boulevards. Avec un peu de chance, on aura une chambre ; ça te va ? »

« Parfait ! Ce sera parfait ! Je ne vais pas te ruiner au moins ? » ajoute- t-elle, taquine.

Nous nous apprêtons à remonter en voiture et Eva saisit son t-shirt sur le siège.

« Tu n’as pas envie de connaître l’effet que ça fait d’être en voiture, toute nue ? »

Eva semble interloquée par ma suggestion : « C’est bien une idée à toi ça ! Si on rencontre la police ? Sans compter les accidents que je vais causer ! » Elle rit, avant d’enchaîner :

« Juste quelques km, alors ? Pour faire plaisir à mon chéri, qui veut m’offrir l’hôtel ce soir ! »

Elle pose donc son t-shirt sur la banquette arrière et mets sa ceinture :

« Lugoj doit être à 15km environ. A l’entrée je m’arrête et tu te rhabilles ! Oui ? »

Je démarre. Eva soupire : « Tu aimes me voir nue ou que d’autres me voient nue ? »

« Les deux, pour être franc, ma chérie ! » dis-je, en posant une main sur sa cuisse.

Comme nous sommes sur une route de montagne, chaque sortie de virage devient un test pour Eva : qu’allons-nous croiser ? Y aura-t-il des réactions ? Pour le moment, il faut dire que la circulation est nulle.

Puis, j’aperçois une charrette de paysans, devant nous. Je dois ralentir avant de doubler. En même temps arrivent en face un camion suivi d’un autocar. Je ne peux que les laisser passer tandis que je roule quasiment au pas. Y aura-t-il quelques voyeurs qui auront l’aubaine de mater, au vol, le corps nu de ma passagère ? Rien que cette idée me fait triquer.

D’autant plus qu’Eva joue le jeu, ne cherchant à aucun moment à se cacher.

« Tu crois qu’on m’a vue ? » Elle esquisse un petit sourire, tandis que nous reprenons notre route.

« C’est possible, mais comment le savoir ? » dis – je, alors que nous abordons une légère descente. En bas, dans une petite vallée, une ville, certainement Lugoj. Puis, devant nous un groupe de cyclistes ; je dois presque stopper, car en face, un camion monte paresseusement la côte.

Impossible de ne pas remarquer les gestes démonstratifs du chauffeur et de son passager, lorsqu’ils approchent : ces pouces en l’air ils doivent avoir une vue plongeante sur les seins, le ventre et les cuisses de ma chérie. Quant aux cyclistes, ils sont trop occupés à gérer la descente. Mais quand je m’apprête à les doubler très lentement, quelques sifflets admiratifs, sont le signe qu’ils ont pu, fugacement, se rincer l’il.

« Alors, mon chéri est content ? » me lance Eva, un brin ironique, tandis que je me gare sur le bord de la route à l’entrée de la ville. Elle enfile le t-shirt, et nous reprenons la route.

Après avoir traversé Lugoj, puis la grande ville de Timisoara, nous entrons dans Arad, peu après 17h30. Je repère assez vite, le fameux hôtel, le « Continental » et me gare sur un parking à proximité. L’hôtel est de la classe touriste, c’est-à-dire qu’il est habilité à recevoir des touristes occidentaux. Je sais bien qu’Eva n’appartient pas à cette catégorie, mais je tente.

A la réception, une jeune femme. A la vue de mon passeport, elle s’exprime aussitôt en français. Bon point ! Il y a bien des chambres de libre. Je montre alors le passeport tchécoslovaque d’Eva. A mon grand soulagement, elle me fait savoir qu’il n’y a pas de problème, du moment que la chambre est enregistrée à mon nom. Subtilité du système socialiste Une fois la fiche remplie, un employé me conduit à la chambre au 2ème étage. Rapide coup d’il, avant de redescendre chercher Eva, restée dans la voiture.

« Tu peux venir, c’est bon ! » Eva est visiblement rassurée. Je prends sa petite valise, ainsi que mon sac. Au passage de la réception, la jeune femme me fait signe : elle a oublié de me dire que je dois lui remettre nos passeports, pour le contrôle de police ! Ce qui est fait. Après quoi nous gagnons notre chambre.

Elle est assez confortable mais pas de luxe à l’occidentale. La salle de bain est correcte, sans plus. Une grande baignoire avec une douche flexible qui fuit un peu. Les toilettes sont dans un angle. Le lit semble immense. Un téléphone, mais utilisable seulement pour le service, une petite armoire-penderie, une table faisant office de bureau et deux chaises complètent l’équipement de la chambre.

« Pas mal ! Et ça fait du bien de pouvoir se mettre à l’aise ! » Eva se débarrasse de ses sandales, puis retire son t-shirt, qu’elle dépose sur le lit. La voilà nue.

« Pourquoi tu me regardes comme ça ? » me lance t-elle, ironique, sachant bien l’effet qu’elle provoque chez moi. « Tu peux faire la même chose, tu sais ! » ajoute-t-elle, tout en rangeant ses affaires.

Je ne tarde pas à m’exécuter et quand elle se retourne vers moi, son regard est attiré par ma verge dressée à l’horizontale.

« Ce que je t’ai fait tout à l’heure n’était pas suffisant, on dirait ! » Son regard brille.

« Prendre un bain tous les deux, ça te dit, chéri ? J’espère que l’eau n’est pas froide et qu’on pourra remplir la baignoire  » Comment résister à une telle invitation ?

J’ouvre le robinet d’eau chaude, après avoir vérifié que la bonde ne fuit pas. Pas très chaude, l’eau, mais ça ira. Finalement je remplis la moitié de la baignoire d’une eau juste tiède, mais convenable. Elle s’installe, assise, les jambes allongées, le dos reposant contre la baignoire. Je me place à l’autre bout. Nos jambes se touchent.

« C’est agréable, n’est-ce-pas ? Et si tu me savonnais ? Ce serait joli, non ? » me dit – elle en me tendant le carré de tissu éponge qui sert de gant et une savonnette.

Je sors de la baignoire, tandis qu’Eva se met debout. Au début j’utilise le gant, mais très vite, c’est ma main qui remplit cet office. Une main bien savonneuse qui s’attarde sur les trésors de son corps : le ventre, les fesses, les seins, le sexe. Quand ma main touche sa vulve, elle écarte ses cuisses. Et aussitôt mes doigts passent entre ses cuisses, puis palpent la raie de ses fesses. Je la sens frémir. Elle a un petit sursaut quand, abandonnant toute retenue, je lui fourre deux doigts dans sa vulve, deux doigts que j’agite frénétiquement.

« Bob ! Arrête ! Je  » Mais elle ne fait rien pour retirer mes doigts qui la fouillent. Peu à peu, l’excitation la gagne. Sa respiration devient saccadée.

« Mmmm ! C’est bon c’est bon Continues !  » Puis le déclic :

« Bob Bob prends moi j’ai envie que tu me prennes j’ai envie de sentir ta grosse queue dans ma chatte ! Viens, chéri ! Viens ! »

Elle sort de la baignoire et se place face au lavabo, les jambes écartées. Je me place derrière elle. J’ai une hésitation : « Sans préservatif ? »

« Vas-y comme ça, chéri ! Tu sortiras au dernier moment je veux sentir ta grosse queue comme ça »

Eva est terriblement mouillée et pas seulement par l’eau. Mon gland décalotté s’enfonce sans problème dans sa chatte trempée. Une fois ma verge enfoncé dans l’étui chaud de son vagin, je commence à la ramoner, lentement pour commencer. Puis au fur et à mesure que je sens son excitation croître, j’accélère.

« Oui ! Oui ! Vas- y ! Oui ! Encore ! Encore ! » Mes couilles tapent sur ses fesses ses seins laiteux ballotent. Ses gémissements deviennent interminables, entrecoupés de couinements. C’est qu’elle est bruyante, Eva. Et il faut dire que j’adore ça l’entendre gémir, râler de plaisir, décuple mon excitation. Je la pilonne son corps est secoué de tremblements. Je sens que je vais jouir pas de gaffe, je n’ai pas de préservatif ! Eva glousse de plaisir :

« Mmmm ! Ouiiiiiii ! C’est booon ! Encooore ! » Je sens la purée qui monte, je me retire précipitamment. Il était temps. Je gicle sur ses fesses, pas trop, vu le « prélèvement » déjà fait par Eva. Elle se redresse, elle a les yeux larmoyants. Elle se colle contre moi et nous échangeons d’interminables langues fourrées.

« C’était joli, chéri ! Dommage que tu n’aies pas pu te vider dans mon vagin »

« Ce ne serait pas raisonnable, n’est-ce pas ? » Elle acquiesce. Puis elle se reprend :

« Si on finissait notre toilette, normalement ? » dit-elle avec son plus joli sourire.

Une fois sortis de la salle de bains, Eva vient s’allonger sur le lit, toujours nue. Je m’assois aussi sur le bord du lit, tout près d’elle.

« Nous irons manger au restaurant de l’hôtel il est presque 19h tiens je vais téléphoner pour connaitre les horaires ! » Je fais ça un peu au hasard, mais je reconnais la voix de la réceptionniste. Quand je raccroche :

« Le restaurant fonctionne de 19h30 à 22h30. On ira vers 20h, ça ira ? »

« Parfait ! » me répond Eva, qui ajoute : «  Et je m’habille comment ? Je ne vais quand même pas remettre le t-shirt Tiens je vais le laver un peu ; demain matin il sera sec et je pourrais le porter  »

Elle se lève aussitôt pour le laver, sommairement dans le lavabo avant de l’étendre sur une chaise.

« Tu n’as qu’à mettre la minirobe verte ! » lui suggérai-je.

« Parce qu’elle est plus courte que l’autre, n’est-ce-pas ? » susurre – t-elle.

« Et sans rien dessous, évidemment ? Parce je sais que tu vas me demander ça ! »

« Puisque tu le dis, toi-même oui, sans rien dessous comme à Prague ! »

Nous nous reposons un peu en attendant, puis Eva se retire dans la salle de bain, pour se maquiller un peu. Quand elle en ressort, elle est magnifique, avec un maquillage léger et ses cheveux châtain joliment coiffés, et qui balayent ses épaules. Elle enfile sa minirobe sur son corps nu, tout en me regardant :

« Je ne sais pas s’ils remarqueront mon maquillage ! » dit-elle en observant le bas de sa robe, qui dévoile déjà plus de la moitié de ses cuisses.

« Allons-y ! » Je lui ouvre la porte de la chambre. Pour ma part, je suis habillé, d’une façon basique : un pantalon de toile et une chemisette. Un fois dans l’ascenseur, elle me lance un : « Coquin ! » avec un petit baiser en prime sur la bouche.

A l’entrée du restaurant de l’hôtel, nous sommes accueillis par une sorte de majordome, qui nous conduit à une table. Nous ne savons pas si l’usage de compléter les tables est de mise dans cet établissement. Finalement, nous nous retrouvons à une table carrée, rangée contre le mur visiblement prévue pour deux convives. A l’arrivée du serveur, nous commandons un apéritif, une sorte de Martini local, pas mauvais au demeurant. Un coup d’il autour de nous suffit pour voir que le restaurant est presque vide : une dizaine de personnes, guère plus.

Nous sommes assis face à face, et comme la nappe n’est pas grande, il est aisé, pour tous ceux qui passent, d’admirer les cuisses d’Eva, encore plus généreusement dénudées, étant assise.

« Cela te plait de me voir comme ça ? dit-elle en se penchant légèrement vers moi. Je remarque que le bouton du haut de sa robe a sauté, me laissant admirer le creux de ses seins.

« Si tu croisais tes jambes, chérie ? «  je crois que le serveur t’a repéré ! Tu dois avoir la robe la plus mini du restaurant ! »

«  Il ne faudrait pas que ça fasse un scandale ! » Elle affiche un petit air coquin, tandis que, de sa main gauche, elle fait discrètement sauter le bouton du bas de sa minirobe, avant de croiser ses jambes.

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« Mais tu es en train de me faire un strip-tease, ma chérie ! » Je chuchote ces mots, tandis que ma main droite, se pose sur son genou. Elle me répond sur le même ton :

«  Et toi, tu vas finir par me sauter devant tout le monde ? J’espère qu’on ne voit pas ta main ! » Elle a un petit rire nerveux l’ersatz de martini, peut-être

Pendant ce temps nous passons commande d’un plat et d’un dessert. Eva s’amuse autant que moi, de l’empressement du serveur, au moindre de nos appels. Il faut dire qu’Eva dévoile quasiment toutes ses cuisses, à la limite de la pudeur, pourrait-on dire. Et ma main droite qui vient caresser de temps à autre sa cuisse gauche, a l’air de l’émoustiller.

« J’adore tes jolies cuisses, chérie ! » mes caresses, tout en restant, relativement discrètes, deviennent plus hardies, au point qu’Eva finit par avancer son siège sous la table, sans doute pour me faciliter la tâche. Je finis par glisser ma main entre ses cuisses qu’elle a, d’elle-même, écartées. Je la sens frémir quand mes doigts effleurent sa vulve. Heureusement, je n’ai pas à me pencher beaucoup en avant, la table étant un peu étroite. Elle parvient à réprimer un sursaut, quand elle sent deux doigts s’enfoncer dans sa vulve.

« Chéri, vas doucement je crois qu’on nous regarde  » me souffle- t-elle. Il est certain que le serveur, qui, dès qu’il le peut, se place juste dans l’axe d’où il peut admirer le côté des jambes d’Eva. Pour autant, j’estime qu’il ne peut apercevoir ce que je fais.

Entre temps, nous finissons de dîner. Eve ouvre la pochette qu’elle a prise avec elle et en sort un paquet de cigarettes. Je reconnais un des paquets offert par Mirek. Elle m’en propose une, que j’accepte, et nous fumons, en silence. Eva affiche un petit sourire crispé : c’est que mes doigts explorent sa vulve et qu’elle commence à mouiller. A un moment, elle ose glisser sa main gauche sous la table et finit par toucher ma braguette. Quand elle remarque l’absence du serveur, elle essaie de presser mon sexe entre ses doigts à travers le pantalon de toile.

« Tu aimes, chéri ? C’est bien ce que tu voulais, n’est-ce-pas ? Une petite expérience  » Mais quand elle sent que j’essaie de lui exciter son clitoris :

« Calmes-toi, Bob ! Sinon tu vas arriver à me faire jouir devant tout le monde ! » En attendant, je bande car elle n’arrête pas de presser ma queue entre ses doigts !

Finalement, voyant qu’il est déjà largement 21h30, nous appelons le serveur pour l’addition. Mais c’est un homme d’un certain âge qui se présente pour le règlement. Nous payons, puis nous quittons le restaurant pour la chambre :

« Celui-là (le caissier), il lorgnait aussi tes cuisses ! Il s’est peut-être trompé dans l’addition ! » dis-je, alors que nous attendons l’ascenseur. Et quand nous y montons, nous deux seuls, j’appuie sur le bouton du 5ème étage.

« En route pour le 7ème ciel ! » et j’enlace fougueusement Eva, tandis que l’ascenseur monte avec une lenteur qui n’a rien de désespérante.

« Bob ! » a-t-elle juste le temps de dire, surprise par la manuvre. Mes mains se glissent sous sa minirobe et pétrissent ses fesses rondes, tandis que nos langues se mêlent fiévreusement. Puis je m’écarte un instant pour saisir sa main et la poser sur ma braguette qu’elle a tôt fait d’ouvrir. Elle y introduit sa main et sort ma queue sans difficulté :

« Tu n’as pas mis de slip ? Tu avais déjà cette idée, n’est- ce pas ? » Elle est à peine étonnée, tandis que j’appuie sur le bouton du 2ème étage pour faire redescendre l’ascenseur.

« Tu crois qu’on va pouvoir le faire longtemps ? » demande Eva que cette perspective de faire des galipettes dans un ascenseur est en train d’émoustiller. Eva qui me masturbe à pleine main, tandis que mes doigts fouillent sa vulve et que nous échangeons des baisers mouillés à la pelle.

Une fois arrivé au 2ème, retour au 5ème. Eva gémit sous mes doigts. Et je suis si excité que je finis par jouir dans sa main. C’est à ce moment que nous percevons des protestations de gens qui attendent l’ascenseur et se demandent ce qui se passe ! J’appuie donc à nouveau sur le 2ème et, une fois parvenus, nous nous précipitons dans notre chambre, gagnés par une sorte de fou-rire.

Puis nous nous préparons pour la nuit. Eva a revêtue un t-shirt long qui fait office de nuisette :

« Tu ne dors pas toute nue ? » Je feins la déception.

« Demain nous avons une longue route à faire ; donc pas de nuit torride ! Tu dois être reposé je ne veux pas finir au cimetière ! » un argument imparable. Et la nuit se passe en douceur.

Mardi 9 août. Lever vers 6h30. Nous descendons prendre le petit déjeuner à 7h30 et à 8h30, bagages en main, nous retrouvons la voiture sur le parking. Eva a revêtu le maxi t-shirt qu’elle a sommairement lavé la veille, et qui la rend tellement sexy.

A suivre

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