Voilà le moment d’écrire, j’allais dire au revoir à mon frère cadet de deux ans,et je lui donnais une grande étreinte sur le quai ensoleillé ,il était deux têtes plus grand que moi,châtain et un peu maigre pour ses dix sept ans,mais si gentil envers moi,Missy sa grande soeur qui ne faisait guère attention à lui car mes occupations personnelles étaient souvent très longues…Mais en cette fin d’été,je me rendais compte que je n’allais plus le voir durant trois ans car il allait faire des hautes études à l’étranger,alors j’avais passé quelques temps avec lui durant un mois à la plage dans mon maillot une pièce que je roulais parfois à mes hanches pour faire bronzer mes seins sans pudeur devant ses yeux que je croisais souvent fuyard, cela me faisait inconsciemment plaisir et je me souvenais encore, lorsqu’un jour il me disait en riant bêtement que j’étais le sosie de Pamela Anderson,j’avais accepté tout aussi bêtement que lui son compliment par un sourire gêné,que je trouvais osé
de sa part!Car j’étais quand même sa soeur,mais je l’excusais intérieurement car il était en pleine adolescence…Puis cela faisait plusieurs fois que l’on me comparaissait à cette Pamela ou bien à samatah fox,le type de blonde pulpeuse en fait,mais tel était ma nature de blonde. Mais revenons sur le quai…
J’ouvrais grand mes petits bras face à lui,j’étais en Jean’s moulant délavé et déchiré sous une fesse qui laissait apparaître un morceau de mon monokini blanc échancré,j’avais un court débardeur bleu ciel qui s’arrêtait sous mon nombril,je ne portais pas de soutif ce jour là car j’allais par la suite à la plage avec mon petit ami,et dessous le tissus bombé par ma poitrine et dessiné par mes petits tétons,s’affalaient à peine mes seins lourd,et si vous me regardiez de coté,vous auriez sûrement vue au dessus de mes flancs,la base de ma poitrine se dénuder de plus en plus quand j’écartais mes bras,et il ouvrait aussi les siens pour m’étreindre aussi mais plus gentiment car c’était moi qui refermait et serrait fermement à entrelacer mes doits dans ses reins.A cette pression de réconfort,j’en oubliais que ma poitrine s’écrasait sur lui à en déborder de mon tissu et à en resserrer la fente qui se soulevait pas loin de mon menton. Je lui chuchotais qu’il allait me manquer et qu’il
me donne de ces nouvelles par Internet,puis il me serrait à son tour très fort en chuchotant aussi qu’il avait apprécié l’attention que je lui avais porté ces derniers temps et il me comprimait encore plus fort sur son buste à m’en créer une petite douleur aux seins que je lui signalais par un soupir et il me lâchait en s’excusant bêtement,mais je ne le lâchais pas et en me pointant sur mes pieds afin de lui chuchoter un mot gentil et encourageant dans l’oreille,et quand j’avançais sur mes pointes, je constatais son érection très dure et épaisse dans son jean’s qui luttait désespérément pour devenir verticale et cela me coupait la parole à m’en faire lâcher l’emprise de mes bras pour mettre une main devant ma bouche ouverte qui avait perdue ces mots avec mon regard fuyard puis aimanté sur son entre jambe. Mon cadet s’excusait maladroitement en bafouillant quelques mots,et mon petit ami arrivait sur notre droite en criant que le bateau allait partir si on restait planté là.
Alors il se penchait pour saisir ces valises en me regardant timidement.J’étais totalement surprise de l’effet que je lui faisais,je ne disais plus rien en regardant ses fesses moulées dans son jean’s monter la passerelle,puis je m’étais mises à lui hurler que je l’adorais de tout mon coeur en agitant mes mains au ciel et je le voyais soudainement courir vers le bateau pour s’accouder à celui-ci afin de m’envoyer des petits baisers de ses mains auxquelles je répondais immédiatement. Mon petit ami me serrait derrière moi dans ses bras en soupesant légèrement ma poitrine en disant bêtement qu’il allait devenir jaloux si je continuais,alors je calmais ma joie et ma tristesse de voir mon cadet partir dans ce géant paquebot avec un drôle de sentiment au ventre.Le soir même,dans le lit de mon petit ami ou j’étais habituellement du genre douce et câline,ce soir là ,j’avais été comme une vraie nymphe…
Les trois ans étaient passés, moi et mon cadet s’étions envoyés quelques e-mails sans oser reparler de notre incident d’étreinte sur le quai trois ans en arrière. Nous étions donc revenu au même quai avec mais cette fois ci ,j’étais toute seule car j’avais eu été séparée depuis une dizaine de mois,pour l’occasion je m’étais mise sur mon trente et un car je ne sortais plus trop depuis ma séparation qui m’avait blessée. J’avais mis mes cheveux blonds dans un chignon tenu par une barrette rose avec quelques rives de cheveux cascadant sur mon visage,puis ma veste courte s’arrêter à mes reins et elle avait du mal à contenir ma poitrine lorsque je la boutonnais,alors j’avais mis un débardeur noir qui tendait par mes seins écartant la veste,j’avais hésité entre plusieurs bas moulant que j’avais répandu sur mon lit,puis j’avais fait pique et pique et quolégramme et mon doigt maquillé en rouge vif sur l’ongle avait désigné le pantalon en faux cuir noir brillant,alors je mordais mon d
oigt inconsciemment et je l’avais enfilé difficilement car je ne l’avais porté que deux fois depuis deux ans.Il m’allait comme une véritable deuxième peau,je tournais sur moi-même devant le miroir et je constatais qu’il s’était carrément glissé entre mes fesses rebondies du fait que je portais un minuscule string brésilien noir en soie , cela me rendait terriblement sexy et pour compléter le tout,je me chaussais pieds nus de mes courts talons à aiguilles qui claquaient fermement quand je marchais naturellement puis avant de quitter mon appartement que je possédais depuis un an,je passais une couleur rose bonbon sur mes lèvres charnues en les plissant plusieurs fois pour atteindre une perfection irréprochable.
J’étais bras croisés sous ma poitrine sur le quai avec mes jambes serrées qui laissaient quand même un jour évident entre mes cuisses et je scrutais du regard les passagers descendre la passerelle et j’apercevais enfin mon cadet que je n’avais plus vue depuis trois ans,il avait un énorme sourire sur son visage,je pouvais voir qu’il avait grossi dans le bon sens,ses épaules le rendaient sur de lui,je ne voyais plus que lui et dès qu’il posait pied sur le quai,il avançait vers moi en tenant sa valise au dessus de la foule de gens très compact pendant que j’agitais mes bras au ciel afin qu’il aperçoive mes petites mains aux ongles longs maquillées parfaitement.
Arrivée devant moi ,je me blottissais sur lui en le regardant dans les yeux,ma poitrine s’écrasait sur lui après trois ans d’absence,je sentais que son corps avait tellement changé que je n’arrivais plus à joindre mes doigts dans ses reins et je me pointais à nouveau sur mes pieds pour lui tendre la joue,puis il posait sa valise en me faisant deux grosses bises qui résonnaient dans mes oreilles.Il m’annonçait immédiatement que je lui avais manqué et je rétorquais la même chose,je lui saisissais la main pour l’amener à ma voiture afin de lui proposer de prendre un verre quelque part,et pendant que je le tirais comme une fille fofole vers ma voiture je me retournais sur lui pour la proposition et je découvrais son regard sur mon derrière séparé en deux par mon faux cuir et je faisais mine d’avoir rien vue en me retournant aussi sec et je mordais inconsciemment ma lèvre inférieure en luttant contre un désir interdit.
Dans le retour vers mon appartement,nous parlions de la famille et de ces études qu’il avait réussi en me montrant son diplôme,je le félicitais à un feux rouge en lui poinçonnant la cuisse comme on le faisant durant notre enfance et à mon tour je lui apprenais que j’avais enfin trouvé un boulot sur et pas trop loin de chez moi,alors il essayait de me poinçonner la cuisse mais ses doigts glissaient sur le faux cuir et je lui tirais la langue bêtement en lui disant qu’il n’y arrivait pas.
Arrivée à mon appartement ,je sortais la première de ma voiture pour faire le code du portail électrique et juste en prenant le pas,je regardais discrètement dans la voiture pour trouver à nouveau son regard hypnotisé sur mes fesses,et cela me faisait vraiment un drôle d’effet.Nous sommes rentrés chez moi et il découvrait mon petit appartement,il y avait un clic clac dans la seule grande pièce et je lui formulais qu’il aurait pu dormir chez moi mais je n’avais vraiment pas de place alors il me disait en ricanant qu’il irait comme convenu dormir chez nos parents qui travaillaient ce jour là.Je lui servais un verre que l’on dégustait en discutant encore et encore,j’avais ôté ma veste,mes seins bombaient incroyablement le tissu ,je croisais et décroisais assez souvent mes jambes en sentant le cuir et le string en soie se faufiler dans mon escalope jusqu’à que nous arrivions sur nos rapports amoureux.Soudain je voyais son regard sur une boite de préservatifs que j’avais oublié a
u milieu des bouquins en bas de ma table de nuit et je faisais mine encore d’avoir rien vue.Je lui annonçais que j’étais seule depuis quelques temps et il ne m’avait absolument pas cru comme la plupart des gens à qui je l’avouais car tout mon entourage me trouvait de plus en plus belle et mon cadet acceptait enfin mon aveux et ne comprenait pas ma solitude en m’avouant encore une fois qu’une fille belle comme Pamela Anderson ne pouvait pas être seule,j’avais rougi de son aveux que je trouvais encore osé mais il était comme ça,simple et franc et quand je lui demandais ou en était ses amours ,il me répondait que cela allait et venait sans rien de sérieux,et je me disais donc qu’il n’était plus ce jeune adolescent qui avait eu une effroyable érection sur le quai en m’étreignant.
Mon téléphone portable avait sonné,une amie du boulot m’appelait pour m’inviter le soir même à une soirée,j’acceptais en lui demandant si je pouvais venir accompagnée sans dire que j’allais lui présenter mon petit frère qu’elle ne connaissait pas et elle n’y voyait aucun inconvénient. Alors Mon cadet comprenait qu’il devait m’accompagner et me faisait un regard d’accord,la soirée était dans quelques heures que nous perdîmes à discuter de notre avenir.Et à vingt heure je décidais de me changer,en filant les mains pleines d’habits que j’avais cherché dans mes tiroirs,dans la salle bain pendant qu’il se changeait aussi dans la pièce et je ressortais en laissant la vapeur qui s’était contenu à cause de la douche,vêtue de talons hauts ficelés à mes chevilles nues,mes jambes étaient lisses à en briller par ma crème,la courte jupe en jean’s ample à la limite de la mini couvrait juste le trois quart de mes cuisses et était limite taille basse,une ceinture en anneau faisait semblant d
e la maintenir ,mon ventre était nu jusqu’au dessous de mes seins bien droit et imposant par un haut moulant ,type tee short, servant à la fois de soutien gorge et je constatais ses yeux me dévisager de haut en bas puis je lui avait dit bêtement si il voulait une photo et il avait bafouillé que non,et m’avait complimentée de ma tenue sexy ,lui était en jean’s chemise classique avec les chaussures en cuir.
Mon parfum embaumait la voiture, durant le trajet ma jupe remontait par mes mouvements de pédales en dévoilant mes cuisses que je recouvrais à chaque feu rouge car je sentais comme un éventuel regard sur moi et que j’espérais secrètement. Inexplicablement, mon cadet me redonnait goût aux hommes car il me comprenait vraiment. Arrivée à la soirée,mon amie venait tout de suite vers nous en me demandant qui était ce garçon qui me suivait car elle le regardait langoureusement et jalousement je lui formulais doucement,sans que mon cadet n’entende,qu’il était un ami d’enfance que j’avais revu afin qu’elle se dise qu’il était sûrement dans mes griffes car je ne voulais pas imaginer une amie de mon boulot se faire mon cadet.
Mon amie nous guidait vers une table basse entourée de pouf et évidement,la position assise m’aurait faite remonter la jupe en jean’s au maximum,alors je m’assoyais délicatement sur le coté en gardant mes jambes serrées,mon cadet se plaçait en face de moi puis nous regardions et discutions avec d’autres personnes qui nous entouraient,au bout d’un moment,je me levais pour les toilettes,et je me rassoyais en me sentant tellement à l’aise et décontractée qu’ en bavardant avec ma voisine prés de son oreille , j’en oubliais ma jupe qui remontait du fait que j’écartais légèrement mes cuisses sans m’en rendre compte et en jetant quelques regards par si et par là,je distinguais mon cadet assis sur le coté ,me reluquer discrètement en buvant son verre,il se rinçait le coin de l’oeil car j’avais sous ma jupe,un boy short en dentelle rose crème très sexy , il était à moitié en string ficelle et me couvrait seulement le haut des fesses.Il ne m’avait pas vue le prendre en flagrant délit de
voyeurisme,alors ce petit jeu qui ne devait pas m’exciter me faisait bizarrement de l’effet alors je m’affalais un peu plus sur le pouf tout en discutant avec une collègue et j’écartais au fur et à mesure mes cuisses afin de lui donner une meilleure vue,sachant qu’il me mâtait ,je ne le regardais plus pour lui laisser le champ libre et je sentais maintenant la dentelle me séparer l’escalope car je descendais vers le sol en ricanant des bêtises de mon amie et la fin du jeu coquin arrivait car je le percevais se lever pour aller aux toilettes,il y restait deux bonnes minutes et revenait s’asseoir comme si de rien n’était car je m’était rassise correctement du fait que je découvrais pas très loin un type me reluquer aussi et que j’ignorais car il me lançait une invitation avec son verre et vue que je n’étais pas une fille facile malgré mon abstinence depuis de long moment et que cela m’aurait peut être suivi au boulot,je reprenais mes esprits en changeant mon attitude qui étai
t devenue dévergondée.
En milieu de soirée,la musique bâtait fortement,Sean PAUL chantait à en faire danser quelques unes comme des folles,je voyais mon cadet les reluquer et cela me créait un effet de jalousie,alors je me levais en l’invitant à danser,hésitant au début puis confiant,on se retrouvait à gesticuler comme tout le monde,je faisais rebondir mon fessier en gardant le buste immobile,ma jupe rebondissait sur mon bassin que j’agitais de mieux en mieux ,je me tenais la tête dans les mains en regardant le sol puis je bloquais mon bassin et je secouais mon buste en faisant rebondir mes seins comprimée dans le tee short et pour finir la danse je remuais le tout de façon naturellement érotique en découvrant le regard mon cadet qui s’était éloigné de moi en dansant me reluquer au dessus de gens qui nous séparaient,et nos yeux se rencontraient une demi seconde très sérieuse et si intense que je ne l’oublierais jamais car j’avais pu lire dedans le désir qu’il ressentait et cela m’avait radicalemen
t envoyé quelques frissons dans le boy short.
Après un long moment, la série des slows retentissait car on arrivait à la fin de soirée,je ne manquais pas d’invitation que j’acceptais pour quelques danse ou les types m’avaient draguer sans retenue et que je calmais en leur signalant que mon petit copain était là mais qu’il était du genre pas collant car il dansait aussi avec d’autres filles que je surveillais aussi puis mon amie annonçait au micro que la soirée allait finir et qu’il ne restait plus qu’une chanson qui resterait gravée à tout jamais en moi,Sandy(J’ai faim de toi).
Les Hommes et femmes se séparaient ou restaient ensemble pour la fin,moi je repoussais l’invitation du gars m’avait faite déjà dansée car j’avais senti lui plaire un peu trop,et je voyais mon cadet proposer à une fille la dernière danse,je me faufilais entre eux pour lui balancer directement qu’il pourrait quand même m’inviter pour la finale puis sans attendre sa réponse je me retournais sur la fille qui devait dansé avec lui afin me m’excuser,mais elle était déjà dans une autre paire de bras,et je sentais les mains de mon cadet dans mes reins m’amener vers lui ou mes petites mains saisissaient ses épaules,ma poitrine s’étalait sur son ventre tellement qu’il se faisant grand et mon nombril se blottissait sur son bas ventre. Pour le début du slow,nous n’avions pas sorti un mot,j’avais posé mon front sur une de ses épaules,la musique nous avait calmée et soudain je sentais son souffle au dessus de ma tête que je relevais pour le distinguer sourire dans la faible lumière,je lui
rendais aussi fort le meilleur sourire que je pouvais,je sentais ses doigts s’entrelaçaient dans mes reins et je joignais les miens dans sa nuque en pointant mes pieds qui soulevaient mes talons du sol,nos yeux se fixaient un court instant et se séparait timidement et je constatais un couple s’embrasser à pleine bouche,on tournait en dansant et je savais que mon cadet apercevait à son tour le couple en question alors je retrouvais son regard en reculant mon visage pour lui faire les gros yeux en désignant le couple,il se penchait vers mon oreille en disant bêtement qu’ils n’auront pas besoin de s’éplucher une soupe,cette bêtise me faisait rire en souriant et je lui chuchotais en pouffant ,qu’au moins ils avaient l’air de l’apprécier leurs soupes car on pouvait distinguer leurs joues creusées avec leurs bouches bien jointes.A ma réflexion,je le sentais me presser légèrement sur lui,et sans un mot je répondais naturellement en me soulevant avec mes mains reliées sur sa nuque
pour lui chuchoter qu’au moins je n’allais pas tomber avec lui,et je sentais maintenant son sac sexuel vraiment imposant comprimé dans son froc à me demander si il n’était pas en érection mais je ne constatais rien de dur. Et machinalement trois ans après,je lui chuchotais si il se souvenait de l’incident du quai,il me répondait affirmativement par un mouvement timide de tête qui me faisait sourire,je lui chuchotais qu’il savait maintenant se contrôler et il me souriait superbement en me disant qu’il s’excusait ,même si cela était un peu tard ,je lui avouais qu’il m’avait surprise ce jour là et secrètement ,au fond de moi je l’imaginais toujours dans le paquebot se masturber en pensant à moi.Et bizarrement des mots sortaient de ma bouche pour lui demandant bêtement si il ne s’était pas cassé le poignet durant le trajet,cette petite question osée de ma part le faisait sursauter sans un mot,et je lui formulais que j’étais une grande fille quand même,même si j’étais sa propre
soeur et à ma grande surprise il m’avouait en chuchotant qu’il avait passé plus de trois heures à se branler avec un magasine porno qu’il avait acheté dans la presse du bateau. J’étais scotchée de son aveux,et secrètement heureuse car j’avais un fantasme coquin de voir un homme se masturber pour moi et je l’imaginais le faire sans retenue devant moi ,sa soeur. La discussion nous semblait naturelle et je lui lançais bêtement que cela serait intéressant de voir ça.Et comme par magie,je pouvais sentir sur mon bas ventre son paquet palpiter et s’allonger en se durcissant faiblement,à ce moment là je ne me voyais plus comme sa grande soeur affectueuse,alors je donnais un picotin sur son menton en fermant les yeux,puis un second dans le refrain de la musique(j’ai faim de tout ce que tu es..)Son sexe s’allongeait horizontalement à pousser contre ma ceinture en anneau,nous perdions pédales,il gémissait sans oser m’embrasser,je sentais son sexe longer encore et encore et augmenter de v
olume,et je mordais doucement son menton en guidant une de mes mains dans sa poche pour toucher de mes ongles son gland qui durcissait toujours,puis il me gémissait de me calmer,mais j’étais si excitée de son désir pour moi que la main qui était resté sur sa nuque ,trouvait son dos de tête pour appuyer dessus afin que nos bouches soit à quelques millimètres pour lui susurrer qu’il devait vraiment avoir envie de moi tout en sentant dans sa poche ,l’énorme tête de son pénis pousser ma main hors de celle-ci tant il bandait de plus en plus dur,le tissus de sa poche était imbibé,mon doigt contournait un peu son gland pour aller directement entre nos lèvres et finir dans ma bouche et je gémissais en lui signalant qu’il avait un goût délicieux tout en redescendant ma main pour caresser toute l’immense longueur de son pénis comprimer,je n’avais jamais fait ceci à un homme,mais là je me sentais comme possédée par le diable.Ces gestes me faisaient ressentir soudain,les lèvres de mon
cadet sur les miennes que j’ouvrais pour engager une bataille féroce de langue,s’était à qui la mettrait le plus loin possible en raclant tout les coins possible,on pouvant s’entendre gémir réciproquement,il me tirait très fort sur lui en ayant abaissé ses mains sur mes fesses à m’enfoncer la couture du boy short dans la peau et à compresser ma main qui tâter l’épais diamètre de son membre par son jean’s,mes seins fondaient sur lui pendant que ma main appuyer sur son dos de tête,quelques secondes plus tard sa longue langue me baisait la bouche et que je suçais sans retenue en agitant la mienne sur la sienne,je me souviendrais toujours qu’il touchait parfois mon palais tellement qu’il cherchait loin dedans et j’avouerais avoir joui sur moi-même rien que par ce baiser très langoureux et interdit qui durait et durait…Et des tapotements sur mon épaule me faisait rouvrir les yeux avec toujours la bouche pleine pour apercevoir les danseurs se séparer du fait de la fin du slow,mon
cadet ouvrait et ôtait sa langue baveuse de ma bouche tout en lâchant aussi mes fesses en se sentant gêné,je constatais mon amie me faire un clin d’oeil,je voulais m’éloigner de mon frère mais j’imaginais de suite la bosse de son jean’s alors je lui débrayais discrètement sa chemise pour camoufler finalement l’énorme bosse que j’aperçue une fraction de seconde.Il se penchait effrayer vers moi en me demandant comment allons nous expliquer cela et je lui clignais de l’oeil en lui poinçonnant le bras en répondant que je n’avais dit à personne qu’il était mon petit frère mais seulement un ami d’enfance,il me regardait étonné et se mordait la lèvre inférieur en me clignant aussi de l’oeil…
Nous avions quitté la soirée la soirée sans trop nous regarder car nous avions cassé une barrière,on montait dans ma voiture en se regardant du coin de l’oeil en direction de chez nos parents pour déposer mon cadet chez eux, jusqu’à que j’ouvre la discussion en formulant que la soirée avait été géniale,il me répondait d’un accord en toussant dans son poing,puis j’engageais une route ou je percevais un aire de repos,j’y accédais d’un coup de volant et sans clignotant en voyant mon petit frère s’accrocher à la portière et formulant ou j’allais.Je me garais sans réponse en débouclant ma ceinture de sécurité et je m’assoyais face à lui en remontant ma jambe sous moi,ma jupe remontait à faire apparaître mon entre cuisse couverte de dentelle et je lui demandais qu’il fallait qu’on parle sérieusement,il virait aussi sa ceinture sans me regarder et me répondait sérieusement qu’il regrettait se qu’il s’était passé,je tendais ma main sur son épaule en le rassurant que j’étais tout aussi
responsable et qu’il ne fallait pas avoir honte de ses sentiments,même si ils étaient interdit par la loi,mais lorsqu’ils étaient réciproques,le danger n’était pas pareil entre deux personnes adultes. Et là ,je voyais mon petit frère de vingt ans sortir difficilement de sa bouche qu’il était encore puceau,je voulais rire bêtement mais je pensais le blesser si je le faisais,alors je le rassurais en lui disant qu’il n’y avait pas d’age précis pour le faire et que si un jour le moment se présenterait,il faudra qu’il saisisse l’occasion.Il n’osait plus parler alors j’essayais de détendre l’atmosphère en lui demandant si on lui avait déjà fait au moins une petite pipe car je savais maintenant qu’il avait un sacré outil que j’avais touché à travers ses tissus. Sa réponse avait été encore négative et je sentais une terrible peine en lui et il me formulait que le peu de nana avec qui il était sorti,elle ne voulais faire ceci en le voyant tout nu et j’insistais de savoir pourquoi e
t il sortait de sa bouche que les nanas en questions avaient peur de son sexe. J’étais interloqué ou une gourmande de nature car je trouvais cela stupide d’avoir peur d’un gros sexe,mais je trouvais cela de plus en plus curieux et j’osais lui demander de me montrer l’engin en question,il débouclait son jean’s en se crispant car il avait du se pincer la peau puis je le voyais descendre son jean’s aux genoux,sa chemise couvrait toujours son paquet alors j’attrapais le bas de sa chemise pour la soulever.
Une autre barrière allait se briser,mes yeux focalisait son entre cuisse,je découvrais comme deux kiwis très poilus apparemment très durs,puis il attrapait sa chemise en me demandant si il fallait vraiment continuer,je lui haussais la tête d’un accord et il m’aidait à découvrir le reste de son paquet,posé le long du haut de sa cuisse,sa longue et épaisse verge veineuse au repos qui se mettait à palpiter devant mon regard tel un cobra surpris,ma main lâchait sa chemise qu’il maintenait toujours,son gros gland augmentait de volume en se décalottant,mes yeux était hypnotisés dessus,son sexe se contractait en s’allongeant vers le plafond de ma voiture en triplant de densité,mes yeux devenaient tout aussi gros,ma bouche restait béante,on aurait dit un godemiché surdimensionné que l’on trouve en sex shop,je n’avais jamais vu un sexe pareil et à la fin de toute sa dureté,elle s’affaissait légèrement en pointant vers le pare brise tant elle paraissait lourde,du liquide transparent so
rtait de la fente,à couler sur le tapis de ma voiture,du gland rouge à exploser avec une forte odeur de sexe masculin en chaleur.
Tel un aimant,je penchais ma figure, en ouvrant la bouche, vers son gland gros comme une clémentine,je sortais ma langue pour agrandir la place de ma petite bouche et je gobais avec douceur la tête de son sexe fuyant en donnant des caresses avec ma langue sur la hampe du coté de son sexe puis je m’installais confortablement à genoux sur mon siège,sans lâcher son hameçon dans nos gémissements afin de pouvoir lui tailler une bonne pipe mémorable,mon frère se décalait en posant son pied gauche sur le siège avec l’autre jambes au sol ou restait accroché son jean’s et slip ,et en enlevant aussi sa chemise pour se retrouver dans un meilleur angle pénétration buccale et je lui avais entamé une pipe douce mais le plus profonde possible sans me servir de mes mains car je me maintenais comme je pouvais,cela était succulent,je sentais son jus couler abondement tel un robinet mal fermé,j’aspirais et tétais son gland fortement,je voulais travailler le reste de son membre avec mes mains te
llement qu’il était grand,mais il soulevait son bassin pour accompagner ma fellation,je prenais difficilement la moitié de son sexe dans ma bouche quand soudain je sentais ses mains sur ma tête afin d’appuyer timidement dessus,je bavais tellement que ses poils étaient recouvert de salive,je butais la tête de son sexe dans ma gorge quand il montait son bassin,les bruits de succions remplissaient la voiture en faisant de la buée sur les vitres,je le suçais de plus en plus vite,je sentais mes seins et mon chignon vibrer tellement j’insistais,et je me mettais à le regarder dans les yeux car il avait son regard qui m’admirait,il avait sa tête basculante de plaisir posée sur la vitre passager et dans nos regards je plantais quelques fois son gland au fond de ma gorge en restant sans bouger tout en haussant les sourcils pour repartir en pompage rapide et avec quelques mouvements de tête qui passaient son gland dans les recoins de mes joues.
Après quelques minutes de fellation endiablée,je sentais le goût de son jus tourner au vrai sperme,je voulais tout lui avaler car je pressentais un gros paquet arriver,mais j’aurais paru trop salope pour une première fois,car nous ne savions pas jusqu’ou tout cela pouvais aller,alors je lâchais son sexe dur comme du fer et je lui attrapais le membre d’une main à n’en pas faire le tour pour le branler à toute vitesse en lui suppliant d’éjaculer,il se tordait de plaisir en faisant un visage à la limite de la douleur ,quand soudain,comme des jets qui arrose automatiquement les gazons,son sperme fusait sur ma figure en quantité impressionnante,ils m’éclaboussaient d’une puissance à en foutre de partout,et j’ouvrais ma bouche pour encaisser les dernières giclées qui n’avaient pas l’air de vouloir s’arrêter,elles frappaient ma gorge,je les avalais machinalement en finissant de le masturber fortement afin de bien purger ses kiwis qui se rétrécissaient,en avalant et aspirant,je l’en
tendais gémir mon prénom.
Son membre se désépaississait dans ma bouche,il se mettait à me complimenter de tout son coeur puis je lâchais son gland qui faisait abattre son pénis contre ventre par un bruit audible,je lui lançais un sourire coquin avec mon visage badigeonné de sperme gluant ,cela nous envoyais dans un rire commun car on regardait autour de nous pour constater des éclaboussures de sperme sur le tableau de bord et le plafonnier,je lui rattrapais son long sexe ramolli et encore à demi bander pour l’agiter comme une marionnette en le regardant comme si j’allais le gronder et mon cadet me disait en riant que j’aurais du tout avaler depuis le début,je lui répondais par un simple mouvement des épaules en faisant mes yeux de petite fille stupide et cela lui donnait envie de m’embrasser langoureusement comme à la soirée durant quelques minutes ou j’astiquais en même temps fermement sa verge qui retrouvait sa pleine gloire dans ma petite main et dés le baiser cassé,je replongeais ma bouche dessus
pour lui refaire une méga pipe, comme si cela était la fin du monde,en le masturbant des deux mains car il me soutenait par mes épaules en pleurant de plaisir,mes mains vissaient et dévissaient à contre sens pendant que ma langue léchait assidûment le dessous de son gland avec ma bouche fortement jointe sur sa clémentine rougeâtre,en même pas une minute,de nouveau jets puissants me fouettaient le palais,ses jambes tremblotaient sur le siège tant il éjaculait,j’avalais en regardant ses yeux monter au ciel pendant qu’il soupirait de plaisir.
Sa verge se ramollissait maintenant vraiment,et je lui donnais un nouveau sourire toujours la figure souillée de sa première éjaculation abondante,il s’ affalait sur la portière en balançant son bras droit au sol comme épuisé,j’attrapais un paquet de kleenex dans la boite à gants pour essuyer mon visage en m’aidant du rétroviseur tout en constant deux filet de sperme dans mes cheveux que je détachais pour les camoufler et j’essuyais aussi les gouttes répandues dans la voiture en me disant dans la tête que j’aurais du vraiment tout garder dans ma bouche,mon cadet se rhabillait en silence,je finissais de me coiffer dans le miroir du plafonnier et il riait en formulant qu’il faudrait peut être ouvrir les vitres pour enlever la buée,on ouvrait les vitres en ricanant,puis nous restions quelques instants dans les bras de chacun à se picoter le visage en s’embrassant parfois très profondément et calmement,
Pour ma part je sentais ma chatte très coulante,mais mon cadet en avait assez appris pour ce soir et je lui proposer de venir chez moi dès le lendemain après qu’il soit resté avec nos parents.Je devrais aussi vous avouer que dès mon arrivée chez moi,j’ai déplié le clic clac et sans me déshabiller je m’était enfilée deux doigts dans la moule en astiquant mon clitoris très fortement de l’autre main et que je m’étais endormie tel quel en imaginant son sexe me pénétrer au fond de mes entrailles.