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Un stage bien mérité – Chapitre 5




Il me redressa en m’empoignant par l’aisselle, je sentis le froid de l’air entrer dans mon anus, il devait être particulièrement ouvert à ce moment. Là, il plongea son regard dans le mien, « prends-moi maintenant » pensai-je, j’avais une envie folle qu’il me pénètre tout de suite, tant pis si on me voyait devenir folle sous les coups de reins de ce mâle trop doué, je le voulais en moi. « Pour la suite, dit-il, tu vas passer sous cette voiture là-bas, un peu de sexe, un peu de mécanique, t’es censé apprendre ça aussi ». J’étais extrêmement déçu, je devais faire une inspection sous un véhicule alors que le flot de mes pensées était uniquement tourné vers ce mandrin que je voulais sentir déverser son jus dans mes entrailles.

Mais je devais obéir, alors je pris la planche à roulettes sur laquelle on s’allonge pour pouvoir aller sous les voitures et s’y déplacer sans effort. « Plus vite je finis, plus vite on repasse au sexe » pensais-je, alors je m’y allongeai et je glissai en dessous de cette automobile qui me séparait de mon péché mignon.

Je lui demandai ce que je devais chercher, « Cherche un tuyau où il y a un trou, me dit-il, tu as trouvé ma bite sans effort donc pour une chienne comme toi, ça ne sera pas compliqué de trouver un gros tuyau » me répondit-il. Déjà passablement excité, il me traitait de chienne, ce qui m’excitait encore plus. Mon petit trou commençait à s’impatienter, s’ouvrant et se refermant comme autant de spasmes, montrant que j’étais plus que prête à être possédée. Mais je me ressaisis et regarde à droite, à gauche, rien. Soudain, je sens son pied sur la planche entre mes jambes qui seules dépassent de la voiture.

Pourquoi bloque-t-il la planche comme… BIP-BIP-BIP, j’entendais le bruit indiquant une descente des pieds du pont, la voiture descendait vers moi, par réflexe, j’essayais de sortir, mais son pied m’empêchait, je voyais le bas moteur s’approcher de moi, et quand la voiture fut juste au-dessus de mon torse, elle s’arrêta.

Je lui demandais ce qui se passa, qu’il fallait relever la voiture, que je ne pouvais pas sortir.

Ne t’en fais pas ma cochonne.

Et là, je sentis qu’il attrapait ma chaussure et qu’il l’enlevait, puis la deuxième, il déboutonna mon pantalon et le retira lui aussi. Je me retrouvais juste habillé du sous-vêtement en dentelle noire, il glissa sa main dessus, comme pour le caresser, puis le retira aussi, et je le sentis se placer entre mes cuisses, et il m’attrapa les jambes avec ses mains sous les genoux pour les relever. J’étais là, nue, à partir de la ceinture, les jambes levées, donc le fessier complètement exposé, sentant l’air s’insinuer profondément en moi, dû à ce que j’avais subi précédemment et dans un état d’érection très avancé. Il posa mes jambes sur ce que je devinais être ses épaules et me dit :

T’as vraiment un joli cul à bite !

Et je ne pus m’empêcher de sourire à ce compliment, puis il me pénétra d’un coup. Je sentis son énorme barre brulante rentrer en moi d’un coup, bien préparée, je n’eus pas de douleur, mais une vague de plaisir incroyable partit de mon bassin pour remonter vers mes jambes et mon dos, un Ooooh s’échappa de ma gorge, mélange de surprise et de plaisir. Il se retira doucement, me laissant le temps de sentir son gourdin qui frottait bien chaque millimètre de ma paroi intérieure, et provoquant des ondes de plaisir tout le long de la sortie, et il rentra d’un coup à nouveau, la vague de plaisir me retraversa, et je ne fis pas l’effort de retenir un ouiii qui me vint du cur. Il se retira à nouveau doucement, me laissant sentir son manche sortir avant de re-rentrer puis sortir et re rentrer. Il commençait à me besogner comme un animal sauvage. Je sentais des vagues de plaisir me submerger comme la mer flux et reflux sur les plages.

Je ne pouvais m’empêcher de faire entendre le plaisir qui montait en moi « Oui, Oui, baise-moi salaud, vas-y, défonce moiiii » je ne me retenais plus, si qui que ce soit entrait à ce moment, il n’y aurait aucun doute sur ce qu’il se passait, mais je m’en moquais.

Je sentais ce gros chibre en moi qui me ramonait comme je le voulais depuis un moment, je sentais ses couilles qui tapaient sur mes fesses à chaque rentrée de sa tige.

Vas-y, vas-y t’arrête paaaaaaas, criai-je encore.

Quelque chose changeait en moi, il me prenait, je prenais du plaisir, mais surtout je ne me voyais être nulle part ailleurs, et si on m’amenait ailleurs, mon premier réflexe serait de revenir ici et écarter mes cuisses pour qu’il reprenne sa place et ses mouvements. J’imaginais son visage masculin sourire aux lèvres, du au plaisir que mon corps lui procurait, je m’imaginais avec lui pouvant vivre ça chaque jour, le sentir en moi chaque nuit et cela me rendait heureuse, heureux je veux dire « que m’arrive-t-il » pensais-je.

J’essayai de m’imaginer avec un autre pour casser ce sentiment, mais mon imagination me ramenait à lui à chaque fois.

T’aimes ce que je te fais petite chérie ? me demanda-t-il soudainement.

Oui, j’adore, ne t’arrête pas, baise-moi comme ta femme, répondis-je sans même m’en rendre compte.

Et je le sentis en moi bander encore plus durement après cette phrase, et me travaillant au corps encore plus vigoureusement.

Je l’entendais gémir aussi, et j’aimais cette sensation que grâce à mes fesses, ils soient en train de prendre son pied aussi fortement que moi. Il faisait décoller mon esprit, les vagues de plaisir ressenties à chaque entrée se répercutaient dans tout mon être et je me sentais dans un monde à part où j’étais entourée par le plaisir comme dans une baignoire d’eau chaude. J’avais complètement oublié le fait d’être coincée sous cette voiture et je peux même dire que la sensation d’être prise sans possibilité de m’échapper augmentait encore ce plaisir. Puis je sentis une de ses mains glisser le long de mes fesses d’où il me tenait solidement pour me pistonner encore plus violemment, pour se diriger vers mon petit trou, qui ne devait plus rien avoir de petit dû au traitement précèdent et au coup de marteau-piqueur qu’il m’envoyait avec son chibre.

Et de cette main, je sentis un doigt commencer à pousser pour rentrer, chose qu’il fit, m’envoyant une énorme vague de plaisir qui me fit jouir instantanément pendant que mon mâle continuait sa besogne.

Puis un deuxième se rapprocha du premier pour se faufiler aussi. Que veut-il, pensai-je, pourquoi chercher à m’agrandir l’anus de manière si forte ? Mais ce majeur, plutôt têtu, à force de pousser, finit par lui aussi se glisser en moi au côté de l’index et du sexe démesuré de mon homme. Je pris une autre vague de plaisir énorme dû au frottement interne de ce même sexe en mon intérieur, et la sensation d’avoir les fesses complètement distendues. Je gémissais sans fin un râle de plaisir s’échappant continuellement de ma gorge, plutôt bas quand il sortait de moi, mais plutôt fort quand cette bête sauvage qui me prenait entrait à nouveau.

Soudain, un bruit de porte : « Alors c’est ici que ça baise ? » Mon cur s’arrêta une seconde. Quelqu’un venait d’entrer dans le garage et semblait bien au courant de ce qui se passait ici. Mais mon baiseur apparemment ne fus pas surpris : « Oui c’est là, approche ! » dit-il à quelqu’un que je ne voyais pas pendant qu’il continuait de me remplir avec son mat de chair et 2 doigts enfoncés profondément en moi. » Tu l’as fait bien gueuler cette salope, on l’entend depuis l’extérieur » Je vis une paire de chaussures sur la droite, et un autre derrière, donc ils étaient 2, mais la deuxième personne n’avait rien dit. Là, le maître de stage sortit de ma grotte du plaisir en reposant mes cuisses au sol doucement, et je le vis se relever.

Oui, il est venu hier et j’ai vu dans son regard que j’allai le rendre accro à la bite comme j’avais fait pour ton apprenti.

Et tu l’as bien formé celui-là ! Il obéit au doigt et à l’il, rien que ce matin, pendant que je changeai des freins, je lui dis, viens me vider, et hop direct à 4 pattes, la bouche ouverte ! Et là, tu recommences ?

Ben oui ! Comme je t’ai filé celui-là, je me suis retrouvé seul, donc là, je finis cette coquine, et elle restera ici pour me faire du bien régulièrement.

Ah OK ! Mais hier, tu dis ? C’est rapide.

Oui, j’ai tout de suite vu la chienne qui dormait en lui, j’ai juste eu à la réveiller et regarde : coincé sous une voiture en train de se faire ramoner en gueulant que je baise trop bien, je suis sûre que si je lui demande de s’occuper de ta bite, il le fera de suite.

Chiche !

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