Histoires de sexe Histoires de sexe en français

De Dame patronnesse à libertine. – Chapitre 3




Pour une fois, je manque la messe dominicale. Je passe le plus clair de mon temps à me pomponner. Amandine s’occupe rapidement à retailler ma toison pubienne… Mes poils noirs repoussent vite et je ne suis pas encore assez habile pour faire moi-même le travail.

Puis c’est le repas… Des crudités et un plat venant de chez le traiteur. Enfin c’est le départ avec Amandine. Elle me dépose devant le studio de Domi avant d’aller rejoindre son amante. Fébrilement, je monte les deux étages. Domi m’attend dans l’encadrement de la porte. Elle porte une minijupe et des cuissardes noires, une liquette nouée à la taille, visiblement elle est nue en dessous.

— Entre ma belle !

Dès que la porte est refermée, nous nous enlaçons… et au cours du long baiser qui nous unit, nous repartons à la découverte de nos corps. Effectivement Domi ne porte pas de soutien-gorge ! Je sens ses mains sur ma poitrine, elles défont les boutons de mon chemisier, s’insinuent entre les pans de tissu et se posent sur mes globes généreux encore couverts par mon soutien-gorge. Mon chemisier suit la veste de mon tailleur et se trouve jeté sur le dossier d’un fauteuil. Les mains de Domi continuent leur exploration.

Mon soutien-gorge rejoint mes précédents vêtements. La bouche de Domi mordille un des tétons pendant que l’autre est trituré par les doigts fins de mon amante ! C’est délicieux comme accueil… Il fait rapidement naître cette boule chaude dans mon ventre… une sensation que même jeune mariée et très amoureuse de mon mari, je n’avais ressentie ! Est-ce le désir d’aimer cette jeune femme de l’âge de ma fille ? Ma jupe rejoint ma veste, mon chemisier et mon soutien-gorge. Désormais, je ne porte plus que mon tanga de dentelle et mes chaussures à talons ! Je m’enhardis en glissant les mains sous la courte jupe de Domi… où, surprise je découvre que celle-ci ne porte pas de culotte !

— Oh la coquine… Tu es déjà prête ?

— Oui, je t’attendais avec impatience… Nous allons continuer ton initiation saphique !

— Ouiii ! Je suis impatiente de tout découvrir avec toi ! J’ai confiance !

Un immense sofa nous attend. Quand je m’allonge, je remarque seulement le cadre dans lequel vit Domi… Les murs sont garnis de gravures coquines, un grand miroir est placé au-dessus du dossier du sofa et un autre, tout aussi grand, est accroché sur le mur en face de la porte. La jupe et les cuissardes rapidement ôtées, Domi me rejoint et m’enlace… cherche ma bouche. Nos langues se mêlent pendant qu’elle glisse une cuisse entre les miennes pour peser sur mon entrejambe qui s’ouvre. Je sens la pression sur ma vulve. Domi entreprend un savant mouvement qui a tôt fait de mettre mon sexe en émoi.

Les baisers de Domi sont de plus en plus insistants… Ses lèvres descendent sur les seins, mordillent les tétons… les font saillir et des frissons irradient tout mon corps. En moins de cinq minutes, je ne sais plus où je suis tant Domi me procure des sensations ! Sa cuisse frotte toujours ma vulve qui, je le sais, je le sens, est de plus en plus humide. Mais je renverse les rôles… Désormais, c’est moi, Jeanne la prude, la bigote, qui domine mon amante ! Ma bouche va cueillir successivement les bourgeons de seins puis ma bouche descend jusqu’au Saint des Saints que je trouve humide, les nymphes ouvertes… Je plonge ma langue avec délices et lape ce nectar. Ma langue s’agite sur le bourgeon et je glisse mes doigts dans le sexe qui s’ouvre à ma pénétration.

— Oh oui, vas-y ! N’aie pas peur…

Oui… Non… Je n’ai pas peur… Toutes mes inhibitions sont tombées depuis l’après-midi avec les garçons. J’ai même osé me montrer nue devant ma fille Amandine. J’ai accepté de débroussailler ma toison pour ne conserver qu’un ticket de métro aux poils courts que Domi semble apprécier. Pour la seconde fois, je me livre aux étreintes saphiques de Domi qui poursuit mon éducation. J’ai envie de connaître des partenaires multiples un peu plus doux que ces chenapans qui ont engrossé Agathe, la jeune fille sérieuse.

Bientôt 45 ans… je n’ai plus de temps à perdre… pour connaître ce que mon mari n’a pas su me faire découvrir. Je me sens jeune dans ma tête et dans mon corps qui a soif de jouissance ! Et la jouissance emporte ma partenaire qui se lâche dans un rugissement de fauve… inondant mes doigts de ses sécrétions abondantes. C’est ce que je voulais… Désormais, je sais comment amener une autre femme au plaisir. Quelques minutes plus tard, Domi semble sortir de la léthargie dans laquelle elle avait sombré après son orgasme :

— Tu m’as bien envoyée en l’air… Maintenant à nous deux ! Je vais te montrer qu’il existe autre chose que les doigts !

— Oui je sais, les godes… Amandine en a toute une collection !

— Je ne pense pas qu’elle ait celui-là ! Regarde !

Domi me présente quelque chose qui ressemble au jouet que j’ai acheté récemment mais il est muni de lanières et semble être doublé par un pénis artificiel plus petit.

— Avec cela, je peux baiser comme un homme et avoir du plaisir en même temps car je suis pénétrée aussi… en plus ce méplat vient sur mon clitoris… Je peux te dire que j’apprécie… J’ai même sodomisé un copain avec !

En disant cela, Domi noue les lanières autour de sa taille et se montre fièrement devant moi. Je distingue les détails de ce sceptre artificiel qui va me pénétrer. Il est de bonne taille mais n’a rien à voir avec celui de Jacques, qui non content d’avoir déchargé abondamment dans ma bouche, m’avait sodomisée quelque temps plus tard… Les veines sont bien dessinées, le gland proéminent forme comme un chapeau de champignon avec un orifice au centre. Je contemple le plastron triangulaire qui est appliqué sur le pubis de Domi dans lequel l’autre extrémité est enfoncée. C’est à la fois terriblement sexuel et un peu vulgaire… mais j’ai hâte de me sentir perforée par ce dard infatigable !

— Mets-toi à quatre pattes les bras en appui sur le dossier et regarde-toi !

J’obéis aussitôt.

— Regarde-toi dans les glaces… Une femelle qui attend la saillie !

— Oh… quelle salope je fais ! Une jeune femme de l’âge de ma fille s’apprête à me baiser !

— NON… Tu as envie d’être baisée ! Je vais t’en donner !

Domi me rejoint sur le sofa, elle passe rapidement une main à l’orée de ma chatte qui ruisselle littéralement d’envie. Je sens le sexe factice s’approcher, frôler le haut de mes cuisses que j’ouvre encore plus. Nous sommes à la même hauteur… Lentement, je sens et regarde par en dessous la pénétration… Mon sexe s’ouvre… jusqu’à ce que le pubis de Domi soit au contact de mes fesses ! Je relève la tête… je découvre dans le miroir face à moi une sorte d’animal à deux têtes, une brune et une rousse ! J’écarquille les yeux ! Serait-ce moi cette bacchante ?

Oui… C’est bien moi, prise par une autre femme munie d’un sexe factice que je sens aller et venir en moi comme le Priape d’un homme ! Domi fait monter puis refluer ma jouissance à plus reprises… Je n’en puis plus… Je la supplie :

— Délivre-moi ! Fais-moi jouir comme une femelle en chaleur !

— Oui, je t’ai fait assez languir !

Joignant le geste à la parole Domi se penche, saisit un de mes seins, pince le téton et me donne une dernière estocade qui m’envoie au paradis des lesbiennes ! Je m’affale sur les draps, Domi, toujours fichée dans mon sexe, jouit à son tour. De longues minutes passent… pleines de douceur et de ferveur sexuelles. Nous bavardons.

— Je n’ai plus rien à t’apprendre… Maintenant, je sais quelle est ton envie. Si tu es d’accord, je t’invite à m’accompagner vendredi prochain. Je vais te faire découvrir un lieu dont tu ne soupçonnais pas l’existence !

— Dis-m’en plus !

— Non ! Ce sera la surprise ! Je vais te dire comment t’habiller, si tu n’as pas ce qu’il faut, tu n’auras qu’à aller à l’adresse que je vais te donner ! On t’attendra !

Quelque temps plus tard, le téléphone portable de Domi sonne : cest Amandine… Elle m’attend devant l’immeuble. Nous rentrons toutes les deux en voiture. Mon mari n’est pas à la maison… C’est mieux ainsi… De toute manière, quand je rentre à la maison il se désintéresse complètement de ce que j’ai pu faire au cours de l’après-midi ou de la soirée. Le début de la semaine passe calmement… Quelques tâches ménagères… mais pourquoi en faire plus, une femme vient faire l’essentiel du travail quatre jours de la semaine ! Le jeudi, je vais à la ville voisine à l’adresse indiquée par Domi ! Un sex-shop ! Nouvelle découverte ! La vendeuse me conseille et j’achète ce que Domi m’a conseillé et je rentre à la maison.

Au cours de la soirée, j’essaie mes emplettes sous le regard admiratif d’Amandine.

— Maman… Tu es du tonnerre ! Tu vas faire des ravages dans cette tenue !

— Ne dis pas de sottises, c’est vraiment TRES déshabillé ! Et j’ai l’air d’une PUTE !

— Rien à voir… Les putes ne s’habillent pas ainsi…

En effet, suivant les conseils de Domi, j’ai acheté deux soutiens-gorge… L’un couvre complètement les seins mais le bonnet est découpé de manière à laisser apparaître le téton à la pointe, l’autre est carrément indécent (d’après moi…) Il relève mes seins et les présente dans des demi-bonnets qui laissent voir une grande partie de l’aréole… Bien évidemment le téton est à portée de caresse ou de baiser. Cela plaît beaucoup à Amandine.

J’ai également deux strings très étroits qui couvrent à peine le peu de poils qui me restent… Le tout est complété par une robe dont les bretelles se nouent derrière la nuque et laissent mon dos presque entièrement découvert… On voit même l’amorce de ma raie culière… Quant à la longueur, elle est très réduite car elle s’arrête à la moitié de mes cuisses.

Domi m’a indiqué de prendre soit une cape soit un manteau pour me couvrir en attendant d’arriver là où nous devons aller.

Vendredi soir.

Après le dîner pris en famille… Pour une fois nous sommes quatre à table avec le frère d’Amandine, j’annonce que ce soir : je sors. Mon mari ne s’étonne pas outre mesure, quant à mon fils, il n’en a rien à faire… et ma fille qui sait, ne fait pas de commentaire et nous nous retrouvons dans notre salle de bains commune. Avant de prendre ma douche, Amandine s’occupe de ma toison qu’elle raccourcit encore, ne laissant qu’un tout petit toupet au-dessus du capuchon de mon clitoris… mais il n’y a rien à faire pour faire disparaître les traces des poils… Je suis tellement brune que la racine transparaît ! Dès que je suis séchée, j’enduis mon corps d’un onguent parfumé puis je m’asperge de paillettes dorées qui, d’après ce que dit Amandine, brilleront de mille feux.

— Tu verras… Tu seras la reine lorsque tu paraîtras !

Je m’habille rapidement et j’enfile un long manteau par-dessus avant de rejoindre Domi qui m’attend dans sa voiture devant le portillon de la maison. Nous nous embrassons brièvement et nous prenons la route. Une petite heure plus tard, Domi engage sa voiture dans une allée bordée d’arbres et discrètement éclairée puis nous entrons dans un parc au milieu duquel trône une grande demeure dont presque toutes les fenêtres sont occultées par des volets ou des rideaux épais. Deux projecteurs éclairent le perron devant lequel sont garées plusieurs voitures.

— Sommes-nous invitées ?

— NON ! Mais plus on est de femmes mieux nous serons acceptées. En plus je suis connue !

— Ah bon ? Tu es déjà venue ?

— Oui… et ce n’est pas la première fois…

— Tu m’en diras tant !

— La première fois, c’était pour l’anniversaire de mariage des propriétaires… L’épouse voulait faire un cadeau à son homme… et c’était moi le cadeau ! Laisse-moi te bander les yeux…

J’entends Domi frapper à la porte : trois coups brefs, un temps de silence puis un autre coup. Je pense aussitôt : c’est un code ! Je sens et j’entends la porte s’ouvrir… Un peu de chaleur, mais surtout de la musique. Une voix mâle s’élève :

— Oh Domi ! Comment vas-tu ? Tu nous amènes une bien jolie femme !

C’est vrai qu’entre le moment où Domi a frappé à la porte et son ouverture, elle a ôté mon manteau… et je ne porte que ma robe ultra décolletée et ultra courte… Mes seins sont relevés et les bourgeons bandés sont certainement saillants sous le tissu !

La voix continue :

— Entrez… Domi… tu sais ce que tu as à faire… Présente ton amie à notre petit groupe !

Je monte deux marches… je sens sous mes escarpins un sol en dallages puis après une dizaine de pas, je foule un tapis épais et j’entends le brouhaha des voix et quelques sifflements admiratifs.

Toujours cette voix de mâle :

— Voici Jeanne… Une nouvelle compagne de jeu ! Accueillez-la comme il se doit !

Domi me guide toujours en me tenant le coude droit… Il me semble que nous faisons le tour d’une grande pièce où chacun s’est tu.

— Voici nos hôtes !

A ce moment, je sens une main de femme tâter mes seins et une autre s’insinuer sous le bas de ma robe, remonter entre mes cuisses jusqu’à ma fourche.

Une autre voix d’homme s’élève :

— Très bien ! Jeanne, sois la bienvenue parmi nous…

Au même moment on enlève mon bandeau. Je découvre un immense salon éclairé par une multitude de lampes discrètes qui font comme des taches de lumière… Je distingue l’ameublement : une profusion de divans de formes diverses, des poufs colorés… et une douzaine de personnes des deux sexes… Je remarque aussitôt que les femmes sont aussi peu habillées que moi… Certaines n’ont plus que leurs dessous… très réduits. Je ne déparerai pas lorsque je serai en soutien-gorge !La femme qui est en face de moi est une grande blonde que je juge un peu vulgaire… Elle est outrageusement maquillée et son regard d’un bleu acier est dur. Elle porte une robe d’hôtesse au décolleté plongeant, découvrant à moitié des seins plutôt menus. Elle continue de tâter ma poitrine, triturant mes tétons entre ses doigts aux ongles pointus, puis elle tourne autour de moi, glisse une main dans mon dos et s’insinue dans ma raie.

J’ai honte… J’ai l’impression d’être du bétail examiné par un maquignon !

— Belle poitrine ! Beau cul ! Je sens que je vais aimer ! Viens, je vais te présenter nos amis. Je m’appelle Anja ! Mon mari, c’est Bruno.

C’est ainsi que je découvre les participants à la soirée… Il s’agit en majorité de couples dont l’âge tourne autour de la quarantaine. Si les femmes sont quasiment aussi peu habillées que moi, les hommes sont encore en bras de chemise. Je ne sais si les couples qui me sont présentés sont de vrais couples ou si l’appairage est déjà effectué. Les femmes sont jolies… mais je me dis que je ne dépare pas dans le lot… Nous nous embrassons comme de vieilles amies. Les hommes me regardent avec des yeux pleins d’envie, certains me mettent carrément la main sous le bas de ma robe ou tâtent ma poitrine et apprécient : Ils semblent aimer qu’une nouvelle participante arrive le sexe à l’air !Le tour de la pièce achevé, je me retrouve face à Bruno.

Il m’enlace, prend ma bouche dans un baiser profond, mélangeant sa salive avec la mienne. Il dénoue soudainement les cordons de ma robe qui tombe à mes pieds. Des sifflements admiratifs et des applaudissements résonnent dans la pièce !Je fais sensation ! Si je me sens rougir, j’éprouve aussi beaucoup de plaisir. JE PLAIS aussi bien aux femmes qu’aux hommes !Puis le Maître de maison dit d’une voix forte :

— Trinquons à notre nouvelle amie et remercions Domi de nous la faire connaître !

Le champagne semble couler à flots… Il y a plusieurs rafraîchisseurs dispersés dans la pièce avec des bouteilles.

Chacun des invités vient trinquer avec moi et la plupart se permettent des privautés qui ont vite fait de mettre mon corps au diapason surtout lorsque le dernier couple s’approche de moi… L’homme dégrafe mon soutien-gorge qui ne cachait pas grand-chose puisqu’il s’agissait ce celui à demi-bonnet. La femme qui l’accompagne caresse mes seins et fait rouler un téton dans sa main et embrasse l’autre et me dit doucement :

— Viens, accompagne-moi… nous allons bien nous amuser… Appelle-moi Véro ! Mon ami veut du spectacle !

Donc, ce n’est pas son mari mais son amant en titre ou du jour !Je suis mes nouveaux amis jusque dans un angle du salon où se trouve un immense sofa très bas avec de nombreux coussins. Je pourrais croire que la femme est mon sosie en blonde, la même taille, la même poitrine rebondie, les mêmes cheveux tombant sur les épaules. L’homme qui l’accompagne est un « beau gosse », blond comme un Viking lui aussi, le visage mâle avec des yeux gris, le torse avantageux.

— Allonge-toi… je te rejoins tout de suite ! Mon ami viendra nous retrouver ensuite… Offrons-lui le spectacle qu’il souhaite…

Elle se débarrasse rapidement du peu de vêtements qu’elle porte (un soutien-gorge aussi réduit que le mien et un string qui cache un pubis glabre… et me rejoint sur le divan. Sa bouche cherche aussitôt la mienne et bientôt nos langues se livrent à un duel humide qui me laisse pantelante entre ses bras, nos bustes collés l’un contre l’autre. Nos jambes emmêlées… nos pubis se frottent l’un à l’autre. Elle descend sur mes seins, sur mon nombril puis jusqu’à mon pubis qu’elle embrasse.

— Tu as une bonne odeur, juste un peu épicée… J’AIME !

— Merci, j’aime bien le parfum de ton corps !

Nous nous plaçons tête-bêche sur la couche et je prends les choses en mains si on peut dire… Je veux voir si les leçons de Domi ont porté. J’allonge Véro en travers de la couche et je l’enjambe… Surprise ! Elle porte deux petits anneaux dorés passés dans les lèvres vaginales. Je trouve cela très érotique et je pense que je vais moi aussi porter des bijoux intimes. Nous sommes l’une sur l’autre… Nous avons une vue directe sur notre sexe, offert sans voile aux regards de tous. Prévenant, l’homme dont je n’ai retenu qu’un prénom aux consonances nordiques : « Sven » glisse un gros coussin sous la nuque de Véro dont je sens immédiatement le souffle sur mes lèvres intimes. Puis, je sens des mains dures et viriles se poser sur mes fesses qu’elles massent et écartent.

Sa bouche se plaque sur ma chatte, sa langue cherche à débusquer mon clitoris puis descend à l’orée de mon vagin. Je ne reste pas inactive… Bien au contraire… Après avoir joué quelques instants avec le bout de ma langue sur les cavaliers dorés, je la darde au plus profond du vagin de Véro en faisant de rapides va-et-vient. Pendant ce temps les mains de Sven parcourent nos corps, passant de la poitrine de Véro à la mienne, caressant mes hanches, ma taille, ouvrant à nouveau la fente entre mes fesses, glissant un doigt inquisiteur sur l’anneau plissé. Tout cela met mon corps en émoi. J’ai chaud, j’ai froid, la soirée commence bien… Je perds toute notion de mon environnement pour juste SAVOURER !Et je savoure… Une bouche se pose sur mes fesses, glisse dans ma raie, une langue pointue vrille mon anneau plissé que je sens s’ouvrir… Oh… que cette caresse est bonne !

Je n’ai guère le temps de penser… Un pénis bien dardé remonte entre mes cuisses, cherche l’entrée de ma vulve que Véro ouvre de ses doigts !Lentement, je me sens pénétrée… Le sexe qui entre en moi ne me semble pas très volumineux mais terriblement long. Je sais que c’est celui de Sven et je l’accueille avec joie ! Ne suis-je pas là pour baiser et me faire prendre par ceux qui auront envie de moi, femme ou homme, je m’en moque… Pourvu que je prenne beaucoup de plaisir !Les mains puissantes qui peu de temps auparavant m’ont caressé brièvement sont désormais placées de part et dautre de mes reins. La copulation commence, savante, raffinée, Sven sait quels sont les points sensibles d’une femme et les cherche… Véro continue de lécher mon pubis… et assiste à la pénétration en gros plan mais les caresses que je lui prodigue sont désordonnées… Je suis entièrement à ce que me fait Sven si bien que je pars une première fois dans une jouissance démentielle.

Véro se dégage et à genoux en face de moi, elle achève de se donner la jouissance dont je l’ai privée. Sven ne m’a pas lâchée… Il continue à me baiser… le rythme s’accélère… Je sens le pubis de mon baiseur frapper contre mes fesses et sa queue forer mon corps jusqu’au plus profond… Je n’ai jamais eu cette sensation… C’est divinement bon… et je sens mon plaisir monter une seconde fois. Il éclate au moment où je sens que la jouissance de Sven se déverse dans le préservatif. Dommage, j’aurais aimé sentir la douce chaleur de sa semence se répandre en moi. Nous restons de longues minutes aboutés l’un à l’autre… puis Véro s’approche de Sven, l’embrasse et le fait sortir de ma chatte en disant :

— J’espère qu’elle est bonne ?

— Oh oui, elle encaisse bien la longueur de ma bite !

— C’est vrai qu’il faut y être habituée… Je n’y arrive pas ! Mais je vais te nettoyer et sentir le goût de ton foutre !

— Vas-y… je sais que tu l’aimes !

— Oui, à chacune de nos rencontres, j’apprécie de plus en plus sa saveur et j’aime quand elle se déverse dans ma gorge !

Après les deux orgasmes qui m’ont dévastée, je comprends que ces deux-là sont des complices de longue date… mais pour moi, le principal est qu’ils m’ont bien fait jouir !Nous prenons tous les trois une coupe de champagne et quelques petits en-cas… Il faut garder des forces pour la suite… Il y en aura certainement une car il est encore tôt !Elle se présente en la personne de Bruno, le maître de maison.

— Jeanne, puisque Véro et Sven t’ont accaparée dès le début, je ne veux pas passer mon tour… Il est de coutume que toute nouvelle venue soit honorée par le Maître de maison, l’organisateur de ces soirées coquines…

— Je suis entièrement à votre disposition !

— Je le sais… Merci !

Je suis flattée qu’il s’intéresse à moi… Je suis toujours nue, perchée sur les talons de mes escarpins qui ne m’ont pas quittée. Bruno est un homme que je juge autour des 50 ans, le teint mat d’un latin avec des cheveux poivre et sel, des yeux marron, il a une haute stature, les épaules larges et un sourire étincelant… Il est toujours habillé : pantalon large et chemisette siglée !Il me guide vers une sorte de podium rond placé au centre du salon et s’y assoit les cuisses écartées !

— Montre-nous tes talents de suceuse !

— Bien Maître !

Je m’agenouille, défais la ceinture et fais glisser le pantalon et le boxer d’un seul mouvement pour les ôter. La chemisette suit immédiatement découvrant un torse quelque peu velu… Mais immédiatement mon regard est attiré par le sexe de Bruno… Au repos, il est déjà de taille imposante… Qu’est-ce que ça va être lorsque je l’aurai bien sucé… Mais rentrera-t-il entre mes lèvres. Je m’applique aussitôt dans une fellation savante… Même si je n’ai guère pratiqué, je sais comment faire, le sexe dans la bouche et les mains pour caresser les testicules. Le sexe de Bruno est désormais au mieux de sa forme et je parviens à le faire entrer dans ma bouche mais je n’arrive pas à faire passer le gland au-delà de ma luette… Malgré ma volonté, je n’arrive pas à faire une gorge profonde.

— Bravo Jeanne… Tu es une bonne suceuse… Tu as su me faire bander ferme en peu de temps ! Maintenant, passons à la cavalcade !

— La cavalcade ?

— Viens, je m’allonge sur le dos, tu me couvres le sexe et tu m’enjambes face à moi… Tu n’as plus qu’à te laisser glisser sur ma bite !

Je prends la position demandée et Bruno amorce le mouvement en me prenant sous les fesses pour me faire monter et redescendre sur son sexe. Je prends le rythme et Bruno titille mes seins, faisant rouler mes tétons entre ses doigts puissants mais sans les pincer… ou même glisse un doigt sur mon clitoris… Hum… que c’est bon !Décidément, je découvre des sexes masculins très divers… J’avais déjà goûté à des bites sur dimensionnées comme celle de Jacques ou de Sven mais là, j’étais servie… à la grosseur s’ajoutait une longueur peu commune : une vraie bite de cheval (même si je n’en avais jamais vu) !Chaque fois que je descends sur elle, je me sens comme écartelée et j’ai l’impression qu’elle remonte jusqu’à mon estomac !Je sens que la jouissance monte dans mon corps… J’ai de nouveau cette boule chaude qui envahit mon bas-ventre peu avant l’orgasme qui me terrasse soudainement.

Est-ce l’ambiance outrageusement sexuelle de la soirée, mon corps avide de sensations, le pieu qui me perfore, je n’en sais rien mais Bruno, lui, n’a pas joui et reste en moi !Il m’attire vers lui, je me couche sur son torse et mes seins s’écrasent contre les siens.

— Restons ainsi !

Comme lors de l’étreinte avec Véro et Sven, je sens des mains dures (masculines certainement) caresser le creux de mes reins, mes hanches, mes fesses qu’elles ouvrent… Je sens que plusieurs doigts glissent dans ma raie, cherchant l’anneau plissé qu’ils perforent. Waouh, j’ai compris : je vais avoir une bite dans mes deux orifices ! Une vraie double !Je sens qu’on injecte du gel dans mon sphincter… puis un sexe cherche l’entrée de mon pertuis étroit qui s’écarte sous la pression du gland. Le sexe masculin pénètre plus avant, je le sens envahir mon rectum avec douceur mais fermement ! Le gland passe ! Puis je sens le sens progresser dans mon rectum… Ça y est ! C’est fait, j’ai une bite (et quelle bite) dans ma chatte et un inconnu qui me perfore le cul ! Cela n’a rien à voir avec ce que les garçons m’ont fait subir… Là, tout est douceur, recherche du plaisir de l’autre.

Les deux hommes accordent leurs mouvements, c’est principalement mon sodomite qui donne la cadence, Bruno se contente de suivre mon corps lorsqu’il est projeté en avant… Je ne sais plus très bien où je suis, je perds la notion du temps… Je me contente de savourer cette double pénétration que j’espérais… et JE SAVOURE ! Rien à voir avec cette étreinte quelque peu bestiale des garçons. Je ne sais pas combien de temps cela dure mais je jouis au moins deux fois avant que les hommes ne se lâchent… et déversent d’abondants jets de foutre que je sens malgré les préservatifs. Lorsque nous nous sommes désunis, je constate avec stupeur qu’un groupe nous a regardés et ils applaudissent la performance !Bruno se tourne alors vers eux et demande :

— Est-ce que Jeanne est digne d’entrer dans notre cénacle ? Qu’en pensez-vous ?

Tous répondent par l’affirmative, qu’ils soient homme ou femme !Puis un nouveau couple se dirige vers moi et avant de passer aux choses « sérieuses » nous bavardons de longues minutes en buvant une coupe de champagne. Annie et Jean-Marc m’invitent à une soirée qu’ils organisent dans leur résidence secondaire dans trois semaines. Annie me précise :

— Fais un test HIV… c’est une condition que nous imposons pour chacune de nos réunions !

— Pourquoi ?

— N’as-tu pas envie de sentir le sperme toujours abondant des hommes se déverser en toi ?

— Oh si, mais pourquoi ce test ?

— Je sais que certains sont volages, comme cela les partenaires sont garantis… Je suppose que tu prends la pilule ?

— Non je ne la prenais plus mais je vais voir mon toubib !

Ce qui s’est passé après, c’est une autre histoire !

Related posts

Evolutions – Chapitre 17

historiesexe

Futures stars de télé-réalité – Chapitre 2

historiesexe

Lyvia ou le destin d'une esclave Romaine – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .